La lanterne se balançait violemment au rythme du bateau qui s’écrasait contre les vagues de la mer déchaînée. Une table surchargée de carte et d’instruments de géométrie trônait au beau milieu de la pièce, à cette table était assis le capitaine du navire. Les rides qui parcouraient son visage témoignaient de sa fatigue et de sa préoccupation. Son second, qui venait d'entrer précipitamment paraissait être dans le même état :
- Capitaine ! Le mat est fissuré de toutes parts et les voilures complètement déchirées.
- Cette tempête nous a fait perdre le cap… Sans les étoiles ou même le soleil caché par les nuages, impossible de savoir la direction à prendre… Est…Ouest…Où allons-nous ?
- Nous sommes sûrement perdus au milieu de l’océan ! Toute notre flotte est perdue !
Un long silence évocateur s’en suivit, seulement troublé pas le bruit de la tempête.
Soudain, de grands cris provenant du pont retentirent. Les deux hommes se précipitèrent sur le pont, tous les matelots étaient penchés à la balustrade et tentaient de percer du regard la brume épaisse de la tempête :
- Pourquoi avez-vous quitté vos postes ? s’écria le capitaine.
- Le guetteur a annoncé la terre ,capitaine ! lui répondit un matelot.
Le capitaine se précipita à son tour vers la balustrade. Mais son visage plein d’espoir se crispa soudain dans une expression de terreur pure. Un autre bâtiment de leur flotte fonçait à grande vitesse vers un énorme rocher noir jusqu’alors caché par l’épais brouillard. Le pauvre navire s’empala contre le roc dans un immense fracas qui couvrit le bruit de la tempête. Le grand mât se brisa à la base et s’écrasa sur la longueur du navire déchirant les ponts puis la coque. Enfin, le navire se fendit en deux dans un dernier grincement :
- Nous ne pouvons rien faire pour eux ! cria le capitaine, tout le monde a son poste ! Tâchons d’éviter ses récifs !
Le bateau s’écarta tant bien que mal de la zone de danger sous les ordres du capitaine. Le second s’approcha alors de son supérieur :
- Capitaine ses récifs annoncent forcément la terre.
- Je ne pensais pas que nous ayons parcouru une si grande distance.
- Tant que nous ne sommes pas de retour chez nous…
Je me balade sur ton histoire et je suis donc tombé sur ton prologue. Il est intéressant, annonciateur de malheur a venir. J'aime bien l'atmosphère mystérieuse qui semble afficher les soucis auquels vont faire face les héros. En attente de la suite
A bientôt
Gardar
-Capitaine ! Le mat est fissuré de toute part et les voilures complètement déchiré.
ça parait étonnant que le second sois la depuis un moment et qu'il se mette a paniquer maintenant, après, ça peut marcher. mais je trouve cela pas très naturel, ce n'est pas un film.
L'histoire est malgré tout intéressante et je me demande ce qui arrivera dans le premier chapitre. Bonne continuation, et désolé si Jai été un peu cash.
A bientôt :)
Sur le fond, beaucoup de fautes d'accords et de conjugaisons. Je n'ai pas pu tout relever car elles sont nombreuses et, lisant sur téléphone, difficile de faire un listing. Ça n'aurait peut-être pas non plus été agréable pour toi.
N'hésite pas à te faire relire par quelqu'un si tu as du mal à détecter tes propres fautes, c'est parfois compliqué de se relire soi-même : on s'attache au sens, à comment sonnent les mots, et les règles de français passent parfois in peu à la trappe.
Enfin, on n'écrit pas "s'en suivre" mais "s'ensuivre", c'est un verbe à part entière ;-)
À bientôt pour la suite. Il me tarde de savoir ce qui se profile derrière le brouillard de ce prologue !