Combien ont pleuré pour ses beaux yeux ?
Combien ont trouvé leur coeur à la rue du jour au lendemain ?
Sans raison, sans différend, juste de brusques adieux
Laissant dans leur âme se noyer leur chagrin
Il était beau, il avait tout, te faisait oublier ta peine
Dans son regard, tu croyais voir une attention nouvelle
Il t’apaisait, te consolait, rendait tes peur sereines
Mais à présent, il est parti, ça t’a brisé les ailes
Tes larmes perlent, teintent ta chair d’un sang
Qui jamais n’aurait dû couler, non, ton âme est trop pure
Et trop sensible pour toucher au néant
Sans que tes sentiments subissent ces fêlures
Le ciel te regarde, mais il ne sait que faire
Alors il pleure à tes côtés
Et dans ton dos, tous ces éclats de verre
Te blessent et te torturent, mais il va les enlever
Le temps efface les maux et la douleur fatale
Même si ça paraît long, il tiendra ses promesses
Aie confiance en ton être, même s’il semble bancal
Car tu feras la force de toutes tes faiblesses
Et si il en venait à poursuivre ce que tu subis,
Sache que tu sauras reprendre ton envol et tes droits
Car ton âme est un joyau taillé dans du rubis
Qui fait de toi la reine et de la vie ton roi.
Fy