Je suis une sirène forte et fière.
Forte et fière.
Je n'ai rien demandé à cette terre,
Rendez-moi à la mer.
Ma place, mon banc,
Loin de cette sécheresse démente,
Loin de ce ciel humain qui me hante,
Loin de ces coutumes si différentes.
Laissez moi retourner à la mer,
Elle seule peut apaiser mon âme amère.
Je hurle contre la tempête qui me ronge à l'intérieur,
Et ses jambes qui veulent me faire croire qu'elles ne sont pas que des leurres
Pour que les humains avalent le passé artificiel
Que la passeuse à créer pour que je vive sous ce ciel.
Le tout dernier vers pose un souci : "Que la passeuse à (je crois qu'il manque un verbe pour justifier l'infinitif de "créer) créer pour que je vive sous ce ciel". Ou sinon : Que la passeuse a créé...
Par rapport aux interférences penses-tu que ca plombe beaucoup mon poème ? Sinon je modifierai ça et effectivement il y a un soucis merci de me l'avoir remonté !
Et puis la phrase que j'ai citée dans mon premier com, selon moi elle mieux sans virgules parce qu'elle ferme ce mal aise, ce cri.
Mis à part ce couac. J'aime beaucoup ce poème qui me rappelle un célèbre tableau d'Aphrodite.
Et merci beaucoup, je visualise pas le tableau par contre, c'est de quel artiste ? ~
Par rapport au fond, je m'inspire totalement de l'histoire de Lola Howlett en fait hihi, mais c'est vrai qu'on peut penser au conte d'Andersen <3
Encore merciii ! <3 <3