Je suis un auteur dilettante sans aucune formation littéraire. J’ai d’ailleurs très peu étudié, mais j'ai vécu et j'en ai appris quelque chose. Je me considère même plutôt comme un raconteur d'histoires que comme un auteur.
Mon écriture n’a pas cours dans les salons des éditeurs, et si dans ma jeunesse lointaine il m'est arrivé de rêver de voir mon nom sur la couverture d'un ouvrage dans les librairies, mes illusions se sont rapidement dissipées. Comme le disait Jorge-Luis Borges, « J’écris pour moi, pour quelques amis et pour adoucir le cours du temps » ; et désormais pour vous s'il vous sied de me lire.
J'ai une préférence très marquée pour le texte court et je me laisse parfois tenter par la rédaction de poèmes.
Comme une dépendance de mon écriture, je nourris une passion pour ma langue maternelle, la langue française, qui a bien besoin qu’on s’occupe d’elle en ces temps difficiles où se développent la culture et la pensée uniques.