Merci à toi, Thierry. Merci pour toutes tes annotations bleutées, tes encouragements, tes suggestions si justes, ta bonne humeur, ta passion de la langue française. Merci d’avoir cherché ce détail qui rend mes phrases plus fluides, les jeux de mots et les métaphores. Merci d’avoir traqué les incohérences, les imprécisions, quand tout me paraissait pourtant si clair ! Surtout, surtout, merci d’être toi. Merci d’avoir cru en Sélène, alors que même moi, je n’y parvenais plus.
Merci à vous, mes lectrices. Éléonore, Maëlle, et toutes les autres. Vous m’avez poussée toujours plus vite, plus loin, plus haut. Je n’y serais pas arrivée sans vous. Merci à ma merveilleuse sœur. Sans toi, ça aurait été beaucoup moins drôle. Marylou, tu es la meilleure noix de coco qui puisse exister.
Merci à toi, Victoria, pour m’avoir appris à quel point l’écriture peut sauver une vie. Merci de m’avoir soutenue toutes ces années, merci d’avoir lu tous ces carnets, merci d’être une prof de français aussi incroyable. Comme tu me l’avais promis, une fois : you are a true sunshine !
Merci à vous, Monsieur Pitteloud. Sans vous, ma plume ne serait pas ce qu’elle est. Vous m’avez appris à contourner les règles, à utiliser mes forces. Vous m’avez montré mes faiblesses, encore et encore, avec tellement de bienveillance, jusqu’à ce que je comprenne. J’espère continuer longtemps à écrire avec vous !
Merci à vous, Micaël Rollet. Merci d’avoir cherché la meilleure solution avec moi pendant près de deux heures pour permettre à Sélène de vivre sans séquelles. Merci d’avoir répondu à mes dix mille questions (au moins !) sur les premiers secours en France, les urgences de l’hôpital, les répercussions possibles. Merci pour votre confiance.
Merci à Plume d’Argent, cette plateforme d’écriture qui m’a vue grandir, et qui a malheureusement fermé ses portes. Merci pour tous ceux qui m’ont encouragée, aidée, complimentée (sous le pseudo de coeurfracassé). Nightbringer, Corneille et tous les autres… Je ne vous oublierai jamais <3
Merci à toutes les personnes que j’aurais oubliées, pour m’avoir soutenue, conseillée, éclairée (merci Paul, mon merveilleux cousin de France =), ou même juste offert un café. Écrire, ce n’est pas facile tous les jours, mais ça le serait encore moins sans vous. Merci aussi à ceux qui ont, de près ou de loin, contribué à cette histoire : j’espère que vous vous reconnaîtrez =)
Et, surtout, merci à toi, Zaccharie. Tu sais pourquoi.