"Avant propos.
Salut, espèce d'abruti. Je suppose que tu as 12 ans, que tu vis encore chez tes parents et que tu as un niveau scolaire qui laisse à désirer. Mais ne t'en fais pas, pauvre petit être de lumière. Car ton super tonton- ehehehehe, tu as pensé que j'allais te révéler mon prénom ? Non mais faut pas rêver. On n'a pas tout dans la vie. Mais en tant que tout nouveau lecteur, tu es obligé à présent, à travers un pacte non-ecrit de découvrir qui je suis. Eh oui, c'est ça la règle quand on prend le risque d'ouvrir ce livre sacré. Car oui, pauvre petit incompétent, si tu l'as trouvé, c'est que tu es un petit être qui cherche désespérément à trouver sa place dans notre société. Tu as entre tes mains "Le Tout-Nouveau Testament". Le vrai oui.
Tu as donc le droit à mes précieux conseils divins. Et gratuitement en plus !
Si tu veux plus de détails, reviens Mardi, ce Livre sera mis à jour et tu sauras quelle est sa véritable utilité et pourquoi tu devras toujours jurer que par lui. Écris ton nom à 10 centimètres de ce que j'ai écrit, car il ne faudrait pas que tu atteigne mon écriture sacré, ainsi que la date de lecture pour savoir à quelle recue inexpérimentée j'ai affaire.
Au revoir et à la prochaine, petit naze."
J'étais caché derrière mon livre en observant la personne qui venait de lire ses mots. Comment je le sais, me diriez-vous ? Mais voyons, c'est évident. C'est moi qui l'ait écrit et laissé traîner ici, pardi ! Évidemment, qui peut être autant intelligent pour avoir une idée aussi digne d'un génie ? Encore moi, pardi !
Ce qui me rendait fier, c'était surtout l'identité de la personne qui l'avait lu. Il s'agissait de Joselyne, le pot de peinture. Cette petite peste est venue trouver refuge dans le centre d'information et de documentation, (CDI pour les intimes il paraît, mais je ne vais pas user de tels bassesses, je suis dieu ! Pas un intime, fichtre !), pour faire sembler de faire ses devoirs afin de faire bonne figure devant madame Aubry, sa prof préférée (qui soit dit en passant est une pimbêche comme elle). En vérité, c'est parce que ses copines sont absentes et elle ne veut certainement pas apparaitre devant tour monde toute seule. J'aurai dû la dénoncer au flic, même mon pote - enfin, je dirai, "ex-serviteur-devoué" Mattieu pensait pareil. D'habitude on est pas d'accord mais si ça cause de Joselyne, on est toujours unanime. Sauf qu'on s'est disputé pour une débilité en rapport avec ses insupportables jeux de rôle alors il n'est plus mon ami, à mon service, plutôt je voulais dire. Tant pis, j'aime personne, j'aime que moi de toute façon. Et j'ai pas besoin de copain, je voulais plutôt dire, d'esclave. Mais du coup, je me sens seul. C'est bête pour une divinité comme moi, n'est-ce pas ? Scandaleux... je suis absolument outré. Mais pour revenir à son stupide jeu de rôle, nous voulions en inventer un. Enfin, il voulait, je ne m'intéresse pas à ses bêtises. Je lui ai fait sciemment comprendre - avec des mots simples bien entendu, un sujet tel que lui, n'aura jamais pu comprendre des mots tels que "anticonstitutionnellement" - qu'il était plus intéressant de jouer à des jeux plutôt que d'en inventer pour des gens ingrats. Mais il est trop gentil. Normal, c'est un paysan, ça ne le parle pas trop le pouvoir, contrairement à moi. Alors, j'ai eu l'excellente idée de le traiter d'abruti. Il s'est énervé fort. Matt a osé me dire que j'étais un plouc qui souffrait d'un complexe de supériorité. Vous vous rendez compte au moins ? Y m'a traité de plouc ! Oui, moi, Jonathan, de plouc ! Ça n'allait certainement pas se passer comme ça . Il fallait que je me venge. Mais donc, quel est le rapport entre ce bouquin et Matt ? Bon bah je vais tout vous expliquer, bande de débutant !
Asseyez vous confortablement, posez votre cerveau sur le côté et écoutez l'incroyable récit de la vie de Jonathan, le Grand, qui s'est réveillé un jour avec en-tête le rêve d'un jour, diriger le collège des Pâquerettes !
C'est rigolo et ça me fait penser au petit Nicolas! Ça se lit bien, le ton est parfait! Et ça me donne envie de voir la suite!
Les petits bémols (parce qu'on est là pour ça, pour s'améliorer, non?)
Les habituelles petites fautes que tout le monde fait (j'en fais partie je ne suis pas un exemple^^). Mais ça c'est facile à arranger.
Des coquilles! (Recue au lieu de recrue, sur la fin du paragraphe en italique), et quelques phrase coupées/répétées. Par exemple : "Sauf qu'on s'est disputé pour une débilité en rapport avec ses insupportables jeux de rôle alors il n'est plus mon ami, à mon service, plutôt je voulais dire", je ne comprends pas la fin de la phrase (enfin si, je comprends le sens, mais elle est... bizarre). "qui s'est réveillé un jour avec en-tête le rêve d'un jour", pas très joli...
Enfin, la justification! (le texte qui doit prendre toute la largeur). Bon ça c'est un détail juste pour embellir, c'est vraiment pas important dans le fond du texte, qui est bien cool!
Continue !
Merci pour ton retour ^^
Oui, j'entends bien m'améliorer mais l'orthographe et soigner mes écrits n'ont jamais été mes points forts x)
Je compte bien le revoir corriger ces fautes
Et oui, totalement, je voulais écrire une histoire du même genre que le petit Nicolas, l'élève Ducobu, je suis contente que ça se ressente !
J'ai été un peu surprise au début.
D'abord par l'entrée en matière. Une insulte, direct. ça donne un ton violent, brut. Pourtant, par la suite, il parle de "petit être de lumière". On commence par de la violence gratuite, d'emblée tu penses à ton lecteur : aller hop! une petite claque pour démarrer. Et ensuite, cette formule, poétique, infantilisante, le genre de mot qu'on dit pour réduire l'impact de ce qu'on demande "j'ai une "petite" demande à te faire" ou bien "c'est un tout petit bébé". Une formule qui se veut douce...
Je pense qu'il y a un problème dans cette première phrase. Une schyzophrénie entre deux comportements. Peut-être que c'est ton but, alors, dans ce cas, tu peux totalement ignorer mon laius.
Sinon, j'ai apprécie les petites piques, les petites formules. C'est amusant.
Quelques coquilles parsèment le texte, et des ponctuations sont manquantes. On sent à la lecture que tu bascules d'une idée à l'autre, mais sous les yeux, il manque une virgule, un point...
Je pense qu'une bonne relecture te permettra d'améliorer ce texte.
Bon courage pour la suite !
Oui, en fait, j'ai voulu à travers le personnage de Jonathan, par sa façon de parler et écrire, en faire un petit garçon un peu vicieux sur les bords mais plutôt sympathique
Oui, c'est vrai qu'il est assez brouillon, j'ai voulu faire quelque chose de léger, je corrige bientôt !
Merci pour ton retour, ça m'aide ;)
Pour l'écriture de ce message, on le découvre un peu plus tard dans l'histoire
Ca à l'air d'être un sacré numéro Jonathan.
J'ai bien rigolé, j'aime beaucoup ce côté sarcastique qui dure tout au long du chapitre.
Le dernier paragraphe m'a bien fait rire, surtout << posez votre cerveau sur le côté >>.
J'ai hâte de lire la suite.
Bonne continuation.
Merci beaucoup pour ton commentaire, ça me fait vraiment très plaisir et me motive beaucoup à poursuivre !
Et oui, sacré Jonathan, et encore il a pas finie accroche toi ^^
Étant moi-même très sarcastique dans la vie de tout les jours l'histoire m'illustre assez et je suis ravie que ça te plaise et te fasse rire
Merci encore, la suite arrive bientôt ^^
C'est gentil ;)