J'ai bien aimé cette scène au bar, au début du chapitre. Un petit côté Amélie Poulain dans l'idée des habitués solitaires. Je suis sensible à la solitude d'Ulysse.
La visite des parents m'a intéressée aussi, mais j'ai trouvé ça un peu court vu le trajet qu'ils ont à faire. Quant à la scène finale avec Yacine, le sommet de la tension est atteint et je trouve ça intéressant, mais les deux garçons me paraissent particulièrement échaudés, peut-être trop. J'ai l'impression que dans une dispute entre des amis unis par un lien si ancien, il y a quand même toujours l'idée flottante de se réconcilier, de préserver quelque chose. Alors bien sûr ils sont en colère, ils se lancent des fions, c'est compréhensible, mais aucun d'eux ne tend aucune perche à l'autre pour calmer le jeu, et ça me surprend.
J'ai aussi l'impression d'avoir loupé quelque chose quand le père d'Ulysse lui dit qu'il n'a jamais trop aimé Yacine. Y avait-il une raison particulière à ça dans les premiers chapitres ? Ma lecture est récente mais je me suis demandé...
Quelques remarques encore :
- "elle échappe même un petit « oh » indigné." > elle laisse échapper
- "Bienvenus à Paris !" > on dira soit "Soyez les bienvenus à Paris" soit "Bienvenue à Paris"
- "me laissant seul avec mon père sur le trottoir pour ce que je m’attends être un bref salut de la main." > souci de syntaxe (pour ce que je m'attends être...)
J'avais hésité à l'écriture à montrer Ulysse tenter d'écrire à Yacine... Je vais réfléchir à cela. Je comptais m'atteler prochainement justement au retravail de l'axe Yacine.
Quant au père, aucune raison donnée dans les premiers chapitres en effet. C'est une chose délicate à dire pour un parent, et même si le père et le fils ne sont pas assez proches pour parler des problèmes, le père s'est bien rendu compte qu'il y avait un souci, alors à la dernière minute, après n'avoir pas réussi à en parler avec profondeur, il le met en garde à sa façon.
La scène avec les parents, en effet, j'ai dégagé un bon axe de réécriture sur les dialogues, où certains chapitres méritent de l'huile de coude pour que ces échanges apportent une vraie plus-value et densifient les scènes
La visite des parents m'a intéressée aussi, mais j'ai trouvé ça un peu court vu le trajet qu'ils ont à faire. Quant à la scène finale avec Yacine, le sommet de la tension est atteint et je trouve ça intéressant, mais les deux garçons me paraissent particulièrement échaudés, peut-être trop. J'ai l'impression que dans une dispute entre des amis unis par un lien si ancien, il y a quand même toujours l'idée flottante de se réconcilier, de préserver quelque chose. Alors bien sûr ils sont en colère, ils se lancent des fions, c'est compréhensible, mais aucun d'eux ne tend aucune perche à l'autre pour calmer le jeu, et ça me surprend.
J'ai aussi l'impression d'avoir loupé quelque chose quand le père d'Ulysse lui dit qu'il n'a jamais trop aimé Yacine. Y avait-il une raison particulière à ça dans les premiers chapitres ? Ma lecture est récente mais je me suis demandé...
Quelques remarques encore :
- "elle échappe même un petit « oh » indigné." > elle laisse échapper
- "Bienvenus à Paris !" > on dira soit "Soyez les bienvenus à Paris" soit "Bienvenue à Paris"
- "me laissant seul avec mon père sur le trottoir pour ce que je m’attends être un bref salut de la main." > souci de syntaxe (pour ce que je m'attends être...)
J'avais hésité à l'écriture à montrer Ulysse tenter d'écrire à Yacine... Je vais réfléchir à cela. Je comptais m'atteler prochainement justement au retravail de l'axe Yacine.
Quant au père, aucune raison donnée dans les premiers chapitres en effet. C'est une chose délicate à dire pour un parent, et même si le père et le fils ne sont pas assez proches pour parler des problèmes, le père s'est bien rendu compte qu'il y avait un souci, alors à la dernière minute, après n'avoir pas réussi à en parler avec profondeur, il le met en garde à sa façon.
La scène avec les parents, en effet, j'ai dégagé un bon axe de réécriture sur les dialogues, où certains chapitres méritent de l'huile de coude pour que ces échanges apportent une vraie plus-value et densifient les scènes