Scène XV - La gouttière qui voulait démissionner

 -  Ça n’vous arrive donc jamais d’monter sur les toits ?

 -  Humf... non.

Quoique enclin aux fantasmes, Julius n'avait jamais nourri d'espoir à ce sujet : ce ne serait définitivement pas avec sa souplesse qu'il réussirait à en impressionner.

Les bras las, le front ruisselant, il se hissa sur cette ultime toiture en dorure avec un soupir peut-être de soulagement, sans doute de douleur. Oh que oui, l'acrobatie n'était pas son fort. A l'école encore, se souvenait-il, alors que ses camarades galopaient de parcours en parcours le cœur plein de rire, il s'occupait de nettoyer les encriers où les guêpes avaient la fâcheuse tendance à s’y s'écraser. Tous les mardis, le Père Métal complétait soigneusement un fichier lourd de mots abracadabrants afin de justifier ces dispensions quotidiennes. D'après lui, lorsqu'on courait, les réflexions s'évadaient par les oreilles.

Ce jour-ci en revanche, l'antiquaire pouvait mesurer combien cette justification était fausse. Danaé courait autant qu'elle pensait, et s'en portait très bien. En quelques bonds habiles, elle avait en effet traversé la plus grosse partie des enfilades de coupoles, s’agrippant aux gouttières, aux tuiles, balançant souplement son corps tout autour des girouettes.

D’après elle, pour qu’un secret se dise en due et bonne forme, ce devait être sur un toit. Ne restait plus qu'à dégoter maintenant le toit « confortable ».

 -  Celui-ci est... parfait, assura Julius en tâtant la rigidité des tuiles.

 -  Non, le contredit immédiatement Danaé.

L'antiquaire réprima un juron, se redressa péniblement sur une jambe. De là-haut, au moins, il bénéficiait de la splendide vue du panorama de Gilding, de cette Gilding tachée par l'encre de la nuit, par la craie délicate des étoiles, par l'eau grasse des nuages. Heureusement, les girouettes pointues éventraient sans mal la brume. Les falots illuminés des réverbères l’aidaient fort bien également afin de percer les ombres du soir. Grâce à eux, Julius parvenait même à distinguer la pancarte des boutiques des avenues voisines : « horlogerie », proclamait l'une, « chez le tailleur » contredisait l'autre. En contrebas, la fête ne lui semblait plus qu'un crachin vaporeux, coloré et bruyant, compact et condensé dans un coin, alors que toute la largeur de vingt-huit autres boulevards s'ouvraient aux habitants. Cela restait pourtant joli à voir, ce petit flot d'êtres humains tout naïfs, si vulnérables et si bizarrement joyeux à la fois. Julius n'en croisait que rarement dans les rues, du bonheur, en temps normal. Il lui arrivait même de se demander si ses poches en étaient pleines ou vides, parfois. « Deux opposés » grinça sa raison. C'était formidablement ironique.

 -  T’viens ? Ce toit serait bien l’dernier que je qualifierais de « parfait », à ta place. Il y fait aussi humide que dans un bocal de cornichons. A croire que ces habitants n’connaissent pas la cheminée...

Julius lui donna douloureusement raison. Enseveli sous la mousse et la crasse, ce toit n'allait guère s'entendre avec le beige immaculé de son costume, pressentait-il. Il se releva avec un marmonnement, mais Danaé, à qui la patience avait de très amples limites, s'était déjà projetée comme un chat sur la coupole d'à côté.

 -  Là, c'est l'exacte perfection, t’vois.

 -  Ouais.

Puis Julius, tout en se juchant maladroitement sur le sommet de ce bâtiment-ci, comprit enfin d'où venait toute cette malice ameutée en l’œillade de Danaé : ce toit, c'était celui de sa boutique. Il rit légèrement, à peine un sourire sonore. Il avait peur que la froissure de ses joues lui prenne cet instant si lisse, si unique, sans aucun pli entre les particules du temps. Cet instant, étrangement, il ne souhaitait le partager qu'avec Danaé – Danaé et ce fameux secret qu'elle comptait enfin lui dévoiler. Le fait qu'elle avait autrefois eu un fiancé le chamboulait un peu, à dire vrai, mais ce fut avec brio que Julius dissimula son remue-ménage intérieur sous la couture de ses paupières.

 -  Je n'avais qu’trois piges lorsqu'on m'a fiancée.

Danaé avait entamé son récit comme on entame une biscotte : sans préambule. Elle avait apparemment hâte d'en finir, et Julius tendit l'oreille.

 -  Trois piges : l'âge où la perspective de s’marier coule encore dans la merveille, dans la magie. Moi, avec mes pommettes d'baudruche, mes doigts tachés de rêves et de confiture, j'avais naïvement souri à cette nouvelle. Bien que j'détestais les robes, j'me plus aussitôt à imaginer la dentelle chère qui étofferait la mienne. Oui, à trois ans, j'avais des étoiles crochetées dans les pupilles. Pourtant, plus je grandissais, plus j'angoissais à l'idée de rencontrer l'homme avec lequel j'finirais mes jours. Il m'envoyait des lettres bien conçues, pleines de phrases longues, élancées, et pourtant sans aucun sens affiné. Tu vois l’genre ? Mon optimisme se dégonfla. Peu à peu, mes ongles se rongeaient, mes mèches se mordillaient, l’courrier partait en confettis dans l'immensité de ma chambre. Je désossais moi-même le squelette de mes espoirs. Arrivée treize ans, je craquais et suppliait mes darons d’repousser l'événement « tant attendu ». Bienheureuse de me voir exaucée, je n'oubliais pas que ce jour reviendrait et qu’cette fois-ci, aucune issue ne sera à ma portée. J'aurai voulu oublier, toutefois. J’me serais dévissé le coco pour ne pas penser à cette mouise. Vivre l'instant présent avec extase, chiffonner les papiers de mon avenir dans un brouillard informe d'idées tout autant imprécises. Tu l'as donc deviné : je me suis mise à boire, à fumer.

En racontant son passé, Danaé n'avait plus cette fâcheuse manie de fixer les gens droit dans les yeux, jusqu'à leur faire ressentir un terrible malaise. L'étincelle de son regard certes intacte, son sourire s'avouait plein d'accrocs, de rides fines et de plis mélancoliques. Même les nuages, très hauts dans le ciel, insensibles au terrible vent de glace, n’ébréchaient ce soir-ci la moindre ridelle. Ils s'étiraient langoureusement vers l'horizon, laissant docilement passer les rayons des étoiles entre leurs dentelles fluctuantes.

Les semelles de Danaé crissaient contre le toit. Ses doigts jouaient avec les ongles de ses autres doigts. Ses boucles, écroulées sur ses épaules, ronflaient en frisottant.

 -  Je me suis essayée à beaucoup de choses, on va dire... Le cidre, la vodka, le whisky... Le cigare, la pipe... Le tabac, le pollen de mimosa, et même un peu d'opium – je crois.

 -  Tu cherchais à fuir le futur, à effacer la douleur.

 -  Oui, peut-être, sûrement. Qu'auraient donc pensé mes parents s'ils m'avaient surpris la nuit, le goulot d'une bouteille entre les dents ? Le jour, j'étais plutôt exemplaire, dans le sens où je buvais mon thé le petit doigt en l'air. Mais tant de gueules de plomb, de bois... sans le moindre résultat. A l'aube de mes dix-sept ans, mon fiancé m'a rendu une première visite.

Elle déglutit puissamment. Les étoiles crevant la voûte réfléchissaient celles épinglées à son nez. Julius remarqua alors que cette constellation descendait jusqu'à son cou, coulant en même temps que la salive au creux de son œsophage. C'était joli, discret, émouvant. Un court instant, Julius s'en voulut d'être devenu antiquaire : astronome lui paraissait actuellement comme la clef du bonheur.

 -  Oh oui, qu'il avait une face d'île flottante, le gonze ! s'époumona-t-elle, de la tristesse en fusion dans les yeux, attendant le bon signal pour glisser sur ses joues. Une peau jaunâtre, un peu craquelée autour du regard – comme celle d'un dragon. Je me souviens parfaitement du complet qu'il portait, gris comme la pluie. Et cette rose agrafée à son smoking, captant le rythme bien posé d’son cœur, elle m'évoquait indiscutablement une tache d’sang. Un pétale en tomba en même temps que le silence. « Le comte Cyriac », qu'il se présenta. « Appelez-moi Danaé » que je lui répondis, m'inclinant tristement, sans grâce. Et puis plus rien, nada, que dalle, colifichet. J’ai été gerbée.

Une première larme étala son sel sur l'aile de sa narine droite. L'allumeuse de réverbères l'épousseta aussitôt d'un revers de manche crasseux.

 -  J'ai l'air bête, hein ? dit-elle tandis que Julius demeurait silencieux, bouche et paupières closes. Mais toi aussi, crois-moi, t'aurais chopé la phobie du silence à ma place... D'plus, déjà aplatie par c’calme redoutable, j'étais également écrabouillée par le poids d’son regard me décortiquant peu à peu, détail après détail. Les plis d'anxiété sur mon front, les cernes sous mes yeux, cette dent de travers, ma démarche disgracieuse, mon abominable robe incompatible avec ma corpulence, en s'attardant un admirable temps au niveau de son vaste décolleté. Il sentait la guédouze, l’vaurien. Il la sentait très fort.

L'antiquaire ne répondit toujours pas. Il se rejouait intérieurement la scène ; cette petite Danaé piétinée par la situation, engloutie par l'ombre de ce monsieur apparemment bien plus âgé qu'elle. Cette image l'indignait. Il s'entoura lui-même de ses bras ; le vent, comme ce discours, lui donnait froid.

Il avait toujours connu la jeune femme comme flamboyante d'une force incomparable, friande de l'art d'enjamber chaque souci sans écorchure semée aux genoux. Écrasante par son tempérament. Brillante par sa présence.

Aujourd'hui, en revanche, l'antiquaire réalisait qu'elle en cachait beaucoup, dans les poches de sa salopette. Ce devait être pour cela que ladite salopette semblait un peu trop effilochée : elle était en fait grassement remplie. Ce devait être pour cela que Danaé la portait trop large : elle devait certainement y ranger bien plus de souvenirs que de chair... Et Julius la comprit.

Il la comprit vraiment, cette fois-ci.

Sans doute aurait-il dû parler, lui chanter un bel encouragement de sa voix moins belle à lui, enrouée. Il se savait pourtant incapable d'une telle prouesse, et ce qu'il comptait lui demander, c'était la Lune. Elle et lui blottis dans son croissant. Ils se raconteraient, assis côte à côte, les jambes pendues dans le vide, effleurant doucement les dents des étoiles de leurs orteils, tout ce dont ils n'ont jamais causé, parlé, discuté. Tout ce qui n'a jamais franchi la frontière de leur gorge, ou même de leur cœur. Qui jamais ne fut extrait des abysses de leur âme. Jamais. Ils ne claqueraient pas de la langue pour parler, ils battraient des cils pour s'exprimer. Le silence là-bas sera royal, doux, parfumé et cotonneux ; non pas vide, mais débordant.

Débordant de sensations, de sentiments. D'émotions, en fait. Julius y viderait volontiers chacun de ses flacons.

 

 

 -  Que s'est-t-il passé après ce silence ?

Ce fut finalement les seuls mots qu'il parvint à prononcer.

 -  Il n'y a pas eu d'après. Nous avons échangé quelques banalités, des mots sans cœur qui nageaient d’son silence au mien comme de ridicules poissons-fantômes. Il m’barbote être passionné par le jeu d'échecs et de poker, je répliquais en avouant ma hantise vis-à-vis des robes, escarpins et breloques. Je ris un peu, d'un rire si forcé que je le ravale aussi sec. Après cet entretien, je vole jusqu'à ma chambre, gonflée comme un baudruche qui n'éclata qu'une fois le nez enfoui dans mes oreillers. Normalement, je n’chialais jamais. Ne chiale jamais, se corrigea-t-elle en recueillant sur son doigt une quatrième larme.

 -  Pleurer n'est pas un signe de faiblesse, Danaé. Pleurer, ce n'est qu'évacuer ses émotions – et ça fait du bien. Pourquoi toujours retenir le sanglot ?

Elle ouvrit la bouche :

 -  Je ne...

 -  Mwoo... !

Julius et Danaé tordirent immédiatement leur cou là d'où venait cet étrange bruitage. Qui donc avait osé crevé leur bulle de confessions ?

Mais ce n'était que Loupiote, ironiquement. Cette bonne vieille Loupiote qui, parvenue inexplicablement à soulever le loquet de la lucarne, se faufilait sur le toit comme l'ombre d'un sourire.

Muée par son habituelle souplesse féline, elle se glissa vers les deux compagnons, se nicha une place au creux des bras de Danaé. Julius s'en sentit un peu délaissé. Pourtant, il avait lu quelque part que la présence d'un chat possédait parfois un effet thérapeutique sur les gens trop seuls, trop gris. Était-ce Loupiote et son pelage d'encre qui sauront reconstituer le rose bonbon des joues de la jeune femme ?

L'antiquaire se racla la gorge, fendit les lèvres, ne parla pas. Le ciel s'embrumait un peu trop au-dessus d'eux, les étoiles semblaient s'éteindre une à une, comme les réverbères dans les allées. Quelques allumeurs de réverbères, en effet, équilibrés sur des bicyclettes bien trop étroites pour eux, gambadaient déjà dans les boulevards en sifflotant. Certains paraissaient assez pompettes après la fête, et les vélos ne cessaient de dévier de la route pour s'écraser dans une poubelle. C'était un spectacle bien cocasse, pensa Julius en retenant un rire.

 -  Je suppose donc que tu dois retourner travailler ? fit-il en indiquant d'un index tremblant la foule de falotiers déversée dans les carrefours gildigiens.

Jamais Julius n’aurait voulu fuir l’instant ; la question lui échappa tout de même. Danaé demeura un instant les yeux dans le vague, caressant le chat d'une main mécanique.

 -  Oui, je pense... Boulot, boulot ; pognon, pognon, comme d’hab… Nous nous revoyions bientôt ?

 -  Quand tu veux.

Julius se redressa péniblement – si péniblement en fait que son dos en craqua – ouvrit en grand sa lucarne et entreprit de s'y faufiler sans trop de dommages. Si la nature l'avait doté d'une carrure plutôt baraquée, elle s'était montrée indulgente quant à son poids : le binoclard se tenait long et fin.

Il salua Danaé d’une furtive poussée de sourire, parla pour ne rien dire, bloqua la fermeture de sa fenêtre pour permettre le prochain passage de Loupiote, se déchaussa, se sentit engloutir par ses draps. Ce festival de Noël ne s'était finalement pas du tout écoulé comme prévu. N'ayant pas participer aux différentes activités proposées, il n'avait pas non plus bu le moindre verre avec Danaé en partageant quelque question existentielle. Elle s'était emparée de sa pinte, ils avaient cités des souvenirs.

Le train de ses pensées dérailla longtemps, tant et si bien que Julius en oublia de s'arracher à ses bésicles dorées.

Il sombra enfin lorsqu'il entendit Danaé descendre par la gouttière.

 

***

 

Le lendemain matin déroula son fil routinier gentiment, étape après étape. A peine levé, Julius se fit couler un bain chaud et mousseux, dans lequel il bulla pendant près d'une demi-heure. Les reflets argentés de l'eau donnait l'impression que le ciel et les étoiles d'hier étaient tous tombés dans le bassin. Lorsqu'il s'arracha à son rêve humide après de longs barbotements, l'antiquaire avait la peau si propre qu'elle lui tirait les joues.

Il s'habilla prestement et élégamment, constata que Loupiote n'était pas rentrée, haussa les épaules, actionna sa cafetière. Si son chat n'était pas là pour ronronner, il y aura toujours une machine pour le faire. Il ne s'en émut pas plus, « et puis de toute façon, » se dit-il. « Loupiote menait anciennement une vie de gouttière. Ce n'était pas en une semaine qu'il allait devenir un parfait chat de salon. »

Julius sirota tranquillement son café, adossé au comptoir dans sa boutique. Il devrait vraiment songer à s'armer d'un plumeau, un de ses quatre. Sa main appuyée sur le meuble était déjà grise de suie. Reproduisant le même hoquet d'épaules fataliste, il dissolut un énième sucre dans sa boisson.

Oh que ce matin était doux ! Trop doux, en fait. Julius se sentait marcher comme un astronaute sur la Lune ; ses pieds rebondissaient contre le vieux plancher sans s'écraser. Le moindre de ses gestes voletait, le moindre de ses soupirs ou sourires produisaient un son pareil à un pépiement d'oisillon. Oui, Julius n'avait pas l'impression de vivre réellement, il s'augurait dans une demi-réalité dont il ne recevait que les bonnes saveurs de l'existence. D'où un tel sentiment d'extase ? Un tel goût de sucre, fondu en-dessous de sa langue ?

Julius détenait l'intégralité de cette réponse entre ses mains, sans oser véritablement l'admettre. Pourtant, lorsque la sonnette de l'entrée retentit, qu'elle invita à rentrer la stature délicate d'un cocher assoiffé d'amour, Julius reconnut sans mal à quel point il était expérimenté dans ce sujet.

Il se sentit aisément en capacité d'aider ce monsieur-là.

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noirdencre
Posté le 29/12/2021
J'ai beaucoup aimé les hésitations de Julius, que répondre à une confidence? Comment l'accueillir sans la briser?
Silence, mots maladroits...
Au final il est transporté par ce moment banal en apparence, mais si chargé de sens pour lui.

Je file lire la suite...
Pluma Atramenta
Posté le 30/12/2021
Merci pour ce commentaire !
dodoreve
Posté le 25/11/2021
Coucou Pluma ! Voilà un moment que je manquais de temps sur PA, mais me voici de retour pour lire ton chapitre avec l'intention qu'il mérite.
Avec ce titre, j'ai cru que Danaé et Julius allaient se faire surprendre par une gouttière qui céderait sous leur poids, mais non - et du coup c'est plutôt vers Loupiote que je me reporte, ce chat pour solitude et cette solitude qui peut-être veut démissionner face à la soif d'amour de Julius (j'ai beaucoup aimé cette image finale).

J'ai bien aimé l'instant qui précède la longue explication de Danaé, il m'a semblé bien cristalliser le sentiment de suspension qui domine le chapitre dans son intégralité. Jusqu'au bout je me suis dit "alors c'est ça ?" et je m'imagine que c'est un peu le sentiment que ressentais Julius en phase et déphasé de ce présent lorsqu'il a quitté ces toits.

J'ai aussi l'impression que ce chapitre pourrait signer la fin de la seconde partie, mais la suite me donnera-t-elle raison ? Toujours est-il que je me demande "...Et maintenant ?" et que je le découvrirai avec plaisir la prochaine fois.

Deux petites coquillettes :
"je craquais et suppliait mes darons" suppliais*
"N'ayant pas participer aux différentes activités proposées" participé*

Cette fois je te souhaite de bons bains étoilés, puisque les petites lumières que tu cherches tant sont tombés dans l'eau si présente ici !
Pluma Atramenta
Posté le 28/11/2021
Coucou !

Merci pour ton retour, Dodorêve, qui, comme les précédents, m'applique toujours un peu plus de joie au cœur…
Loupiote pour solitude ? Oh. Ce peut être une idée :)
"J'ai aussi l'impression que ce chapitre pourrait signer la fin de la seconde partie" Tu as tout juste ! Au départ, c'est effectivement avec ce chapitre-ci que j'ai finalement clos la deuxième partie... avant de la retarder encore d'un chapitre. Lorsque je posterais ledit chapitre, je pense que tu comprendras ce qui a motivé ma décision <3

"Cette fois je te souhaite de bons bains étoilés, puisque les petites lumières que tu cherches tant sont tombés dans l'eau si présente ici !" Je suis embarrassée de ne pouvoir répondre que "merci" à des mots et des attentions qui me touchent pourtant si profondément...
Et pourtant... voilà.

"Merci"
<3
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