Je ne pensais pas un jour qu'ils pourraient m'abandonner.
D'une naïveté sans nom, à 16 ans, mes parents et moi, nous nous baladions en voiture sur une petite route de campagne. Nous rigolions, et riions. Et rien, ni personne ne pouvait éteindre ce feu de joie, que nous entretenions depuis tant d'années. Enfin c'est ce que l'on croyait.
Émerveillée par la beauté du paysage avec le soleil couchant, je ne voyais, ni la preneuse d'âme s'avançant vers nous, ni les Banshee me hurlant de partir, moi et ma famille, loin de ce drame qui s'avançait à l'horizon.
Souriante et heureuse, je chantais gaiement avec mes parents.
Plus tard, je m'étais dit que j'aurais dû voir les signes annonciateur d'un tel désastre, que j'aurais dû les sauver.
Le soleil ne voulant pas être témoin d'un tel désastre et d'un drame familial, il se coucha très rapidement.
En quelques minutes, la nuit avait pris sa place. Elle était habitué à ses accidents mortels. Mais ne pouvant cacher sa peine, une pluie torrentielle s'abatta sur la route champêtre.
" Ma chérie dit ma mère, tu peux appeler Grand mère ? Il fait un temps horrible et je veux la prévenir de notre retard. "
J'obtemperai, et commençai mes recherches dans mon téléphone.
Mon père, lui, chantonna doucement une chanson de sa composition. Ma mère le regarda et sourit. Puis chanta avec lui.
Leur voix s'accordaient incroyablement bien. C'est d'ailleurs comme ça qu'ils s'étaient connus.
Lui, était pianiste à Paris. Elle, chanteuse.
Ils s'étaient rencontrés dans un café miteux où mon père jouait. Le propriétaire avait déploré le fait qu'une voix n'accompagnait pas ce, si bon pianiste.
Ma mère se leva, monta sur scène et chanta avec lui. Depuis ils ne s'étaient plus quitté. Mon père avait dit qu'il était tombé amoureux d'elle dès qu'elle avait commençait à chanter.
Puis tout disparu. La voiture partit sur le bas côté, et se renversa en se coinçant dans un fossé, après plusieurs roulés-boulés.
Ma dernière vision d'eux, était mon père et ma mère se regardant amoureusement et chantant en choeur.
Je me réveillai, les pieds coincés et la tête à l'envers. Je n'entendais plus rien à part un bruit suraigu, me perçant les tympans.
À l'avant mes parents étaient couvert de sang. Ils se réveillèrent un peu.
- Sort ! Dit mon père.
- Vite sort d'ici ma chérie, dit ma mère.
Petit à petit je rampai contre les débris de verre. Et réussi à m'extraire.
Quand j'eus été sortie.
Je hurlai à mes parents de sortir, mais avant d'avoir pu finir ma phrase, la voiture explosa, et je fus projetée à des mètres de là.
Quand je me réveilla, j'étais à l'hôpital couverte de bandages de la tête aux pieds. Ma grand mère à mon chevet. Je n'arrivais pas à prononcer un mot, je gigotais mais des infirmières arrivèrent et me tenirent fermement.
"Ou... Pa... Ma ? Demandai-je "
Ma grand mère qui me tenait la main mais avait les yeux baissés, leva les yeux vers moi. Ils étaient rempli de larmes et étaient rouge.
"Je.... Désolé" Dit elle.
À ses mots, je compris que j'étais seule, et que jamis je ne pourrai revivre. Je ne savais plus quoi faire, la douleur était beaucoup trop immense, elle était insupportable, et insurmontable.
Dans tout l'hôpital, on entendit un cri.
Un horrible et terrible cri de désespoir.
En revanche, ayant vu beaucoup de petites choses (très très minimes, mais qu'il faudrait corriger), j'ai pris la liberté de réécrire le texte. Je l'ai gardé mot pour mot mais en le corrigeant. Je ne suis pas prof de français - il y aura sans doute encore des erreurs - mais c'est déjà ça. J'espère que tu ne m'en veux pas... J'ai mis en majuscule toutes les corrections, alors voilà :
Je ne pensais pas qu'ils POURRAIENT m'abandonner un jour.
D'une naïveté sans nom, à 16 ans, mes parents et moi, nous nous baladions en voiture sur une petite route de campagne. Nous rigolions, et RIIONS. Et rien, ni personne ne pouvait éteindre ce feu de joie, que nous entretenions depuis tant d'années. Enfin c'est ce que l'on croyait.
Émerveillée par la beauté du paysage, le soleil couchant, je ne voyais ni la preneuse d'âme S’AVANÇANT vers nous, ni les Banshee me HURLANT de partir, moi et ma famille, loin de CE drame qui s'avançait à l'horizon.
Souriante et heureuse, je chantais gaiement avec mes parents.
Plus tard, je m'étais dit que j'aurais dû voir les signes annonciateurS d'un tel désastre, que j'aurais dû les sauver.
Le soleil ne voulant pas être témoin d'un tel désastre et d'un drame familial, il se coucha très rapidement.
En quelques minutes, la nuit avait pris sa place. Elle était habitué à ses accidents mortels. Mais ne pouvant cacher sa peine, une pluie torrentielle s'abatta sur la route champêtre.
- Ma chérie, dit ma mère, tu peux appeler Grand mère ? Il fait un temps horrible et je veux la prévenir de notre retard. "
J'OBTENPERAI, et COMMENÇAI mes recherches DANS mon téléphone.
Mon père, lui, chantonna doucement une chanson de sa composition. Ma mère le regarda et sourit. Puis chanta avec lui.
Leur voix s'accordaient incroyablement bien. C'est d'ailleurs comme ça qu'ils S'ETAIENT connuS.
Lui, était pianiste à Paris. Elle, chanteuse.
Ils S'ETAIENT rencontrés dans un café miteux où mon père jouait. Le propriétaire AVAIT DEPLORE le fait qu'une voix n'accompagnait pas ce si bon pianiste.
Ma mère se leva, monta sur scène et chanta avec lui. Depuis ils ne s'étaient plus quitté. Mon père avait dit qu'il était tombé amoureux d'elle dès qu'elle avait commençait à chanter.
Puis tout disparuT. La voiture partit sur le bas côté et se renversa en se coinçant dans un fossé, après plusieurs ROULES-BOULES.
Ma dernière vision d'eux FUT mon père et ma mère se regardant amoureusement et chantant en chœur.
Je me RÉVEILLAI, les pieds coincés et la tête à l'envers. Je n'entendais plus rien à part un bruit SURAIGU, me perçant les tympans.
À l'avant, mes parents étaient couvert de sang. Ils se réveillèrent un peu :
- SORT ! DIT MON PÈRE.
- VITE SORT D'ICI MA CHÉRIE, DIT MA MÈRE.
Petit à petit, je RAMPAI contre les débris de verre. Et réussiT à m'extraire.
Quand j'eus été sortiE, Je HURLAI à mes parents de sortir, mais avant d'avoir PU finir ma phrase, la voiture explosa, et je fus projetée à des mètres de là.
Quand je me réveillaI, j'étais à l'hôpital, couverte de bandages de la tête aux pieds, Ma grand-mère à mon chevet. Je n'arrivais pas à prononcer un mot, je gigotais mais des infirmières arrivèrent et me tenirent fermement.
- Ou... Pa... Ma ? DEMANDAI-je.
Ma grand-mère, qui me tenait la main mais avait les yeux baissés, leva les yeux vers moi. Ils étaient rempliS de larmes et étaient rougeS.
- Je.... Désolé, dit elle.
À Ces mots, je compris que j'étais seule, et que
JE N'AVAIS JE NE POURRAI revivre. Je ne savais plus quoi faire, la douleur était beaucoup trop immense, elle était insupportable, et insurmontable.
Dans tout l'hôpital, on entendit un cri.
Un horrible et terrible cri de désespoir.
Alors voilà. A l'avant-dernier paragraphe, j'ai mis une tournure bizarre en majuscule. A toi de voir comment tourner ça, moi je ne peux pas t'aider. Pour ce qui est des dialogues, tu peux les écrire avec des guillemets, mais c'est beaucoup plus compliqué. Mais si tu n'aimes pas avec les tirets, tu peux les garder :-)
ça m'a fait plaisir de pouvoir t'aider, même un minimum.
Bien à toi
A.
J'aime beaucoup ce premier chapitre (assez tragique tout de même) et j'ai hâte de voir où cet accident va mener l'héroine, je poursuis la lecture !