- Piscine ? répéta Hélène sans y croire.
- Pourquoi pas ? J'adore nager et toi, tu as besoin de te détendre, répliqua Tasha.
- On s'est déjà détendue hier soir, fit-elle remarquer.
Hélène avait quitté la boîte de nuit à une heure du matin, laissant Tasha à l'intérieur.
- Ça n'a rien à voir. J'ai mal aux jambes. Il y a un jacuzzi et des bains massant dans cette piscine. Ça me fera du bien, annonça Tasha. S'il te plaît, continua-t-elle, je n'ai pas envie d'être toute seule.
Hélène sourit à la tablette numérique qui lui renvoyait le visage de son amie.
- Tu es toute seule ? interrogea brutalement Hélène.
- Non, Mickaël est à côté de moi, pourquoi ?
L'intéressé se montra à la caméra, fit "coucou" de la main puis disparut.
- Il va à la soirée poker, mais à condition que tu ne restes pas toute seule. J'ai bon ? demanda Hélène.
Tasha, prise de court, fut incapable de mentir. Ce n'était, de toute façon, pas son fort.
- Oui. S'il te plaît ! Mickaël a besoin de ces soirées entre hommes, tout comme j'adorerais un petit moment entre filles. Allez, dis oui !
- Je vous donne ma carte bleue pour la soirée, dit Mickaël sans pour autant se placer devant la caméra. Vous en profiterez pour faire du shopping.
Hélène se sentit humiliée par cette phrase. Mickaël essayait-il de l'acheter ? Tasha sautilla de joie et embrassa Mickaël, quittant un instant l'écran des yeux, ce qui permit à Hélène de faire la grimace sans être vue. Tasha reparut, un sourire complet barrant son visage.
- Bon, OK, accepta Hélène.
Comment pouvait-on dire non à un visage aussi séraphique que celui-là ?
- Mais que ça ne devienne pas une habitude ! précisa Hélène. Je ne peux pas me permettre de sortir tous les soirs. Je travaille, moi !
- Je sais et je promets de te donner une soirée ou deux par mois pour te reposer, dit Tasha en accompagnant ces mots d'un clin d'œil.
Hélène n'eut pas l'occasion de répondre car Tasha avait raccroché.
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- Tu vas l'acheter ? s'exclama Tasha.
- Oui, répondit simplement Hélène. En quoi cela t'étonne-t-il ? J'ai dit que j'aimais cette robe ! Je l'adore vraiment.
- Mais tu as sortie ta carte bleue, fit remarquer Tasha en insistant sur "ta".
- Je te l'ai dit : je refuse de prendre l'argent de Mickaël. Je me fiche que ton fiancé soit riche. C'est ton fiancé, pas le mien. Je ne suis pas ici pour son argent, mais pour passer un bon moment avec mon amie.
- Mais tu vas acheter une robe à trois mille euros ? Avec ta carte bleue ?
- Où est le problème ? interrogea Hélène.
- Depuis quand tu es riche ? Ne me dis pas que… Tu sors avec Blaise. C'est sa carte bleue en fait !
- Blaise ? répéta Hélène, incrédule.
- Tu as passé toute une partie de la soirée hier avec lui, répliqua Tasha. Ne me dis pas que…
- Il s'appelle donc comme ça, la coupa Hélène. Tasha, il ne me plaît pas. J'ai passé la soirée à essayer de le lui faire comprendre et sans l'intervention de Stéphane, je crois qu'il m'aurait violée. Je ne lui en veux pas, ajouta Hélène alors que Tasha écarquillait les yeux. Il était un peu ivre, je comprends. Il n'y a aucun souci mais franchement, Blaise ?
- Quoi ? Il est riche et son argent ne vient pas d'un héritage. Il a construit sa fortune tout seul, en partant de rien. Il travaille dur.
- Je ne veux pas d'argent. Je veux de l'amour.
- Est-ce que tu… commença Tasha et il était clair qu’elle venait de se sentir insultée.
- Arrête ! la coupa de nouveau Hélène. Ça se voit que Mickaël et toi êtes fou amoureux l'un de l'autre. Je suis heureuse pour toi, d'autant que je suis sûre que tu ne manqueras jamais de rien avec lui mais franchement, Blaise ne me plaît absolument pas.
- Votre code, s'il vous plaît, dit la vendeuse.
Hélène composa son code de carte bleue et vit Tasha regarder par-dessus son épaule.
- Te gêne pas ! s'exclama Hélène.
Alors qu'Hélène retirait sa carte de l'appareil, Tasha la lui arracha des mains.
- Qu'est-ce que tu ?
- C'est bien ta carte, annonça Tasha en fronçant les sourcils.
- Évidemment, à qui veux-tu qu'elle soit ? répliqua Hélène en reprenant son bien.
- Alors je répète ma question : depuis quand tu es riche ?
- J'ai un excellent salaire, dit Hélène.
- Arrête ! Tu bosses depuis quoi ? Deux ans ! Tu as vingt et un an et tu vas me faire croire que ton boulot te permet déjà de t'acheter des robes à trois mille euros ?
- Oui, répondit Hélène.
- Je veux être embauchée, dit Tasha.
- Il faut une formation spécifique et le bac est nécessaire.
Tasha ouvrit et ferma la bouche plusieurs fois avant de sortir du magasin, suivie par Hélène qui souriait.
Hélène et Tasha s'étaient rencontrées au collège. Hélène était entrée dans l'internat en seconde année et avait partagé la même chambre que Tasha. Les deux jeunes femmes s'étaient tout de suite plu. Elles étaient totalement opposées et leur amitié reposait sur cette différence extrême.
Tasha était aussi exubérante qu'Hélène était calme et posée. Hélène était peu matérialiste tandis que Tasha aimait l'argent et ne s'en cachait pas. Tasha avait rencontré Mickaël alors qu'elle n'avait que seize ans et avait immédiatement quitté le collège pour vivre avec lui, ne terminant pas ses études. Elle n'avait pas le moindre diplôme.
- Franchement, tu croyais qu'un boulot qui rapporte autant était facile à obtenir ? murmura Hélène à son amie qui faisait mine de bouder.
- Non, dit Tasha en se tournant et en souriant à son amie. J'ai toujours su que tu étais douée. Tu mérites ce boulot. Tu mérites cet argent.
Hélène sourit mais intérieurement, elle eut envie d'exploser en sanglots. Elle se retint et se rendit, bras dessus bras dessous, à la piscine avec son amie, bien décidée à se détendre.
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Hélène sortit de la cabine et ne fut pas surprise de constater que Tasha n'était toujours pas prête. La blonde adorait faire des apparitions remarquées, y comprit auprès de son amie. Hélène sut que son amie allait se présenter vêtue d'un maillot de bain aussi petit que cher. Elle allait être splendide et aimait à se le faire entendre. Naturellement, Hélène ne comptait pas décevoir son amie.
Tout se passa comme Hélène l'avait prévu, à un détail près : le corps de Tasha présentait des boutons sur les bras, les jambes, le ventre, la gorge, tous par paire, distants d’environ deux centimètres.
Hélène dut se reprendre l'espace d'une seconde pour sourire à son amie et la féliciter pour la beauté du mini bikini qu'elle portait et les deux amies se rendirent au jacuzzi. Elles étaient installées depuis plusieurs minutes lorsqu'Hélène, ne tenant plus, demanda :
- Tu attires les moustiques ?
- Ne m'en parle pas ! s'exclama Tasha. C'est une véritable horreur. J'ai l'impression d'être assaillie. Chaque matin, je me réveille avec de nouveaux boutons. J'ai acheté une crème pour stopper les démangeaisons et heureusement, elle fonctionne. En revanche, j'ai eu beau tout faire pour repousser les moustiques, rien n'y fait.
- Tasha, nous sommes en hiver. Il n'y a pas de moustique.
- Ah bon ? s'étonna Tasha.
« Une blonde pouvait-elle vraiment ignorer ce fait ? » s'interrogea Hélène l'espace d'une seconde.
- Tu as probablement des petites araignées ou des punaises dans ton lit, proposa Hélène. Tu laves souvent tes draps ?
- Oui, assura Tasha.
- Fais venir un professionnel, continua Hélène.
Tasha hocha la tête puis se perdit dans ses pensées. Hélène regarda le bras de son amie. La veille, en boîte, elle n'y avait prêté aucune attention et pourtant, la marque était plus que visible : deux petits boutons, rapprochés, ressemblant à s'y méprendre à des cicatrices laissées par des moustiques et pourtant, Hélène en était convaincu, l'animal qui avait marqué son amie était beaucoup plus gros et beaucoup plus dangereux qu'un moustique. Les soupçons d'Hélène venaient de se transformer en certitude.
- Au fait, dit Tasha, samedi, on fête nos fiançailles avec Mickaël. Tu seras des nôtres, bien sûr ?
Hélène n'eut pas le temps de répondre que Tasha continua :
- Tu verras, la maison de Mike est fantastique. Tout aura lieu dans le jardin mais je te ferai visiter l'intérieur. On a prévu un buffet, de la musique, des fleurs et la météo dit qu'il fera beau. Prends un manteau. Nous sommes en hiver, tout de même, comme tu me l'as fait remarquer.
Hélène hocha la tête. Qu'était-elle censée faire ? Comment pourrait-elle passer un moment en leur compagnie ? C'était impossible ! En même temps, elle ne voulait pas perdre Tasha. C'était sa seule amie.
Et puis, elle pourrait revoir Stéphane. Le jeune homme lui plaisait beaucoup, elle devait l’admettre. En était-il un, lui aussi ? Mickaël était-il le seul ? Non. Tous buvaient sans être saouls et parlaient à voix basse dans une ambiance plus que bruyante. Les cinq en étaient, Hélène en aurait mis sa main au feu.
Elle se trouvait devant une impasse. Aucun des choix qui s'offraient à elle n'était acceptable et elle ne parvenait pas à en créer un troisième. Elle était fichue.
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Quelle difficulté que de choisir. Hélène était à une fête, mais elle ne s'amusait pas. Elle observait les amis de Tasha. Elle était désormais persuadée qu'il s'agissait bien de clients mais allait-elle pour autant oser finir le travail ?
Hélène sortit sa tablette numérique et fit mine de regarder ses messages. En réalité, elle prit en photo chacun des cinq hommes. Une fois que ce fut fait, elle inscrivit en dessous l'identité sous laquelle elle les connaissait : Stéphane Lepont, Blaise – dont elle ne connaissait que le prénom - Enzo Federiggi, Charles Innsburg et Mickaël Aronis.
Elle n'arrivait pas à s'en vouloir. Après tout, c'était leur problème s'ils n'étaient pas plus discrets. Elle était payée pour faire ça. Elle n'avait pas à culpabiliser. Elle ne faisait que son travail. C'était ce qu'elle se répétait depuis plusieurs minutes. Elle voulait d'abord faire correctement les choses vis-à-vis de ses patrons. Ensuite, elle gérerait le côté affectif de la chose. Une fois le boulot réglé, elle pourrait se concentrer sur comment continuer à voir son amie sans les fréquenter eux et comment annuler tous les sentiments naissants qu'elle avait envers Stéphane.
Sa pensée s'arrêta instantanément.
- Comment ai-je pu être aussi stupide ? ne put-elle s'empêcher de dire à voix haute.
Il était évident que ses sentiments envers le jeune homme n'étaient pas réels, ou tout du moins pas naturels. Stéphane l'avait obligée à l'apprécier. Le côté "Je ne m'intéresse pas à toi" était feint. Ils avaient joué au bon et au mauvais policier et elle était tombée dans le panneau.
Normalement, le gentil flic est censé se jeter sur la demoiselle en détresse. Eux avaient transformé le système en laissant la princesse venir d'elle-même au vilain déguisé en prince charmant. C'était une amélioration spectaculaire.
Hélène n'en revenait pas de s'être fait avoir de la sorte. En même temps, si elle avait reçu une formation théorique, à aucun moment elle n'était censée être sur le terrain, en contact direct avec ses clients. Logique qu'elle n'ait pas tous les réflexes.
Elle se sentait mieux. Un problème de moins. Réussir à voir Tasha sans voir ses amis serait facile. Les fausses excuses ne manqueraient pas. Oui, tout marcherait parfaitement.
Hélène activa le logiciel de communication interne, transmis les cinq photos, les noms et précisa la localisation exacte des clients. Elle hésita quelques secondes.
Après tout, était-elle certaine qu'ils étaient bien des clients ? Si ça n'était pas le cas, elle perdrait énormément. Elle secoua la tête. Ils l'étaient forcément. Elle avait eu plus de preuves que nécessaire. Les marques sur les corps de Tasha, l'alcool sans l'ébriété, l'absence de fatigue, le fait qu'ils n'allaient jamais aux toilettes. Tout cela était largement nécessaire.
- Laisse un peu tomber ton jouet numérique et viens, intervint Tasha. Je te fais visiter la maison !
Hélène sursauta et ferma l'application sans avoir pu finaliser la transmission. Ça n'était pas grave. Le logiciel la garderait en mémoire. Hélène n'était pas à quelques minutes près. Son amie se fiançait. Elle avait tous les droits lors de sa fête. Hélène obtempéra. Elle rangea sa tablette et suivit Tasha à l'intérieur. Les jardins étaient déjà somptueux, mais la maison l'était encore plus.
Décorée avec goût, sans exagération d'aucune sorte, avec retenue mais finesse. On sentait que les propriétaires prenaient soin de la demeure, mais également qu'ils y vivaient. Hélène pensait se retrouver dans une maison froide, comme dans un catalogue, mais ce ne fut absolument pas le cas.
Des photos, des magazines et des bibelots témoignaient des goûts des locataires. De plus, la maison n'était pas parfaitement bien rangée. Les coussins du canapé n'étaient pas alignés et des jeux vidéos traînaient par terre, devant la télévision. De la poussière était visible sur les meubles.
- Tasha ! s'exclama Mickaël, faisant ainsi sursauter les deux femmes. Personne n'était censé venir dans la maison. Nous n'avons pas rangé !
- Je suis sûre que cela ne dérange pas Hélène, n'est-ce pas ?
Hélène secoua la tête et sourit.
- Tu vois ! montra Tasha.
- Tant mieux, car elle va devoir apprécier le reste de la maison elle-même. Chérie, tu es l'un des deux invités d'honneur. Tu ne peux pas quitter la réception de cette façon. Les gens te cherchent. Puis-je vous emprunter ma fiancée ? finit Mickaël en se tournant vers Hélène.
- Bien sûr mais… Je devrais sûrement sortir, proposa Hélène.
- Pensez donc ! Je comprends votre curiosité. Mi casa es su casa, comme on dit. Prenez votre temps. Dites-moi ce que vous pensez de la couleur des murs dans la chambre nuptiale. Tasha et moi ne sommes pas tout à fait d'accord.
Hélène regarda tour à tour les deux fiancés mais aucun ne laissa transparaître la réponse qui le satisferait. Elle hocha la tête et les tourtereaux disparurent, la laissant seule dans la grande maison.
Hélène regarda autour d'elle. L'occasion était trop belle. Son cœur se mit à battre à tout rompre. Ses jambes se mirent à trembler. Elle jeta un œil dehors, terrorisée à l’idée d’être prise en flagrant délit. Elle connaissait la théorie sur le bout des doigts. C’était en revanche la première fois qu’elle se trouvait ainsi au premier plan. Habituellement, elle gérait de loin, donnant des ordres.
Cette expérience ferait d’elle une meilleure coordinatrice, sans aucun doute, mais sa vessie sur le point de lâcher risquait de tout gâcher. Hélène se força à respirer. Elle repensa à ses cours et serra les poings pour faire cesser ses tremblements.
En un clin d'œil, elle trouva l'emplacement idéal et y plaça l'une des caméras miniatures qu'elle gardait toujours avec elle. En repensant à la première fois où elle s'en était servie, les larmes lui montèrent aux yeux mais elle réfréna rapidement ses sentiments pour redevenir professionnelle.
Elle observa les tableaux, prit son temps avec les meubles, les papiers peints et les couleurs. Ainsi, si quiconque l'observait, il ne se douterait de rien. De plus, cette visite calme et tranquille lui permettait de retrouver sa sérénité. Sa respiration s’amplifia. Son cœur ralentit.
Hélène se rendit nonchalamment à la cuisine et jeta un œil à la poubelle. Elle n'avait pas été vidée : parfait. Hélène regarda de biais le contenu : des pots de yaourts zéro pourcent, un paquet vide de biscottes sans sel et des noyaux de fruits. Hélène laissa le couvercle se refermer sur la poubelle et ouvrit le frigo. Il ne contenait que de produits sans sucre, sans sel et sans matière grasse. Il s'agissait clairement de la nourriture pour Tasha. Hélène ouvrit de multiples tiroirs sans rien trouver qui pouvait convenir à Mickaël.
Hélène monta à l'étage pour découvrir les chambres. La jeune femme trouva la couleur des murs de la chambre nuptiale hideuse mais elle ne savait trop si elle devait le dire. Lequel des deux fiancés risquait-elle de blesser en le disant clairement ? Et si elle disait qu'elle aimait, à qui cela déplairait-il ?
Hélène continua la visite par une autre chambre, puis une autre, puis encore une autre, chacune ayant une salle de bain. La demeure était magnifique, à tout point de vue. Dommage d'avoir raté la chambre principale.
Avant de descendre, elle regarda par la fenêtre du palier du premier étage. La vue était splendide. Le ciel était gris mais en hiver, on pouvait difficilement espérer mieux. Il faisait frais mais pas spécialement froid. Il ne pleuvait pas. Tasha et Mickaël avaient eu beaucoup de chance.
Depuis l'étage, on avait vue sur l'immense parc au milieu duquel était plantée la maison. Les fontaines, même à l'arrêt, étaient belles. Les statues étaient enveloppées de brouillard mais cela ne les empêchait pas de resplendir. Hélène se demanda ce que ça donnait en plein été. Ça devait être beau, tout simplement.
Hélène soupira. Tasha serait bien là. Elle serait heureuse. N'était-ce pas l'essentiel ? Mickaël lui offrait un toit, de l'argent et probablement bientôt, une famille.
Très bon chapitre, sans trop de changements, sauf pour la maison de Michael. Cette description est très bien faite, avec la partie sur le parc que j'ai trouvée très belle. Les descriptions sont au rendez-vous !
J'ai loupé un passage ou là, Hélène n'a toujours pas envoyé les dénonciations ? C'est tout à fait probable que j'ai juste raté un passage parce que, malgré mes efforts, je pense toujours à plusieurs trucs même temps, même concentrée ( mais les apparences sont contre moi ! ) !
Je viens juste de remarquer que le titre était quasiment le même qu'un James Bond, c'est fait exprès ou pas du tout ?
Bon, je vais pas m'attarder parce que je veux connaître la suite ( même en l'ayant déjà lu, cette histoire me fait toujours de l'effet ) !
J'ai raccourci les chapitres afin de plaire aux lecteurs de Plume d'Argent qui préfèrent enchainer de courts chapitres que lire un seul long. Du coup, Hélène n'a en effet pas encore envoyé les dénonciations.
Je suis contente que les descriptions te plaisent. C'est tellement dur pour moi !
Je ne connais pas les James Bond, donc non. Ceci dit, essayer de trouver des références est une bonne idée car ce roman est blindé de références vers mes livres, films ou séries préférées.
Bonne lecture !