Flash-back :
— Rizotto! Tu veux mon doigt ?
— Oui. C’est ce que je t’ai demandé, Patober.
— Mais… euh… pourquoi ?
— Fais-moi confiance.
— Non.
— Comment ça ?
— Je ne te fais pas confiance.
— Ah bon ?
— Ne fais pas l’étonné ! C’est pour cela que j’ai demandé à te voir. Je veux savoir si tu m’as menti quand nous étions ensemble. Notre relation n’est qu’un chemin encerclé à l’infini. Il faut que cela s’arrête. Est-ce que tu m’as trompé ?
— Je te demande ton doigt. Cela veut tout dire.
— Attends, Rizotto… Ce n’est pas ma main que tu veux plutôt ? Tu es en train de me demander en mariage ?
— Je veux ton doigt. Ce n’est pas grand-chose, Patober.
— Je rêve !
— Non, tu ne rêves pas.
— C’est trop. Nous sommes séparés, je te rappelle.
— Dans ma poche, j’ai une bague. Donne-moi ton doigt et elle est à toi.
— Je n’en veux pas.
— Nous aurons toute la vie devant nous.
— Non, merci.
— Tu en es certain ?
— Tu refuses de m’avouer la vérité, d’admettre que tu m’as trompé durant notre relation. Je n’ai plus confiance en toi. Je suis catégorique.
— Je ne cesserai jamais de me battre pour toi. Pour nous.
— Cesse.
— Donne-moi ton doigt, s’il te plaît.
— Cesse tout de suite.
— Non.
— Je ne changerai jamais d’avis. Il n’y a aucun espoir. Plus rien. Tu n’auras ni ma main, ni mon doigt.
— Non…
— C’est même la dernière fois que nous nous parlons.
— Non, Patober. Pitié… Ne fais pas ça…
— Tu ne me laisses pas le choix.
— Bon, d’accord. Oui, j’avoue que je t’ai déjà menti… Je n’ai pas été honnête avec toi. Mais, je vais changer. Je te le promets.
Patober n'a pas fini d'être secoué de partout...
Mais, sérieusement, cette jolie petite histoirette, nous réchauffe vraiment. Encore merci pour ce si beau moment de plaisir Dédé. Toujours aussi intéressante, ton histoire.
Merci pour ce gentil message, comme toujours.
Je m'emporte peut-être, mais ce n'est pas pour desservir à mon intérêt face à cette histoire.