Repousser l’inévitable est une véritable perte de temps
C’est courir à contretemps tout en allant à contresens
J’ai peur d’être incapable de conter la fable de Léandre
M’asseoir dans ce beau champ, déambuler dans ses méandres
C’est comme ça quand on prie et qu’on est vraiment lent
Je me prépare pour la morgue en priant pour rester vivant
Un passé si virulent dégoulinant de peurs nonchalantes
La journée était si bonne que la nuit me paraît menaçante
Une voix beaucoup trop criante que personne n’entend
Des échos alarmants qu’on perçoit de temps en temps
Certains conseillant quand d’autres ne sont conciliants
La nuit est le plus beau temps, ce pacte nous reliant
Je ne sais pas distinguer l'imaginaire de la réalité, des appels au secours ? Je ne sais pas.
Ce qui dérange, remue parfois des choses et c'est bien comme ça.
j'ai trouvé un texte, il y a quelques jours qui sonnait comme une annonce de suicide, très perdurbant. J'ai hésité à laissé un commentaires.