Ce qui est nouveau

Par Luvi
Notes de l’auteur : Les sanctuaires. Haut lieu de pureté énergétique appartenant aux Isis. Nous n’avons pas grande précision sur la nature exacte de ces bâtiments divins. Leurs origines remontant à la nuit des temps sont autant de mystère que les Isis eux-mêmes.
Lieu ou seuls ces êtres peuvent acter de leur présence, l’architecture intérieure et les trésors qu’ils recèlent restent en dehors du contrôle divin tant sur les connaissances renfermées que sur leurs richesses. Les secrets qu’ils renferment sont à la seule appréciation des Isis…

Encyclopédie divine - Rouleau de la création – Les sanctuaires Seigneur Vistarion -
Dimiour du troisième Méros – Premier cycle divin

Localisation : Sanctuaire de l’Isis – Asgard – Neuf royaumes

 

Il était un endroit, que la souveraineté d’Asgard n’avait eu cesse de vouloir faire disparaître après la fuite de Lostris. L’unique bâtiment scolaire du sanctuaire divin. Il s’élevait fièrement contre la domination d’Asgard. Son aura mystique, relent divin d’un âge ancien avait continué de s’imposer lumineux, sous les aspérités de leurs mensonges. Les murs de pierre, incrustés de runes millénaires, portaient le poids des secrets et des tragédies. Chaque fissure, chaque gravure, cicatrices indélébiles marquant les âmes à jamais, imprégnaient ce lieu des machinations perfides de la famille royale.

Dans son arrogance, le roi craignait ce lieu autant qu’il le haïssait. Des secrets de cette bâtisse, il savait que son pouvoir serait contesté. La vérité brillerait d’une lumière implacable. Elle repousserait les ombres des mensonges. Autrefois, les anciens monarques soumettaient l’Isis des Neuf Royaumes à travers un passé réécrit. La soumission d’une divinité au travers d’une narration se devant de correspondre au diktat des politiques d’Asgard. Aujourd’hui les vestiges de la perfidie monarchique s’ébranlaient.

Malgré les efforts acharnés de Odin, roi d’Asgard, l'endroit subsistait. Il restait le témoin silencieux de la culpabilité et des crimes d’une royauté. Les lamentations des anciennes Isis à y avoir foulé le sol, y résonnaient encore. Un écho lointain d’une époque révolue mais jamais qui ne serait oublié. Sanctuaire de vérité défiant les altérations imposées par les potentats depuis des millénaires.

Légendes chuchotées à demi-mot. Rumeurs discrètes. Murmures aux lèvres des privilégiés de la cour. Un bourdonnement incessant s’emparait des esprits, s'infiltrant dans chaque recoin du palais. Une renaissance prophétique. Une onde de choc qui annonçait des temps nouveaux et l’éveil d’une vérité. Vérité se devant de rester dans le néant et se transformait en vengeance imminente. Le sang royal, malgré des efforts désespérés, ne pouvait en contenir l’essence divine. Au sein des profondeurs de ce lieu, le dogme divin se rassemblait. Il tissait les toiles de sa réapparition. Le cœur du roi d’Asgard tremblait. La lumière divine à nouveau, brillait d’un éclat inquiétant sur sa monarchie. Car le retour de celle qui aurait dû régner sur les cieux, s’élevait en murmure d’un âge révolu. L’éclat d’une gloire intemporelle allait renaître, portant en elle la justice.

C’est dans cette petite salle de classe, qui voyait enfin la vie reprendre son court, que l’histoire allait s’élever vers le chemin de l’exactitude. Uniquement réservée à l’Isis des neuf Royaumes, plus aucune vie n’avait foulé les bancs de cette petite école à la mémoire chargée d’histoire. Abandonné depuis cinq mille ans, l’unique bâtiment scolaire du sanctuaire, endroit autrefois réputé pour la qualité de ses apprentissages, n’était plus qu’une ruine perdue dans un dédale de verdure. Haut de deux étages, la pierre autrefois blanche s’abandonnait sous les épais feuillages en friche, tout comme le terrain attenant.

Dédiés aux entraînements magiques, éboulements et inondations l’avaient totalement défiguré, ne laissant plus que des monticules de déchets envahir l’espace. Néanmoins, le site était en pleine réfection, comme ordonnée par Lostris, afin de le rendre convenable pour ses nouveaux étudiants.

La pièce dont l’odeur du vieux bois se mélangeant à celle de la poussière, se chargeait dorénavant d’une nouvelle énergie divine. Les deux bureaux d’un bois sombre au milieu de la pièce jouxtaient d’innombrables étagères où se côtoyaient recueils et grimoires venus de tout le royaume. Un immense tableau noir usé par le poids des années était accroché dans le fond de pièce, devant un immense pupitre. Sur les murs, des cartes des mondes habités du royaume et des gravures à peine lisibles de créatures fantasmagoriques, dont les espèces s’étaient éteintes il y a bien longtemps.

Se promenant dans la pièce, au milieu de ses deux élèves, Maître Rahxi, la tête baissée dans un rouleau, narrait les origines du royaume d’une voix nasillarde. Le vieil homme au grand âge, le dos courbé et les mains ridés, se mouvait difficilement. Lui, le fils du maître Roran qui cinq mille ans auparavant, avait instruit Lostris, malgré la période de grande crise qui avait secoué le royaume, avait accepté avec joie de faire la leçon à la future Isis des neuf royaumes.

C’était au premier âge

Un temps reculé où l’univers vibrait sous le chant éternel de l'énergie primordiale.

Un règne de troubles et de désolation.

La force créatrice, perturbée dans son équilibre sacré, plongeait les étoiles dans l’éternelle. Les flux d'énergie corrompue s'élevaient en filaments arachnéens. Engeance d’ombre sans fin, pareils aux toiles funestes d'une créature céleste. Un enserrement de galaxies, mondes et astres dans un enchevêtrement d'obscurité.

De ces temps antiques, aussi vieux que le premier monde, les ténèbres étaient maître absolu. Ses fidèles chiens de garde, engeance démoniaque se faisant divine, se déchiraient. Les démons célestes, investis d’un pouvoir infini déchiraient ciel et terre. Désolation et désespoir guidaient leur être à travers la complainte funèbre de l’énergie créatrice

La mort déferlait. La lumière s’effaçait.

L’étincelle de vie S’éteignait

Les créatures humanoïdes, création sacrée de la force vitale, soumis aux feux destructeurs d’immenses puissances. La vie luttait. Assaut funeste et sans espoir contre les vagues mortifères d’une force en dépravation. Dans l’obscurité la plus profonde, ils survivaient. Louange d’une lueur salvatrice, espérance d’un salut qui jamais n’éblouirait leur futur.

La vie… Cette envoûtante création, don de l'énergie primordiale au sein de la lumière, demeure d'une fragilité souveraine. De ces prémices, humanoïde ou magique, un souffle nouveau, un équilibre délicat. Pureté des cœurs, éclat céleste aux multiples ramifications. Neuf ils furent, neuf ils sont, neuf ils seront. Les Neuf Royaumes sont éclatants. Lumineux et chaste, sombre et cruel. Caractéristique et destiné uniques. Son éveil dans la pureté originelle, terres bénies des dieux, s’abroge des lois les plus élémentaires. Le royaume rayonne. Il pourfend les ténèbres et impose sa lumineuse gloire.

 

Si le rouleau entre ses mains, détenait un mensonge depuis longtemps assimilé par les habitants du royaume, Maître Rahxi n’avait pas l’esprit tranquille quant à sa lecture. Une ombre se jouait de lui depuis le retour de Lostris. La jeune fille assise dans la classe, future détentrice des clés du royaume et du titre d’Isis des Neuf Royaumes, dans une provocation permanente, contredisait la moindre de ses paroles. Portée par des vérités qui auraient dû rester cachées, la jeune princesse dépoussiérait les mythes et les légendes. Mais le vieil homme ne s’en formalisait pas, conscient que la mère de son élève, par son coup d’État, avait fait éclaté des vérités que la royauté Asgardienne aurait préféré laisser sombrer dans les méandres du passé. C’est ainsi, qu’avec la plus grande des justesses, il tentait d’apporter des connaissances vieilles comme le royaume à ses nouveaux élèves.

Du coin de l’œil, il aperçut sa jeune élève bayée aux corneilles. Elle referma son grimoire, le posant sans aucune retenu sur son pupitre. Elle suivait maintenant la démarche bancale de son professeur. Elle grinça des dents en entendant le énième boniment distillé par l’auteur du rouleau. Qui était ce mystérieux narrateur dont l’existence oubliée de tous avait, sans aucun doute, écrit ce vestige du passé ? Délaissant son questionnement, elle posa ses yeux sur son medjaï. Le jeune homme au visage blême par le manque de sommeil, était dans un état de grand stress. Elle savait que plus tard dans la journée, sa mère leur raconterait la vérité sur les évènements que narrait Maître Rahxi. Cela plongeait son camarade dans une grande lassitude.

Elle se leva et vient nonchalante, entourer ses épaules de ses bras. Lui transmettant son énergie dans le seul but de le rassurer, elle se laissa porter par les tristes pensées de son medjaï. Hélios, fils de paysan avant de devenir un soldat divin, n’avait jamais été sur les bancs de l’école. Ses parents ayant fui leur monde d’origine pour le cacher, n’avaient jamais pris la peine de l’instruire. La peur qu’il ne souhaite un jour, quitter la ferme familiale manipulait leur vie.

Ses premiers pas dans cette salle de classe et l’énergie divine qui y régnait en maître, l’avaient plongé dans la peur. Apprendre à lire avait été un supplice. Apprendre l’histoire du royaume, un ennui total. L’histoire de l’univers, un cauchemar. Seules les matières magiques et combatives lui apportaient leurs bienfaits. Mais le jeune homme, savait qu’il pouvait compter sur elle, qui de son côté l’avait aidé à rattraper son retard.

Mais sa scolarité n’était pas la plus grande de ses craintes. Lui, le paysan de petite condition, devenu un soldat divin aux ordres de son Isis avait perturbé sa vie ainsi que celle de la maison royale. Sa présence auprès d’elle et sa mère, avait déplu. Inculte, sale, irrespectueux, de basse extraction avait résonné dans tout le palais. La vendetta à son encontre pour le renvoyer sur sa planète, avait tourné au pugilat, lorsque Lostris, avait menacé le roi d’Asgard. Depuis, sa présence était invisible aux yeux de tous, et les murmures dans son dos s’étaient tus. Mais cela n’était rien face aux efforts qu’il avait dû déployer pour devenir celui qui de sa vie, protégerait l’Isis à ses côtés. Car être un medjaï ne consistait pas uniquement à brandir son épée tel un chevalier servant protégeant une princesse en danger. La notion même d’être un medjaï allait bien au-delà de celle d’un garde du corps. Et pour cela, Hélios était loin de devenir ce qu’il devait être.

- Cesse donc de croire que tu n’es qu’un bon à rien. Tu es mon medjaï, et quoi qu’il arrive, jamais je ne te renverrais ! A la vie, à la mort, toi est moi contre le reste des mondes, et peu importe que ces idiots d’humains te détestent, ne laisse pas leurs dires t’atteindre. Lui chuchota-t-elle, la tête posée au creux de sa nuque.

- Je m’fiche de ce qu’ils disent, mais toutes ces missions avec ta mère m’font si peur. Ils ont raison ! Comment atteindre mon but et te protéger ? « On me compare toujours au grand Hanios, et pourtant je ne suis pas lui ! Quand j’vois la statue en gloire à son honneur je… Il resserra sa main autour du bras de son Isis.

Un lien invisible se tissa entre eux. Sous le silence pesant de leur esprit, ils laissaient leurs émotions inexprimées danser. Leurs cœurs battaient à l’unisson. Aucune parole n’était nécessaire pour se comprendre. Aucun geste pour partager cette vie qu’ils savaient indissociable l’une de l’autre. Pourtant, dès leur première rencontre, l’inimitié régnait entre eux. Elle ne pouvait tolérer les lamentations incessantes de ce jeune paysan, tandis que lui, ne supportait pas les caprices de la jeune fille. Lui qui avait grandi dans une écrasante pauvreté, et elle qui n’avait connu que l’abondance, ne pouvait se comprendre. Et ce sont pourtant les bancs de cette petite école qui les avaient rapprochés. Une passerelle entre deux mondes différents s’était formée.

Voyant que ses élèves se faisaient silencieux, le professeur fini par se taire. L’atmosphère était sombre. Leurs chuchotis les avaient vidées de toute concentration. Une aura pesante, lourde et poisseuse s’installa dans la classe. Tension palpable et regard fuyant, les deux étudiants témoignaient de tics nerveux et de soupirs. Une agitation intérieure les rongeait. Eux, plein de vie et d’énergie, semblaient étouffés par une brume invisible. Le professeur savait que leur esprit s’emprisonnait d’une multitude de doutes et de questions sans réponses. Chaque pensée, chaque parole non formulée devenaient un poids invisible. Il les tira de leurs rêveries.   Le vieil homme s’arrêta à hauteur d’Hélios et déposa devant lui, une ancienne lithographie.

- Il n’en a pas toujours été ainsi jeune medjaï ! Hanios était encore plus détesté que toi par Odin notre roi ! Quand bien même il venait d’une famille riche, ses facultés à tenir tête au Roi lui ont valu bien des ennemis au sein du palais. Quant à sa relation avec Lostris, elle a été si tellement controversée, que même le Haut conseil a eu l’idiotie d’intervenir.

 A ces mots, les jeunes élèves se figèrent, le cœur battant. Le professeur se déplaça subitement bien vite vers son bureau. Dans un craquement sinistre, il prit place sur son fauteuil, déplaçant sa jambe gauche de sa main. Il poussa un long soupir. Une perle de sueur glacée roula le long de sa nuque. Sa responsabilité n’était pas d’avouer un passé que lui-même ne connaissait que très peu. L’erreur était faite.

- Le Haut conseil ? Cette troupe de vieillard sénile ? Pourquoi ? Je veux dire, Hanios, maman en parle très peu, elle nous a conté son sacrifice, mais n’a jamais rien dit de plus. Déposant ses mains sur son bureau, elle se redressa, toisant de toute sa hauteur le vieillard en face d’elle. Le professeur ne releva pas l’insulte.

- Hanios, était bien le seul à avoir compris pourquoi le pouvoir divin de son Altesse ne s’éveillait pas ! Sa mort m’a attristé, c’était un grand medjaï qui ne doit son salut qu’au Seigneur Alkan. Il se paralysa. Le piège se renferma sur lui. Plus rien n’empêchait maintenant ses élèves à l’étourdir de question quant à la vérité.

— Le seigneur Alkan ? Que vient faire l’ancien Katastrep du sixième Méros dans cette histoire ? Demanda la jeune femme.

Le professeur resta silencieux, les mains crispées sur ses genoux. Il leva la tête et fixa son regard sur les enfants.

— Il était l’émissaire entre Asgard et le conseil des dieux princesse ! Ta mère est l’Isis blanc. De ce fait, entre elle et l’Isis noir, certaines traditions se devaient d’être respectées. Mais pour cela, le conseil des dieux devait convaincre le Roi Odin de la nature bienveillante de leur requête. C’est le Seigneur Alkan qui fût mandé pour cette tâche. À cette époque, il a pris le risque de compromettre les pourparlers en calmant les ardeurs de tous ! Il sorti un rouleau de sous son bureau et le tendis à la princesse.

Le rouleau était ancien. Elle caressa la douceur du papier, Ecrit des mains d’un antique diplomate venu de l’univers, il portait le sceau d’une officine divine qu’elle ne connaissait pas. Le plus étrange était son absence de détérioration, comme si le temps n’avait pas eu d’emprise sur lui.  Seul le sceau commençait doucement à s’effriter. Elle l’ouvrit avec une grande précaution. Une étrange énergie émana de la surface du papier. Des caractères se mouvèrent sous ses yeux. Le parchemin s’orna de délicates illustrations se mêlant aux écrits. La stupeur la frappa. Elle regarda son professeur, la surprise sur son visage.

— Est-ce pour ces raisons, que les relations diplomatiques entre les Méros et les neuf Royaumes ont cessées ?

- Des années plus tard ! Mais là n’est pas le sujet ! Quant à toi jeune soldat, peu importe que tu sois de haute ou de basse naissance, l’énergie créatrice à fait de toi ce que tu es ! Sois en fier et laisse les pensées malsaines de certains à ton égard, n’être que des pensées de simple d’esprit. Ils ne peuvent comprendre la nature de ta fonction et ne pourront jamais la remplir à ta place, Seule la vie de la jeune femme à tes côtés compte, et rien ne doit t’empêcher de détourner de ton chemin. Mais je comprends tes craintes ! Te jeter dans la fosse aux monstres sans un entraînement adéquat est peut-être une erreur, mais l’apprentissage sur les champs de bataille est plus efficace que derrière un livre ! N’oublie pas ce que tu es, et fais confiance à ton pouvoir et tes Isis ! Princesse, merci de conserver ce rouleau à l’abri des regards indiscret. Maintenant reprenons les enfants !

Jade et Hélios, bien trop plongé dans leur questionnement, étaient silencieux. La jeune fille consultait l’inestimable trésor entre ses mains. Le jeune homme lisait par-dessus son épaule. Elle était fébrile. L’excitation de découvrir un nouveau mystère du passé de sa mère, occulta le cours.

- Je ne savais pas que le Katastrep du sixième Méros venait à Asgard. Chuchota-t-il.

- Il était le mentor de l’Isis noir. De ce fait, il était également l’émissaire désigné pour des pourparlers avec le roi d’Asgard. Pourquoi crois-tu qu’il ait apporté son aide à ma mère ? Elle fit apparaître une ancienne lithographie du Katastrep.

- C’est tout de même étrange, elle n’a jamais parlé de ça ! Il poussa un soupir de résignation.

- Tu la connais, elle à des secrets qui ont eux-mêmes des secrets…

Elle laissa tomber négligemment le rouleau sur son pupitre, et l’envoya d’un claquement de doigts, rejoindre une pile de vieux livre dans sa chambre. Le rouleau se désagrégea dans une dense fumée blanche. Elle se pencha et murmura à l’oreille d’Hélios.

- Tout comme Asgard, eux aussi ne nous disent pas tout… Comme la pièce secrète dans laquelle nous devons retourner.

Hélio se tourna vers elle, surpris.

- Vous n’écoutez pas ! La règle en bois claqua brutalement sur le tableau noir créant des volutes de craies en leur direction.

La princesse leva sa main et les fit disparaître. Elle ressentit subitement une aura familière et désagréable venir du couloir. La porte s’ouvrit et Freya, reine d’Asgard entra dans la pièce.

A suivre.

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Plume de Poney
Posté le 20/07/2025
Bonjour à toi!

De retour après un bon temps d'absence...

Il semble bien que l'ambiance soit plus calme sur ce chapitre, avec les dotes d'Hélios, les questions de Lostris.
Bon, peut être que Freya va mettre le boxon dans tout ça!

C'est drôle de voir Lostris, capable de renverser le destin de planètes entières, être ici une 'simple' élève.
Luvi
Posté le 22/07/2025
Bien le bonjour, 👋
Navré de cet absence, je suis en plein déménagement 😆
Alors il s'agit ici de sa fille, la future Isis des 9 Royaumes et non pas de Lostris. Je pense que c'est un détail qui n'est pas assez clair du coup.
Bonne journée à toi.
Plume de Poney
Posté le 23/07/2025
Hello,

En effet, je suis passé à côté. Pas de souci, je suis assez absent moi même en ce moment ^^

Bonne journée et bon déménagement
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