Elle a les yeux azur,
Je l’ai vu,
Pourvu que ça dure,
Même dans la rue,
Elle reste bonne et intègre,
Jamais disparaître,
Des fois,
On ne doit naitre
Que pour avoir foi
De dépasser les règles
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De par la foi,
Nous croyons,
En toi
Et répandant
Ton amour,
Tu sors,
Du four,
La mort,
Elle-même,
Tu la sauve,
Ce qui la rend blême,
Tel un fauve qui aime,
Retrouvez-la Foi.
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Nous voulons le toucher
Qu’il revienne nous enseigner,
On en a besoin,
D’apprendre à aimer,
De prendre soin
Des autres,
Fini le chacun pour soi,
Ce n’était pas leurs fautes,
Retrouvez la Foi.
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Je suis différent,
Pas comme vous,
Vous me l’avez défini,
Je suis sans
Logique tel le fou,
Du roi à l’hôpital,
Je suis fatal.
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Je ne suis point pareil,
Telle la fleur qui fane,
Je veille
A quelle âme
Pour retrouver,
Mon repos,
Terminer
Avec la faux.
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A toi les Gloires de France,
A toi nos amours,
Qui remplissent nos panses
Autour
D’un festin,
De toi,
C’est la fin,
D’un roi.
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Je me prenais pour Baudelaire
Toi pour Casanova
Ah ! Tu savais y faire
Aborder les jeunes filles
Tu leur faisais les yeux de chat,
Moi l’ai fier,
Tel Baudelaire,
Je parle du Corse
Avec haine
Avec force
Cela me peine.
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L’ombre des Bassiere
En 1700
Le commandeur
De cent hommes
De la légion d’honneur
Les canons tonnes
Ça ne me fait pas peur
Comme mon ancêtre.
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J’écris ce poème,
De ce pays que j’aime tant,
Tel un bohème
Rester enfant.
Ce pays dont on ne parle plus
Mais qui fut
A l’origine du crépuscule de l’Ouest
L’agriculteur à la terre,
Féru de vers.
Tout y est vert,
Des campagnes aux villes,
Les moutons,
On les files,
Tels qu’ils font
Depuis les landes,
Celle d’Irlande.
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La mort n’est pas une fin
Mais la justice est rendue
Elle te prend par la main
Et elle te tue
Ce n’est pas une fatalité
C’est la mort
Pour l’éternité
Le silence est d’or.
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Il a donné sa vie
Pour cet endroit
Pour qu’on le glorifie,
Non pour ça,
Non pour le remplacer,
Par quelques maisons bien notées.