Je suis Axel Sheler 17 ans bientôt 18 encore puceau enfin ça s'est presque fini. Oui, je vais le faire avec l’homme que j’aime ou devrais-je dire avec l’homme et qui est aussi le chanteur que j’aime. Ce qui m’a fait changer et débloquer ? Moi-même, je cherche encore, mais j’ai senti comme quelque chose changer en moi quand il a chanté. Nous sommes arrivés youpi ! Ou pas mon cul va avoir mal. Nous rentrons dans l’entrée à peine, il a fermé la porte que je le plaque à cette dernière et l’embrasse. Je ne tiens vraiment plus j’ai du mal à me contrôler.
-Axel arrête je vais avoir du mal à me contrôler.
-Diaval…Diaval…
-Tu ne tiens plus Axel ?
-Non Diaval…
Il pose sa main sur mon entrejambe.
-Tu comptais me la cacher longtemps ?
-Je…ah !
-Hmm, elle est déjà si dure. Tu as tout accumulé ces derniers jours comme tu n’arrivais pas à te soulager. Tu es sur le point d’exploser.
« -Ça fait mal n’est-ce pas ?
-Oui Caporal.
-Avant que je m’occupe pleinement de toi, jouons un peu.
Il me pousse sur le canapé non loin de là.
-Nous irons dans la chambre après.
-D’a-d’accord.
-Comme c’est ta première fois, je ferai tout, mais retiens bien comme ça les prochaines fois, tu pourras m’aider.
-O-oui.
Il m’embrasse de nouveau avant de passer ses mains sous mon tee-shirt et va chercher mes bouts de chaire, les caresses et les pinces ce qui me fait gémir.
Il enlève mon tee-shirt et va suçoter mes bouts de chaire avant de les mordes. C’est bizarre et j’ai mal en bas s'est serré trop serré.
-Ah ! Diaval !
-Oui Axel.
-Je suis serré s’il te plaît.
-Je refuse.
-Hein ?
-Tu vas attendre un peu.
-Je t’en prie Diaval.
-Fais-moi confiance, je t’ai promis que ta première fois sera merveilleuse non ?
-O-ouii.
-Alors laisse-moi faire.
Il continue son affaire et je ne peux contrôler mes gestes et vais à la recherche de son entrejambe avec ma main. Je l’ai à peine touché qu’il m’arrête.
-Je t’interdit de me toucher pour l’instant et encore moins ici.
-Pour-pourquoi ?
-C’est pour ton bien. J’ai peur de ne pas me contrôler et te faire mal. Laisse-moi faire.
-En-entendu.
Il recommence et caressant chaque parcelle de ma peau au niveau du torse. Il descend petit à petit, mais pas assez à mon goût. Je grogne.
-Axel lève-toi.
-Mais…
-C’est un ordre.
-Bien.
Diaval peut apparaître dure et froid au premier abord, mais au fond, je sais qu’il fait ça pour mon bien. Pour que ça soit bien.
-On va dans la chambre maintenant.
-D’accord.
Une fois dans la pièce où l’acte sera commis. On dirait un crime comme ça. Mais bon revenons à nos moutons.
-Met toi à quatre pattes sur le lit.
Je fais ce qu’il me dit. Il se place au niveau de mes fesses comme s’il allait me pénétrer maintenant. Il colle sont ventre à mon dos. Il est torse nu et je sens quelque chose plus bas.
-Tu la sens Axel ? Ce qui te fait dire que tu m’excites.
-Oui Caporal.
Je la sens elle est dure. Lui aussi a dû se retenir et accumuler, c’est dernier temps. Il continu ses caresses sur mon corps, c’est agréable. Il arrive au niveau de mon pantalon. Il me fait l’enlever et continue ses caresses, mais sur mes jambes sans avoir touché ma partie. Cela me frustre, mais me sens déjà un peu moins serré. Il me lèche le dos en même temps qu’il remonte ses doigts le long de mes cuisses. Il me manipule avec tellement de délicatesse comme s’il avait peur que je me brise à tout moment. Cela me rappelle comment il manipulait les instruments de musique en cours.
-Axel tourne toi je te pris.
Sa voix est si douce, je sais qu’il ne me veut aucun mal, je lui fais confiance du plus profond de mon cœur. Il a ces raisons pour ne m’avoir rien dit pour son secret. Et comme c’est si bien dit, c’est un secret. Je peux m’abandonner à lui sans problème. Alors je m’exécute et me retourne pour le voir, je veux le toucher, le sucer, je veux tout de lui, lui qui est celui que j’aime, mon oxygène, ma drogue, mon âme sœur et mon cœur.
-Diaval…
-Oui Axel ?
-Je veux…
-Dit moi Axel.
-Te toucher.
Il me fait signe de la tête et un sourire. Je lui caresse à mon tour les bras et remonte vers son torse.
-Ah Axel tu es plutôt doué ah !
Je viens de lui pincer et de lui tirer un téton.
-C’est parce que j’ai eu un excellent professeur.
Il vient m’embrasser une nouvelle fois en demandant l’accès à ma bouche que j’accepte. C’est donc une danse endiablée qui commence en haut alors qu’en bas Diaval abaisse mon caleçon pour libérer de ce dernier tissu. Une fois retiré, je ne peux m’empêcher de gémir sous l’effet de la libération. Ça fait du bien d’être libre.
-Elle est si dure déjà.
Il approche son visage et donne un coup de langue sur mon gland me faisant une nouvelle fois gémir. Il lèche sur toute la longueur avant de mettre mon engin entièrement dans sa bouche. Putain que c’est bon ! Il fait des vas et viens. Je gémis de plus en plus fort, c’est si bon. Il accélère, mais quand je me sens au bord de la jouissance, il s’arrête. Je grogne une nouvelle fois.
Il se met les deux genoux de chaque côté de mon ventre et me pince le nez. Ne pouvant plus respirer, j’ouvre la bouche. Je ferme un peu les yeux et je le sens, c’est l’engin de Diaval. Il enlève la main qui me pinçait le nez. Il bouge ses hanches pour faire des vas et viens dans ma bouche, mais j’en décide autrement. Je prends ses bourses dans une main et son membre dans l’autre et commence à le sucer et malaxer ses bourses. Je fais des vas et viens et enroule ma langue autour de son membre.
-Ah Axel tu es si bon.
Il reprend mon membre et le masturbe d’une main alors que l’autre vient se loger derrière ma tête, m’indiquant d’aller plus vite.
-Axel arrête je vais venir retire-toi.
Ça, il en est hors de question Diaval, je veux tout de toi-même de ta semence. Je me sens au bord de la jouissance également. J’accélère encore et creuse les joues.
-Ah Axel je...ah !
Comme il l’a dit, il a joui dans ma bouche et moi dans sa main.
-Axel crache ce n’est pas bon.
Je ne lui obéis pas et l’avale. Sa semence est légèrement sucrée. Il descend du lit et enlève entièrement son pantalon et son caleçon. C’est là que je remarque, mais elle est vraiment énorme en fait ça ne rentrera jamais dans mon petit cul. Il revient et me dit.
-Axel je vais te préparer maintenant ça risque de faire un peu mal comme c’est ta première fois, donc se sera normal.
En signe de oui, je hoche la tête. Il va ensuite vers sa table de nuit et en sort du lubrifiant. Attends depuis quand il a ça lui ?! Bon d’un côté, il prend soin de moi. Il fait couler le liquide sur ses doigts avant de revenir et de m’écarter les jambes.
Il fait entrer un premier doigt qui passe assez bien. Quand il fait entrer le deuxième, je gémis de douleur. Diaval masturbe alors mon membre pour me détendre et me faire oublier la douleur. Ce qui est plutôt efficace. Quand il me sent plus détendu, il fait bouger ses doigts en faisant un mouvement de ciseau. Puis il insère un troisième doigt ça fait mal ! Il les faits bouger, il les écarte à l’intérieur, je le sens.
Après un long moment avec ses trois doigts insérés dans mon cul, Diaval les retirent ce qui me laisse une impression de vide. Avant d’aller de nouveau à sa table de nuit et d’en ressortir un préservatif. Quand il est sur le point de le mettre, sur le lit, je l’arrête d’une main.
-Axel ?
-Diaval, je ne veux pas que tu le mettes. Tu es le seul que j’aime et ne veux le faire qu’avec toi alors s’il te plaît, c’est toi que je veux sentir pas un morceau de latex.
-D’accord Axel. Mais je vais mettre du lubrifiant sinon tu vas avoir très mal.
-Oui.
Il fait ce qu’il a dit et se place devant mon entrée.
-Tu es prêt à dire adieu à ta virginité Axel ?
-Oui.
-Bien dit lui adieu.
-Adi… ah !
Il est rentré d’un coup sec des larmes perle au coin de mes yeux. Diaval se penche et vient les lécher et m’embrasser.
-Si serré.
Il attend pour bouger. La douleur commence à descendre et je bouge légèrement pour lui dire qu’il peut y aller. Ce qu’il fait il y va doucement au début mais je lui demande vite d’accélérer c’est si bon, je ne pensais pas que je ressentirais ça. C’est merveilleux, j’en pleure de joie tellement, c’est bon. Nous ne faisons plus qu’un en ce moment.
-Diaval plus vite…
-À tes ordres.
Il accélère encore et encore, c’est si bon, mais lors d’un coup de reins, je gémis plus fort que les autres.
-Je l’ai trouvé.
C’est alors qu’il fait monter mon bassin jusqu’à ce que seulement mon haut du dos et ma tête touche les draps. Lui est presque debout et me pénètre de nouveau en martelant ce point qui me fait gémir si fort. Je m’en sens au bord de la jouissance et Diaval le voit, il revient à la position d’avant, avant d’ajouter.
-Axel ah…montons…ensemble au ah…septième ciel.
-Ah ah Oui…
Comme il l’a dit Diaval accélère une tout dernière fois et nous éjaculons ensemble à l’unisson en criant ainsi le nom de l’autre. Il s’écrase sur mon torse et essaye de reprendre son souffle tout comme moi. Il sort alors de moi avant de me dire.
-Alors Axel comment as-tu senti cette première fois.
-Horrible, je ne veux plus jamais recommencer !
Il est choqué, il ne sait plus quoi dire.
-Je me moque de toi Diaval. J’ai trouvé ça merveilleux si c’est à recommencer, c’est oui sans hésiter.
Il me fait un sourire et s’approche de moi en disant.
-Je préfère ça.
-Je t’aime Diaval.
-Moi aussi Axel. Me dit-il avant de m’embrasser.
Épuisés par nos ébats, nous finissons pars nous endormir dans les bras l’un de l’autre. À partir de maintenant, je ne fais plus qu’un avec Diaval et j’espère de tout mon cœur que ce sera pour la vie voir même au-delà.
Le lendemain, matin, c’est sous les rayons du soleil que je me réveille avec un Diaval me regardant amoureusement de ses yeux bleus.
-Bonjour mon cœur.
-Bonjour mon amour.
-Tu as bien dormi ?
-Oui très bien.
Je suis sur le point me lever quand :
-Non attends Axel…
-Quo-ah !
En voulant me lever une douleur me lance dans le bas de mon dos et je m’écroule sur le sol. Diaval vient vers moi et m’aide à me relever et de me coucher sur le ventre sur le lit.
-Je vais faire diminuer la douleur ne t’inquiète pas.
-D’accord.
Il pose ses mains au-dessus de mon bassin et commence à me masser ça fait du bien. Après cinq minutes de massage, Diaval se redresse.
-Ça devrai aller maintenant.
-J’ai déjà moins mal merci.
-Aller prend ma main.
Je lui prends la main et me lève. Je tiens sur mes jambes et arrive à marcher même si c’est un peu en pingouin. Je m’habille avec lenteur à cause de la douleur encore un peu présente. Diaval en fait de même et viens vers moi et m’enlace.
-Je suis heureux Axel. La nuit dernière était magnifique.
-Je le suis aussi Diaval et j’ai trouvé aussi.
-Il est temps pour toi que tu saches.
-De quoi tu parles ? Tu me fais peur.
-Il est temps pour toi de découvrir ma pièce mystérieuse.
-Vue comment tu en parles je suis plus trop sûr de vouloir savoir.
Il se met à rire légèrement et je le rejoins dans le fou rire.
-Hahaha, que tu le veuilles ou non, tu vas savoir ce qu’il y a dans cette salle.
Il a changé d’expression si violemment que ça me fait peur. Il m’emmène devant cette fameuse pièce où je n’ai jamais vue Diaval y entrer ou quoi que ce soit d’autre. Je ne suis pas du tout rassuré.
-Axel donne-moi la clef autour de ton cou.
-Hein, mais pourquoi ?
-Pose pas de question idiote et donne-là moi.
Je lui donne ma clef, pourquoi il la veut, c’est juste la clef que mes parents mon offert avant de disparaître. Je le vois alors la passer dans la serrure et déverrouiller la porte, attends quoi !?
-Hein, mais comment ?
-J’ai changé la serrure pour pas que tu y ailles vue que la première fois que tu es venu, tu as failli y rentrer et quoi de mieux que la clef que tu portes tout le temps. Jamais tu n’aurais pensé que la vérité qui t’était caché depuis longtemps eh bien pouvait être dévoilée par quelque chose qui est toujours avec toi.
-Je…je…c’est bien trouvé mais quand as-tu…
-Quand tu dors ou encore durant ta douche, tu l’enlèves.
-Ingénieux, je n’ai rien à dire de plus.
Il me fait un sourire, mais finalement de quelle vérité parle-t-il ? Que se cache-t-il derrière cette fameuse porte ?
-Alors vas-y pousse cette porte et découvre ce qu’il a derrière.
Je m’avance et pose ma main sur la poignée. Je prends une grande inspiration et appuie dessus avant de l’ouvrir. Dans la salle, c’est sombre, elle est plongée dans le noir. Diaval me fait avancer un peu plus et allume la lumière qui m’ébloui. Je ferme les yeux sous la puissance de la lumière sur mes yeux.
Je les rouvre petit à petit et je suis ébloui cette fois-ci par ce qui se trouve dans cette pièce. Alors la vérité était vraiment sous mes yeux depuis le début où, devrais-je dire sur mon cœur depuis le début. Oui, dans cette pièce, se trouve tout ce qu’il faut à Diaval pour être ce chanteur. Celui que j’admire tant depuis longtemps maintenant.
-Alors tu aimes Axel ?
-Oui beaucoup Diaval.
Il vient à mes côtés et va ensuite vers un drap posé sur quelque chose. Il le soulève et l’enlève laissant apparaître un piano noir magnifique.
-C’est ici avec cet instrument que ma mélodie du cœur est née. La mélodie de mon cœur.
-C’est vrai ?
Je m’approche de lui et caresse le piano, la tête un peu ailleurs.
-Axel quelque chose ne va pas ?
-Non tout va bien, je me rends juste compte que je suis tombé deux fois amoureux de la même personne au fond, je suis heureux, la peur de te perdre pour ce chanteur a disparu. Puis je comprends maintenant pourquoi tu restais de marbre quand je te racontais ce qu’il me faisait et tout car en fait, c’était toi.
-Oui, mais tu m’as choisi à lui hier, c’est pour ça que je t’ai révélé mon vrai visage.
-Alors le baisé du début était un test ?
-Oui, on peut dire ça.
-Tu ne manques pas d’air, mais je ne t’en veux pas. Sinon je trouve cette pièce merveilleuse, je ne m’attendais pas à ça.
-Tu pensais à quoi ?
-Euh, eh bien, tu sais des menottes, des fouets enfin, tu sais… Dis-je gêné de m’être trompé.
-Oh ça, c’est ranger dans le placard près du lit.
-Ah, je…attends quoi, ce n’est pas vrai, tu possèdes des choses comme ça ?!
-Si, dans celui qu’on n’ouvre jamais, tu sais pourquoi maintenant. Mais je vais attendre que ton cul soit bien habitué avant de commencer ça avec toi.
-Ni compte même pas !
-Tu verras une fois que tu y auras goûté, tu m’en redemanderas.
Je me sens super gêné face à ça moi. Je rougis.
-Au faite Axel habitue-toi à cette salle.
-Hein, pourquoi ? C’est ta salle de travail.
-Non, c’est notre salle de travail à partir de maintenant tu m’accompagneras. Car dorénavant, tu es un membre du groupe.
Là, c’est le bug. Il a dit que, que je suis un membre du groupe ? Je fais partie de The faceless maintenant ? Non, je n’y crois pas, c’est pourtant le chanteur en face de moi qui vient de me dire. Je craque, je pleure, pas de tristesse, mais de joie. Mon rêve devient réalité. Diaval vient me prendre dans ses bras et me dit :
-À partir de maintenant tu chanteras à mes côtés Axel. C’était un peu ton rêve non ?
Je pleure de plus belle à cette phrase et lui disant un oui et un merci toujours en pleurant.
-Demain tu rencontreras les membres, mais leur identité devra rester secret comme le faite que tu nous rejoins je me suis bien fait comprendre ?
-Oui Diaval.
Il sèche mes dernières larmes avec son pouce avant d’ajouter.
-Il y a une autre chose que je dois te dire Axel.
-Oui ?
-Je sais que tu viens de sécher tes larmes, mais…
Au non, j’ai peur qu’il me dise qu’on se verra plus et qu’on pourra se voir juste à l’entraînement et tout. Non, non ne me fais pas ça Diaval, je t’en prie. C’est alors que….