Chapitre 2 - La fille du fossoyeur - Partie 1

Ils possèdent ce qu’ils nomment le Don. Grâce à lui, selon eux, ils peuvent modifier l’essence
même des choses en articulant des formules dans une langue oubliée.
Moi, je ne parlerai pas de Don, mais plutôt de malédiction !
Et je ne parlerai pas non plus de sorcières ou de sorciers, mais plutôt de monstres, engendrés
par une science d’un autre âge dont les échos lointains
et malfaisants nous parviennent encore aujourd’hui.

Extrait du discours du Seigneur Delachaise à la cour du Barron Cussaque.
Consigné pour la Bibliothèque par l’abbé scribe Mounacha

 

 

Pour ce qu’elle en savait, Hortensia ne possédait pas le don de clairvoyance. Cela ne la gênait pas car cette particularité pouvait bien souvent être compensée par un brin d’intelligence, mêlée à une bonne dose d’expérience. Et, le moins que l’on pouvait en dire, c’était que la vieille ne manquait ni de l’une, ni de l’autre. Aussi eut-elle raison quant à sa prédiction.
Les premiers jours, Silas, tout en pouponnant du mieux qu’il le pouvait, attendait impatiemment qu’une mère ou qu’un père vînt récupérer son enfant. Il était attentif au moindre bruit dans son jardin, au moindre raclement, au plus petit grincement. Chaque fois que le petit portillon de son jardinet couinait sous l’effet d’un courant d’air, il se précipitait dans l’espoir de retrouver sa vie d’avant. Ho ! Bien sûr, il ne se jetait pas dehors ventre à terre sans quelque appréhension ! Le souvenir de la femme à la dague et des cavaliers patibulaires ne cessait de le hanter. Aussi était-il toujours accompagné d’un petit couteau, ou d’un marteau. Parfaitement conscient du caractère dérisoire de sa défense, cela, toutefois, le rassurait.

Cependant, la vieille Hortensia ne s’était pas trompé : personne jamais ne vint.
Ainsi s’écoulèrent quelques semaines. À mesure que la petite grandissait, ses espoirs quant à eux, s’amenuisaient. Bientôt, il jugea que le panier dans lequel il l’avait trouvée n’était plus suffisamment grand ni confortable pour l’accueillir. Aussi entreprit-il de fabriquer un vrai lit. Malheureusement, sa connaissance en la matière était somme toute limitée. Tout juste s’arrêtait-elle à la confection de cercueil, encore que souvent, il sous-traitait en partie cet aspect-là de son métier. Il s’avéra que Colomban Duclou, le menuisier du village, l’aida dans cette tâche. Colomban - qu’on surnommait aisément Coco - et Silas entretenaient de bonnes relations. D’abord, ce fut purement professionnel. Le fossoyeur allait régulièrement passer commande auprès de lui pour des planches de certaines essences de bois ; la plupart du temps, du sapin, ou du chêne, quand ce n’était pas pour un cercueil entier. Et puis, peut-être en partie car ils partageaient ce point-commun d’être affublés de prénoms, disons, peu conventionnels, ils devinrent amis.

Outre les vieilles, ce fut au menuisier que l’enfant fut présentée en premier. Un beau jour, Colomban, qui passait par là, jugea qu’il n’avait pas vu son ami fossoyeur depuis des lustres. Voulant s’assurer que Silas allait bien, et désirant comprendre son absence prolongée – et inhabituelle – aux tables du Poney Pochtron, il poussa le portillon du jardinet jouxtant le cimetière. Il ne s’attendait pas du tout à ce que son ami déboulât à cette vitesse depuis sa maison, l’air hagard et fatigué.
—     Ha. C’est toi, constata Silas.
—     Eh bien ! lui répondit Colomban. Oui, bien sûr que c’est moi ! T’es déçu on dirait. T’attendais quelqu’un d’autre ? Ne me dis pas qu’il y a une femme là-dessous !
Le fossoyeur maugréa. Le menuisier rit. Il faut dire que Colomban, contrairement à Silas, n’était pas veuf depuis toujours. Il était marié, et père d’un joli troupeau de trois bambins farceurs et bruyants.
—     T’as une sale tête, en tout cas, fit remarquer le menuisier. T’as du mal à dormir ?
—     Merci ! grogna Silas. Oui, mes nuits sont assez…
—     C’est un marteau que tu caches derrière ton dos ?
Le fossoyeur se raidit. Il eut un peu honte, sur le coup, que son ami découvrît sa nouvelle petite manie de sortir armé de chez lui.
—     Hum… Heu… Oui… C’est au cas où.
Les sourcils du menuisier s’arquèrent.
—     Au cas où… Quoi ? T’as des soucis, Silas ?
Un braillement lui répondit. Il provenait de l’intérieur de la maison.
—     Hé voilà. Ça recommence ! T’as fait trop de bruits ! se lamenta le fossoyeur tout en accusant son ami du pire des crimes.
Ce long cri n’avait pas non plus échappé à Colomban, dont les sourcils réussirent la prouesse de se froncer et de s’arquer en même temps.
—     Y a un bébé chez toi ?
Silas prit un air désespéré.
—     Oui… Je l’ai… Euh… Comme qui dirait… trouvé.
Une ombre d’incrédulité envahit le visage de Colomban.
—     Un bébé ? Tu as trouvé un bébé ? Toi ?
Silas ne sut comment interpréter ce « toi ».
—     Hé bien oui. J’ai trouvé un bébé. On dirait que ça t’étonne.
Le menuisier haussa les épaules.
—     Ben c’est juste que tu passes le plus clair de ton temps à ton cimetière, alors… - puis, étudiant l’expression du Silas – Tu veux dire que c’est là que tu l’as trouvé ?
—     Oui. Pourquoi ? C’est pas assez bien, un cimetière, pour abandonner un marmot ? Vaut mieux les marches d’un temple, ça fait mieux, c’est ça ?
Colomban, voyant que son ami, probablement en état de manque récurent de sommeil, était sur le point de tourner court, tenta de calmer cette mayonnaise en train de prendre.
—     Non, non, c’est pas du tout ce que je dis ! C’est… hum… très bien si des gens pensent aux cimetières pour y laisser leurs petits. Hum.
Cela étonna Colomban, mais cela marcha. Le fossoyeur reprit son souffle et continua, plus calmement :
—     Mais j’attends ses parents. Je suis sûr qu’ils vont bientôt venir la chercher. Je pouvais pas la laisser là, tu vois. C’était un jeudi, et il pleuvait et…
Il n’eut pas besoin de continuer. Colomban comprenait très bien. Qui laisserait un gamin seul ce jour-là de la semaine ?
—     T’as bien fait, ça c’est sûr. Je peux le voir, dis ? T’es déjà allé voir les vieilles, j’imagine. Je comprends mieux, maintenant, pourquoi Jeanine était morte de rire l’autre jour en racontant que t’étais allé lui demander du lait ! Ça explique des trucs, pour sûr.
Silas hocha gravement la tête. Aller demander du lait à Jeanine Dulac. Si ce ne fut le pire jour de sa vie, c’en fut certainement le plus honteux.
—     Reviens quand tu veux ! lui avait-elle lancé, tout en s’esclaffant alors qu’il s’en repartait, un petit récipient sous le bras, les joues empourprées de gêne. Et n’oublies pas de le garder au frais pour pas qu’il se perde ! Il est précieux, mon lait ! Et d’en réchauffer un peu…
Silas n’avait pas entendu la suite que, de toute façon, les vieilles lui avaient déjà expliquée.
—     Oui, confirma-t-il piteusement à Colomban. Je suis allé voir les vieilles… et Jeanine…
—     T’as bien fait ! Mais t’aurais pu aussi venir me voir ! J’ai une bonne expérience avec les enfants. Mariette et moi, on pourrait t’aider ! Allez, montre-le-moi. S’il te plait !
—     C’est montre-la-moi, qu’faut dire, corrigea Silas. C’t’une fille.
—     Ha ! C’est chouette, ça ! se réjouit le menuisier.
—     Je sais pas. Je crois que ça creuse pas bien, une fille.
Colomban éclata de rire, tout en emboîtant le pas du fossoyeur qui regagnait sa modeste masure.
—     Tu serais surpris, tu sais ! S’tu voyais les ravages que Deuxia nous fait dans le jardin ! Peut-être, un jour, elle fera un stage chez toi !
Silas ne répondit pas. Il ne comprenait pas très bien l’insistance de son ami à voir la gamine. Pourquoi quelqu’un s’infligerait un truc pareil sans qu’il y fût contraint. C’était pour le moins étrange. Mais bon… n’y trouvant rien à redire, il fit entrer Colomban dans sa maison. Le menuisier se mit légèrement de côté, le temps de passer la porte. Il faut dire que l’homme était un peu à l’image des meubles qu’il fabriquait : massif. Ses mains, larges et épaisses comme des planches, terminaient des bras qui auraient largement pu servir de jambes à n’importe quel autre être humain. Et, pour ce qui étaient de ses jambes… On eut dit deux troncs d’arbres plantés dans la terre. Cependant, la figure du menuisier respirait la bonté d’âme, derrière une grosse barbe brune et broussailleuse. Quand il était jeune, on racontait que le capitaine de la garnison locale avait essayé de l’enrôler dans l’armée du baron. Mais c’était peine perdue car Colomban n’aurait pas fait de mal à une mouche. Après quelques entrainements déplorables, il fut rendu à la vie civile.
—     Ces mains-là ne sont pas faites pour détruire ! s’enorgueillissait-il en montrant ses deux battoirs aux doigts de fée.
Au beau milieu du salon, posé à même le sol, se trouvait un panier. Un panier très bruyant. Le menuisier écarquilla les yeux.
—     Tu l’as posée là, comme ça ?
—     Et où tu veux que je la mette. Puis là, c’est très bien. Je peux avoir un œil dessus. 
Tout en lançant un regard accusateur à son ami, Colomban s’approcha.
—     Eh ! s’écria le fossoyeur. Attention !
Le menuisier avait approché les mains et soulevé l’enfant, qui s’arrêta de crier immédiatement. Il le maintint ainsi quelques instants contre son épaule, jusqu’à ce qu’un énorme rot s’évacuât du bébé.
—     Hé ben voilà ! se satisfit l’homme. Elle n’avait pas fait son petit rototo. C’est tout. Ouuuh ! Mais t’es toute jolie toi, dis donc. Fais voir comme tu es jolie ! Heu… Silas ? 
—     Oui ?
Le fossoyeur s’attendait à ce qui allait suivre. C’était en partie pour cela qu’il n’appréciait pas trop qu’on vît l’enfant.
—     Ils sont pas un peu bizarres, ses yeux ?
—     Si, admit le fossoyeur. ‘Sont pas communs, on va dire.
—     C’est pas qu’ils sont pas jolis, hein ? S’pas ce que je veux dire. Mais le doré… c’est pas une couleur pour des yeux, ça. Et puis… on dirait un œil de chat. C’est bizarre.
—     Oui, tu as raison…
—     Et elles en disent quoi, les vieilles ? Elles l’ont vue aussi, pas vrai ? 
—     Oui, elles l’ont vue. Elles en disent la même chose que toi, figure-toi, soupira Silas. Que ‘sont bizarres.
Colomban fit pivoter légèrement l’enfant. Il eut l’air soulagé. Le fossoyeur comprit très bien le sens de sa manœuvre.
—     Elle a pas les oreilles pointues, confirma-t-il.
—     Oui ! Heureusement ! T’aurais été dans la mouise, sinon !
—     C’est juste un bébé, Coco, rappela Silas. Même si elle avait eu les oreilles pointues, elle pourrait pas faire grand-chose !
Le visage du menuisier s’assombrit.
—     C’est pas à ça que je pensais, l’ami. Évidemment qu’elle te ferait pas de mal, non. Je pensais plutôt aux hommes du baron. Ils aiment pas trop que des elfes trainent dans le coin. D’ailleurs, y en a plus eu depuis des lustres. À une époque, ils étaient plus nombreux, souviens-toi. Mais à chaque fois qu’ils en trouvaient un, à l’époque, ils finissaient par le pendre aux portes de CastelVille. Faut croire que ça a dégouté les autres de venir.
—     Z’avez du mal à les capturer, d’ailleurs, si je me rappelle bien, se remémora péniblement le fossoyeur. C’était y a longtemps.
—     Bah. Généralement, ils usent tous de maléfices. Alors ouai, c’était pas évident. Mon père me racontait qu’il fallait leur trancher la langue, pour les empêcher d’articuler leurs formules. C’était…
Tous les deux se turent. Conscients soudain que ce n’était pas le genre de discussion à avoir devant un nourrisson.
—     Enfin ! se reprit le menuisier. C’est pas son cas, hein. C’est pas une elfe. Y a pas de soucis à se faire ! Les hommes du baron vont pas s’exciter pour ces jolis yeux.
—     Oui. Tant mieux, soupira Silas.
—     Et c’est pas un Nain non plus, elle a l’air plutôt grande.
Le fossoyeur haussa les épaules.
—     Les nains ont pas d’yeux bizarres, si ?
Colomban se dit qu’il était temps de changer de sujet.
—     Et donc, c’est quoi, son nom, à ce petit bout de chou ?
—     Heu ! Je sais pas, moi ! Comment je saurais !
—     Ben tu l’appelles comment ?
—     Ben je l’appelle pas, s’tu veux savoir.
Le menuisier secoua la tête.
—     Va bien falloir que tu lui trouves un nom, ne serait-ce que pour le crier quand elle fera des bêtises, plus tard.
Le fossoyeur tressauta.
—     Attend mais. Hé ! J’attends juste que ses parents reviennent la chercher, t’sais. Je vais pas m’amuser à réfléchir à tout ça. C’est pas la peine, vu que si y faut, ils seront là demain. Ils doivent la chercher partout, j’imagine !
Colomban regarda son ami avec un commisération.
—     Et… je veux dire… tu as envisagé la possibilité que peut-être… ses parents… ne viennent pas ? 
—     Que veux-tu dire ?
Les sourcils de Silas se froncèrent.
—     Bien sûr qu’ils viendront la chercher. Quel parent laisserait son gamin par terre dans un cimetière par un jeudi pluvieux ?
Colomban se tut.

« Un parent mort, peut-être, songea-t-il sans faire part de cette pensée. Un parent mort ou un parent empêché pour une raison ou pour une autre. »

L’homme soupira. Ce ne serait quand même pas le premier enfant à être abandonné. C’était triste, mais c’était comme ça. Cependant, il ne dit rien. De toute évidence, c’était quelque chose que son ami n’était pas encore prêt à entendre.
—     T’as qu’à trouver un prénom temporaire, ça ira très bien.
Silas réfléchit.
—     Bah. Si c’est temporaire, j’imagine que ‘le Bébé’ ça ira très bien. T’en penses quoi ?
—     Le bébé, répéta Colomban en contemplant le nourrisson. Le bébé.
Il se mit à rire.
—     Pourquoi tu ris ? demanda le fossoyeur sur un ton de reproche.
—     Ben, c’est que même Mariette et moi, on a plus d’imagination pour nommer les rejetons ! C’est pas peu dire !
Silas grogna.
—     Tu peux parler ! Y a que pour le premier où t’as fait un effort. Pierrot, c’est ça ? Après tu t’es pas foulé. Deuxia pour la fille. Trioto pour le troisième. Franchement !
Colomban sourit, imperméable à toute forme de sarcasme. Sa femme et lui assumaient complétement les prénoms de leurs trois enfants. Ne serait-ce que pour une certaine forme de praticité ! Il y avait un moyen mnémotechnique pour se rappeler de leur ordre de naissance. Et, dans le cas où la déesse de la fertilité leur accorderait ce bonheur, le nom du quatrième était déjà tout trouvé. Il tourna le nourrisson vers Silas. Un large sourire apparut sur le visage de l’enfant.
—     Beh ! fit-elle en reconnaissant la figure de celui qui prenait soin d’elle.
—     Je te présente ‘Le Bébé’, ironisa Colomban.
—     Blaaah ! Bah ! fit ‘le Bébé’.
Elle lança ses petites mains en direction du fossoyeur.
—     Allez va, je crois qu’elle veut aller avec toi, maintenant.
L’enfant passa des deux énormes bras du menuisier à ceux, nettement plus fins, de Silas.
—     Bon, c’est pas tout ça, mais je dois aller bosser, annonça Colomban. Les assiettes de ma maison vont pas se remplir toutes seules ! D’ailleurs, en parlant de ça. T’fais comment pour travailler, toi ?
Silas prit un air suspicieux.
—     Comment ça ?
—     Ben, tu sais. Pour la garder quand tu vas travailler.
Le fossoyeur ne comprenait pas très bien où Colomban voulait en venir. Était-ce une question piège ?
—     Ben, je l’emmène avec moi, répondit-il naïvement. 
—     Au cimetière ?
—     Bien sûr !
—     Et quand… hum… tu sais, tu prépares les… défunts ?
—     Aussi.
Colomban ne trouva rien à ajouter.
—     Ha… bon… C’est… d’accord.

À ce moment-là, il se prit à espérer aussi, que les parents de ‘Le Bébé’ revinssent rapidement.

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AlexRiver
Posté le 24/03/2024
Je continuerai ma lecture plus tard, mais je peux déjà dire que je passe un très bon moment en compagnie de Silas Picsapin et son "le bébé" ! Mon conjoint me demandait ce qui me faisait autant rire et j'ai entrepris de lui lire à voix haute les trois premiers chapitres. Il aime beaucoup également et je vais donc poursuivre mes lectures à voix haute désormais.
Quelques petites coquilles par-ci par-là (Mais ayant peu dormi, je ne saurais dire où exactement.), si l'on veut être vraiment tatillon, mais ça n'enlève absolument rien à l'histoire, au rythme, à l'intrigue, à l'humour... Bref, c'est très plaisant !
robruelle
Posté le 25/03/2024
Trés content que ton conjoint et toi vous appréciez mon histoire !! J'espere que la suite vous plaiera tout autant.
Même si c'est vrai que j'aime bien placer de l'humour de ci de là, ça reste une histoire de fantasy. Va pas y avoir que de l'humour ;)

Pour les coquilles, oui, y en a un certain nombre... j'essaie de me relire, mais je suis emporté par l'écriture et... bon... ben c'est l'écriture qui gagne. Après, je te dis pas le boulot de relecture quand j'ai fini :)
J'ai vu que tu écrivais, toi aussi. J'ai commencé et ça m'a l'air pas mal du tout. Dès que j'ai terminé, je commente :)
A bientôt !
AlexRiver
Posté le 25/03/2024
Hello,
Je suis admirative de cette forme d'humour un peu "anglais" en Fantasy, car ce n'est pas du tout quelque chose que je maîtrise. Donc c'est tout à ton mérite ! Mais oui, il n'y a pas que ça. J'aime la tournure que prend l'histoire et je trouve Picsapin très attachant ; je suis curieux de voir comment va évoluer cette relation père/fille !
Et merci pour mon texte ! Je poste surtout pour avancer, essayer de me donner un rythme d'écriture ^^
À bientôt !
Edouard PArle
Posté le 19/02/2024
Coucou Rob !
Le personnage de Jok est assez sympa. Il ressemble pas mal à MacPhilis mais avec un peu plus de vie sociale avec sa famille et son emploi moins solitaire. C'est intéressant de le voir partager sa vision d'avoir un enfant.
Les pointes d'humour fonctionne bien et les personnages sont attachants. Ce chapitre permet aussi d'offrir quelques informations supplémentaires de ton univers. La traque des elfes, l'importance de la couleur des yeux, l'existence de nain. Plein de petites pistes pour la suite qui interrogent le lecteur et donnent de l'intérêt aux futurs chapitres.
Mes remarques :
"Pourquoi quelqu’un s’infligerait un truc pareil sans qu’il y fût contraint." xD
"il fut rendu à la vie civile." -> avait été rendu
"Y a que pour le premier où t’as fait un effort. Pierrot, c’est ça ? Après tu t’es pas foulé. Deuxia pour la fille. Trioto pour le troisième" xD
"À ce moment-là, il se prit à espérer aussi, que les parents de ‘Le Bébé’ reviennent rapidement." ahah bien vu
Un plaisir,
A bientôt !
robruelle
Posté le 09/03/2024
Coucou,
Alors, je profite de ton message pour signaler que j'ai changé le nom de quelques personnages. Jok, c'était sympa, mais le. nouveau nom que je lui ai trouvé est mieux... je trouve en tout cas hihihi
MacPhilis y est passé aussi, d'ailleurs
J'aime bien les noms, qui dénotent ;)
Merci pour tes remarques, je vais corriger ça !
À bientôt :)
Edouard PArle
Posté le 09/03/2024
J'aime bien les nouveaux prénoms mais je risque d'être un peu confus en lisant le prochain chapitre xD
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