Coucou ! Beaucoup d'événements dans ces deux derniers chapitres. Je ne sais pas encore quoi penser du passage au bar et dans la boîte, avec la drogue, Nina et tout ça. C'est une pente très glissante pour Ulysse, c'est clair, mais tout dépend de la façon dont la boîte (à commencer par Nina, donc) va gérer ça. J'ai eu l'impression qu'ils étaient plutôt sympas avec Ulysse, à lui proposer sans lui mettre la pression, et que c'est lui, peut-être par désir de conformité (ou autre chose ?) qui s'élance là-dedans.
La confrontation avec Yacine est essentielle. J'ai bien aimé aussi entendre sa discussion avec Tony au chapitre précédent. Mais celle-ci a fait émerger une question : pourquoi Ulysse et Yacine ne se sont rien dit mutuellement au sujet d'Angélique ? C'est un pré-requis de l'intrigue, afin que la nouvelle soit un choc pour Ulysse, et pourtant ils sont si proches, et il me semble me souvenir de passages disant qu'ils se disaient tout, alors je me demandais si tu avais pensé à une justification. Ce qui m'est venu en tête, c'est que peut-être (étant des garçons jeunes et encore peu expérimentés) ils pourraient avoir eu honte de s'en parler parce que, par exemple, Angélique ne correspondrait pas à l'archétype de la fille dont on tombe amoureux. Je lui imagine un petit défaut physique, par exemple. Enfin je ne sais pas, mais vu la tension qui s'installe entre les deux amis à cause de tout ça, ça me paraît important que la base soit très solide.
Concernant l'altercation elle-même, ça m'a étonnée que Yacine aille jusqu'à lancer un verre contre le mur, même s'il est très en colère. Comme sa colère est légitime, je trouve que les reproches suffisent. Le fait de lancer le verre évoque une instabilité du personnage, ce qui correspondrait plutôt à Ulysse.
Une petite remarque : "Bien joué, lancé-je à Angélique" > le prénom devrait être Nina.
Concernant le fait de parler d'Angélique, je travaille en réécriture sur pousser un peu plus loin certains dialogues pour que cette révélation paraisse plus "achevée" dans leur ressenti. Les garçons, c'est souvent assez pudique sur les sentiments mais il faut que je fasse attention dans cette fin qui monte crescendo à ce que certains détails comme celui-ci soient plus "finalisés".
Et pour l'altercation, je te rejoins. Je me revois l'écrire et me dire que quand même, ça me dérangeait un peu, j'ai relégué le problème à plus tard et je ne suis pas étonnée qu'il paraisse sortir un peu des clous du personnage.
La confrontation avec Yacine est essentielle. J'ai bien aimé aussi entendre sa discussion avec Tony au chapitre précédent. Mais celle-ci a fait émerger une question : pourquoi Ulysse et Yacine ne se sont rien dit mutuellement au sujet d'Angélique ? C'est un pré-requis de l'intrigue, afin que la nouvelle soit un choc pour Ulysse, et pourtant ils sont si proches, et il me semble me souvenir de passages disant qu'ils se disaient tout, alors je me demandais si tu avais pensé à une justification. Ce qui m'est venu en tête, c'est que peut-être (étant des garçons jeunes et encore peu expérimentés) ils pourraient avoir eu honte de s'en parler parce que, par exemple, Angélique ne correspondrait pas à l'archétype de la fille dont on tombe amoureux. Je lui imagine un petit défaut physique, par exemple. Enfin je ne sais pas, mais vu la tension qui s'installe entre les deux amis à cause de tout ça, ça me paraît important que la base soit très solide.
Concernant l'altercation elle-même, ça m'a étonnée que Yacine aille jusqu'à lancer un verre contre le mur, même s'il est très en colère. Comme sa colère est légitime, je trouve que les reproches suffisent. Le fait de lancer le verre évoque une instabilité du personnage, ce qui correspondrait plutôt à Ulysse.
Une petite remarque : "Bien joué, lancé-je à Angélique" > le prénom devrait être Nina.
Concernant le fait de parler d'Angélique, je travaille en réécriture sur pousser un peu plus loin certains dialogues pour que cette révélation paraisse plus "achevée" dans leur ressenti. Les garçons, c'est souvent assez pudique sur les sentiments mais il faut que je fasse attention dans cette fin qui monte crescendo à ce que certains détails comme celui-ci soient plus "finalisés".
Et pour l'altercation, je te rejoins. Je me revois l'écrire et me dire que quand même, ça me dérangeait un peu, j'ai relégué le problème à plus tard et je ne suis pas étonnée qu'il paraisse sortir un peu des clous du personnage.