ARIA XANTHALIN THILRA LETHANER

Je me souviens quand je n'étais encore qu'une enfant, tout le monde se jetait à mes genoux pour s'attirer les faveurs de mon clan, tous sans exception me léchaient les bottes et moi je les regardait avec mépris car mes parents me disaient toujours que ce qui est à mes pieds ne représente rien et que je pouvais les écraser, je croyais que mon petit paradis allait durer éternellement. Le jour où tous les enfants de mon âge allaient dans les sanctuaires où églises, mes parents m'emmenèrent dans le sanctuaire du clan avec mes frères, et mes cousins ce fut mon père chef du clan Lethaner qui nous conduisait jusque devant les dieux. Mon grand frère le futur chef de clan passa mais il n'eu la bénédiction que d'un Zethanor plus précisément celui de la chasse Xetha Ravor sa bénédiction lui permis d'avoir une vision accrue, le deuxième fils de mon père passa lui je ne l'ai jamais considérer comme mon frère parce qu'il était toujours à mes pieds fut surement le plus chanceux de nous tous devint l'aurath Tactumex dieu de la stratégie qui était un Zalonox, il lui accorda un don qu'il appela l'œil de la tactique. Ensuite mes cousins passèrent quand ce fut mon tour la seule fille de la famille tous voulaient que je n'ai qu'une bénédiction de Zethanor mais à leur grand désarroi, je fut choisi pas par un Zalanox à mon grand regret mais par un Xanorix celui de la forêt Sylvorik Waz qui me donna un contrôle sur certaine variété de plantes à part mon faux frère et moi personne dans le clan n'eu de don magique. Quelques temps après ça la rumeur selon laquelle l'héritier de notre clan n'avait même pas reçu de don et la honte commença à tomber sur notre clan au bout de trois mois de honte mon père se suicida et ma mère sombra dans le chagrin mon premier frère essaya tant bien que mal de sauver notre famille mais ce fut sa plus grande erreur aussitôt qu'il prit les rênes du clan, les critiques se firent de plus en plus rude les autres clans de la région ne voulaient plus s'allier à nous de peur d'être la honte de tout le royaume. Des hommes du royaume vinrent chez nous pour nous dirent que notre père pendant son règne à contracté des millions en dette que le royaume allait déduire de nos bien, à la fin de leur contrôle et de leur prélèvement ma famille fut jeté hors de ses propres terres, moi la personne qui ne pouvais pas vivre sans esclave réduit à cette vie que j'ai toujours haï. Mon deuxième frère grâce à sa bénédiction s'enrôla dans l'armée et moi je fus contraint à m'occuper de toute ma famille en vendant des fleurs. Les filles de notre clans qui étaient déjà mariées furent jetées comme de vulgaire chiffons et ceux qui étaient montés en grade dans la société avaient renié tous les autres. Et moi dans tout ça je passa de petit chérie à mère travailleuse, en parlant de ma mère lorsqu'on vint prendre les biens de notre famille, elle s'enfuit nous laissons derrière. Quelques temps plus tard le roi fît passer le décret selon lequel tous les aurath du royaume devaient se rendre à la caserne du château mon cœur s'emballait car les boulets dont je m'occupais me lâcheraient mais quand j'ai pensé au fait que je recroiserai se traitre qui me servait de grand frère ma haine pour lui revint subitement. Je me préparais pour aller au château quand mon frère cette raclure qui depuis son intégration ne s'occupait plus de nous vint nous voir pour nous annoncer de mauvaises nouvelles la première fut celle du remariage de notre mère avec un seigneur d'un pays voisin la seconde fut celle d'un complot visant à détruire notre famille car elle connaissait un secret qui ne pouvait être divulgué et que ce fut un noble de la cours royale qui abusa de ses pouvoirs pour faire tomber ses ennemis mais malgré ses enquêtes dans la garde il ne pouvait pas désigner lequel des conseillers du roi était la cause de tous leurs malheurs. Après quelques heures de discussion, nous partîmes pour la caserne où je vis dans quel condition vivait mon frère celui que j'ai haï tous ce temps sans savoir ce qu'il subissait. A cause du nom sali de notre clan plus personne ne voulait devenir proche de nous. Depuis ce jour j'ai eu une haine viscérale contre celui qui à causer notre ruine et j'ai juré qu'après la mort du dragon ma seconde victime sera ce noble qui s'est cru tout permis. Malgré tout il y'avait un gars qui me parlait peut-être ne savait-il pas qui j'étais ou bien se foutait-il totalement de tout ?

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Demiurge369
Posté le 16/06/2024
La transition de l'opulence à la misère illustre la fragilité des privilèges et la cruauté du destin. Les bénédictions divines, qui devraient être des sources de fierté, deviennent des fardeaux en raison de l'injustice sociale et des intrigues de pouvoir. L'histoire souligne la résilience face à l'adversité et la détermination de venger les torts subis, malgré les trahisons et les pertes. La narratrice, animée par une volonté farouche, incarne la lutte contre l'injustice et la quête de rédemption.
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