Chapitre 2 : Apocalypse
Le lundi après-midi, aucun cours ne m'intéressait, cependant, je décidais toujours de rester dans les bâtiments réservés à l’éducation. Ainsi, j'allais à la bibliothèque afin de lire, me reposer et travailler, la bibliothèque était très grande, elle était faite selon le schéma suivant : un long couloir au centre avec des tables, des ordinateurs, des distributeurs de boissons, et tout le nécessaire pour se repérer et travaillé ; il y avait ensuite six zones divisées entre le rez-de-chaussée et le premier étage, chaque zone correspondait à l’une des filières éducatives de l’Aurore, de plus, de nombreux outils de travail ou d’observation était posée ça-et-là afin d’aider le plus grand nombre.
Je m’assis à une table et je sortis les différents devoirs et cours que j’avais à faire et à apprendre, je passais tout l’après-midi ainsi qu’une partie de la soirée pour terminer tout ce que j’avais à faire.
Je réintégrai mon appartement vers vingt heures, mes colocataires avaient déjà préparé le repas ; enfin… Préparer est un bien grand mot vu que le seul effort fourni avait été de composer le numéro de la pizzeria. Les pizzas furent avalées devant un bon film et chacun retourna dans sa chambre, exténué par la journée.
Malgré ma fatigue, le sommeil ne me venais pas et pour me détendre, je fis des exercices de musculation et d’étirement. Mon corps était bien proportionné, mais ma musculature ne m'était d'aucun secours quand il s'agissait de me battre. Je perdais toujours mes moyens face à un adversaire...
Pendant la nuit, alors que j'avais réussi à m'endormir profondément, je fis un cauchemar ! Je voyais des dizaines et des dizaines de personnes fuyant une créature que je n’avais jamais vu, elle était gigantesque, son imposante ombre qui ne cessait d'avancer faisait s’effondrer les bâtiments sur son passage. Des immeubles en feu à moitié détruit s'écroulaient en écrasant de nombreuses personnes criant de terreur ; le sang, les larmes et la poussière se mélangeaient sur le sol d'une ville que je ne reconnaissais pas. Moi, je fuyais aussi, aussi vite que mon corps le pouvait, j’étais blesser au bras par une étrange flèche mais je continuais de courir pour échapper à la mort, la douleur me faisait tanguer de gauche a droite en avançant, plus le temps passait, et plus la vie autour de moi s’étouffaient à petit feu, certains tombaient dans des abymes sans fonds ou était tué par des flèches pleuvant d'on ne sait où, d’autre mourrais par manque de sang, d'air ou d'espoir et s’effondraient dans la poussière. Les derniers périssaient brûler dans des flammes semblant sortir du tréfonds de l’enfer, ma tête bourdonnait, mes sens défaillaient à petit feu et chaque seconde, j'avais l'impression de sombrer dans les ténèbres. Je vis soudains une ouverture dans le sol. Un endroit sûr ! Ai-je pensé en courant vers le trou béant. À peine, je rentrais à l'intérieur que le titan qui me poursuivait écrasa le bâtiment et m'enferma dans le sous-sol ! Je pris le temps de respirer et je me couchais contre un mur lorsque j'entendis d'étranges grondements en provenance d'un couloir non loin, je tournais la tête, et un énorme monstre apparu, une sorte d'ogre a deux têtes qui s'approchait doucement de moi, mon cœur battais de plus en plus vite, il arma son poing, et... Il frappa...
Je me réveillais en sursaut, couvert de sueur et haletant, je tremblais de tous mes membres et je pris la décision d'aller boire un verre d'eau avant de tenter de me rendormir. Mais le cauchemar continuait de me hanter et je ne réussis pas à me rendormir que tard dans la nuit.
Le lendemain, je n'avais aucun souvenir de mon cauchemar, et je recommençais la journée comme à mon habitude : je me réveillais assez tôt, je préparais le petit-déjeuner, mais au lieu d’attendre le réveil de mes colocataires, je sortis de l’appartement pour prendre l’air, je vis qu’il avait neigé pendant la nuit, je remontais donc afin de prendre un manteau plus épais, puis je partie me balader, je marchais depuis au moins une heure et sans m’en rendre compte, j’atterrissais dans un magnifique parc. Les arbres s’alignaient et étaient recouverts de neige, c’était un spectacle magnifique, je continuai sur le chemin qui serpentait et s’enfonçait dans cette petite forêt vêtue de blanc.
Au bout d’un moment, je me retrouvais né à né avec un beau paysage, le petit chemin passait à côté d’un lac gelé, de l’autre côté, il y avait une bâtisse, probablement installée là pour abriter les gens ou pour vendre de la nourriture ou des boissons. Je m’asseyais sur un banc d’où on pouvait voir ce joli paysage et sans m’en rendre compte, je m’endormais paisiblement.
Je me réveillais une bonne demi-heure plus tard à cause de la morsure du froid qui commençait à se faire sentir. Je me levais donc afin d’aller à la trame de métro la plus proche et aller à l’Aurore lorsqu’une vieille femme affublée d’une canne arrivais, en passant à côté de moi, elle me fit un beau sourire, je lui passais à côté puis, tout bas, elle me dit :
- Tu sembles porté un bien lourd fardeau mon petit, revient me voir lorsque tu seras prêt, je serais près de *#%&!*!^$
Que venait-elle de me dire ? Les derniers mots qu'elle avait prononcés m'ont paru inaudibles, ou incompréhensibles, comment était-ce possible ? De plus, que voulait-elle dire par ‘’avoir un lourd fardeau’’ ? Je ne comprenais rien, tout cela n'avait aucun sens et c'est pourquoi j’eut vite fait de supprimer ses paroles de ma mémoire.
Heureusement, malgré ma sieste imprévue et ma rencontre avec la vieille femme, j’arrivais à temps à l’Aurore, aujourd’hui, je n’avais pas pris de cours pendant la matinée, car j'avais pris des rendez-vous avec des membres de mon club, et l'après-midi, j'eus une préparation à l'examen trimestrielle qui durerait une journée entière et qui aurait lieu la semaine prochaine...
Le soir, une fois rentré a l'appartement, Seresu me raconta les derniers jours qu'elle avait vécu : Seresu s’était réveillé à l’heure et avait pris son petit-déjeuner comme d’habitude, elle avait bien entendu remarqué mon absence et celle d'Arthur, mais elle ne s’inquiétait pas, car nous sortions souvent pour prendre l’air ou aller en avance à l’Aurore. Une heure plus tard, alors qu’elle se préparait dans sa chambre, elle entendit Arthur se lever, il avait visiblement fait une grasse-matinée, ce qui était anormal chez lui.
Quand elle fut prête, elle partit en passant le bonjour à Arthur qui prenait son petit-déjeuner en vitesse, stressé a l'idée de manquer son cours sur les relations germano-françaises. Elle prit le métro et arriva finalement à l’Aurore environ quinze minutes plus tard.
Elle allais a qon cours, puis une fois qu'il dut terminé, elle fillait directement dans la salle de peinture en s’arrêtant tout de même pour acheter une bouteille d’eau dans un distributeur, Seresu s’installait à la place ou elle avait l’habitude de s'assoir et sortait son matériel de peinture et sa toile rangée sur une étagère à l'abri de l'humidité et des potentiels saleté, une fois prête, elle se mit immédiatement au travail. En à peine une journée, les contours globaux de sa peinture étaient en place et déjà Seresu commençais à appliquer de nombreuses couches de peintures pour faire apparaître sa mignonne petite tête.
Très rapidement, son œuvre se dessinais et on pouvait déjà facilement la reconnaître au bout de trois jours, en si peu de temps, elle avait énormément avancé. Le jeudi arriva et vers onze heures, trois personnes entraient dans la salle qui était jusque-là vide de gens autre que Seresu. C’étaient deux femmes qui étaient entrées en compagnie d’un homme que beaucoup qualifieraient de plutôt beau gosse ; rien qu’en les voyant, Seresu souffla intérieurement son mécontentement sans se faire remarquer et hésitait à partir, ces trois vils personnages venaient toujours l'énerver de plein de façons : à plusieurs reprises, ils s’étaient attribué tout son travail, lui avaient volé ou parfois, ils avaient même injurié et détruit ses travaux durement construits. À chaque fois, elle laissait passer, car ce n'était pas vraiment important, mais s'ils endommageaient son présent travail, elle aurait du mal à se retenir de se mettre en colère.
Finalement, les trois énergumènes virent Seresu et s’approchèrent, avec, comme à l’habitude, l’intention de l’empêcher de continuer sa peinture, cette dernière rangea rapidement son matériel de peinture, mais trop tard, ses ennemis étaient déjà là.
- Et ben alors Seresu, tu ne nous as pas appelé pour nous montrer ton travail ? Quelle méchanceté, moi qui nous croyais amis. Commença la première femme sur un ton condescendant. Tu ne veux pas nous faire voir ? Continua-t-elle sur un ton moqueur qui attisait déjà le mécontentement de Seresu.
- Non ! C’est pour un examen, je n’ai pas à vous le montrer à vous trois, Lise ! Répondis Seresu, à la limite de l’agacement. Vous ne voulez pas aller emmerder quelqu’un d’autre ?
- Nan, mais comment tu nous parles ! Tu te crois notre égale ? Disait la deuxième femme sur un ton encore plus hautain que la première, le tout accompagné de mouvements du doigt et du bassin, la rendant plus irritante que n’importe qui ; ça remarque fit sourire les deux autres qui regardaient Seresu de haut comme s’ils étaient supérieurs.
- Tu devrais te mettre à genoux devant nous, déjà qu’on accepte que tu nous parles. Dit-elle en poussant Seresu pour qu’elle tombe au sol. Aller, lèche-moi les pieds et je te pardonnerais pour cette fois !
Cette fois, s’en était trop, Seresu sentit son cœur se serrer de colère et son esprit se vidait, elle se relevait et lançait un regard noir sur la folle qui la prenait de haut en disant, pleine de colère :
- Tu te prends pour qui ? Je ne suis pas ton esclave ! T’as qu’à te les nettoyer toi-même au lieu de venir me faire chier sur mon lieu de travail !
À ces mots, Lise, la cheffe du petit groupe, passa devant la deuxième femme et poussa violemment Seresu qui tomba quelques mètres plus loin, elle prit ensuite un pot de peinture sur une étagère non loin et le lança sur la toile de Seresu, pas assez rapide pour agir.
- Et voilà, à nous prendre de haut et à nous menacer, tu récolte ce que tu mérites, aller, on part les gars ? Demanda-t-elle à ses deux serviteurs.
- Oui, on y va. Répondi le garçon qui n’avait pas ouvert la bouche depuis le début de la discussion. Il regarda Seresu avec mépris et commença à rire avec ses deux amies en repartant.
Seresu vit son esprit se tenter de rouge, elle se leva, s’approcha très rapidement de Lise qui se retourna, étonné, puis lui infligea un coup-de-poing qui l’envoya contre une étagère, sonné ! Les deux autres étaient choqués et ne savaient pas comment réagir. Les poings serrés, Seresu continuais à avancer vers son ennemi juré.
- Ce n’est pas pars ce que tu es riche que tu peux t’en prendre à tout le monde sans contrainte !
Seresu lui agrippa les cheveux, ses yeux étaient chargés de haine.
- N’essaie plus jamais de me prendre de haut ou de me mettre en colère !
Seresu la frappa une nouvelle fois, ce qui la fit tomber au sol à nouveau, le nez éclater, Seresu se laissa tomber sur son ventre et continua à la frapper de toutes ses forces, les deux subordonnées de Lise finirent par réagir une fois qu'ils furent sortis de leurs torpeurs, ils attrapèrent Seresu par les bras et la tirèrent en arrière, puis ils s’enfuirent en emmenant leur cheffe au visage ensanglanté.
Seresu reprenait ses esprits, elle paniquait, alla se laver rapidement les mains teintées de sang puis essaya de rattraper au mieux sa peinture qui garda malgré tout quelques traces, heureusement, sa peinture avait séché avant que Lise ne la salisse et elle réussissait à rattraper et à reprendre là où elle en était avant l’incident au bout d’une heure et demie de travail acharné.
Malheureusement, en début d’après-midi, le vice-directeur lui-même vint chercher Seresu dans la salle ou elle s'était isolé et lui ordonnait de le suivre sans tarder, Seresu rangeait rapidement ses pinceaux, sa peinture et enroulait sa toile dans un tissu qui ne laissera aucune trace avant de la ranger elle aussi dans son sac. Elle suivait ensuite le vice-directeur jusqu’à la salle de réunion où était traités toutes les affaires concernant les élèves, elle ne comprenait pas pourquoi elle avait été dépêchée ici, mais elle se doutait que ce fût encore une fois à cause de Lise.
Malheureusement, elle avait vu juste, lorsqu’elle entrait dans la salle, elle vit toutes les hautes pointures de l’académie qui c’était réunis pour procédé comme à leur habitude aux sanctions des étudiants indiscipliné, mais elle vit surtout Lise et ses acolytes assit sur des chaises quelques mètres plus loin, Seresu fis un rictus en voyant le visage de Lise entouré de bandage légèrement taché de rouge, elle fut priée de s’assoir au centre de l’amphithéâtre qui, aux yeux de Seresu, était devenu terrorisant de pars l’atmosphère qui pesait dans la pièce. L’interrogatoire commençait dès que Seresu fut installé, le Directeur en personne pris la parole :
- Bien, maintenant que tous sont là… Commença-t-il d’une voix particulièrement grave, ce matin, aux environs de la onzième heure, toi, Seresu Eire élève de troisième année en étude artistique et littéraire à agresser Lise Von Dertrich, élève de seconde année en étude d’art et de politique. Est-ce exact ?
- Non, ce n’est pas ce qu’il s’est passé, j’étais dans…
- Vous n’avez pas le droit d'argumenter, répondé uniquement par oui ou non ! Dit-il en coupant la parole à Seresu. Visiblement agacé. Vous étiez dans une salle sans aucune caméra de surveillance, or, deux personnes sur le lieu de l’incident ont donné le même témoignage… Dois-je comprendre que vous osez mentir en présence de toute l’administration universitaire ?
- Non, jamais je n’oserais, laissez-moi m’expliquer !
- Encore une fois, vous n’avez pas l’autorisation d'argumenté pour le moment ! Lise se leva et prit la parole :
- Chère Administration, comme vous pouvez le voir…
- Vous n’avez pas droit à la parole, assaillez-vous, nous vous interrogerons le moment venu. Sa voix, toujours très grave, semblait porter une influence certaine sur toute l’assemblée, Lise, sous le choc, se rassit et ne bougea plus, sa confiance en elle venait d'être, en une seule phrase, brisée en morceaux. Bien, cette accusation a été porté par Lise Von Dertrich et ses deux camarades, Seresu Eire, veuillez nous dire votre version des faits, nous délibérerons une fois votre témoignage terminé.
Suite à cela, Seresu raconta en détail tout ce qui c’était passé quelques heures aux par avant, puis, Seresu, Lise et les deux autres élèves durent sortir de la salle pendant que le conseil délibérait, une demi-heure passait avant que les quatre gens ne fussent à nouveau invitées dans la salle, encore une fois, seul le directeur pris la parole :
- Suite à notre délibération, il a été conclu que Seresu Eire était innocente et que Lise Von Dertrich et ses deux compatriotes étaient coupables ! En réponse à ces actes, les trois à l’origine de cet incident seront exclus de l’Aurore en vue de l’article 45 alinéa 3 stipulant que tous actent nuisant au travail d’un élève seront sanctionnés par l’expulsion pure et dure de l’académie pour une durée de dix ans !
- Mais… je n’ai rien fait ! protesta Lise, son visage exprimant clairement son incompréhension
- C’est faux ! Contrairement à ce qui avait été dit au début de l’assemblée, la pièce contenait des caméras de surveillance ; nous savons donc que vous et vos collègues sont responsable ! Cependant, Seresu Eire vous avez délibérément agressé un élève de l’académie, et cela, même si c’est justifier, est interdit par l’article 33, ainsi, conformément à ce dernier, vous êtes expulsés pendant une durée de sept jours. Cette assemblée est terminée. Vous quatre ! Dit-il en pointant du doigt les étudiants. Retournez chez vous, et que le conseil ne vous y reprenne plus mademoiselle Eire !
Seresu rentrait à l'appartement vers quinze heures et elle continuait sa peinture, bien sûr, elle était mécontente d’avoir été exclue pendant une semaine, et qu’ainsi, elle n’allait pas pouvoir participer à ces cours, mais elle était rassurée, car sa pire ennemie avait été renvoyé, ce qui signifierait que plus jamais elle ne lui causerait de problème !
Arthur, de son côté, n’avait pas grand chose a me raconté, il n'avait pas une vie bien passionnante, chaque journée se passait sensiblement de la même manière : il se réveillait, mangeait, allait en cours, une fois ces cours terminés, il prenait son déjeuner, l’après-midi, sois il allait à d’autres cours, ou bien, il jouait aux échecs et faisait des tournois avec son club, parfois, il allait aussi à la bibliothèque ou bien, il sortait avec sa bande d’amis...
Les jours, et même les semaines passaient très vite, et rapidement, on arrivait à vendredi, chacun rentrait à l’appartement, j’arrivais en deuxième après Seresu qui était sorti acheter de la nourriture. Il était vingt-et-une heures lorsque Arthur arrivait, on mangea un super repas de pâtes avec une sauce carbonara à ma façon, puis on s’étalait devant la télé dans le salon et on regardait un film.
Il était aux alentours de vingt-trois heures, et l'image se brouillait. Je tentais de zapper sur les autres chaînes, mais c'était la même chose. Et soudain, une image entrecoupée, floue, s'étalait sur l'écran. On y devinait les contours d'une femme, l'air terrorisé. Sa voix était entrecoupée, mais le message restait clair : ...c’est horrible ! Il… Des gens sont morts… Je… Des tremblements de terre se sont déclarés et ont tout détruit ! C’est partout ! Le Japon est anéanti, toutes les grandes villes ont été détruites ! Venez-nous sauver ! Je vous en supplie… Help me… Je… Je vais mourir !...
Après ce message de détresse, des informations furent affichées : de nombreux tremblement de terre de magnitude 6 à 8 ainsi que des éruptions volcaniques s’étaient déclaré et avait fait de nombreux morts, plus de 300 millions de victimes, le Japon, le Mexique et les côtes Est de l’Amérique avais été rayé de la carte a plus de quatre-vingt pour cent et des incidents tels que des tsunamis ou des nuages de cendres volcaniques était à prévoir, ainsi, les habitants des côtes de nombreux pays était prié de se rendre le plus loin possible à l’intérieur des terres afin de ne pas alourdir encore le bilan des victimes...
Je me souvins soudain de l'homme qui criait que la fin était proche... Avait-il finalement raison ?..
parfois c'est plutôt vulgaire mais après c'est ton choix, et ça serait bien de plus développer la vie des élèves dans l'école pour que ça nous plonge plus dans le récit. Un peu comme harry potter ou game of thrones dans une certaine mesure.
Second chapitre très intéressant (Cassroom of the elite, désolé, j'ai été forcé de le dire...)
Bref, même remarque que j'ai fait au chapitre 1 concernant le format et la longueur des phrases (1er paragraphe, deuxième ligne, la phrase fait 7 lignes)
Il y a encore des fautes de frappe et de conjugaison (malheureusement, ce n'est pas ma spécialité).
"Elle allais a qon cours, puis une fois qu'il dut terminé, elle fillait directement" -> Elle alla à son cours, puis une fois qu'il eût terminé, elle fila directement
Sinon, l'histoire me semble très bien.
Je compatis pour la correction (c'est la partie que je déteste, comme j'écris en phonétique, l'orthographe et la conjugaison prennent cher)
Aïe aïe aïe, j'avais pas vu ses fautes, flûte, merci de me les montrer, et encore désolé pour la longueur des paragraphes, a bientôt, bonne continuation
Alors je vais être tout à fait franche, je n'ai pas été tout à fait au bout de ton chapitre. Je me suis arrêtée au cours du premier dialogue entre Seresu et les trois personnes venant l'embêter dans la salle où elle peint.
Il y a vraiment beaucoup de fautes d'orthographe, et je crois que tu gagnerais énormément à faire une relecture centrée là-dessus. Je te mets tout de même les corrections que j'ai notées lors de ma lecture inachevée :
"Je m’assis à une table et je sortis les différents devoir que j’avais à faire, et je passai tout l’après-midi ainsi qu’une partie de la soirée à terminer tout ce que j’avais à faire." deux fois "que j'avais à faire" dans la même phrase, c'est un peu redondant.
"20 heure" -> vingt heures ou 20H00 mais le mélange n'est pas très heureux
", je relevais la tête et je vis de grands yeux rouges.
Le lendemain, la journée se repassa sensiblement de la même..." -> la transition est un peu sèche. Ce rêve l'a-t-il réveillé en sursaut ? S'en souvient-il le lendemain au réveil ?
"vieille femme affublé d’une canne arriva, en passant à côté de moi, elle me fit un beau sourire, je lui passai à côté puis, tout bas, elle me dit :
Tu sembles affublé d’un bien lourd fardeau, revient me voir lorsque tu seras prêt, je serais près de " -> affublé x2, un peu redondant. Au délà de ça, il manque une ponctuation à la fin, ne serait-ce que des points de suspension.
", je n’avais pas pris de cours pendant la matinée et je suis donc allé au bâtiment du club de manga afin de lire et de me détendre," -> la concordance de temps n'est pas bonne.
À partir de "Seresu s’était réveillé" -> on change de point de vue, de personnage, de manière un peu tranchante. Jusque là, on était sur un point de vue interne, celui de Samuel, et brusquement on change et on suit Seresu. Alors ce n'est pas gênant en soi, mais dans un même chapitre, c'est bizarre. Si tu veux adopter plusieurs points de vue, je te conseille de ne pas le faire en un seul et même chapitre, ou à la limite, de ne pas écrire à la première personne et comme ça tu peux adopter un point de vue omniscient.
De plus, un petit plus loin tu écris "elle se mit au travail, comme je l'ai déjà mentionné"... C'est très curieux. On serait omniscient, et en même temps du point de vue de Samuel ?
"à la place ou elle avait l’habitude de se positionner" -> l'habitude de s'assoir ? Sa place habituelle ?
"la faire chier de pleins de façons" -> trop familier pour du narratif, et même si tu écris avec un langage plutôt familier, je trouve ça un peu abrupt. Éventuellement tu peux mettre ça sous forme de pensée "Ces trois-là venaient toujours la faire chier, songea-t-elle" ou "ces trois-là viennent toujours me faire chier, songea-t-elle".
"le tout accompagné de mouvements la rendant plus irritante que n’importe qui" -> un passage descriptif serait mieux je pense. Je me suis perdue sur ce dialogue, il serait plus léger si tu l'entrecoupais de vrais passages descriptifs.
Coquilles/fautes :
"je n'avais aucun cour" -> cours ; "je devais resté" -> rester ; "les bâtiment réservé" -> les bâtiments réservés ou le bâtiment réservé ; "des distributeur" -> distributeurs ; "se repérer et travaillé" -> travailler ; "6 zones divisée" -> six zones divisées ; "était posée ça-et-la" -> étaient posés çà et là ; " j’avais un corps bien bâtit" -> bien bâti ; "que je n’avais jamais vu" -> vue ; "à moitié détruit" -> détruits ; "jonchait" -> jonchaient ; " j’étais blesser " -> blessé ; "Toute vie autour de moi s’étouffaient" -> s'étouffait, mais je ne suis pas sûre que ça soit le bon verbe... s'éteignait ? ; "se faisait écraser ou était tué" -> se faisaient*, étaient tués* ; "d’autre mourrais" -> d'autres mouraient" ; "périssaient bruler dans des flamme" -> brûlés* ; des flammes* ; "je me répéter" -> je me répétais ; "j'arrivât" -> j'arrivai ; "j'entendit" -> j'entendis ; "je sortie" -> sortis ; "je partie" -> partis ; "j'atterrie" -> atterris ; "étaient recouvert" -> recouverts ; "s'enfonçais" -> s'enfonçait ; "né à né" -> nez à nez ! mais ça se dit plutôt par rapport à une personne ; "je me levis" -> je me levai ; "trame de métro" -> rame ; "vieille femme affublé" -> affublée ; "revient me voir" -> reviens ; "je serai près de" -> je serai ; "que venais elle" -> que venait-elle ; "que voulais-t-elle" -> que voulait-elle ; "j'eu" -> j'eus" ; " j’arriva à" -> j'arrivai à ; "Seresu s’était réveillé" -> réveillée ; "grasse-matinée" -> grasse matinée ; "Arthur qui prenais" -> prenait ; " rien s’anormal" -> d'anormal ; "pris sa toile" -> prit ; "femme qui était entré" -> entrée ; "de pleins de façons" -> de plein ; "s'étaient attribué" -> attribués ; "comme a l'habitude" -> comme à leur habitude ; "de l'empêché" -> empêcher ; "Vous ne voulez pas allez embêter" -> aller embêter ; " tu nous parle !" -> parles ; "ça remarque" -> sa
NB :
Passé simple : j'arrivai
Imparfait : j'arrivais
(Je n'ai pas "corrigé" tes mélanges de temps passé simple/imparfait, mais attention sur certaines phrase où tu mélanges les deux alors qu'un seul temps serait plus correct. Ex : "je relevais la tête et je vis de grands yeux..." -> l'imparfait suggère une action continue, alors que le passé simple convient mieux à une action ponctuelle !)
C'est vraiment dommage toutes ces petites fautes, parce que l'histoire est intéressante. Très mode manga, je pense que ça doit être un genre de livre que tu aimes, et moi aussi donc je m'y retrouve, mais les fautes tuent un peu le récit.
Si tu as des difficultés en orthographe, il y a des logiciels qui sont spécialisés dans la correction, style antidote. Après sur internet tu peux aussi facilement trouver les tables de conjugaison, les explications sur les accords.
Je te souhaite bon courage pour la suite :)
C'est effectivement un style qui se rapproche du manga, pour être franc, je l'imagine beaucoup mieux en manga qu'en roman, mais je ne sais pas dessiner :) je te remercie également d'avoir pris le temps de noter toutes les fautes que j'ai pu faire et de m'avoir donné un logiciel de correction, je vais vraiment essayer de m'améliorer, bonne continuation
Je te donne un petit conseil de mise en forme : sépare tes dialogues de ton narratif. Sur des passages comme celui-ci :
"- Ce n’est pas pars ce que tu es riche que tu peux t’en prendre à tout le monde sans contrainte ! Seresu lui agrippa les cheveux, ses yeux étaient chargés de haine. N’essaie plus jamais de me prendre de haut ou de me mettre en colère ! Seresu la frappa une nouvelle fois, ce qui la fit tomber au sol à nouveau, le nez éclater, Seresu se laissa tomber sur son ventre et continua à la frapper de toutes ses forces, les deux subordonnées de Lise finirent par réagir une fois qu'ils furent sortis de leurs torpeurs, ils attrapèrent Seresu par les bras et la tirèrent en arrière, puis ils s’enfuirent en emmenant leur cheffe au visage ensanglanté." On sépare mal la partie où ton personnage parle de celle où tu décris.
Pour le passage sur son tableau, de la peinture est renversée, finalement il n'y a que quelques traces dessus ?
"la salle de réunion pour toutes les affaires qui concernaient les élèves" -> je comprends ce que tu veux dire ici, mais ça pourrait être mieux formulé.
"- Vous n’avez pas le droit de prendre la parole ! " -> il vient de lui demander si c'était exact, donc théoriquement il lui donne la parole.
" et ses deux compatriotes étaient coupables" -> camarades ? Je ne comprends pas l'utilisation du mot compatriote ici.
Changement de point de vue très abrupte : "j’arrivais en deuxième après Seresu" l'utilisation soudaine du "je" était curieuse à la lecture (d'autant que ça faisait quelques jours que je ne t'avais pas lu, et que j'avais oublié que ton personnage principale parlait à la première personne).
"Plus tard, vers vingt-trois heures, toutes les chaînes coupèrent pour laisser place à un appel à l’aide, il n’y avait que quelques images floues qui grésillaient sans cesse ainsi qu’une femme apeurée : c’est horrible ! Il… Des gens sont morts… Je… Des tremblements de terre se sont déclarés et ont tout détruit ! C’est partout ! Le Japon est anéanti, toutes les grandes villes ont été détruites ! Venez-nous sauver ! Je vous en supplie… Help me… Je… Je vais mourir !" -> ce passage mérite d'être retravaillé : on arrive sur un gros cliffhanger, il faut qu'on sente qu'il se passe quelque chose d'inhabituel ! Style :
"Il était aux alentours de vingt-trois heures, et l'image se brouilla. Je tentais de zapper sur les autres chaînes, mais c'était la même chose.
Et soudain, une image entrecoupée, floue, s'étala sur l'écran.
On y devinait les contours d'une femme, l'air terrorisé.
Sa voix était entrecoupée, mais le message restait clair :
...c’est horrible ! Il… Des gens sont morts… Je… Des tremblements de terre se sont déclarés et ont tout détruit ! C’est partout ! Le Japon est anéanti, toutes les grandes villes ont été détruites ! Venez-nous sauver ! Je vous en supplie… Help me… Je… Je vais mourir !..."
Et quelques corrections orthographiques :
"ça remarque" -> sa remarque ; "s’en était trop" -> c'en ; " son esprit se vidait" -> se vider ; "tu récoltes" ; "son esprit se tenter de rouge" -> teinter ; "sonné !" -> sonnée ; "Seresu continuais à avancer" -> continuait ; "son ennemi juré" -> ennemie jurée ; "pas pars ce que" -> !!! pas parce que ; "le nez éclater," -> éclaté ? ; "ou elle s'était isolé" -> où elle s'était isolée ; "qui ne laissera aucune trace" -> qui ne laisserait (concordance de temps) ; "mais elle se doutait que ce fût encore une fois à cause de Lise." -> soit "mais elle se doutait que c'était à cause de Lise", soit "mais elle ne doutait pas que ce fût encore une fois" ; "qui c’était réunis pour procédé" -> qui s'étaient réunies pour procéder ; "étudiants indiscipliné" -> indisciplinés ; "Lise et ses acolytes assit" -> assis ; "Seresu fis un rictus" -> eut un rictus ; "de bandage légèrement taché de rouge" -> bandages* tachés* ; "de pars l'atmosphère" -> de part ; "fut installé" -> fut installée ; "pris la parole" -> prit ; "à agresser" -> a agressé ; "assaillez-vous" -> asseyez-vous ; "cette accusation a été porté" -> a été portée ; "quelques heures aux par avant" -> auparavant ; "invitées" -> invités ; " tous actent " -> tout acte ; "sont responsable" -> responsables ; "même si c’est justifier" -> justifié ; "avait été renvoyé" -> renvoyée ; "une fois ces cours terminés" -> ses cours ; "Seresu qui était sorti" -> sortie ; "de nombreux tremblement de terre" -> tremblements ; "s'étaient déclaré" -> déclarés ; "avait fait" -> avaient fait ; "avais été rayé" -> avaient été rayés ; "était à prévoir" -> étaient ; "était prié" -> étaient priés
Bonne soirée !
Je vais effectivement séparés mes dialogue, je me suis aperçu que ce n'était pas le meilleur, merci, pour le mot compatriotes, je l'ai utilisé pour ne pas faire de répétition du mot camarade, mais si ce n'est pas nécessaire, alors je changerai pour autre chose. Est ce que tu aurais une idée de comment je pourrais améliorer le passage a la première personne ? Je pensais que c'était bien pour être franc. Je suis un peu étonné d'avoir des critiques, mais je vais m'améliorer, et je pense que je vais garder ta version pour le cliffhanger,
Désolé de toujours prendre les textes que tu réécris, mais je les trouve mieux que les miens...
En tout cas, merci pour ton commentaire, j'espère que tu continuera a lire !
Pour l'utilisation de "compatriote" : ça peut être camarade mais si tu l'as trop utilisé tu peux mettre amis, sbires (parce qu'ils ont l'air de la suivre partout), acolytes, ... C'est juste que compatriote ne convient pas ! Au niveau du sens du mot, qui veut dire des personnes vivants dans le même pays.
Pour ce qui est de passer d'un personnage tiers à un personnage à la première personne, ça n'est pas quelque chose d'évident. Soit tu peux le découper en chapitre (le plus simple pour le lecteur, c'est quand on suit un personnage par chapitre), soit en marquant une pause dans ton texte (signalée par des étoiles et un saut de ligne par exemple, pour que ça marque une rupture).
Pour éviter de reprendre entièrement tes chapitres, tu peux utiliser plutôt la seconde méthode. Je te donne un exemple sur ton texte ici :
Je reprends directement après le "...que le conseil ne vous y reprenne plus mademoiselle Eire !" (dans mon style, mais c'est pour que tu comprennes l'idée).
"...que le conseil ne vous y reprenne plus mademoiselle Eire !
***
J'étais à l'appartement quand Seresu était rentrée, aux alentours de quinze heures. Elle semblait mécontente et m'expliqua ce qui venait de se produire, et son exclusion pour une semaine. Elle était en colère, de ne plus pouvoir assister à ses cours, mais en même temps sa pire ennemie avait été renvoyée, et cela lui enlevé une belle épine du pied."
-> ici je conclus sur le passage concernant Seresu, mais en adoptant le point de vue de Samuel. L'idée c'est de lier les deux passages.
Sur le paragraphe suivant du parle d'Arthur, tu peux aussi le faire via le regard de Samuel.
C'est juste une idée, tu es libre de t'en inspirer ou non, mais cela évite une transition trop brutale selon moi, entre le passage d'un personnage à l'autre :) Encore une fois, ça n'est qu'une suggestion, donc ne t'inquiète pas !
Par exemple : Une fois rentrée a l'appartement, Seresu me racontait sa semaine, tout d'abord [...] Mademoiselle Eire.
Sa semaine m'avais paru mouvementé et on avait continué d'en parlé jusqu'à ce que Arthur rentre...
Je te remercie de ce bon partage Samuel
Gardar
Me revoilà!
Tes personnages sont attachants et l'histoire intéressante mais même problème que dans ton chapitre précédent. L'orthographe et quelques fautes de style mais ça s'apprend et ça se corrige. Je te donne un exemple sur ce paragraphe. Je l'ai réécris. Peut-être que tu n'aimeras pas ma version, pas de souci. ;-) Ce n'est qu'une suggestion. Je ne suis pas un professionnel.
Je pense que tu peux faire beaucoup mieux. A mes débuts j'écrivais un peu comme toi et puis on apprend et on progresse! :-) Je suis désolé je suis un peu long. :-)
"Je réintégrai mon appartement vers 20 heure, mes colocs avaient déjà préparé le repas ; enfin… préparé est un bien grand mot vu qu’ils avaient commandé des pizzas, on mangea devant un bon film et chacun retourna dans sa chambre, exténué de la journée, cependant, malgré la fatigue, je fis des exercices de musculation et d’étirement avant d’aller dormir, j’avais un corps bien bâtit, mais malgré cela, je ne pouvais pas me battre, je perdais toujours mes moyens devant un adversaire."
Je réintégrai mon appartement vers 20 heure, mes colocs avaient déjà préparé le repas ; enfin… préparé est un bien grand mot vu que le seul effort fourni avaient été de composer le numéro de la pizzeria. Les pizzas furent avalées devant un bon film et chacun retourna dans sa chambre, exténué par la journée.
Malgré ma fatigue, le sommeil me snoba et pour me détendre, je fis des exercices de musculation et d’étirement. Mon corps était bien proportionné mais ma musculature ne m'était d'aucun secours quand il s'agissait de me battre. Je perdais toujours mes moyens face à un adversaire.