Il y a une nuit qui n’a jamais de ciel,
A l’abri sous nos tuiles, qui pourrait le croire ?
Que là-haut, du goudron, d’un noir artificiel,
Déverse sur la ville une triste mémoire.
Il y a une nuit, toute pleine d’espoir,
Où l’étoile scintille d’une beauté nouvelle,
Où la couleur des astres se fait le miroir,
Du bonheur enivrant d’une joie immortelle.
Merci pour ta lecture et tes avis!
Je te réponds pour tous sous ce commentaire car il me fait très plaisir! Je trouve qu'il fait bien écho aux aspects que j'ai essayé de donner au recueil et au roman qui va avec!
Encore merci d'être passé par là et d'avoir pris le temps de commenter!