Chapitre 1 : Aurore

Par Samuel
Notes de l’auteur : voici le chapitre un de ce premier tome du Jeu des Dieux, bonne lecture ! j'espère que ça vous plaira ! Je l'ai écrit il y a longtemps, mais j espère qu'il vous plaira Malgré tout.

Chapitre 1 : Aurore

- Ah… Ah... On est en quelle année déjà ? Ah oui… En 2062… Le jeu est fini, et je sens la mort arriver… C’est la fin de cette longue aventure… Toute ma vie n'aura été que souffrance et regret... Ah... Seresu... Arthur... Je regrette tant de... Ne pas vous avoir dit adieu...

Voici mon histoire... Tout commence en 2022, je me nomme Samuel, j'ai vingt-trois ans, et je suis un étudiant de la célèbre université de l’Aurore, je fais des études de chimie, mon rêve est de devenir chercheur dans le médical, mais j'en suis encore bien loin.

Aujourd’hui, c’est le lundi vingt-et-un février et ma journée commence à six heures du matin lorsque je me réveille, je commence par faire des étirements dans ma chambre ainsi qu’un peu de sport (il faut bien garder la forme !) pendant environ trente minutes. Ayant la chance de faire partie des étudiants de l’Aurore, l’une des universités les plus prestigieuses au monde, je n'ai pas à payer de loyer, l'université se charges de tous les documents administratifs et se donne les moyens de fournir le meilleur environnement à chaque étudiant. Cependant, les cours sont difficiles et les étudiants souvent renvoyés faute de bonnes notes, de plus, l’examen d’entrée est bien plus dur que pour les universités normales : à peine un pour cent des candidats réussissent et la plupart des « survivants » quittent l’Aurore en cours d’année à cause de la difficulté pour beaucoup trop élevée.

Une fois mes exercices de sports terminé, je quitte ma chambre, cette dernière fait environ vingt-cinq mètres carrés, il y a trois fenêtres qui montrent une belle vue sur la Tour-Eiffel qui se trouve au sud de mon immeuble, aux murs, j’ai mis des posters de manga ainsi que plusieurs étagères remplis de romans et de pleins d'autres types d'œuvres telles que des biographies, des nouvelles et j'en passe (j’adore lire.), vers le mur opposé aux fenêtres, il y a mon lit et mon bureau pour travailler et réviser, il y a un ordinateur fixe et un triple écran pour que je puisse travailler ou jouer au jeux-vidéo lorsque j'ai du temps libre, malgré tous ses accessoires, je suis un élève assidu et dévoué au travail.

Une fois arrivé dans la pièce principale, je me dirige vers la cuisine pour commencer à préparer un petit-déjeuner des plus copieux ; la pièce est composée d’un salon avec comme mobilier un canapé et une table basse au centre, une télé avec son meuble contre le mur entre ma chambre et une autre pièce, à l'opposé, il y a une cuisine/salle à manger tout équipée avec, entre le salon et la cuisine, un petit comptoir où il est possible de manger ou de poser les préparations culinaire, enfin, sur les deux murs restants, il y a à droite de la cuisine des bibliothèques ainsi que des fenêtres à gauche offrant une belle vue sur la ville de Paris et sur la Seine. Des deux côtés de la bibliothèque, se trouve deux portes, l’une menant à la salle de bain, et l’autre à une chambre. Enfin, dans la cuisine, se trouve la porte d'entrée.

Tous les matins, pour le plus grand bonheur de mes colocataires, je prépare des croissants, du café, et je vais au marché en bas de chez moi pour acheter du lait frais, du beurre et du pain (je suis français avant tout.). Je termine de tout préparer vers sept heures trente lorsque mes deux camarades se lèvent, ils sortent de leurs chambres qui sont respectivement à gauche de la télé et à droite de la bibliothèque.

Mes deux colocataires sont un homme et une femme, qui sont d’ailleurs mes amis les plus chère, ayant perdu ma famille assez jeunes, ce sont les seuls personnes qui content pour moi. Le premier se nomme Arthur, il a vingt-trois ans comme moi et c’est un maître incontesté d’échecs à la fac. Dans un monde fantasy, ce serait sûrement le stratège de la bande. Il est très malin, même si parfois rêveur, et il sait très bien analyser les situations qui lui font face. Il est très sportif et rêve d’entrer dans l’armée, mais avant, il veut accroître ses connaissances en psychologie et en histoire. Il répète tout le temps que c’est en connaissant le passé qu’on peut façonner son avenir, je comprends son point de vue même si je n'apprécie pas vraiment étudier ce type de connaissance.

Mon autre colocataire porte le nom de Seresu. C’est une très belle femme de vingt-quatre ans, la plus âgée du groupe et donc un peu la matriarche. Elle fait des études pour être dessinatrice, elle adore le dessin et elle en fait depuis toute petite, ne cessant de s’améliorer au fil des années. Son rêve est d'écrire des mangas, et elle en écrit justement un pendant son temps libre, basé sur la mythologie japonaise, le shintoïsme. Elle est assez sensible et attachée à sa famille et à ses amis. Elle a comme talent (si j'ose dire) d’être absolument tout le temps fatiguée, même si elle dort dix heures par nuit. Elle se fatigue très vite, mais seulement lorsqu’elle est à la fac. En-dehors, elle est très active et énergique.

Chaque matin, lorsqu’ils viennent de se réveiller, ils sont complètement endormis et il est impossible de leur parler tant qu’ils n’ont pas pris une boisson chaude. Ils s’asseyent donc à la table et regardent dans le vide jusqu’à ce que leurs lèvres entrent en contact avec le délicieux nectar chaud que je leur fais tous les matins. Après, ils sont normaux et ils commencent enfin à parler.

- Salut à tous les amis, comment allez-vous ce matin ? Dis-je pour commencer la discussion, vous avez bien dormi ?

- Oula, une question à la fois s’il te plaît Samuel… Répondit Arthur d’une voix extrêmement lente, je vais bien... Mais j’ai fait un rêve où je prenais mon café en silence ! Ironisa-t-il malgré la fatigue.

Seresu bailla.

- je ne suis pas encore bien réveillée, mais ça va, dit-elle en se balançant légèrement de gauche à droite. Et toi ? Comment vas-tu ? me demanda-t-elle en ouvrant grand ses yeux pour me voir pour la première fois de la journée.

- Ça va bien, j’ai bien commencé la journée, mais j’ai vraiment la flemme d’aller en cours.

- He ho ! Ne me parle pas de cours dès le matin ! Me coupa Arthur en me montrant la paume de sa main.

- Oui, désolé, j'avais oublié que c'était un sujet tabou avec toi le matin !

- Ben maintenant que tu as commencé, parle ! Qu’est-ce que tu as aujourd’hui qui fait que t’as pas envie d’y aller ? Continua Seresu qui était sorti de son monde.

- J’ai un examen trimestriel en physique, et je n’ai vraiment rien compris à ces derniers chapitres… Avouais-je, dépité. C’est sur la bactériologie, mais j'ai du mal à comprendre en détail.

- Ça va, tant que ta moyenne est supérieure à dix à la fin du trimestre, c’est bon, me répondit-elle en tentant de me remonter le moral. Bien que tu serais juste.

- Ouais...

- Au pire, les autres contrôles en d'autres matières n'arriveront pas à remonter assez ? Me demanda Arthur en finissant de boire son café avec un visage plein d'incompréhension.

- Si, mais ça me fait quand même un peu chier. Au début de l’année, je m’étais juré d’avoir au moins douze dans chaque matière que j’ai choisie afin d’être large et d’être sûr de pouvoir rester. Là, j’ai peur de ne pas réussir mon objectif.

- C’est si grave que ça ? Recommença Seresu. Au pire, tu te rattrapes sur le prochain trimestre !

- Oui, je peux faire ça. Acquiesçais-je d’un mouvement de la tête.

Après cette discussion, on continua à parler de tout et de rien jusqu’à ce qu’on doive partir à huit heures trente environ. On aurait pu partir plus tard, mais nous aimions tous les trois être en avance. Pour aller au centre du campus où se trouvaient tous les bâtiments principaux, on prenait le métro puis le bus pour un trajet total de quinze minutes. Nous arrivâmes à destination à neuf heures moins le quart et puis nous nous séparions pour la journée.

L’université permet un grand nombre d’études. Il y a entre autres les filières artistiques, scientifiques, littéraires, économiques, historiques ou sociales. Dans cette université qu’est l’Aurore, on peut suivre presque toutes les études peu importe celles qu’on veut faire. Chaque filière a un bâtiment affilié dans lequel on trouve tous les cours en rapport.

Cela fait que le campus compte de nombreux bâtiments, tous étaient assez espacés. En effet, le campus fait environ vingt kilomètres carrés. De ce fait, les bâtiments principaux utilisent à peine trois pour cent de l’université. Le reste est comblé par des bâtiments administratifs, des bibliothèques, des jardins, etc... Ainsi que par une grande partie de la vie universitaire : les clubs !

Lorsqu’on est étudiant à l’Aurore, on est obligé de faire partie d’un club. Cela permet de créer des liens d’amitié qui dureront dans le temps. Il y a des clubs sur tout et n’importe quoi, du jardinage à la lecture en passant par les jeux vidéo et le sport. Chacun trouve ce qu’il veut. Personnellement, je suis dans le même club que Seresu : le club d'écriture. Cependant, je fais aussi partie d’un club consacré aux jeux vidéo rétro.

Après avoir marché ensemble un bon moment entre les arbres dépourvu de feuille et les autres étudiant, on se séparait. Seresu allait vers le bâtiment artistique et Arthur vers celui consacré à l’histoire. Moi, je me dirigeais tranquillement vers le bâtiment scientifique lorsque, sortis de nulle part, apparurent trois hommes visiblement plus âgés que moi et qui m’empêchèrent de continuer mon chemin.

- Bon, on ne va pas tourner autour du pot… Commença le chef de la bande et le plus âgé. File-nous tout ton fric, et plus vite que ça ! Tu as l’habitude maintenant ! Me dit-il avec un sourire des plus malfaisants.

- Je n’ai pas d’argent sur moi ! Répondis-je, terrorisé, mais je peux vous en apporter demain ! Ces brutes avaient l'habitude de torturer à petit feu de nombreux élèves de l'Aurore. Malgré toutes leurs mauvaises actions, tout était pardonné grâce à leurs pères qui étaient des membres hauts placés dans l'université...

- On s’en fout. Continua le deuxième. On veut de la thune pour aller jouer à la salle d’arcade, mais si tu n'en as pas, on va te faire souffrir !

En disant cela, ils s’approchèrent de moi et j’étais incapable de faire un seul pas. Autour de nous, les autres étudiants détournaient le regard et passaient leur chemin. Tout le monde savait que s’ils s’interposaient, ils deviendraient leur nouvelle victime. Je voyais leurs visages avec une expression entre le regret et la pitié. Tout cela m'énervait au plus haut point. Comment pouvait-on passer à côté de quelqu'un en danger sans l'aider ?

Le plus âgé me mit un gros coup dans l’estomac qui me fit tomber à genoux en toussant et en crachant des glaires de salives. J’étais sur le point de chialer à cause de la douleur. Puis, sans avertissement, ils commencèrent tous à me frapper en me donnant des coups de pied dans le ventre, la poitrine, et en évitant toutes les zones visibles comme le visage ou les bras. Ce qui alarmerait le corps enseignant et causerait leur perte.

Après plusieurs minutes à me tabasser jusqu’à ce que je sois au bord de l’évanouissement, ils me laissèrent enfin respirer. Je tremblais de tous mes membres et je me sentais incapable de me relever. La douleur était surmontable, mais j'avais l'impression que mes membres étaient en sang. J'étais totalement paralysé par la douleur et la peur.

- Ah, putain, c’est chiant, cette vermine n’avait vraiment pas une thune, dit le plus jeune des trois après m’avoir fouillé de la tête aux pieds. On a qui d’autre comme distributeur ?

- Il reste Jim, étudiant en seconde année en droit, et Lee Chouan ou je sais pas quoi, vous savez, le Chinois qui est venu en France pour étudier la littérature mondiale, répondit le plus âgé en regardant son téléphone et ses frères à tour de rôle.

- Ah oui, ils sont où à cette heure-là ? Demanda celui du milieu.

- Ils doivent sûrement être à la bibliothèque ou à la cafète pour prendre un croissant, j'pense. On y va tout de suite ?

- Ouais, vas-y, on part ! Putain cet incapable m'as foutu en rogne ! Allons-nous détendre à la salle d'arcade !

- N’oublie pas les révisions, si on saute encore les révisions, on va être renvoyés. Ce serait con, surtout qu’on a été inscrit grâce à nos vieux !

Le plus âgé des trois et chef de leur bande se retournait et s'approchait de moi, s'accroupissait et me chuchotait à l'oreille :

- Tu te souviens de ce qu'on t'a dit ? Si tu parles de ce qu'on fait à qui que ce soit, ce sont tes deux potes qu'on ira boxer jusqu'à l'évanouissement !

Après être sûr qu’ils soient partis, je réussissait enfin à bouger et à me lever. La douleur était horrible, mais je devais aller en cours. Je continuais à marcher vers le bâtiment des sciences en me tenant le ventre et en pensant à Arthur et Seresu, je ne pouvais rien faire pour leur nuire... Ils savent où j'habite et avant que la police ne les arrête pour harcèlement et violence sur autrui, ils auront le temps de retrouver mes deux amis et de leur faire du mal... La douleur était tellement horrible que j’avais du mal à rester debout et à avancer. Finalement, après plusieurs minutes à marcher en souffrant le martyre, j’atteignis enfin le lieu tant convoité et je cessais peu à peu de me soucier de mes proches.

Le bâtiment était grand, il couvrait environ trois hectares, et contenait de nombreuses salles de classe en amphithéâtre, plusieurs grands labos, des zones de test et des salles pour travailler comme des bibliothèques. Tout était très luxueux. D’ailleurs, personne ne comprenait comment l’Université pouvait payer les locaux, les appartements étudiants et les salaires. Le prix pour une année à l’Aurore était plus élevé que dans d'autres facs (environ quinze-mille euros par an et par étudiant), mais ça n’expliquait pas comment l’Université pouvait payer des logements à plus de trente-cinq-mille étudiants. J'imagine que des mécènes devaient leur donner de quoi financer leurs projets ou bien le fondateur de l'académie était très riche.

Je rejoignissais ma salle de classe avec cinq minutes d’avance et je profitais de ce temps pour aller dans les toilettes et me faire des bandages autour du ventre. C’était devenu si courant que je me fasse harceler et violenter que j’avais toujours du matériel pour me soigner, au cas où. Les coups des trois lascars m’avaient infligé de lourds dégâts et j’avais de nombreux bleus sur le ventre, le torse, le dos et les côtes.

Je revenais en cours pile à l’heure et on commençait. C’était un cours sur l’anatomie. En ce moment, on étudiait le système sanguin de plusieurs êtres vivants. N’ayant pas de cours précis a noter, mais seulement des schéma, des mots-clés ou des images, les élèves devaient se débrouiller pour retenir les connaissances acquises. Personnellement, j’utilisais une application sur mon téléphone portable qui notait automatiquement tout ce que le professeur disait, et avec mon ordinateur, j’écrivais ce qui me semblait important et je prenais en photo les documents présentés. De cette façon, si je n’avais pas le temps d’écrire quelque chose ou que je ne comprenais pas bien, je pouvais revenir dessus le soir pour ne pas être bloqué dans ce cours.

Je suis un gars assez peu social et j’ai très peu d’amis en dehors de mes colocataires. Cependant, j’ai la chance d’avoir dans mon groupe d’études un étudiant avec qui je m’entends assez bien, Loïc. Il est très tête en l’air et a du mal à retenir les cours, mais il trouve toujours un moyen de s’en sortir, souvent, en trichant. Heureusement, il ne veut pas faire de métiers qui demandent d’être sérieux et d’avoir la vie des gens entre ses mains, il veut plutôt devenir professeur et hésite même à devenir herboriste. Pour être franc, j’ai du mal à l’imaginer s’occuper de quelque chose de vivant, même si c’est une plante, mais qu'il fasse ce qui lui plaît !

Deux heures plus tard, le cours se terminait après une expérience en laboratoire des plus horrible. J’avais la tête en compote. Nous avions une légère pause avant le prochain cours, j’eus la bonne idée d’aller à l’infirmerie pendant ce temps. Il y en avait une par filière, et je suis donc allé à la plus proche. J’entrais, l’infirmier m’accueillait avec un grand sourire et je lui montrais mes blessures. Son sourire tomba… Il était dégoûté. Il me donnait rapidement un médicament et me fit de nouveaux bandages puis me sommait de m’en aller. Je ne compris pas pourquoi il avait cette tête dépitée jusqu’à ce que je me souvienne qu’il était étrange. Plus ses patients étaient mal en point, et plus il était heureux, car il pouvait utiliser ses qualités d’ancien chirurgien afin de les soigner. Je retournai en cours, la douleur disparut en partie grâce au sommaire traitement de l'infirmier.

Un nouveau cours passa sans encombre. Je sortis de l’immeuble à la hâte malgré la douleur qui persistait, bien que moins forte que quelques heures auparavant. J’allais retrouver Seresu et Arthur dans un petit restaurant bien sympathique où nous mangions en nous racontant nos matinées respectives. Seresu avait commencé une peinture où les élèves devaient utiliser tous les procédés appris durant le semestre. Le thème de cet examen était le réalisme : chaque élève avait un miroir et devait faire une peinture de soi-même avec le plus de réalisme possible. Bien sûr, le contrôle ne durait pas un jour, mais une semaine, ce qui était très peu pour ce genre d'œuvre.

Arthur, lui, avait eu des cours d'histoire. On y étudiait les derniers actes contemporains, comme la géopolitique. Il ne se prenait pas la tête et ne savait donc pas ce que lui réservait le reste de la journée, mais il espérait continuer son précédent cours, il avait dit que c’était fort intéressant.

Après avoir longuement discuté autour d’une assiette de bœuf bourguignon, on se sépara à nouveau. Soudain, un homme arrivait dans la rue en criant que c'était la fin du monde, évidemment, personne n'écoutait de telles inepties...

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Galadrel
Posté le 07/04/2024
Bonjour Samuel,

Pour commencer, sache que j'ai bien aimé ce premier chapitre posant tranquillement le décor.

Personnellement, je n'ai pas non plus beaucoup d'expérience en matière d'écriture (je suis nul en orthographe et en conjugaison donc, je ne peux pas t'aider sur ça) en revanche, un truc qui me prend la tête quand j'écris ou lis, c'est le format du texte et la longueur des phrases.

Donc, comme premier conseil que je peux donner, c'est de mettre ton texte en "justifier", ça rend les paragraphes longs bien plus agréable à lire et c'est plus esthétique.

Deuxième conseil, tes descriptions de lieu (genre la chambre ou la pièce principale), sont trop longues. Ou plutôt, il n'y a pas assez de points de coupure (en gros, il faut faire des phrases plus courtes pour permettre aux gens de respirer et d'assimiler les informations). Ex : ton 4éme paragraphe, dont le sujet est la chambre, fait 8 lignes sans aucune interruption. Les virgules ça ne comptent pas.

Sinon, mis à part ça, j'ai hâte de lire la suite.
Samuel
Posté le 07/04/2024
Je te remercie pour ton message, des gens m'avais déjà dit que je faisait des phrases trop longues, mais j'ai un peu de difficulté à les raccourcis, mais je vais essayer !

Merci pour ta lecture, bonne continuation
Galadrel
Posté le 07/04/2024
Je peux te donner un exemple avec ton 4éme paragraphe.

Une fois mes exercices de sports terminés, je quitte ma chambre. Cette dernière fait environ vingt-cinq mètres carrés et il y a trois fenêtres qui montrent une belle vue sur la Tour-Eiffel, qui se trouve au sud de mon immeuble. Aux murs, j’ai mis des posters de manga ainsi que plusieurs étagères remplis de romans et de pleins d'autres types d'œuvres telles que des biographies, des nouvelles et j'en passe (j’adore lire.). Vers le mur opposé aux fenêtres, il y a mon lit et mon bureau pour travailler et réviser, sur lequel se trouve un ordinateur fixe et un triple écran pour que je puisse travailler ou jouer au jeux-vidéo lorsque j'ai du temps libre. Malgré tous ses accessoires, je suis un élève assidu et dévoué au travail.
->
Une fois mes exercices de sports terminé, je quitte ma chambre, cette dernière fait environ vingt-cinq mètres carrés, il y a trois fenêtres qui montrent une belle vue sur la Tour-Eiffel qui se trouve au sud de mon immeuble, aux murs, j’ai mis des posters de manga ainsi que plusieurs étagères remplis de romans et de pleins d'autres types d'œuvres telles que des biographies, des nouvelles et j'en passe (j’adore lire.), vers le mur opposé aux fenêtres, il y a mon lit et mon bureau pour travailler et réviser, il y a un ordinateur fixe et un triple écran pour que je puisse travailler ou jouer au jeux-vidéo lorsque j'ai du temps libre, malgré tous ses accessoires, je suis un élève assidu et dévoué au travail.

Après, c'est juste un exemple, car au final, comme ton texte est suffisamment découpé par des virgules, il a beaucoup d'endroits où il faut juste mettre un point à la place (ainsi que garder la cohérence de la phrase).
Samuel
Posté le 07/04/2024
je te remercie pour ton exemple, comme dit précédemment, je reprendrais ce point plus tard, merci.
Cléooo
Posté le 29/03/2024
Bonjour Samuel :)
Alors, avant toute chose...
Pitié n'utilise pas ce point étrange pour marquer tes dialogues, mais le tiret –, ce sera beaucoup plus lisible !

Je me permets de te faire quelques remontées, en espérant que ça t'aidera à progresser :

"Tout commença en l’an 2022, je me nomme Samuel" -> je trouve que ta transition de temps est un peu maladroite. Je suppose que c'est Samuel qui parle dans le dialogue précédent, et que tu veux faire une rétrospective de ce qui s'est produit en 2022. Je partirai plutôt sur quelque chose du genre "Je suis Samuel, et à quand tout commença en l'an 2022, j'avais vingt-trois ans. J'étais étudiant...". Après si tu tiens à écrire au présent, tu peux tout à fait : "Voici mon histoire, voici comment les dieux ont boulversé le monde [...]. Je me nomme Samuel, nous sommes alors en l'an 2022, et j'ai 23 ans".

"Ma chambre est plutôt grande, comme tout l’appartement : étant l’une des universités les plus prestigieuses au monde, l’Aurore paye..." -> ici j'inverserai la manière de présenter, pour éviter dans le paragraphe suivant le "revenons à ma chambre". Quelque chose comme "ayant la chance d'être à l'université de l'Aurore, j'ai la chance de ne pas avoir à payer le loyer de l'appartement plutôt luxueux que j'occupe... Bien sûr, les cours sont d'une extrême difficulté etc..."

"même si parfois dans la lune" -> un peu rêveur ? C'est familier "dans la lune"

Seresu (se lit Seretsu) -> je trouve curieux de mettre ça dans un passage narratif. Ce serait mieux dans un dialogue, si elle ou un ami à elle expliquait la prononciation. Là on sent vraiment l'auteur qui veut que le lecteur le lise comme ça, c'est moins naturel.

• Seresu bailla, je ne suis pas encore bien réveillée, mais ça va, dit-elle -> si tu fais du dialogue, ne commence pas avec du descriptif. Mieux vaut :
Seresu bailla.
– Je ne suis pas encore bien réveillée, mais ça va, dit-elle [...]

"tant que ta moyenne est supérieure à huit à la fin du trimestre" -> une université aussi sélective tolère un 8 de moyenne ?

"Cependant, je fais aussi partie d’un club consacré aux jeux vidéo retro.
Donc, nous nous sommes séparés." -> je trouve la transition un peu sèche, et le changement de temps abrupt.

"quelles étaient les limites de leur violence avant que les victimes ne portent plainte." -> je pense que tu es plutôt inspiré par le côté manga/Japon avec ce côté ijime, mais en France ce n'est pas parce que ça ne dépasse du t-shirt qu'on ne va pas porter plainte. Autant si c'était un jeune, impressionnable, adolescent, d'accord, mais pour un adulte... Je pense qu'il faudrait trouver un meilleur motif à la passivité de ton héros, ou déplacer ton histoire dans un lieu qui n'est pas aussi clairement la France.

"Ce serait con, surtout qu’on a été inscrit grâce à nos vieux !
Je ne comprenais pas, comment des cancres comme ces salauds avaient pu être assez bons pour intégrer la fac" -> eh bien... Il vient de le dire non ? Grâce à son paternel ?

"J'imagine que de riches investisseurs devaient leur donner de quoi financer leurs projets." -> des mécènes ?

"N’ayant pas de cours précis, les élèves devaient se débrouiller pour retenir les cours." -> ?? Veux-tu dire que c'est un cours délivré à l'oral exclusivement ?

"qu'il fasse ce qui lui plaît !
Deux heures plus tard, le cours se termina " -> il faut vraiment que tu fasses attention à la concordance des temps. Si je peux te donner une suggestion, toute simple et très efficace, c'est de lire ton texte à voix haute. Ça t'aidera à "sentir" quand un enchaînement est moyen, et aussi à mieux placer ta ponctuation (tes virgules correspondant aux pauses que tu ferais naturellement).

"Il y en avait une par quartier si on veut, et je suis donc allé à la plus proche." -> si on veut quoi ?

"Après avoir longuement discuté autour d’une assiette de bœuf bourguignon, on se sépara à nouveau." -> je pense que c'est un peu plat comme fin de chapitre. Ce qui peut être bien, c'est de mettre un petit effet de cliffhanger, pour que ton lecteur se demande "mais qu'est-ce qu'il va bien pouvoir se passer?"

Voici quelques coquille que je te fais remonter :
- compter une histoire -> conter
- un salon avec comme meubliers -> mobilier ??
- on va être renvoyé -> renvoyés (quand "on" se rapporte à un groupe, il faut l'accorder comme "nous")

Pour finir sur une note plus positive, je trouve l'ambiance sympa. Tu plantes ton décor tranquillement, on attend encore la l'élément déclencheur, mais on apprend à connaître le héros et ses acolytes. Tu gagnerais beaucoup à te renseigner sur les règles d'écriture d'un roman. Le phrasé, ça viendra en pratiquant, mais des petites choses comme la ponctuation, la mise en page... Ça donnerait davantage envie de te lire.

En espérant que ça t'aura été utile :)
Samuel
Posté le 29/03/2024
Heu... Merci ? C'est gentil de me donner tout ses points que je dois améliorer, je vais modifier les passages que tu as mentionné, a vrai dire, je n'ai pas beaucoup d'expérience en matière d'écriture, donc je fait beaucoup d'erreur, pour la fin de chapitre, c'est un ami qui m'as proposé de coupé mon chapitre un qui était un peu trop long en deux chapitres distincts, mais je vais essayer de trouver une fin appropriée.
Cléooo
Posté le 29/03/2024
De rien et désolée, ça doit surprendre de recevoir un pavé comme ça, mais je crois que le but de ce site c'est aussi de s'aider et de se donner des conseils, c'est pourquoi je me permettait :)
Je ne trouve pas nécessairement que le chapitre soit trop long. Ça peut l'être pour le format "internet" mais un chapitre de roman papier tourne en général autour de 4500 mots, donc ça ne me choque pas.
Et pour ce qui est de l'expérience, ça vient en écrivant, petit à petit.
Samuel
Posté le 29/03/2024
Je n'ai pas prit mal le fait de recevoir ton message, bien au contraire, j'accepte toutes les critiques qui me permettent d'évolué, je sais que pour courir, il faut d'abord tomber, c'est juste que j'ai reçu beaucoup de messages plus... Comment dire... Qui n'avait pas grand chose à redire a ce que j'écrivais, c'est le premier gros message de critiques, et ça m'as fait bizarre en premier lieu, mais n'en doute pas, je te remercie franchement pour ton commentaire, et j'espère que tu continuera a lire la suite :)
Cléooo
Posté le 30/03/2024
Je comprends parfaitement :)
Après, ton histoire est intéressante, et c'est le principal, je te faisais plutôt des commentaires par rapport à la mise en page ou à des petits passages qui me semblaient un peu flous (et les accords de temps ahah, mais ça ça viendra avec la pratique !).
Aussi : quand on écrit on a un peu la tête dans le guidon, et des fois des choses qui nous paraissent évidentes ne le seront pas pour un lecteur qui ne connait pas l'histoire comme toi. Je t'ai ajouté à ma PAL, je viendrai voir la suite :)
Arod29
Posté le 28/03/2024
Bonjour Samuel,
L'imagination est là par contre, ne le prends pas mal, mais l'orthographe et certaines tournures maladroites m'ont fait sortir de ma lecture. Il faut vraiment que tu reprennes ton texte pour le corriger. C'est dommage.
Je continuerai à te lire pour voir où tu vas me mener dans cette histoire.
A bientôt
Samuel
Posté le 28/03/2024
Merci beaucoup pour ton retour, je prendrai prochainement le temps de reprendre ce chapitre, bonne continuation à toi également !
Arod29
Posté le 28/03/2024
Merci!
Gardar
Posté le 26/03/2024
Une histoire qui mérite le détour, une idée qui mérite le compliment, ça, c'est deux points importants. Petite remarque, orthographe, mais surtout divise ça en plus de chapitres, c'est trop long à lire d'un coup.
Merci Samuel
Gardar
Samuel
Posté le 28/03/2024
MERCI !!!!!!!!! merci pour ta remarque, j'espère que tu continuer
Samuel
Posté le 28/03/2024
MERCI !!!!!!!!! merci pour ta remarque, j'espère que tu continuera a lire, je vais tout faire pour m'améliorer !
Gardar
Posté le 31/03/2024
Garder et pas "garer" j'imagine.
Tu pourrais mettre le premier paragraphe en italique pour montrer que après on remonte dans le temps.
Tu ne devrais pas annoncer la fin du livre au début avec :"Voici comment les dieux ont bouleversé le monde et comment mes compagnons et moi sommes devenus les héros des humains !" ça spoile un peu et on rentre moins dans l'action immédiate. On a l'impression qu'on nous raconte une histoire, pas qu'on la vit.
Simples suggestions qui j'espère t'aideront.
À bientôt dans tes prochains chapitres.
Gardar
Samuel
Posté le 31/03/2024
Merci bien pour ton commentaire, j'en prend note, c'est effectivement mieux si je change ce passage, merci
Gardar
Posté le 31/03/2024
Pas de problème.
À bientôt
Gardar
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