L’homme se laisse tomber à genoux, sur le bitume chaud de la route suspendue. Autour de lui, les brumes particulièrement denses, serpentent entre les immenses tours d’immeubles et s’entortillent comme prises d’une ultime convulsion avant la mort. Ou avant le réveil. Tous les néons colorés et les éclairages publics d’un doré rassurant se sont éteints, seules les diodes rouges clignotent dans toute la ville, jetant des reflets sanglants sur les volutes dansantes.
Un vacarme assourdissant parvient jusqu’à l’homme et un nuage de poussière se soulève au loin. Une tour s’effondre sur elle-même, presque au ralenti, entraînant dans sa chute passerelles, câbles et aqueducs transparents. Rapidement, la sirène stridente d’alarme reprend ses droits.
Néo-Knossos hurle.
Néo-Knossos est blessée et saigne.
Et, si rien n’est fait, Néo-Knossos mourra.
L’homme fixe le vide devant lui, hébété. Ses yeux écarlates trahissent sa peur, sa confusion. Ses cheveux d’un blanc pur tranchent avec tout le reste de Néo-Knossos, insensibles aux reflets rougeâtres. Les brumes, de plus en plus compactes, semblent ronger les hauts bâtiments dont les sommets se perdent loin au-dessus de lui. Un mouvement un peu brusque agite les volutes teintées de pourpre. Les pylônes qui soutiennent une place d'un niveau supérieur se brisent alors, comme s’il s’agissait de verre. Des cris paniqués viennent d’une foule un peu plus bas. Tous les habitants n’ont pas encore eu le temps de rejoindre les bunkers.
Les brumes se condensent et, petit à petit, le monstre prend forme. Le Yokai. Le prédateur naturel de Néo-Knossos.
Des larmes coulent sur les joues de l’homme. Il murmure quelques mots incompréhensibles, secoue la tête. Ses mains tremblent sur la poignée de son sabre. Au loin, des cris montent, certains plus aigus que d’autres. Des pylônes s'effondrent sur eux-mêmes, avec une grâce inattendue.
Le chaos n’épargne rien ni personne.
D’un coup, l’homme semble se réveiller. Il essuie rageusement les larmes sur ses joues et hurle au vide devant lui. Le démon de brumes termine d'apparaître, Néo-Knossos est de plus en plus meurtri.
Tout ça, c’est secondaire.
Néo-Knossos peut bien crever. Ça ne l’intéresse plus.
Tout ce qui importe, c’est de sauver cette petite fille. Parce qu'elle est essentielle. Pas pour lui, mais pour l'être le plus important à ses yeux.
L’homme se redresse et se prépare à la lutte de sa vie, celle où, quoi qu’il arrive, il perdra. Malgré le lourd tribut à payer, il s’élance.
Quoi qu’il advienne, quel qu’en soit le prix…
Elle vivra.
Voilà un prologue très efficace ! En tout cas, moi ça m'a évoqué plein d'images, la ville, les tours, la brumes, les sirènes... on dirait une ambiance de comics.
Et cette histoire de petite fille à sauver quitté à se sacrifier... ça soulève plein questions et ça donne envie de continuer (ce qui est la fonction principale d'un prologue, non ?)
Je continue !
Un prologue captivant, le décor est posé, un Yokai à la brume vorace, une ville sur le point de s'éteindre, un homme hagard puis déterminé, une fille à protéger, c'est parti !
Très bon prologue, j'adore sa chute. La fonction de mystère et de teasing est 100% remplie, juste très envie de savoir qui est cette fille, pourquoi on tient tant à elle. C'est intéressant que le narrateur veuille la sauver pour quelqu'un, surtout avec une telle détermination. Ca donne envie d'être développé.
Ce qui fonctionne très bien aussi, c'est l'introduction d'un vocabulaire spécifique à ton univers très particulier, qu'on comprend plus ou moins grâce au contexte mais qu'on a envie de davantage découvrir.
Mes remarques :
"Un mouvement un peu brusque agite les volutes teintées de pourpre." couper le un peu ? brusque c'est un adjectif fort, c'est dommage de le nuancer je trouve
"se brisent alors, comme s’il s’agissait de verre." -> comme du verre ? (un verbe en moins)
"viennent d’une foule un peu plus bas." -> en contrebas ?
Je continue !
Je passe par ici suite aux HO :)
Et j'avais une première version de commentaire, qui est morte par déconnexion.
Je le simplifierai donc, désolé, par :
J'aime bien le côté intriguant :)
J'ai vu que malgré yokai ce n'est pas japon, je pense que il n'y a aucun élément qui "contredit" une hypothèse japon dans la tête qui lit, et donc, avec Yokai, épée, immeubles type gratte ciel qui tombent sous l'effet d'une force surnaturelle, nous voici au japon ^^'
A bientôt et désolé de ce commentaire expéditif... ^^'
Je suis venue par chez toi car je croise souvent ton nom dans les commentaires de "Nimbe" que je lis aussi, et ça m'a intriguée de découvrir tes histoires.
Je trouve ce prologue très bien écrit, il donne envie d'aller voir la suite. D'ailleurs, j'y vais de ce pas ! à tout de suite :)
Merci pour ta lecture et ton commentaire ! =D
Et très bon choix avec Nimbe, je peux clairement pas dire le contraire ^^
Je viens voir ce qui se trame par chez toi 😊
Dans ce prologue, on découvre un monstre, le yokai, donc un monstre japonais, qui détruit la ville. Les immeubles s’effondrent. Un homme est abattu mais se réveille pour sauver une fille.
J’aime bien le fond, le livre s’ouvre avec cette image flippante des immeubles qui s’effondrent, on ressent la chaleur, les cris, c’est bien rendu.
J’aime bien les histoires japonéisantes. Pour info, je vis au Japon et je connais pas mal le folklore japonais. J’ai aussi lu pleins de romans japonais. Du coup, ton histoire ne peut que m’intéresser.
Tu vas voir, je suis une lectrice très pinailleuse. Quand je vois un truc louche, je m’arrête et j’y réfléchis. Je prends des notes que je peux (ou non) partager avec toi, tu me diras si ça t’intéresse. Je sais que ça peut être décourageant pour certains de se voir pointer des soucis stylistiques ou des incohérences, mais moi je sais que ça m’a super aidé lors de l’écriture du Darrain. Je prends systématiquement en compte les remarques et je fais ensuite un tri pour corriger. Donc dis-moi si tu préfères un commentaire général ou une liste interminable de pinaillages divers 😊
C’est parti : Mes notes de lecture :
« les brumes particulièrement denses, serpentent entre les immenses tours d’immeubles et s’entortillent comme prises d’une ultime convulsion avant la mort »
> Tu verras, je suis quelqu’un qui traque les adverbes inutiles. Là par exemple ce « particulièrement » pourrait être aisément ôté selon moi. L’usage d’adverbe est à utiliser pour insister sur un point ou quand tu veux ajouter de la lourdeur. La plupart du temp, ils peuvent être remplacés de manière judicieuse par un verbe plus fort, ce que je te conseille de faire ici.
> Par ailleurs, pourquoi dis-tu « les brumes » au pluriel ? Le singulier ne serait-il pas mieux ?
> Pourquoi « comme prise de convulsion » ? Tu ne dis pas que la brume convulse, sursaute ou je-sais-pas quoi. J’imagine une brume montée du bitume chaud et disparaître autour des immeubles. Du coup, je ne comprends pas l’image des convulsions. De la mort, oui, si la brume s’estompe à mesure qu’elle monte ? Désolé je suis vraiment enquiquinante…
« les diodes rouges clignotent dans toute la ville, jetant des reflets sanglants sur les volutes dansantes. »
> C’est de là que viennent les convulsions, c’est bien ça ? Du rouge qui clignote ? Du coup, il faudrait glisser cette comparaison après cette phrase plutôt non ?
« hébété. Ses yeux écarlates trahissent sa peur, sa confusion. »
> Du coup pas sa peur non ? S’il est hébété ? Il est confus et apeuré en même temps ? Moi j’enlèverais « sa peur »
« Un mouvement un peu brusque agite les volutes teintées de pourpre. »
> Les « presque », « un peu », « semblait », « à demi » diluent les propos, comme si tu te retenais d’écrire. Ces mots matelas, c’est ma guerre, comme Rambo (hihi), non comme ma guerre contre les adverbes. Ainsi, je te conseille d’enlever ce « un peu » Le mouvement est-il brusque ou pas ? Peut-être que tu souhaites utiliser un autre adjectif que brusque ? On ne peut pas être un peu brusque, on l’est ou non à mon sens.
« d’une foule un peu plus bas »
> Deux phrase plus loin, tu as un autre « un peu » -> à enlever. Les cris viennent-ils d’en bas ou non ? Pourquoi un peu ? Il les entend d’en bas à mon avis.
« D’un coup, l’homme semble se réveiller »
> Un autre exemple de ma guerre des mots matelas -> Le gars se réveille ou pas ? Il se réveille un peu ? Il se réveille presque ? Il semble se réveiller ? Toutes ses formulations qui diluent la précision, moi j’aime pas et ça rejoint mon premier commentaire sur le « un peu ». En fait, j’ai toujours l’impression en lisant ça que l’auteur se retient d’écrire à fond. Je pense que ce n’est pas vrai, bien sûr, mais c’est vraiment l’impression que j’ai face à ces petits mots. Comme tu as ensuite « Il essuie rageusement les larmes sur ses joues et hurle au vide devant lui. », moi je comprends que le gars se réveille, qu’il se réveille tout à fait et pas un petit peu.
« Le démon de brumes termine d'apparaître »
> Il avait pas apparu avant ? Plus tôt, tu as la phrase : « le monstre prend forme » donc pour moi, il avait déjà pris forme. D’ailleurs à quoi ressemble-t-il ? Perso, j’imagine Godzilla. 😊
« comme s’il s’agissait de verre. »
> Plus simple : « comme du verre »
Un prologue efficace, avec quelques lissages de style selon moi, mais ce ne sont là que des détails. Je te laisse faire le tri de mes remarques. Ne prends que ce qui t’intéresse ou jette tout !
J’ai hâte de connaître la suite, de savoir qui est ce gars au sabre et si la ville va bel et bien être totale détruite 😊
Tout d'abord, merci beaucoup pour ton passage ici et pour ton message ultra détaillé =o C'est impressionnant !
Alors, je préfère te prévenir, l'histoire n'est pas tellement japonisante, désolée ^^" Yokai est juste un terme que je trouvais adapté pour ce que je voulais faire passer là (L'idée que c'est surtout un phénomène inexplicable, mystérieux, mais avec une connotation de monstrueux aussi), pour lequel je ne trouvais pas d'équivalent en français. Et j'aime bien la sonorité ^^"
Et si cela ne t'embête pas, personnellement, le pinaillage ne me dérange pas, le tout, c'est que ça soit fait pas de manière méchante, mais vu ton commentaire là, ça n'a pas du tout l'air d'être le cas donc c'est parfait =D
Bon, déjà, visiblement, yaura pas mal de trucs "fades" à traquer ='D J'ai toujours tendance à en mettre, j'essaie moi-même de les enlever, mais il en reste toujours. En tout cas, merci de les relever, je vais tenter de leur faire définitivement la peau (et cette phrase st ignoble de ce point de vue, j'adore ^^").
Et pour les brumes, c'est parce que les brumes sont vraiment omniprésentes dans la ville, il y en a plusieurs types, et c'est vraiment comme un personnage à part en fait.
Pour le "comme prise de convulsion", pour moi c'est une traînée de brume qui "convulse". L'idée que je voulais ressortir, c'était que la brume a un comportement inhabituel, presque vivant pour une fois (et a priori pas dans la joie et la bonne humeur).
Pour le "un peu plus bas", j'avais souligné surtout parce que la ville est tout en hauteur, donc ça pourrait être beaucoup plus bas, mais c'est vrai qu'à ce niveau de l'histoire, c'est pas méga pertinent de souligner ça, donc zou.
"le monstre prend forme" pour moi, c'est qu'il est en train de prendre forme, c'est en cours, et justement il termine à la phrase que tu as souligné ensuite. Mais du coup, il faudrait que précise que c'est un processus qui prend du temps.
Et pour la description du Yokai, a priori, ce n'était pas prévu d'en donner, j'aime bien laisser ça à l'imagination, mais c'est un monstre un peu informe, constitué de brumes.
Merci beaucoup pour tes retours =D
*petits pas de danse*
"les brumes particulièrement denses, serpentent" > Pas certaine que le "particulièrement" ajoute grand-chose et je me dis que ça sonne plus musical "les denses brumes serpentent"
Dans ton prologue, j'ai glané les premières touches d'un monde, avec des couleurs et des lignes, un lieu à la fois futuriste et magique. La langue est pareille : à la fois efficace et lyrique, dans un équilibre qui fonctionne.
J'ai trouvé très belle cette première image d'une tour qui s'effondre.
La répétition qui suit avec Néo-Knossos marche bien et enregistre ce nom dans ma tête.
Est-ce que tu veux mettre Néo-Knossos au féminin ou au masculin ? Parce que tu as "blessée" mais "meurtri".
Les phrases hachées me mettent dans l'action, un peu comme un montage rapide en début de film catastrophe : je vois un grand enjeu, un ennemi, un objectif. Pour le moment, ça promet le récit dystopique d'aventure, avec une structure linéaire et des questions de vie ou de mort.
Avec "yokai", j'ai été renvoyée à l'imaginaire japonais, donc je me demande s'il y a un aspect de mythologie classique à ton récit. J'ai compris qu'il se formait à partir de la brume ; pour autant, comme tu as trois fois "brume" et deux fois "volutes", je me dis que tu peux jouer avec les synonymes si tu en as envie.
Pour Néo-Knossos, je n'avais même pas fait gaffe au genre ^^" Je pense que j'étais plutôt partie sur féminin, va falloir que je lisse ça pour éviter les problèmes du coup, merci d'avoir souligner ça !
Je vais faire attention aux répétitions. Après, j'utilise des termes plus spécifiques inventés, mais là je me disais que ça faisait peut-être trop pour le prologue. D'ailleurs pour "Yokai", c'était plus pur la connotation "démon pas forcément maléfique ou bénéfique" que j'aimais bien, il n'y aurait pas forcément d'aspect mythologique classique, je ne suis pas assez à l'aise pour ça ^^'
Merci beaucoup pour tes retours ! =D
Au plaisir de lire la suite.
Contente de te voir par ici et contente de voir que ce début te plaise =D En espérant que ça ira aussi avec la suite ^^
Merci pour ta lecture et ton commentaire !
Je ne saurais comment dire mais j'ai bien ressentis le côté labyrinthe à l'intérieur !
J'aime beaucoup que la scène soit dans un genre apocalyptique avec d'un côté la foule et la ville hyperactive qui cherchent activement à fuir le danger et de l'autre côté le personnage est immobile à contempler le désastre !
J'aime bien aussi le fait que l'on en sait plus sur la ville, sa description et son atmosphère alors que l'homme lui on ne sait même pas son nom.
Pour enfin révéler sa détermination ultime !
Je suis contente que le rendu te convienne =D Clairement, le personnage principal de ce prologue, c'est la ville ^^ Merci beaucoup pour ta lecture et tes commentaires <3
Bon, en vrai, je confirme que tu poses super bien ton ambiance et finir sur un personnage aussi déterminé... Je ne peux qu'aimer ! Être prêt à tout comme ça alors que ça a l'air quasi perdu d'avance, c'est forcément intriguant.
Je vais continuer ma lecture. Quoi qu'il advienne et quel qu'en soit le prix ! ;)
Essaie quand même de pas mourir pendant ta lecture hein ='D
Et oui, je me suis enfin perdu dans ton labyrinthe. À part le titre, je n'avais que ce prologue pour me donner un aperçu de ton style et de tes thèmes choisis.
J'aime bien cette petite scène apocalyptique introductive. Rien de tel qu'affronter un Yokai pour sauver une âme pure et innocente pour éveiller ma curiosité ! Il est temps pour moi de débuter le chapitre 1 :)
J'étais un peu curieux de ce que tu écrivais donc je me suis retrouvé sur ton profil. Ensuite, happé par le résumé de cette histoire, qui est vraiment intéressant, je me suis retrouvé ici.
Il n'y a pas grand-chose à dire, car c'est une introduction. J'ai quand même noté quelques trucs dont tu feras ce que tu veux si jamais ça t'intéresse lol :
d’une ultime convulsion avant la mort. => Une ultime convulsion veut dire une dernière convulsion donc elle souhaitant un arrêt ou une mort, ce qui fait que la précision n'est pas nécessaire. Tu peux donc la retirer si tu souhaites alléger le tout.
Un vacarme assourdissant => pareil, vacarme veut dire bruit assourdissant donc on est sur un pléonasme.
qu’il tient de plus en plus maladroitement. => Alors là c'est vraiment une question de précision. Tenir de plus en plus maladroitement me parait un peu difficile à imaginer. Est-ce que tenir avec de moins en moins de fermeté n'est pas un choix plus intéressant ?
Le chaos n’épargne rien ni personne, même pas les enfants. => S'il n'épargne rien ni personne, il n'épargne du coup pas les enfants ahah. Je crois qu'on est sur une exagération qui peut sonner maladroite.
Voilà, en espérant que le commentaire te soit d'une utilité quelconque ahah.
Contente que le résumé fonctionne =D En effet, c'est délicat de se faire un avis juste avec un prologue, surtout court comme ça x)
En tout cas, merci beaucoup pour toutes tes remarques ! Pour le moment, je n'ai pas trop le temps pour l'écriture avec la fin de l'année scolaire, mais ça me sera utile pour quand je reprendrai tout ça ! =D
Quel prologue accrocheur ! Une histoire de monde futuriste, de brume et de démons... Tout est fait pour m'attirer :D Le personnage albinos avec son sabre vient trancher avec le décor futuriste.
Le style est rythmé, on plonge direct dans l'action... "Néo-Knossos peut bien crever. Ça ne l’intéresse plus." c'est vraiment un style que j'adore ! Bref, j'ai hâte d'en découvrir davantage !
Contente que ça te plaise et que le prologue accroche bien <3 Merci beaucoup pour ta lecture et ton commentaire ! =D
Il n'y a pas grand chose à dire sur 0.3k de caractères mais pourtant, le message que tu veux faire passer est bref et clair.
Je trouve qu'à la fin, les paroles de l'homme et l'effacement du décor contrastent un peu avec le reste du prologue où tu décris précisément ce qui l'entoure, les bâtiments, la ville qui saigne, le Yoka, l'affolement de la population. Tu t'es en quelques lignes recentré sur cet homme, oubliant tous ces détails, et je trouve ce zoom un peu trop "brut". Ne t'en fais pas le reste est parfait xD
Un mystère place sur cette fille qu'il veut tant protéger, on ne sait pas pourquoi. Pour faire un final encore plus marquant, tu aurais peut-être dû en expliquer la raison, à moins que tu ne comptes le faire ultérieurement. rien que par sa volonté je vois déjà qu'elle a un grand rôle à jouer dans cette ville. On ne sait pas tout et on ne sait pas rien, on a juste la dose d'information qui donne envie de continuer et de percer tous les secrets de Néo-Knossos.
Tout d'abord, merci beaucoup pour ta lecture et ton commentaire !
Contente que ce prologue te donne envie d'en savoir plus sur cette histoire, c'est justement le but ^^ Notamment qu'il y a quelque chose autour de cette fille. Après, même si j'ai conscience que c'est frustrant, c'est volontaire que ça reste vague ^^'
Merci beaucoup pour tes retours ! J'espère que la suite te plaira ^^
Un petit mot pour dire que j’ai commencé cette histoire.
J’aime beaucoup l’ambiance de cette ville (mais est-ce étonnant XD )
Et dans ma tête ça fait comme un manga des années 80, je ne sais pas si ça colle à l’image que tu as de ton univers :o.
Sinon, l’entrée en scène est accrocheuse.
Comme critique (ou interrogation) je dirai que j’ai été perturbée par la phrase: « Le chaos n’épargne rien ni personne, pas même les gamines ». Quelles gamines? Elles arrivent un peu comme un cehveu sur la soupe. Et sinon, je trouve que ton narrateur insiste un peu trop sur le fait qu’il va sauver « une certaine personne ». C’est très vite assez clair ^^
Voilà, des gros bisous ma mie !
Crois-le ou non, pendant toute la rédaction, j'avais du tout pensé à la Ville Noire, c'est à la fin où je me suis dit "Oups" xD Je vois pas trop ce que tu veux dire par manga des années 80, pour moi niveau visuel, c'est surtout Into the spiderverse/certains des dessins de Yuumei, mais c'est pas forcément le plus visible dans l'intro ^^"
Bon, comme critique, tu insistes pile sur le truc sur lequel j'étais pas sûre ='D Bon au moins, c'est clair, je vais devoir reprendre ça, même si je sais pas encore comment ='D
Merci pour ton passage et tes retours <3
Voilà un prologue intriguant. On visualise bien cette ville de verre et d'acier qui s'effondre, envahie par les brumes. Cet homme avec son sabre semble contraster au milieu et laisse penser que technologie et "techniques" plus anciennes s'entrecroisent.
J'imagine que l'enfant qu'il veut sauver et celle du résumé. D'ailleurs, je me pose déjà des questions, les démons s'en prennent-ils spécifiquement à elle, ou sont-ils attirés par les fillettes en général ? J'ai eu l'impression que tu mettais l'accent dessus, je sais pas pourquoi ^^
Je crois qu'un pluriel s'est glissé en trop ici => Le chaos n’épargnent rien ni personne, même pas les gamines. (pas de "ent" si je dis pas de bêtises).
Le rôle du prologue est rempli, il est là pour être intriguant, je suis contente =D
Pour les démons, ils s'attaquent à tout le monde, c'est juste que l'homme s'intéresse juste à une personne en particulier, va falloir que je modifie ça pour le rendre plus clair ! Et pour la faute, bien vu, je vais modifier ça de suite !
Merci beaucoup pour ta lecture et tes retours !