Chapitre 3 : Oméga
Devant notre télévision, nous étions en état de choc, tant de morts étaient survenue de manière complètement improbable, nous qui étions plutôt sensible à la souffrance d'autrui, nous avions déjà la larme à l'œil. Sans explication, Seresu se levait et courrait vers sa chambre en pleurant... La mémoire me revenait... La famille de Seresu était partie en vacances au Mexique pendant l'hiver... Soudains, les cris de Seresu se faisaient entendre... J'avais malheureusement vu juste... Arthur n'arrivait pas à bouger, mais des larmes coulaient sur son visage... Je me levais et allais vers Seresu, chaque pas qui me rapprochait d'elle me faisait souffrir pour elle... Elle était au sol, en pleure, son téléphone tentant par tous les moyens d'appeler sa famille qui ne décrochait jamais... Je m'approchais encore, et plaçais ma main sur son épaule pour lui dire... Que nous étions là pour elle ! Ses pleurs s'intensifièrent encore, et elle me prit dans ses bras, ses larmes coulaient sur mes vêtements et contre ma peau... Je commençais à sentir mes larmes coulais le long de mes joues, mais malgré tout, je restais auprès de Seresu pour la consoler... Arthur arrivais peu de temps après et nous serra dans ses bras de la même façon...
Les minutes passaient et, lorsque mes larmes ne purent plus couler, il me restait un sentiment amer dans la bouche, tout cela était injuste... Mais... À présent... Plus jamais je ne laisserais mes amis souffrirent ! Même si c'est la mort qui m'attend, je me battrais toujours pour les protéger...
On resta ainsi pendant près d'une heure avant de tomber de fatigue, le lendemain, je me réveillais en sueur, j’avais l’impression d’avoir fait un cauchemar, je me levais, j'étais dans la chambre de Seresu... Étrange... Je pris ma douche et j’allais dans la cuisine, je voulais sourire, mais mon visage semblait figé, qu'est-ce qu'il se passait ? Je ne me souvenais plus de ce qu’il c’était passé la veille au soir, soudain, je vis le téléphone de Seresu à côté de son corps endormis, j’avais le sentiment que je ne devais pas l’allumer, mais je ne fis pas confiance à mon instinct, je l’allumais, entrais le code de déverrouillage et je vis tous les appels qu’elle avait passé la veille, ma mémoire me revint instantanément, je tombais en état de choc sur le sol, tétanisé, j’avais l’impression de vouloir chialer encore une fois, mais les larmes ne venaient pas, je me relevais tant bien que mal et je m’assit sur le canapé, je me calmais petit à petit quand soudain, mes amis apparurent dans mes pensées.
Je ne pouvais pas m’arrêter, je devais continuer à avancer, pour mes amis, pour moi… La douleur persistait, mais je devais mettre mes ressentiments de côté… Je devais avancer même si je devais y risquer ma vie...
Le week-end passa dans le silence et chacun faisait son deuil. L’Aurore avait fermé pour laisser aux étudiants le temps de rentrer chez eux pour célébrer leurs morts. Certains pensaient que le directeur lui-même ou des professeurs avait dû rentrer chez eux en urgence, et que c’est pour cela que l’université avait été fermée temporairement. Les jours passaient, quand finalement après un mois, aucune découverte concernant les récents évènements n'avait été trouvé, les scientifiques n'avaient toujours aucunes pistes pour savoir d'où vennaient les séismes. Les recherches avaient été abandonné et chacun décidait de passer à autre chose, Arthur et Seresu organisèrent un repas dans un restaurant trois-étoiles pour montrer qu'ils tournaient la page.
Seresu et moi, nous y arrivions en avance, c’était un joli restaurant au bord de la Seine sur une place au centre de la capitale, c’était une grande rue avec des bâtiments aux allures médiévales, toutes les maisonnées gardaient ce style ancien est très agréable à regarder, il y avait, au centre de la place, un petit jardin avec de grands arbres de toute sorte, des chênes, des albatros et bien plus, c’était un quartier très sympathique où il y avait de nombreux visiteurs.
Une heure après la date du rendez-vous, Arthur n’était toujours pas là, il ne répondait pas aux appels et on commençait à s’inquiéter. On décidait d’aller le chercher, il devait sûrement être à l'appartement. On sortait du restaurant et on s’éloignait quand soudain, un tremblement de terre ébranlait toutes les personnes présentes et fendait le sol en deux, il s’arrêta peu de temps après, mais il reprit de plus belle, jetant tout le monde au sol, une immense brèche fendit la place d'un bout à l'autre, des bâtiments s’écroulaient et tombait dans la faille, emportant ou écrasant de nombreuses personnes aux passages.
Au loin, des nuages noirs et des cris d’effroi commençaient à s’élever. Soudain, alors que le sol avait cessé de trembler, un étrange cri sortit du tréfonds de la terre. Tous entendaient des grattements, comme si des créatures escaladaient les murs rocheux qui s’enfonçaient dans les bas-fonds de la croûte terrestre. Tout d’un coup, un bras sortit de la faille, semblant faible et menu, puis, après s’être accroché, une créature grimpa à la surface, cette créature n’était pas humaine, elle faisait moins d’un mètre de haut, il portait un vêtement en lambeaux qui cachaient sa poitrine et son entrejambe, un morceau de tissue cachait sa bouche, mais le vent la découvrais, montrant une gueule remplie de crocs acéré, Ces deux yeux d'un rouges éclatant laissaient paraitre une envie de meurtre, sa peau d’une couleur proche du noir terrifiait tous ceux qui étaient autour. Il portait à la ceinture un petit couteau en pierre et en bois qui semblait avoir voyagé depuis la préhistoire. Je trouvais qu'il ressemblait aux gobelins de mes jeux vidéos.
Une fois la créature arrivée à la surface, elle observa autour quelques secondes, d’autres de ces monstres sortirent de la faille, mais ne réagissez pas et observaient également la rue et les personnes tombé au sol, incapable de bouger à cause du choc, mon cœur battait la chamade, mais je ne savais pas pourquoi. Seresu, à côté de moi, semblait tout aussi intrigué et mal à l’aise, elle tremblait. Je la fis se lever, et mon instinc me hurlait de courir, ce qu'on fit.
Sans préventions, les créatures s’armèrent de leurs lames de pierres et sautèrent à la gorge des personnes les plus proches d’eux en leurs tranchant le cou, en a peine quelque seconde, plus d’une dizaine de personnes moururent dans d’affreuses souffrance. Les cris fusèrent instantanément alors que les survivants courraient à l'opposé pour survivre !
je tombais au sol, terrifié, je tremblais de tous mes membres et je n’arrivais pas à bouger ou à réfléchir correctement. À un moment, l’un des gobelins se tourna vers Seresu et lui fonça dessus dans le but de la tuer comme les autres, à ce moment, il y eut une sorte de déclic dans mon esprit, mes battements de cœur s'accéléraient encore, mes pupilles se dilataient, le monde autour de moi ralentissait et finissait même par disparaitre, les seuls choses que je voyais et entendais, c'était Seresu, le monstre et mon cœur. Mon corps bougeait enfin, je ne pensais à rien si ce n’était de protéger mon amie, je m’interposais sur la route du monstre dans le but de protéger Seresu qui était toujours tétanisé. La créature tenta de me trancher la carotide, mais mon bras se plaçais en travers et la lame me transperça d'un coté a l'autre de mon bras, mais je ne ressentais pas la douleur, peut-être était-ce un mécanisme de mon cerveau pour me protéger ou l'excès d'adrénaline, mais ce n'était pas important !
Je réagissais très vite, je donnais un grand coup de pied à mon adversaire qui lâchait son arme encore dans mon bras et tomba quelques mètres plus loin, étourdis. bien que ce soit déconseillé, j'arrachais son arme de mon bras, mon sang giclait et mes dents se sérraient. Les autres gobelins observaient la scène. Le monstre me fonçait à nouveau dessus, il arrivait à ma portée en montrant sa gueule, prêt à me déchiqueter le bras, mais j'était plus rapide, je lui donna un coup en traversant sa gorge avec ma lame, il cracha du sang bleu qui recouvrit mes vêtements, alors que sa vie s'éteignait, il vit mes yeux, il n'y vit que de la haine pour son espèce. Il mourrut.
‘’Ting’’ succès obtenu !
Les autres créatures virent mon crime contre leur espèce et rapidement, ils foncèrent tous sur moi pour venger leur camarade… Mon bras fis un grand mouvement horizontal, décapitant la créature. Je me mettais en garde pour affronter les autres gobelins. l'un des monstres était proche. Ma lame s'approchait de sa gorge.
Soudains des tirs d’armes à feu descendirent plusieurs monstres en quelques secondes, quelqu’un m’agrippa alors que je regardais les corps sans vie dégoulinant de sang bleuté. On m’emmena, moi et tous les survivants, dans des gros camions blindés, c’était l’armée qui était intervenue pour sauver les citoyens en dangers.
Rapidement, les véhicules entrèrent en mouvement et roulèrent pendant de longues heures où j’eus le temps de me calmer. Mais mes tremblements reprirent. j'entendais les copnducteurs se plaindre : C'est pas vraie ! La route est encore bloqué bordel ! Calme toi, c'est normal avec tout ces séismes, on va bien trouvé une sorti. On nous fit sortir devant le gymnase de notre université, c’était le lieu le plus grand de la ville en termes d’espace, et il était l’un des seuls bâtiments à ne pas avoir été endommagé par les séismes à répétitions.
À l’intérieur, un grand nombre de lits et de couvertures avaient été entreposés pour tous les blessés, des médecins, chirurgiens et autres spécialistes en médecines se ruaient dans les allées pour soigner le plus de gens possibles. Deux infirmiers vinrent vers nous et plusieurs survivants du massacre furent emmenés dans la salle des urgences qui avait été installé a la vas vite dans un coin du batiment. .
Moi, la douleur dans mon bras m’avait soudain assailli alors que nous étions dans les camions, une infirmière me guida pour me soigner, heureusement, la blessure était certes grave, mais la lame n’avait pas touché l’os, elle avait "seulement" endommagé les muscles. D’ailleurs, étonnamment, j’avais l’impression que la blessure avait rétréci depuis la dernière fois. Cette impression était sûrement due à la fatigue et à la douleur...
Seresu fut mené directement à un matelas sur le sol où elle pourrait se reposer et se calmer. Une fois soigné, je rejoignis Seresu toujours en état de choc... Qu'était-il arrivé à Arthur ? Est-ce qu'il a pu se mettre à l'abri ? Aie, mon bras... Mon fichu bras... Des questions tournoyaient dans ma tête en boucle, mais finalement, après que Seresu s’était endormis, je réussis également à trouver le sommeil.
Je me réveillais seulement deux heures plus tard, la nuit était tombée et le calme était visiblement revenue dans la ville, je voyais et entendais encore des explosions, des bâtiments s’écroulant, des gens qui criaient et des tirs d’armes à feu, mais en moins grand nombre, et a une plus grande distance. J’étais terrorisé et je n’arrivais pas à penser correctement. Je voulais aller prendre l'air, mais un militaire m'en empêcha... Évidemment... Je retournais donc à côté de Seresu.
Mon cœur battait vite et je n’arrivais pas à me calmer, j’espérais que c’était un mauvais rêve, que j’allais me réveiller dans mon lit d’une seconde à l’autre, mais quelque chose au fond de moi me disait que ce n’était pas le cas… Je m’étais mis sur le côté afin d’essayer de me rendormir quelques heures sans grand succès, je tournais dans tous les sens, changeais constamment de position, mais rien n’y faisait, j’étais visiblement incapable de me rendormir...
D'un coup, je me souvenais d'Arthur et je courus vers un garde pour lui demander si cet endroit était le seul lieu ou les survivant avait été emmené, il me répondit fort heureusement que non, il y avait donc un espoir qu'Arthur soit encore en vie, j’avais peur, peur de la mort, peur de perdre encore mes proches… Mais je devais survivre, au moins pour leurs faire honneur et pour les protéger ! Je me couchais pour tenter encore une fois de me rendormir, mais au moment même où mon corps toucha le sol un homme rentra en esquivant les militaires, il était couvert de blessures, son bras gauche semblait cassé et pendait dans le vide, d’étranges flèches et des couteaux de gobelins était planté dans son corps et de grande quantité de sang dégoulinait de ses blessures et tombais sur le sol poussiéreux, lorsqu’il arriva en boitant au centre de la salle, il tomba à genoux en crachant des glaires de sangs coagulées. des militaires et infirmiers se ruaient sur lui, mais ils n'eurent pas le temps de réagir qu'il commençait a gueuler.
- Ils… Ils arrivent ! Criait-il en gardant le visage baissé et en haletant entre chaque mot. Fuyez si vous ne voulez pas mourir ! À chacune de ses paroles, il se tordait de douleur et se contorsionnait dans tous les sens, alors qu’il allait continuer, une flèche traversa une vitre et vint lui transpercer la gorge, il tomba en avant et je vis ses yeux me regarder, ils étaient remplis de terreur…
Une immense massue en bois recouvert de clous traversa le mur, provoquant une explosion qui tua quelques civils et qui provoqua les cris de l'assemblés, de la poussière cachait le responsable, mais il la traversait rapidement, un énorme gobelin, presque deux fois plus haut qu’un homme, il avait une tête de sanglier et il était terrifiant. Immédiatement, les soldats lui tirèrent un grand nombre de balles, vidant leurs chargeurs, mais la bête ne réagit pas, elle poussa un grand hurlement et plusieurs dizaines de gobelins entrèrent par le trou qu’il avait créé et attaquèrent les civils et les soldats, le monstre se contentait de pousser un rire démoniaque alors que ses sbires anéantissaient toute vie dans la salle…
Seresu, qui s’était réveillée quelques minutes auparavant, fut encore une fois terrifiée et elle criait de peur. Mon regard ne pouvait quitter le sang écarlate qui avait été projeté sur moi. Un soldat vint nous relever par le bras et nous ordonnait de courir le plus loin possible, aucun lieu n’était sûr, donc il fallait se cacher au plus vite. Son geste nous sortit de la torpeur, on se mit à courir à l’opposé des monstres alors que le soldat qui nous avait aidés se faisait charcuter par plusieurs gobelins en poussant des cris de douleur… Les larmes me vennait. Encore une fois... Encore une fois je n'avais pas pu sauver qui que ce soit...
- Suggestion : un mois passe rapidement après la catastrophe, une catastrophe d'envergure. Ne sait-on rien de plus sur ce qui l'a provoquée dans ce laps de temps ? Seresu a-t-elle obtenu des nouvelles de sa famille ?
- "Une heure après la date du rendez-vous, Arthur n’était toujours pas là, on commençait à s’inquiéter et on décidait d’aller le chercher" -> n'essayent-ils pas d'abord d'appeler ?
- "habillé d’une sorte d’habit déchiré" -> c'est un peu redondant, peut-être peux-tu dire quelque chose comme "vêtue de haillons déchirés" ou quelque chose du genre ?
- "mais mon bras se plaça en travers et la lame me transperça de part en part" -> je suis assez curieuse de comprendre comment il est blessé à cet instant. Si la lame le touche de part en part, a-t-il perdu son bras qu'il avait mis en protection ? Pourtant, il semble encore très agile.
- "’Ting’’ succès obtenu !" -> j'aime beaucoup la manière dont tu amènes le côté jeux vidéos.
- Je trouve que l'armée arrive très vite sur les lieux après le tremblement de terre. Je me questionne donc, avait-elle anticipé l'attaque ? Sinon, tu peux, je pense, laisser plus de temps pour développer cette scène d'action.
- "roulèrent pendant de longues heures où j’eus le temps de me calmer. Mais mes tremblements persistaient. On nous fit sortir devant le gymnase de notre université" j'ai peut-être mal suivi, mais je croyais que leur université aussi était à Paris ?
- "furent emmenés dans la salle des urgences" -> il y une salle des urgences dans le gymnase ? Dans l'université ? (un cours de médecine s'y tient, peut-être ?)
- "et des couteaux de gobelins" -> est-ce que c'est ça qui a attaqué ? Des gobelins ? Samuel les identifie très facilement selon moi. Un gobelin n'étant pas une "créature réelle", je me demande s'il est logique qu'il sache déjà ce qu'ils sont.
Il y a encore pas mal de coquille, pense à relire spécifiquement pour la partie orthographe :)
À bientôt !
merci de prendre le temps de corriger toutes me fautes, je les corrigerais dès que j'aurais le temps... Et la foi...
Pour le mois après la catastrophe, je n'y ais pas pensé, je modifierais prochainement, mais pour ne pas t'obliger a relire, ils n'ont rien trouvé, ils n'ont pas d'explication a ces séismes répété. et la famille de Seresu est malheureusement morte...
Ils ont essayé d'appeler Arthur, mais il avais éteins son téléphone... Et désolé pour ces petite gaffes... Tu vois vraiment tout ! haha
j'aime bien la phrase que tu as faites pour la description des vêtement des gobelins, d'ailleurs, Samuel les reconnait tout de suite car ils a beaucoup d'expériences dans les jeux vidéos, tu pense que je devrai le dire ?
pour la blessure... Et bien j'imagine la lame traversant le bras de Samuel d'un coté a l'autre, d'où le "part en part". Et après, ce sont ses instincts de survie qui prennent le controle, sinon, il serais tombé au sol a cause de la douleur... Par la suite, on verra qu'il sais bien combattre la douleur. Mais je n'en dis pas plus ;)
Encore une fois, je n'avais pas pensé au temps entre les séismes et l'arrivé des soldats.. Je vais du coup détaillé un peu plus le combat :)
Ils roulent pendant de longue heure car la ville est en ruine, et ils ne connaissent plus le chemin car il a été détruit, ils sont donc obligés de chercher pendant longtemps.
il n'y a pas de "salle des urgences" au sens propre du terme, mais les médecins militaire en ont installé une, je pensais l'avoir dit... Désolé.
Voila, j'espère avoir répondu a toutes tes questions. A bientôt, bonne continuation !
Pour te répondre : "Samuel les reconnait tout de suite car ils a beaucoup d'expériences dans les jeux vidéos, tu pense que je devrai le dire ?" absolument, je pense que c'est bien de l'instaurer, ou de le rappeler à ce moment-là. De voir que dans sa tête il fait le rapprochement entre cette créature et les gobelins dans ses jeux vidéos, ça nous fait comprendre pourquoi ils sont ainsi nommés dans ta narration.
Pour le fait qu'ils roulent des heures alors, je pense qu'il serait bien de rajouter que les routes sont obstruées ! Parce qu'on sait seulement qu'il y a eu une faille là où se trouvaient Samuel et Seresu à ce moment-là, pas que la ville entière est en chaos.
Ahah oui j'ai l'œil ! Des heures et des heures de relecture de mes propres textes l'ont aiguisé et maintenant, je me pose toujours les questions : combien de temps / quand / où , ou encore pourquoi / comment , et la plus importante "que s'est il passé pendant que je décrivais telle autre chose?"
-Que s'est-il passé pendant ce mois me séparant de cette dernière scène ?
-Pourquoi n'appellent-ils pas plutôt que d'y aller directement ?
-Comment peuvent-ils mettre des heures à traverser la ville ?
- Combien de temps a duré la scène de séisme ?
etc etc, tu vois l'idée !
Bon courage pour la suite :)
Il y a juste un truc qui me chiffonne, c'est le fait nommé les créatures "gobelins" par Samuel, alors qu'il ne sait pas ce que c'est. Peut-être qu'il suffit juste d'utiliser l'excuse de la connaissance grâce aux jeux vidéo...
Sinon bonne continuation.
Par contre, c'est ton troisième chapitres qui a pour titre "Apocalypse" c'est un peu étrange.
Continue sur cette lancée et hâte de lire la suite.
À bientôt dans un prochain chapitre Samuel
Gardar