- Attendez !!! Je tient à ma vie, alors dans les deux cas c'est pareil. Mon frère est infiltré dans le château avec des hommes de mains !! Je risque ma vie... Me laisser pas ici tous seul sinon il va venir...
- T'aurais dû réfléchir à ça avant de devenir complice !!
C'était Alix il avait l'air plutôt énervé, mais ce n'était pas le seul. Personne ne pardonnera Andrew, mais on ne pouvait pas le perdre.
- Du calme petit, hey monsieur l'infiltrer tu crois aller où ?
Mon père n'avait pas changé, il avait su se faire une place ici. Ça ne m'étonne pas de lui, nous avions mis en sécurité Andrew dans une pièce tous seul mais nous étions à côté de la pièce pour voir si quelqu'un allait arriver. Alix était parti chercher des informations sur le frère d'Andrew. On entendit quelqu'un rentrer il dit :
- J'ai un message pour toi.
« Je t'avais épargner car tu pouvais mettre utile, mais tu m'a trahis. Tu sais quoi maintenant la personne que tu voulais protéger ainsi que ce royaume ne le sera plus. La princesse sera mienne, et tu ne pourras rien y faire. Ainsi que la reine tu m'avais dit de ne pas lui faire du mal, tu m'a fais changé d'avis. Tu es aussi débile que ta mère, comment nôtre père à pu tombé amoureux de cette femme. Le pire dans tous ça c'est que tu as fait souffrir ma mère, c'est toi la cause de son suicide. »
Est-ce que il à était forcé ? Bien sûr c'était un piège pour attraper le messager. La tête du messager était hilarante, il ne s'attendait pas à se faire prendre. Il était petit et roux, mais il était agile. Nous l'avions emprisonné au donjon, il était attaché au poignet par les mêmes chaînes qu'avait Andrew. La seule chose que nous avons obtenu du messager était « Méfier vous des personnes les plus proches de vous »
Mon père m'a dit de le suivre pour me présenter à son clan. Il avait un autre consigliere il devais avoir dans la vingtaine. Il était plus petit que moi, ses yeux bleus me regardait d'une façon qui disait « dégage ». Mon père donnait des ordres à ses hommes tandis que j'étais seul avec mon remplaçant, il finit par m'adresser la parole mais sur un ton qui me déplaisait. Il me prenait de haut, et je déteste ça.
- Hey le nouveau, t'es qui.
- Je suis le fils de ton patron abruti.
- Tu lui ressembles pas arrête de mentir.
Il avança vers moi, il ne me fait pas peur. Il essaya de me choper par le col, mais je me décala plus à gauche. Tandis que je lui prit le bras et lui retourna, un craquement d'os se fit entendre. Il tomba à genoux devant moi, je m'approcha de son oreille et d'un ton assez gentil mais qui sous-entendait la mise en garde. Je lui chuchotât :
- Ohhh tu veux qu'on règle ça devant lui ? Et je te signalerais que ce n'est pas obligé que je lui ressemble physiquement pour être son fils. Et j'ai la même couleur d'yeux que lui.
Je ne ressemblais pas à ma mère elle était rousse aux yeux bleus. Plutôt petite, tandis que j'étais châtains foncés, aux yeux verts et grand.
Je le lâcha, et parti voir mon père il venait de finir sa réunion.
- Il s'appelle comment l'autre ?
- Ohh je sais plus je crois que c'est Adrien, je prévois de le dégager j'ai juste fait une faveur à quelqu'un. Il est con en plus ce gosse.
- Il à quelle âge ?
- dix-neuf ans
- Il est déjà méga prétentieux. J'ai envie de lui refaire la face à cette petite merde.
- Tu va t'abîmait le cartilage de la main, si tu continue à te serrer la main comme ça.
On était dans un manoir la façade blanche en pierre était bien entretenue, en arrivant j'avais remarqué une grande salle toute à droite en verre. Il devait s'y trouvé un grand bain. L'allée principale se trouvait entretenu des fleurs étaient présentes ainsi que de fontaines en son centre.
Nous étions dans son bureau, en face de moi se trouvait le bureau de mon père. À ma gauche, se trouvait l'armoire en verre à alcool. Devant l'armoire se trouvait un salon, un grand canapé se trouvait en face ainsi que sur le côté gauche et droit se trouve un fauteuil. Je m'assois sur le fauteuil de droite tandis que mon père se servait un verre de whisky.
- Hey fils, tu veux du whisky ?
- Ouais, je veux bien.
Il me servis un verre, et me le donna.
- La femme brune tu la connais ?
- Qui Lily ?
- Pas elle mais faudra aussi que tu m'explique de comment tu la connue.
Il avait un sourire en coin, s'était moqueur. Mais je me sentais à l'aise avec lui.
- Tu parles donc d'Eliénor ?
- La princesse.
- Oui c'est elle.
- On m'a dit que son frère, à fait une scène car tu voyais pas qu'elle te kiffe.
- J'ai compris, mais pourquoi les gens devraient décider à ma place ?? J'étais déjà avec...
Je sentit des larmes roulaient sur mes joues, j'essayais de ne pas émettre de bruit. J'aurais aimé la retenir, je suis trop bête. Pourquoi elle et pas moi ?? Pourquoi devrais-je continuer à vivre sans elle. Tous ce qui se passe c'est à cause de moi, c'est moi la cause du malheur de tous le monde. Ma vision devenait de plus en plus trouble, mes larmes ne s'arrêtaient plus. Mon père sirotait son verre de whisky, il s'approcha de moi il mit son bras autour de mon cou ça fit basculer ma tête contre son torse. Il n'était pas fort pour montrer ses émotions ni consoler, mais qu'il fasse ça me réconforte sans savoir pourquoi.
- Tu sais, j'ai perdue mon première amour aussi. Je devais la rejoindre devant le cinéma, mais mon mentor l'ancien chef de la mafia du secteur numéro 5. M'a retenu je suis resté et l'ai laisser toute seule devant ce cinéma, j'avais des ennemis comme maintenant mais ce que je ne savais pas c'est qu'ils savaient que c'était ma copine...
C'était la première fois qu'il se confiait, c'était quelqu'un d'assez mystérieux.
En levant la tête je lui demande.
- Il lui ai arrivé quoi ?
- Elle m'avait appelée plusieurs fois.
Il prit une grande gorgée de whisky.
- Je n'ai jamais répondu, et comme elle continuait quand même j'ai éteint mon téléphone. Le lendemain matin, au info la femme avec qui j'imaginais ma vie.
Les muscle de sa mâchoire se contractaient tellement fort. Ça se voyait qu'il s'en voulait, comme moi.
- Ses bâtard l'ont violé, dans une ruelle.
Il déglutit, ses yeux paraissaient plus foncés plus féroces.
- Je suis désolé papa...
- Ce n'est pas de ta faute.
Il regardait dans le vide, sans jamais me regarder dans les yeux.
- Ce n'est pas tous, ils l'ont battue.
Une larme s'échappa de son œil droit, je l'avais jamais vu comme ça auparavant...
- Comment t'a fait ?
Je renifler, ma voix tremblait je ne la connaissait pas. Mais le faire pleurer était quasiment impossible. Ça devait être une fille incroyable...
- Comment j'ai fait quoi ?
Il venait de baisser sa tête vers moi, son regard était presque brûlant pour moi.
- Comment t'a fait pour surmonter ça...?
- Comment j'ai fait hein...? Elle s'appelait Nelly, s'était vraiment un ange. Première de sa classe, fille aînée d'une famille de pâtissier. Elle voulait pas que j'ai des ennuis, elle m'aider pour mes cours grâce à elle j'ai pus avoir le bac. Elle est morte quand j'étais en terminale...
Il laissa un blanc de plusieurs minutes, il reprit et dit :
- J'ai continué à vivre pour elle. Pour elle pour exaucer un de ses vœux les plus chère celui d'avoir mon bac, j'ai étais voir le premier de ma classe après ça. J'étais là terreur de mon lycée, il croyait que j'allais le tabasser. Je lui ai dit « aide moi, pour les cours » s'était juste après un cour moi qui séchais les cours habituellement. Tous le monde me regardait, juste après ça j'ai dut arrêtais de sécher. Jusqu'au jour à la remise des diplôme où un con m'a énervé.
- Il avait fais quoi ?
- Il avait dit « Vous savez que il la laissait crever, elle l'a appelée plus de dix fois mais ce mec fessait encore ses truc illégal » il devait faire un discours de base. Je suis monté sur scène je l'ai choper et lui ai mis mon poing dans sa gueule, il a eu le nez casser. Ensuite il est tombé à genoux et je l'ai tabassée jusqu'à ce qu'il crache du sang.
- C'était un gros con !
- Tous ça pour te dire que ton père te comprends. Si t'a besoin je suis là.