Alors que Mallaig était plongé dans le noir, des coups assenés d’un poing ferme contre la porte résonnèrent dans l’appartement de la famille Amenabi. Une voix, en rythme, s’exclamait : « Ouvrez ! Ouvrez ! ». Alya sortit de son sommeil, la tête encore dans les limbes et le cou ankylosé par une mauvaise position durant la nuit. Avec une grimace, elle s’assit sur le bord de son lit en se massant la nuque. Elle réalisa lentement que les bruits persistaient, tambour cinglant dans les ténèbres. Un très mauvais signe. Des pensées l’assaillirent sur la raison d’un tel réveil. Sa mère passa la tête dans l’entrebâillement de la porte et murmura d’une voix angoissée.
« Alya ! Debout ! Ce sont des patrouilleurs ! »
La jeune fille obtempéra, gardant ses réflexions grésillantes et négatives en tête. Elle ramassa son peignoir qui traînait lamentablement au sol et s’arrêta lorsque le déclic familier de l’ouverture principale résonna. Instantanément, une bouffée de colère la tétanisa. Que venaient-ils faire ici en plein milieu de la nuit ? Elle s’était tenue tranquille depuis deux ans. Alya entendit une conversation confuse s’engager entre un homme et sa mère. La voix fluette et douce se noyait dans le ton rauque de l’inconnu. Inquiète, elle pénétra dans le séjour. Trois patrouilleurs, au faciès identique, tout de rouge vêtus, fouillaient leur domicile.
La grand-mère d’Alya, Camilla, assise sur une chaise, regardait avec perplexité le manège des soldats. L’un d’entre eux se figea lorsqu’il croisa les yeux verts de la jeune fille. Il murmura un mot à son coéquipier et les deux hommes fixèrent la citoyenne avec méfiance. Alya soutint leurs regards sans ciller, nullement impressionnée.
— Alya, cesse ce petit jeu. Sois respectueuse, gronda Camilla.
Ses doigts pianotaient sur la table, agacée par le comportement de sa petite-fille et par la présence de la police.
— Que cherchez-vous ? demanda Camilla. Qui vous envoie ? Je suis au conseil des Têtes et je n’ai pas été informé de cette fouille.
— Nos ordres sont secrets. Nous cherchons une pièce, répondit le troisième patrouilleur.
— Une pièce ? répétèrent les trois femmes, incrédules.
— Oui, il s’agissait dans l’ancien temps d’un moyen de paiement, ajouta le soldat plus âgé.
— Nous savons ce qu’est une pièce, rétorqua froidement Alya.
— Bon parfait. En avez-vous ?
— Non, chuchota-t-elle au nom de sa famille.
Les patrouilleurs continuèrent leurs recherches, pénétrant dans les chambres, retournant les penderies et les vêtements des occupantes. Le passage des hommes avait l’effet d’un orage, l’appartement si froid semblait soudainement dévasté. Le décor glacé fondait dans le désordre. La propreté, elle, se fissurait.
— Eline, rassure-moi, tu n’as pas gardé de pièces de Valek ? interrogea Camilla.
La mère d’Alya soupira en secouant la tête, ses cheveux frisés flottèrent un instant dans les airs.
— Non, je n’aurais jamais osé.
— Alya ?
— Je ne devais pas les garder ? s’enquit la jeune femme sur un ton faussement alarmé.
Sa grand-mère lui lança un regard noir, reconnaissant le sarcasme déguisé sous l’innocente question.
— Excuse-moi Alya de veiller sur notre famille ! se défendit-elle. Avec vous deux je ne sais jamais à quoi m’attendre…
Veiller, veiller. Si sa grand-mère avait réellement veillé sur leur famille, son père et son grand-père seraient toujours dans la Cité.
Elle retint donc la centaine de répliques cinglantes ou assassines qu’elle avait en réserve et préféra la rassurer :
— Ne t’inquiète pas, tu ne perdras pas, à cause de nous, ta précieuse place au conseil des Têtes.
Camilla acquiesça, satisfaite.
Les patrouilleurs revinrent dans la pièce principale, l’un d’entre eux tenait un petit coffre en bois. Le cœur de la jeune femme se serra. L’homme s’assit à table et ouvrit la boîte. Une multitude de babioles se déversèrent sur l’acier brillant. On trouvait des gants en cuir, des graines, une fiole contenant un liquide doré, un briquet hors d’usage, une petite pierre polie, des stylos, quelques bijoux et de nombreux parchemins noircis par une écriture fine et élégante.
— Qu’avons-nous là ? demanda le soldat.
Le patrouilleur s’empara des fleurs séchées et les réduisit en poussière.
— Tu pourrais contaminer toute la Cité avec ça, n’as-tu pas honte ? sermonna-t-il en dévisageant la jeune femme.
Alya sentait le regard de sa grand-mère peser sur elle et l’accabler de reproches.
— Je collectionne des choses, tenta-t-elle d’expliquer, je ne fais aucun mal, je vous assure. Je ramasse des morceaux d’humanité et comme vous le voyez il n’y a aucune pièce dans cette boîte…
— Alya, veux-tu te taire ! coupa Camilla d’un ton sec. Excusez-la, vous savez comme moi que la jeunesse de nos jours manque de savoir-vivre.
La jeune femme dévisagea hargneusement son aïeule et s’apprêta à surenchérir. Sa mère lui intima, d’un geste, le silence. Le Patrouilleur déplia plusieurs parchemins et parcourut en diagonale certains passages.
— Qu’est-ce que c’est que ce charabia ?
Alya haussa les épaules, mais se réjouit intérieurement. Ce n’était certainement pas un patrouilleur au Génome 42 qui allait comprendre son code d’écriture ! Camilla s’approcha pour jeter un coup d’œil aux différents écrits et dévisagea avec suspicion sa petite fille. Le garde, lassé, déchira les notes. Les miettes de papier tombèrent en pluie sur le sol pavé de la cuisine.
— Cela m’appartenait, chuchota Alya, la colère transperçant sa voix.
— Tu devrais savoir, citoyenne, que à Mallaig, rien ne t’appartient. Seule la sécurité est un dû.
Elle fronça les sourcils. Elle ne partageait pas la même définition du mot sécurité que les gardiens de la ville.
— On te tient à l’œil, Alya Aménabi. Trois cents points de performance seront déduits de votre quotient familial pour possession d’objets pouvant nuire à la Cité.
Sur ces paroles, les patrouilleurs se positionnèrent devant chacune d'elle et appuyèrent leurs pouces sur leurs fronts. Une lumière blanche, brutale, tel un flash, illumina la pièce. Les trois femmes s’évanouirent.
* *
*
Lorsqu’Alya s’éveilla, sa tête lui sembla lourde comme une enclume et son élancement au cou avait tourné à la contracture. Elle cligna des yeux, le soleil artificiel perçait à travers les fenêtres étroites et faisait danser les lignes géométriques de leur sobre appartement. Quelle heure était-il ? Pourquoi se trouvait-elle allongée au sol, au lieu d’être dans son lit ? Elle se releva et aperçut, non loin d’elle, sa mère et sa grand-mère encore inconscientes. Elle remarqua aussi le désordre. Les souvenirs de la soirée lui revinrent en mémoire. Elle fut même surprise d’en garder des bribes. Généralement, les Patrouilleurs aimaient effacer toutes traces de leur passage. Une remontée de bile la fit tousser et elle se précipita, avec toute la vélocité et les vertiges d’un réveil chaotique, jusqu’aux toilettes.
Après avoir vomi, la jeune fille commença à ranimer ses parentes. D’abord sa mère qui ne semblait plus avoir aucun souvenir de ces douze dernières heures, puis sa grand-mère.
Une fois remise de sa léthargie, Camilla vérifia son compteur de points.
— Nous avons perdu 300 points, observa-t-elle avec aigreur. Un jour Alya, tu seras la cause de notre déprogrammation.
La jeune femme serra les poings pour contenir une réplique cinglante. Eline coupa court à la confrontation.
— Allons, du courage, on range, on dispose, il faut que nous soyons à l’heure au travail pour rattraper cette perte de points ! Ce n’est pas le moment de se disputer.
Camilla, Eline et Alya formèrent un ballet d’exécution, rangeant et remettant à leur place les rares objets qui leur appartenaient. Aucune d’entre elles n’aborda l’amnésie des douze dernières heures.
Les mémoires perforées étaient le lot des habitants de Mallaig. L’effacement de leurs souvenirs pouvait être utilisé à l’échelle « locale » grâce aux patrouilleurs ou à l’échelle « générale » avec un éclair d’absence qui touchait toute la Cité de Mallaig. Ce procédé semblait rare, mais qui s’en souvenait vraiment ? Alya avait donc une mémoire en damier, des zones d’ombres et des claires. Dans son cas, les parties sombres se comptaient par dizaines avec des trous noirs indélébiles parfois très larges : une, voire deux semaines entières effacées, envolées. Certains matins, elle se réveillait avec le sentiment étrange de plus se connaître. Le miroir lui renvoyait un visage si différent des autres qu’elle s’interrogeait parfois sur sa propre existence.
Comment se construire sans souvenirs ? Comment se connaître lorsque vos expériences vous sont enlevées ? Vos erreurs et vos succès rasés ? Pour contrer les ombres de sa mémoire, Alya raccommodait les fils de son existence en écrivant. Un peu chaque jour. Dans un langage codé qu’elle ne pouvait oublier. Elle y jetait ses peines, ses douleurs, ses questions sur la Cité toujours plus nombreuses. Une partie de son travail venait d’être détruite en quelques secondes par des hommes qui n’osaient remettre en question le système. Le pouvaient-ils seulement ? Les Génomes 42 étaient de parfaits imbéciles.
Une fois l’appartement ordonné, Alya se réfugia dans sa chambre. Elle enfila sa tenue en fibre d'algues. La couleur délavée rivalisait de gaieté avec les alentours. L’ensemble ne lui allait pas. Le pantalon s’arrêtait à ses mollets et le haut, dès qu'elle levait les bras ou s'attachait les cheveux, laissait voir son nombril. Cela lui causait de multiples déductions de points alors qu’elle spécifiait à chaque fois aux autorités que ce n’était pas un choix personnel : les habits étaient trop petits pour elle. Aucun génome féminin n'avait sa taille. Sa mère avait bien essayé de rajouter des extensions ou d'élargir ses blouses, mais cela ne conduisait qu’à une perte plus importante de points de performance. Alya avait donc compris très jeune qu’on lui faisait payer sa différence.
Son regard s'arrêta sur l’heure magnétique projetée sur le mur. Sept heures cinquante. Chaque minute comptait, chaque heure déterminait normalement sa position et son rôle.
Elle sortit de sa chambre et vit sa mère quelques pas plus loin, face à la fenêtre. Elle contemplait souvent Mallaig et sa ribambelle de tours.
— A ce soir, maman !
Eline ne lui répondit pas, plongée dans ses pensées. Alya quitta son domicile, traversa le couloir et appuya sur le bouton pour appeler l’ascenseur. Son empreinte fut scannée et sa photo apparut dans la surface d’analyse. Elle attendit quelques secondes et pénétra dans la cage métallique. Les murs de l’ascenseur étaient tapissés du slogan de la Cité. L’image récurrente de Mallaig représentait cinq personnes aux visages dissimulés par des masques blancs qui unissaient leurs mains vers le haut, démontrant que la coopération prévalait sur le reste des codes. En dessous de ces affiches virtuelles, quatre phrases attiraient l’attention :
Toujours être pacifique,
Toujours être obéissant,
Toujours être humble,
Toujours être observateur.
« Respectez ces valeurs et Mallaig sera votre havre de paix », murmura Alya mécaniquement. La porte de l’ascenseur s’ouvrit et elle se hâta de sortir dans l’immense hall vitré. D'ici, elle apercevait des tours à perte de vue. Les gratte-ciels n’avaient pas tous la même couleur ni la même taille, ils miroitaient comme autant de vitraux au milieu du désert. La grand-mère d'Alya surnommait la cité : l'orgue de cristal.
Alya se repérait parfaitement dans ce dédale vitrifié, elle avait passé sa vie à chercher une sortie : sans résultats.
Autour d'elle, les habitants rejoignaient leurs affectations. Partout, elle voyait des visages similaires, des regards baissés, des patrouilleurs aux aguets. Aucun enfant. Longtemps, elle avait été la plus jeune de la cité.
Parfois, au plafond ou sur les murs, des vidéos étaient projetées sur les Génome Un, il ou elle répondait aux questions des habitants avec un sourire toujours éclatant et des rires en cascade. Lorsqu'il s'agissait d’un entretien exclusif, les habitants de Mallaig s’arrêtaient un moment et levaient la tête pour écouter cet homme ou cette femme unique. Comme aujourd’hui.
Face à cette adoration collective, Alya préféra se mettre à courir. Filer dans la Cité faisait disparaître le sentiment de n’avoir autour d’elle que des miroirs. Des reflets de l’homme, aux jours et aux nuits similaires, camaïeu de visages délavées en constant mouvement. Quand elle courait, elle pensait moins. Les tours de métal se ridaient sous la vitesse et l’austérité ambiante s’atténuait. Une aubaine, car son cerveau cessait alors de grésiller, de lui envoyer un flux d’interrogations épuisantes, à longueur de temps.
La jeune femme traversa plusieurs corridors, passa devant le batiment d'algoculture puis termina sa course au niveau de la tour S. De l’extérieur, on ne pouvait deviner la nature de cet entrepôt. Aucune indication, aucune fenêtre ne donnait vue sur la ferme verticale. Un Patrouilleur, reconnaissable à son uniforme rouge, gardait l’entrée, stoïque. D’une quarantaine d’années, il se tenait toujours droit comme un i, les mains collées à ses flancs et l’air absent. Il devait s’assurer que personne n’accède à la serre sans autorisation. Ce qui n’advenait, bien sûr, jamais. Alya lui adressa un sourire forcé dans l’espoir d’inspirer une réaction enfin positive à cet homme. Peine perdue. La jeune femme haussa les épaules et posa son pouce sur la surface molle du lecteur d’identité.
— Vous avez une minute trente de retard aujourd’hui. Faites attention, vous n’avez le droit qu’à trois retards par mois, s’exprima une voix métallique provenant du lecteur d'identité.
Aussitôt, une image apparut, cristallisant son compteur, deux points de performance lui furent déduits. Alya grommela en pensant que sa grand-mère allait certainement la sermonner pendant deux heures sur l’importance de la ponctualité.
Chaque jour, si vous faisiez convenablement votre travail, le gouvernement vous ajoutait des points performance ou vous en déduisait. Ces points vous permettaient par la suite d’aller acheter des habits différents, des objets imprimés en 3D, des soins pour le corps et même des vacances… C’était une manière de récompenser la population, des extras, des petits plus pour pimenter leur existence aseptisée.
Alya poussa l’épaisse porte, pénétra dans un sas hermétique et s’empara de sa combinaison de travail ainsi que de son masque. Une fois prête, elle entra dans la serre. La ferme verticale s’élevait sur une quinzaine d’étages. Les plantes poussaient en hydroponie sur les milliers d’étagères. Le lieu baignait dans une lumière violette, composée de diodes bleues et rouges. Des passerelles et des échelles se succédaient à perte de vue, des tuyaux s’enroulaient autour des barres métalliques soufflant du dioxyde de carbone pour faire pousser plus rapidement les espèces, des silhouettes fantomatiques s’activaient silencieusement dans les allées.
Alya se dépêcha de rejoindre son poste. Elle observa les tomates avec attention, souleva les racines qui trempaient dans l’eau et vérifia la composition en nutriments. À chaque plante son dosage et son menu. Elle envoya une information aux récolteurs pour qu’ils puissent venir récupérer les légumes arrivés à maturité. Un peu plus loin, elle soupesa une salade et compara les données avec la récolte précédente. Cette agriculture hors-sol permettait de nourrir une partie de la population. Alya avait réussi à obtenir un placement définitif pour ce travail et elle le garderait tant qu’elle ne perdrait pas trop de points de performance. Cela expliquait pourquoi elle avait essayé de ne plus chercher les ennuis ces derniers temps. Regarder pousser des végétaux apaisait son esprit. Elle aimait suivre l’évolution de la graine jusqu’à la maturité. Souvent, elle gardait le plus beau légume et l’emportait avec elle pour le donner à sa mère, elle savourait de voir son regard aimant pétiller et ses lèvres s’étirer d’une moue gourmande. Il était si rare de la voir sourire.
Rappelez-vous que chaque personne, chaque individu, est nécessaire au bon fonctionnement de la Cité. Chaque erreur, chaque retard peut entraver l’organisation globale. Pensez au bien-être commun, et la Cité vous le rendra.
Cette rengaine se répétait chaque heure dans les haut-parleurs et leur rappelait leurs obligations. Alya avait toujours l’impression que le discours des Têtes brisait le sanctuaire de cette biodiversité.
Alors qu’elle soulevait une salade, elle sentit contre ses doigts un contact dur et froid. Sous la surprise, elle enleva brutalement ses mains. Elle jeta un coup d’œil autour et au-dessus d’elle. Personne n’avait remarqué son sursaut. Après un instant d’hésitation, elle replongea ses doigts dans les belles feuilles. Avec douceur, elle extirpa un fin objet scintillant du légume. Cela ressemblait à une pièce de l’Ancien Temps. Dorée. Alya cacha l’objet dans le revers de sa main, et l’examina.
Une tour était gravée sur le côté pile, entourée de petites maisons. Côté face, un mot remplissait l’espace : « Etioli ». Elle avait découvert un vestige d’une autre Cité ! Un immense sourire éclaira son visage et ses yeux émeraude se mirent à pétiller, estomaqués de sa trouvaille.
L’instant suivant, un frisson la parcourut. Cet objet n’était pas là par hasard. Il avait été placé ici à son intention...
Un poids alourdit ses épaules et ses pensées. Quelqu’un essayait-il de lui faire passer un message ? Mais qui ?
Elle fourra la pièce dans sa poche et regarda autour d’elle. Tout le monde semblait vaquer à ses occupations. Personne ne lui portait attention. Bien que sa mémoire ait l’habitude de lui jouer des tours, elle savait que cette pièce avait de l’importance : les Patrouilleurs n’auraient pas dévasté son appartement dans le cas contraire. Elle devait découvrir ce que cette pièce représentait pour la Cité. Un moyen de résistance peut-être ?
J'ai enchaîné. Un deuxième chapitre complètement ailleurs, complètement captivant. J'aime beaucoup ta peinture d'un monde SF, c'est satisfaisant de réalisme et intrigue. J'adore aussi le contraste entre ces deux villes extrêmement différentes que tu as réussi à dépeindre en seulement deux chapitres. Elles ont une identité comme si elles étaient des personnages à part entière.
Au fil de la lecture :
→ "Sa mère passa la tête dans l’entrebâillement de la porte et murmura d’une voix angoissée. « Alya ! Debout ! Ce sont des patrouilleurs ! »"
Est-ce que deux points ne seraient pas plus adaptés après "angoissée" ? Et pourquoi est-ce que ce dialogue est entre guillemets plutôt qu'après un tiret ?
→ "Trois patrouilleurs, au faciès identique, tout de rouge vêtus, fouillaient leur domicile." Méga intriguée de ces trois visages identiques.
→ "Le décor glacé fondait dans le désordre. La propreté, elle, se fissurait." C'est beau.
→ Incroyable, parce que soudain cette histoire de points et de lumière blanche me sort du monde fantasy dans lequel je pensais exister. Certes, je savais que c'était une post-apo à cause du récit dans le chapitre 1, mais ça avait une saveur fantasy, et là bam, je suis catapultée dans de la SF.
→ "Alya avait donc une mémoire en damier, des zones d’ombres et des claires." Mémoire en damier, magnifique.
→ "Les Génomes 42 étaient de parfaits imbéciles." Mon hypothèse est donc : clones ?
→ "camaïeu de visages délavées en constant mouvement" délavés ? Par ailleurs, c'est drôle, parce que t'as utilisé camaïeu au chapitre précédent pour une ville si différente de celle-ci, ça accentue le contraste.
→ "Ces points vous permettaient par la suite d’aller acheter des habits différents" Pas sûre que t'aies besoin du "aller". Ni du "différents" d'ailleurs.
→ Très ambiance Le meilleur des mondes de Huxley. C'était une inspiration ? (Et 1984, bien sûr.)
→ J'aime beaucoup la description du lieu de travail d'Alya, ça fait vrai, l'atmosphère est immersive.
→ Comment se fait-il qu'Alya se souvienne non seulement du passages des Patrouilleurs mais aussi de ce qu'ils étaient venus chercher (la pièce) ? Ont-ils intentionnellement laissé ce souvenir en elle ou bien échappe-t-elle à ce procédé ? Pourtant, d'autres parties de sa mémoire sont inaccessibles, donc pourquoi celle-ci est encore là ?
Et encore une fois --> la fluidité du texte est délirante.
Bravo :)
Merci pour ton compliment sur la fluidité du texte, ça fait toujours plaisir. A bientôt !
En effet, j'ai essayé de distiller le mystère un peu partout pour avoir l'attention du lecteur :p
Bonne lecture ! :)
J'espère que la suite te plaira !
Oui le monde de Mallaig est assez terrifiant aussi 🙄. Surtout quand tu comprendras pourquoi Alya est si particulière :).
Je suis contente si tu aimes le perso d'alya ! A bientôt pour la suite (j'espère 😉)
J'avoue que les deux univers sont l'un comme l'autre déprimant 🙄. Ne t'inquiète pas, ça s'arrange... (ou pas ! Lol). En tout cas merci pour tes commentaires ! J'adoore avoir les ressentis des lecteurs :)
Le personnage d'Alya est intriguant, on sent qu'elle est différente, pas uniquement physiquement mais aussi par son intelligence. Hâte de découvrir la suite !
Oui, j'avoue qu'auncune des deux cités ne donne envie^^Ahaha
"Avec toute leur technologie, ils doivent bien être capable de rajouter trois centimètres en bas d'un t-shirt, non ?"=> Absolument^^
Je suis très contente de ce que tu dis sur Alya car c'est ce que je voulais faire ressortir !
La chapitre suivant on retourne sur Etioli mais tu vas découvrir des jumeaux très spéciaux :p
Merci encore de ton passage <3
J'espère que la suite va te plaire !!!
« elle avait passé sa vie à en chercher une sortie » : j’aime bien cette phrase, elle met en avant le fait (comme plus tôt avec la taille des vêtements) que Alya ne se sent pas à sa place dans sa ville !
« la jeune femme » = elle a quel âge déjà ? Parce que juste avant tu dis qu’elle est la plus jeune de la cité et tu parles d’enfant. ça serait pas mal d'avoir son âge, et je ne cracherai pas sur une rapide description physique non plus !
« s’exprima une voix métallique provenant du lecteur d'identité. » = j’aurai utilisé le verbe « annonça », s’exprima ça sonne bizarre.
Super ce système de points si tu te comportes bien ou non… ça fait vraiment dictature !
On retourne son appart pour une pièce, et de l’autre côté, quelqu’un lui en dépose une sans laisser de mot ?
« la jeune femme » = elle a quel âge déjà ? Parce que juste avant tu dis qu’elle est la plus jeune de la cité et tu parles d’enfant. ça serait pas mal d'avoir son âge, et je ne cracherai pas sur une rapide description physique non plus !"=> Elle a dix-huit ans. J'avoue que j'ai enlevé toute sa description physique car je la trouvais maladroite. Du coup, je m'interroge, si j'en ai laissé une seule dans tout le livre ... Oups.
Tu as raison pour le verbe annoncer, ce serait mieux.
"Super ce système de points si tu te comportes bien ou non… ça fait vraiment dictature !"=> C'en est une ;)
Allez je file répondre à ton troisième commentaire <3
J'ai largement plus apprécié ce chapitre que le précédent (qui est bien aussi, hein, t'inquiète ^^) : les descriptions sont beaucoup plus présentes, je suis bien ancrée dans cette autre ambiance et j'aime le système dictatoriale de cette cité !
Alya me plaît et j'ai hâte de voir comment elle va évoluer par la suite.
A bientôt !
Tant mieux si le perso d'Alya te plait, c'est avec elle que j'ai eu le plus de mal au début^^.
Maintenant, il te reste à découvrir la famille royale atypique :p
Bonne après-midi et à bientôt !
Je suis contente si le personnage d'Alya te plait, je l'ai beaucoup retravaillé !
"J’ai rien à dire au niveau du style, je trouve que tu écris vraiment bien". => Merci :)
J'ai fini le tome 1 de Sillages, il y a quelques mois, tous les chapitres ne sont pas à jour (mais celui-là oui) mais en effet, les chapitres ont été beaucoup retravaillé, en particulier les premiers !
A bientôt :)
Très autoritaire, donc, et beaucoup de choses qu'on ne comprend pas encore mais il semble évident que tu vas les détailler petit à petit.
Si je devais essayer une remarque constructive, je dirais que les trois visages identiques semblent quand même étrange pour les "méchants" en rouge.
De plus, on se demande ce qui a emmené la jeune femme à avoir des idées "révolutionnaires" si sa grand mère est stricte comme ça. J'espère que ce sera un peu expliqué plus loin :) !
En effet, ce sont deux cités complètement différentes, c'est tout l'intérêt de ce bouquin ! Et attention, tout est lié ;-)
"Si je devais essayer une remarque constructive, je dirais que les trois visages identiques semblent quand même étrange pour les "méchants" en rouge."=> C'est normal, j'ai fait exprès d'appuyer sur cet élément pour que vous puissiez le retenir et comprendre par la suite les caractéristiques de la cité Mallaig^^
"De plus, on se demande ce qui a emmené la jeune femme à avoir des idées "révolutionnaires" si sa grand mère est stricte comme ça. J'espère que ce sera un peu expliqué plus loin :) "=> Alya est "à part" dans la cité, tu verras par la suite que c'est la société qui l'a poussé dès son plus jeune âge à la faire se rebeller^^
Je file répondre à ton commentaire suivant :)
Merci encore de ta lecture :)
L'idée des amnésies imposées aux citoyens afin de maintenir l'ordre est très originale par contre.
Sinon, rien à redire sur l'ensemble qui alterne entre descriptions, dialogues et action de manière efficace.
En effet, la dystopie est très à la mode en ce moment et cela peut tourner un peu en rond ! Malgré cela, c'est un genre que j'aime beaucoup :)
"L'idée des amnésies imposées aux citoyens afin de maintenir l'ordre est très originale par contre."=> Merci :) Le thème de la mémoire m'intéresse beaucoup, je l'exploite pas mal dans la suite du roman.
"Sinon, rien à redire sur l'ensemble qui alterne entre descriptions, dialogues et action de manière efficace." => Merci ! Je t'avoue que je suis en train de finir le tome en ce moment et quand je relis ce chapitre il ne me plait pas du tout, j'ai l'impression qu'il est bien trop classique, je sens qu'il va subir une refondation !
Je me demande ce que tu vas penser des deux derniers personnages dans le prochain chapitre ! J'ai hâte d'avoir ton avis sur eux !
En tout cas merci de ta lecture !
A bientôt !
Petits conseils de dydy:
* Certains matins elle se réveillait avec le sentiment étrange de plus se connaître. -> je mettrai une virgule après matin
* La porte de l'ascenseur s'ouvrit soudain, -> je trouve soudain peu approprié, j'aurais mit soudainement. Et pour aller plus loin, je je l'aurais carrément oublié, c'est le genre de mot qui n'ajoute rien, quand on y pense, surtout dans ce contexte là
* Alya se mit soudain à courir. -> tout pareil
* La jeune fille fit quelques pas et porta à ses narines, le bourgeon à peine éclot -> je trouve pas la virgule à sa place, il faudrait l'enlever :)
Et enfin, il manque un point à la toute fin du chapitre ! J'espère que mes conseils te seront utile !
Je te laisse découvrir cela !
Je suis contente de savoir que tu apprécies le second univers ! Pour l'instant, on en perçoit que quelques éléments (que j'explique dans le chapitre 5), mais c'est une pure dystopie ( j'adoooore ce genre).
Je suis juste un inquiet pour la pièce. Il y a forcément des caméras partout, non ? => Oui il y a des cameras ;-)
Je note pour les virgules (j'ai une fâcheuse tendance à en mettre trop...).
Je note aussi tes remarques par rapport aux adverbes !
J'aime beaucoup ton univers, c'est super bien décrit, c'est imagé, c'est original => Merci :) En fait, plus t'avances, mieux c'est écrit^^
A bientôt pour la suite ;-)
Après ces deux chapitres je peux dire que je suis intriguée et que j'ai très envie de lire la suite ! C'est de la SF post-apo comme j'aime, tes personnages sont intéressants avec leurs secrets et ton univers à l'air compliqué ce que j'aime beaucoup !
Tu as une belle plume et l'ambiance est agréable et fluide :)
Je continue ma lecture et te laisse ces qq remarques :
"Trois patrouilleurs, au faciès identique"
-> Comme tu as mis une majuscule précédemment "Ce sont des Patrouilleurs !" je m'attendais à en voir une ici aussi, non ?
Chose qui apparait plusieurs fois, parfois il y a une majuscule, parfois non, est-ce fait exprès ?
"Camilla, Eline et Alya formèrent un ballet d'exécution"
-> Oh tu me fais extrêmement plaisir, on m'appelle "La chasseuse des doubles espaces" et je viens d'en trouver un ! Entre "Eline" et "et" Merci :D
J'aime beaucoup ta description d'Alya via le miroir, en fait j'aime beaucoup Alya. Elle a l'air d'avoir un sacré caractère !
"ton univers à l'air compliqué ce que j'aime beaucoup !"=> Oui si tu savais ! XD
Alors pour cette histoire de majuscule... En vrai je fais un peu n'importe quoi avec les majuscules, parfois j'en mets, parfois j'en mets pas ! lol. Je vais devoir, lors de ma relecture, un peu lisser tout cela ;-)
Tu verras en continuant ta lecture que parfois je fais un peu n'importe quoi avec la ponctuation, mais je me soigne ! lol.
"J'aime beaucoup ta description d'Alya via le miroir, en fait j'aime beaucoup Alya. Elle a l'air d'avoir un sacré caractère !"=> Merci :) Oui elle a du caractère même si c'est pas facile de caractériser un perso qui a oublié la moitié de son existence ! lol
Bon, j'espère que la suite te plaira !
Bisous volants
Ahah OK pour les maj et la ponctuation, je garde ça en tête pour la suite ;)
Du coup je trouve que la colère d'Alya est assez justifiée du fait qu'elle ne se rappelle pas de tout et qu'elle ait l'impression de se faire manipuler ou quelque chose du genre, c'est un développement peu commun et intéressant !
Bon, j’aime moins ce chapitre, j’ai l’impression qu’il y a pas mal d’informations qu’on doit retenir mais SURTOUT qu’est-ce que j’aime pas la mère et la grand-mère xDD J’avais envie de leur dire « mais rebellez-Vous, ne soyez plus esclaves du système ! » mais bon, je pense qu’elles ont trop peur des triplés (comment éviter le spoil quand on sait déjà de quoi il s’agit <3)
Par contre, la ville m’intrigue vachement. Cette histoire de pièce a l’air un peu extrême quand même, je pense qu’ils devraient pas en faire autant une montagne mais bon, ils ont l’air d’avoir des neurones en moins ces soldats xD
Sinon l’ambiance était chouette et j’adore ce début, je le trouve très bien rythmé (le compliment de l’extrême venant de moi xD)
Allez, je vais lire le prochain chapitre !
t'es trop mignonne <3
Tu m'étonnes que tu n'aimes pas la grand-mère ( et encore tu n'es pas au bout de tes surprises avec ce perso ;) ). La mère, bon c'est sur qu'elle est très apathique, c'est sûr...
Il y a des infos importantes dans le chapitre mais en même temps, j'ai préféré de pas tout expliquer sur le fonctionnement de la Cité, pour l'instant on ne voit que quelques rouages !
"Cette histoire de pièce a l’air un peu extrême quand même, je pense qu’ils devraient pas en faire autant une montagne mais bon, ils ont l’air d’avoir des neurones en moins ces soldats xD" => Tu ne crois pas si bien dire...
"Sinon l’ambiance était chouette et j’adore ce début, je le trouve très bien rythmé (le compliment de l’extrême venant de moi xD) "=> Merci :) c'est parce qu'il y avait beaucoup d'actions que je l'avais mis en premier au début.
Enfin, je suis tellement contente que tu aies commencé ta lecture <3
Ce n'est pas forcément très important, mais voilà, l'emplacement de cette virgule me paraît bizarre, c'est tout. :)
Ensuite, pour ce premier chapitre... Mmh, que dire ? Ah si, tiens : comment est-ce qu'Alya peut se plaindre de devoir s'occuper des plantes ? O-O C'est trop bien ça ! *dit la fille qui a fait des études d'horticulture X'D*
Non, mais plus sérieusement. Je vais y aller direct, et puis ensuite nuancer, expliquer, parce que voilà.
Je n'aime pas Alya.
Alors je sais, ce n'est que le premier chapitre, etc. Mais je ne l'aime pas quand même. Et ça, ce n'est pas parce que c'est mal écrit, ou qu'elle est mal introduite... Non. C'est justement issu d'un problème de base de la dystopie. Et c'est un peu la raison qui fait que je n'aime pas ce genre, ou plutôt qu'il m'ennuie.
Si je ne l'aime pas, c'est parce que je trouve qu'elle n'a aucune personnalité à elle. D'accord, elle supporte assez mal la société dans laquelle elle vit. Mais quand même. Or, le problème avec cette réflexion, c'est que, bah... Ca paraît normal qu'elle n'ait pas tellement de personnalité, vu ladite société dans laquelle elle vit ! Déjà tout est aseptisé au propre comme au figuré ; en plus de ça, il y a ces trous de mémoires à répétition qui, comme tu le précises, ne doivent pas trop aider à avoir une idée précise de qui on est.
Et pourtant. Ca me gène toujours autant cette histoire. En fait, ce n'est pas tellement qu'elle n'a pas de personnalité ; c'est plutôt que celle qu'elle a est trop semblable à celle de toutes les héroïnes qui vivent dans une société dystopique. Peut-être que je noircie le trait...
Et, bien évidemment, je sais qu'elle va sûrement vivre pleins de choses qui la feront évoluer et tout.
En fait, c'est une suggestion, mais je crois bien que personnellement, j'appuierai encore plus sur l'idée qu'elle ne sait pas qui elle est, ni ce qu'elle veut. Je trouve que ça pourrait lui rajouter un petit quelque chose...
MAIS ! Ce n'est que mon avis, bien sûr. :) Déjà c'est entièrement basé sur une préférence personnelle, y a pleins de gens qui aiment ce type de personnage. Ensuite je ne sais pas quels sont tes plans pour elle. Mais je voulais quand même le mentionner.
Pour le reste, que dire ?... J'aime pleins de choses ! Déjà, j'aime beaucoup le fait qu'il y ait différents héros, tous issus de différentes villes. C'est quelque chose de très intéressant d'avoir des tableaux variés d'un monde dissolu comme celui-ci. D'ailleurs petite question : quelle taille font les villes en gros ? Combien d'humains reste-t-il ?
Et pendant que j'y suis : à quoi ressemble l'extérieur ?
Peut-être as-tu déjà répondu à ces interrogations dans les chapitres qui suivent, auquel cas j'ai hâte de le découvrir. :)
J'adore aussi cette idée de patrouille comme ça, qui fait tout oublier de son intervention. Au départ je me demandais à quoi ça servait, puisqu'avec les trous de mémoire, forcément, les civils doivent se douter de ce qu'il s'est produit. Donc ce serait pour cacher ce que la patrouille recherche ?
Dans ce cas : comment est-ce qu'Alya sait que posséder une pièce de monnaie est interdit ? Je suppose que j'en apprendrai plus par la suite.
Bref, tout ça pour dire : tu m'as bien accrochée. X'D Voilà !
Merci pour ta visite :)
Bon tu m'avais prévenue que tu n'accrochais pas trop aux dystopies. Les points que tu as fais remonter sur Alya sont justes, c'est vrai qu'au premier abord, elle fait un peu "déjà vu", je suis en reflexion pour lui donner plus de profondeur dès le premier chapitre mais ce n'est pas évident. Sache qu'elle évolue fortement par la suite. En tout cas ta remarque pour accentuer son sentiment d'errance dans la vie est très intéressante, je vais y réflechir. L'avantage de mon histoire et tu l'as bien compris, c'est qu'il n'y a pas qu'un seul personnage important. Si le monde de Mallaig fait vraiment dystopique celui d'Etioli est fort différent ce qui je pense sort un peu mon roman du schéma habituel YA. Le but final n'est absolument pas de renverser le régime (enfin en tout cas pas sur Mallaig...). J'ai choisi d'être succinte dans le premier chapitre mais tu vas en apprendre bien plus dans les suivants (si tu continues, ce que j'espère, car je suis sure que tes remarques vont apporter beaucoup à l'intrigue). Mallaig et Alya ont beaucoup a révéler...
Au plaisir de te lire et de te revoir par ici :)
Makara
Petit commentaire pour ton premier chapitre : tu as un style très fluide, incisif et ton univers est très poussé (les génomes, les images de propagande, les uniformes, les machines qui contrôlent tout…)
Tu dévoiles dès le premier chapitre, un monde à faire trembler. Que ce soit dans le fond et dans la forme (ton style et le regard que tu poses sur le monde à travers les yeux de Alya). Grâce à cela (ou à cause ? ahaha) on est terrifié par cet univers glacial, on se sent enfermés, claquemurés et immédiatement on comprend et on ressent de l’empathie pour Alya). On est complètement en elle et d’ailleurs le choix de ce point de vue fait que certaines informations nous manquent pour comprendre parfaitement cet univers (depuis quand ? Où est-ce ? Qui dirigent ?...) Mais j’imagine que tout sera expliqué petit à petit ! Et surtout c’est ce qui provoque le mystère, donc moi j’adore !
L’idée que la cité vole les souvenirs des personnes considérées comme dissidentes, je trouve ça géniale : on sent toute la frustration d’Alya qui se bat pour les retrouver et qui sans doute à fait de sacrés dégâts à la cité pour qu’ils lui prennent autant de souvenirs. Ma question du coup était : comment peut-elle continuer à être rebelle si à chaque fois on lui enlève les souvenirs de ces moments de rébellion ? Finalement, sauf si ses proches lui ont raconté ce qu’elle a fait, je me demande si c’est possible de conserver un esprit rebelle (je l’espère !)
Et puis, d’ailleurs : J’adore Alya, mais vraiment…je l’adore ! (outre le fait que son nom et son prénom ensemble, on dirait une allitération), elle dénote (même physiquement !) elle est maligne (les codes d’écriture c’est génial), elle est vindicative, rebelle, sans tourner vers les clichés.
Juste un élément, mais c’est tout à fait personnel : dans les descriptions de personnage, je trouve que ça enlève du naturel que d’utiliser des termes tels que « les yeux émeraudes » « la peau cannelle » , mais c’est une histoire de goût.
Dernier élément qui dénote avec le reste, qui m’a réellement surprise et que je trouve très intéressant : la serre ! Idée géniale, qui contraste complètement avec cet univers gris. J’ai l’idée d’un univers qui essaie de dompter une nature indomptable. Ca fait même un parallèle je trouve entre la serre et Alya, comme si l’une et l’autre se complétaient !
Alors du coup (je ne savais pas que c’était possible, tu me l’as appris) mais je veux que toi aussi tu me tagues sur ton journal pour un nouveau chapitre ! (même si j’en ai beaucoup beaucoup en retard -_-) si c’est possible.
Merci pour cette super lecture !
En plus, tu arrives à un moment où j'ai fait de nombreuses corrections sur cette première partie et je vais pouvoir comparer tes réactions (si tu continues à lire) avec celles des autres lecteurs avant modification :)
En tout cas merciiiiiiiiiiii pour ton commentaire et tes compliments, j'ai adoré lire ton ressenti <3
C'est fou, j'en ai bavé sur ce premier chapitre, tes retours m'ont vraiment rassuré :) En particulier ton ressenti pour le personnage d'Alya, certains de mes lecteurs la trouvait justement un peu "cliché rebelle", je suis contente qu'elle te plaise :) Tu me diras ce que tu penses des autres (Cyla et Nohan particulièrement - ils sont représentés sur mon avatar <3)
Ma question du coup était : comment peut-elle continuer à être rebelle si à chaque fois on lui enlève les souvenirs de ces moments de rébellion ? Finalement, sauf si ses proches lui ont raconté ce qu'elle a fait, je me demande si c'est possible de conserver un esprit rebelle (je l'espère !) => Très bonne reflexion, en fait, plus les autorités enlèvent des souvenirs, plus l'individu se met à questionner la cité et à devenir rebelle (c'est le poisson qui se mord la queue ! lol)
certaines informations nous manquent pour comprendre parfaitement cet univers (depuis quand ? Où est-ce ? Qui dirigent ?...)=> Oui j'y réponds en partie, le monde de mallaig est très complexe, dans le premier chapitre on en perçoit qu'une infime portion. C'est dans le chapitre sur Jun que tout est révélé ;-)
Ca fait même un parallèle je trouve entre la serre et Alya, comme si l'une et l'autre se complétaient ! => Bien vue ;-)
Je note pour la description, tu trouves que c'est un peu trop courant comme adjectif du coup ?
Bah écoute je te taguerais avec plaisir :). J'ai hâte d'avoir ton ressenti pour la suite :)
Bisous volants <3
Me voilà comme promis, un peu plus tard que prévu, sur ce chapitre 14. Dans l'ensemble et comme toujours j'ai aimé, comme je te l'ai dit j'ai quelques réserves.
d'abord, au niveau du déroulement des évènements, rien à redire, l'enchaînement est clair et logique, les réactions d'Ewen aussi, jusqu'à l'arrivée dans les quartiers des femmes. Tu as laissé planer plusieurs indices par rapport à l'implication de Sinaï, alors je n'ai pas été surprise qu'elle soit derrière tout ça, mais je dois dire qu'elle n'y va pas de main morte ! Cette scène de la découverte des femmes par les hommes pourrait être encore plus percutante je pense. Là on "tombe" directement sur la scène, la tension dramatique n'a pas le temps d'arriver. Peut-être que placer quelques femmes immobiles, une arme à la main, silencieuses pendant que les hommes passent, refusant de leur parler, pourrait ajouter au coté dramatique de la scène ?
Ensuite, je m'attendais à plus de résistance de la part d'Ewen et des hommes. Ce n'est rien moins qu'une dictature que Sinaï installe, je comprends qu'ils soient impressionnés et qu'ils ne veuillent pas faire de mal aux femmes, mais ils se résignent un peu vite. Et Ewen, qui ferait tout pour sa fille, se laisse convaincre un peu trop facilement. On a l'impression qu'ils sont tous sidérés, sous le choc, mais j'espère que par la suite Ewen et les hommes méneront la vie dure aux femmes.
Enfin, tu dis qu'Astrée étouffe un cri quand Sinaï la mutile, mais si je comprends bien, elle lui a déchiré la bouche de part en part, elle devrait plutôt hurler de douleur non ?
AH oui et j'ai été très intriguée de constater que Kian connaît Alya ! J'ai très hate de savoir comment et que va donner la rencontre entre les deux !
Des bisous Makara et à très vite <3
Merci de me laisser un petit com <3
Alors je réponds à tes remarques très pertinentes !
Peut-être que placer quelques femmes immobiles, une arme à la main, silencieuses pendant que les hommes passent, refusant de leur parler, pourrait ajouter au coté dramatique de la scène ? => Mmm pourquoi pas, mais cela enleverait un peu le "choc" de la vision dans la salle, non ?
En ce qui concerne la résignation d'Ewen et les hommes "On a l'impression qu'ils sont tous sidérés, sous le choc " => C'était exactement ça que je voulais que le lecteur ressente. Le fait qu'on soit frustrée qu'ils acceptent si facilement ce revirement de situation mais si on y pense, cela fait plus de dix ans qu'ils n'ont pas vu de femmes, je ne pense pas que ma solution soit irréaliste... Alors sur tes conseils et ceux de Mldlg j'ai tout de même rajouté un petit passage ! Tu me diras ce que tu en penses :)
En ce qui concerne Astrée et sa mutilation j'ai changé un gros passage à la fin du chapitre, surtout pour la retrouve plus avec sa fille parce qu'on avait l'impression qu'elles étaient trop effacées ! J'espère que tu vas aimé le changement !
Et enfin, Kian ne connait pas Alya :p (dans la partie 2, on va en apprendre plus sur les silleurs et leur rôle^^) Les révélations arrivent !!
Pleins de bisous volants ! Merci d'être passée <3
J'aime beaucoup le mélange entre une forme de 1984 (compliment <3 ) et l'étrangeté de l'univers que tu as créé qui semble t il s'annonce vaste...ton héroïne a un côté rebelle qui accroche compte tenu de sa situation, on sent un esprit révolutionnaire ou une fuite en préparation.
Très curieuse d'en savoir plus et également savoir quels sont les points qui ne te satisfont pas dans ce chapitre 1 pour pouvoir t'en dire plus?
S'il devait y avoir un petit point noir et donc un conseil à donner (mais c'est vraiment pour chipoter parce que tu as une écriture maitrisée et fluide) ça serait d'alléger par moment l'aspect descriptif qu'il faut forcément que tu mettes en place mais qui prend parfois trop de place sur l'action (j'ai un problème avec les descriptions trop épaisses, besoin de pouvoir en savoir assez mais pas trop pour débrider l'imaginaire et rentrer dans le monde, mais c'est trèèèès subjectif!) ça ne m'a pas empêchée d'accrocher pour autant (du coup je me demande si mon conseil est utile... XD il n'empêche que j'ai sauté des lignes pour passer à l'action, faudrait que je prenne le temps de noter à quel moment pour que cela soit vraiment plus constructif pour toi ! peut être un réequilibrage pour mieux doser le descriptif entre les deux parties du chapitre ? )
Voilà, j'ai donc beaucoup apprécié la lecture avec une grande envie d'en savoir plus, j'ai accroché sur ta protagoniste rebelle (et j'adore les mémés acariâtres aussi héhé) l'aventure pointe et l'intrigue est bien emmenée en fin de chapitre. Ta prose est travaillée, tu es habile à faire entrer ton lecteur dans ce système, juste ce détail autour du descriptif (mais c'est un point de vue subjectif à confronter aux opinons d'autres lecteurs pour savoir si cela te sera vraiment utile)
A très vite pour la suite! (et je suis visiblement trèèès en retard ^^)
Je suis bien contente que ce premier chapitre te plaise, il a été beaucoup re-travaillé !
Je note pour les descriptions, c'est peut-être celle de la serre qui est un peu longuette, non ? Car sinon, les autres sont vraiment très succintes !
Et bien je trouve ce début un peu trop classique ( le réveil, l'action qui commence, la méchante police...) Bref ça marche bien mais bon ça ne laisse clairement pas entrevoir toute la complexité du monde et en même temps, je peux tout expliquer au risque de perdre le lecteur^^
Bon, à ce jour, ce premier chapitre reste ma meilleure version ;-)
Merci pour tous tes compliments <3
Tu n'es pas du tout en retard, ne t"inquiète pas ! Prend ton temps, tu vas découvrir pleins d'autres personnages hauts en couleurs <3
Pleins de bisous volants,
A bientôt
Makara
Juste, dans la scène entre Alya et sa mère, je trouve qu'on ne ressent pas forcément le déchirement d'Alya, son désespoir à l'idée d'abandonner sa mère. Peut-être que cela pourrait se traduire plus dans ses attitudes ? J'aurais aimé par exemple la voir empoigner sa mère par la main, essayer de la tirer derrière elle, crier, pleurer... comme dit plus haut, la scène est confuse du fait de la confusion d'Alya à ce moment-là, mais je pense qu'elle gagnerait en intensité ;)
Sinon la course-poursuite est super bien menée, et en revanche au moment où Jun quitte Alya, là j'ai bien ressenti sa tristesse ;)
Bravo makara !
Qu'est-ce que j'attendais ton retour :p
MAIS EUH !!! Ah là là, quel chapitre et quelle fin ! C'est à la fois cruel et génial =D => Je sais je sais ahahah :p lire vos ressentis sur ce chapitre est vraiment jouissif !
Tes idées sont intéressantes au sujet de la grand-mère ! Tu es la deuxième à penser qu'elle pourrait avoir un sillage ! ahaha
Si Alya a une si grande importance pour l'humanité, sa grand-mère doit forcément être au courant ! => En effet :D
QUe de révélations et de mystères, encore une fois ! Vivement la suite ! => Oh ça me fait tellement plaisir que tu dises ça ! Tu vas voir tu n'es pas au bout de tes surprises :)
Sur le passage avec la mère d'alya, je note tes remarques, en effet je pense développer et changer un peu ce passage !
Sinon la course-poursuite est super bien menée => Chouette, j'ai galeré à la rédiger^^ héhé :p
Allez je file répondre à tes autres questions que tu m'as laissées sur mon jdb :p
Merci encore de ta lecture ma petite gab <3
Alya se montre vraiment naïve pendant l’entrainement, mais cela permet de montrer qu’elle n’a jamais été confrontée à la violence physique. Par contre, ses remarques montrent bien sa révolte par rapport à la violence psychologique en vigueur.
J’aime beaucoup le coup de l’effacement de mémoire, qui précipite le départ, qui instaure un compte à rebours et qui montre combien les dirigeants perdent le contrôle de la situation.
J’ai toutefois relevé certaines incohérences qui m’ont fait tiquer :
- le fait que l’entrainement au combat soit la dernière étape de la prépartion : cela n’a pas de sens parce que cet entrainement nécessite le développement de muscles, de techniques et de réflexes qui ne peuvent s’aquérir qu’avec des mois de travail. Logiquement, Jun devrait commencer par cela pour qu’ils soient un minimum aguerris avant de partir.
- le fait qu’Alya tente d’emmener sa mère au dernier moment. C’est une question à laquelle elle devrait avoir réfléchi depuis longtemps. En plus, sa mère n’apporte rien au groupe, Jun n’a aucune raison d’accepter d’emmener un boulet. Pour moi, Alya avait accepté cette sépartion depuis longtemps.
- Jun donne un coup de pied dans une baie vitrée, les éclats volent et... aucun d’entre eux ne les blesse comme par miracle.
- Pourquoi Alya doit-elle passer par le sillage ? Elle pourrait s’enfuir avec les autres, ce qui éviterait de la laisser seule. J’ai l’impression que toi tu le veux, parce que cela t’arrange pour l’histoire, mais qu’en fait Alya et Jun n’ont aucune raison objective de procéder ainsi.
Je te laisse réfléchir à tous ces points, qui ne sont pas compliqués à revoir, je pense. Vivement la suite !
<br />
Je suis ravie de te revoir par ici, j'adore tes retours qui me permettent de faire gagner en qualité et cohérence mon bouquin <3
Bon déjà je suis contente qu'il t'ai plu et que tu l'ais trouvé haletant :)
Alya se montre vraiment naïve pendant l'entrainement, mais cela permet de montrer qu'elle n'a jamais été confrontée à la violence physique. Par contre, ses remarques montrent bien sa révolte par rapport à la violence psychologique en vigueur. => Je suis contente car c'est exactement comme ça que je voulais qu'on perçoive la scène !
J'aime beaucoup le coup de l'effacement de mémoire, qui précipite le départ, qui instaure un compte à rebours et qui montre combien les dirigeants perdent le contrôle de la situation. => C'était déjà prévu dans ma première version avec le coup de la maladie cela est encore plus crédible ! Donc merci à toi <3
Alors passons aux incohérences :
1°) le fait que l'entrainement au combat soit la dernière étape de la prépartion : cela n'a pas de sens parce que cet entrainement nécessite le développement de muscles, de techniques et de réflexes qui ne peuvent s'aquérir qu'avec des mois de travail. Logiquement, Jun devrait commencer par cela pour qu'ils soient un minimum aguerris avant de partir. => Ta reflexion est tout à fait juste mais si Jun avait commencé par l'entrainement au combat tous les clones auraient pris peur, il devait d'bord gagner leur confiance et scénaristiquement je ne peux pas vraiment inclure ces combats avant ou alors il faut que je rajoute un chapitre que sur ça et je perdrai en rythme. Par contre, je peux lui faire dire qu'il compte continuer l'entrainement une fois qu'ils seront à l'extérieur dans les conditions réelles ?
2°)le fait qu'Alya tente d'emmener sa mère au dernier moment. C'est une question à laquelle elle devrait avoir réfléchi depuis longtemps. En plus, sa mère n'apporte rien au groupe, Jun n'a aucune raison d'accepter d'emmener un boulet. Pour moi, Alya avait accepté cette sépartion depuis longtemps. => Je comprends la aussi ta remarque, Alya pense à partir depuis longtemps mais ce qui la retient vraiment c'est de laisser sa mère. Avec la révélation sur la maladie de Jun et le rôle de sa grand-mère, elle est encore moins sure d'elle. Le fait que l'éclair d'absence soit programmé au dernier moment impose à Jun d'accepter que la mère d'Alya vienne mais concrètement quand Alya lui demande si elle peut l'emener, il sait qu'elle ne viendra pas et qu'Alya a besoin de s'en rendre compte d'elle-même ( tu suis toujours ? Lol). Peut-être que je pourrai rajouter un passage pour rendre ça plus clair ?
3°)Jun donne un coup de pied dans une baie vitrée, les éclats volent et... aucun d'entre eux ne les blesse comme par miracle. => Tu as raison ! Elikya veut du sang, elikya aura du sang ! ahahaha
4°)Pourquoi Alya doit-elle passer par le sillage ? Elle pourrait s'enfuir avec les autres, ce qui éviterait de la laisser seule. J'ai l'impression que toi tu le veux, parce que cela t'arrange pour l'histoire, mais qu'en fait Alya et Jun n'ont aucune raison objective de procéder ainsi. => Alors là par contre, je l'explique ! Les recrues se font passer pour des patrouilleurs Itinérants qui ont le même génome qu'eux, Alya ne pourrait pas partir avec eux car elle a un génome unique et ne pourrait pas se faire passer pour une patrouilleuse itinérante. Si elle était parmi le groupe, les patrouilleurs sentiraient l'arnaque. C'est pourquoi elle ne peut sortir que toute seule grâce à son sillage ( après c'est sur que c'est important pour voir comment il marche^^ lol).
Bref, merci pour toutes ces remarques, elles me sont très précieuses !
T'attendais-tu à l'arrivée de la grand-mère à la fin ? A ton avis pourquoi est-elle dehors ?
Pleins de bisous volants <3
J'ai bien aimé ce nouveau chapitre, je le trouve plus lent mais aussi plus fouillé dans les interactions, notamment entre Nohan et Kian. Ce dernier m'intrigue de plus en plus d'ailleurs, j'espère qu'on va plus le découvrir dans les prochains chapitres car il est mystérieux à souhait, on voit bien qu'il poursuit un objectif essentiel pour lui et que rien d'autre ne compte !
Je suis ravie que Nohan et Cyla se soient rencontrés :) il y a un petit truc qui m'a étonnée, Nohan se comporte comme s'il était beaucoup plus vieux que Cyla, il l'appelle "l'enfant", or j'avais compris qu'ils avaient à peu près le même âge. Mais ce n'est que peccadille. Je les trouve trop choupis tous les deux <3 d'après ce que j'ai compris, Cyla se fait donc passer pour un garçon, j'ai hâte de voir ce qui va se passer entre eux deux !
Vivement la suite car j'ai la sensation qu'on arrive à un tournant de l'histoire !
Des bisous,
Gab
Rooh c'est fou, je n'y crois même pas d'avoir atteint 100 ! Pffiou ! ça fait tout drôle^^
C'est marrant que tu le trouves plus lent ce chapitre car il s'y passe pleins de choses ! J'ai en effet essayé de fouiller les interractions entre Nohan et Kian car on les avait peu vu ensemble ! Ne t'inquiètes pas on va en apprendre plus sur Kian dans la deuxième partie de l'histoire, il est un personnage important^^ T'as capté qu'il était gay ?
Je suis ravie que la rencontre Nohan/ Cyla te plaise :). Nohan est plus âgé que Cyla, il a 16 ans, Cyla 13 et elle fait pour l'instant bien plus jeune que son âge (attend que la puberté arrive^^lol), c'est pour ça qu'il l'appelle "l'enfant". Sinon moi aussi je les adore ^^ <3
j'ai hâte de voir ce qui va se passer entre eux deux ! +> Je ne dirai rien même sous la tortureeeeeeeeeeeeee
Vivement la suite car j'ai la sensation qu'on arrive à un tournant de l'histoire ! => Exact, il reste deux chapitres pour la partie 1, la fuite d'Alya et le tournoi :p
Beaucoup d'actions avenir....
Bisous volants, merci encore pour ta lecture <3
Enfin, je reviens mettre des mots sur mon ressenti après avoir découvert Sillages lors du PS et avoir succombé à cette histoire.
L’intrigue accroche le lecteur dès le premier chapitre. Les images que tu emploies sont très bien trouvées. Mes phrases chouchoutes : « Le décor glacé fondait dans le désordre. La propreté, elle, se fissurait. » « Des reflets d'homme, aux jours et aux nuits similaires, camaïeu de couleurs délavées en constant mouvement. »
Le concept d’éclair d’absence est très bien vu. Cette idée de points de performances aussi. Les éléments de propagande (affiche, message) que tu distilles au fur et à mesure de ton récit donnent de l’épaisseur à ta dystopie. Je n’ai pas tout compris sur le fonctionnement de Mallaig, mais suffisamment pour avoir envie de continuer et pour être intriguée. En passant, il y a un rapport avec la ville de Mallaig en Écosse ?
Alya est un personnage intrigant et attachant (pour moi ;). J’ai aimé son côté écorché vif parce que tu y apportes des nuances avec sa collection d’objets, ses écrits, lors de la course. Je comprends les remarques d’autres BL à son sujet. Si tu veux plaire au plus grand nombre, tu pourrais atténuer sa colère envers sa grand-mère en utilisant un vocabulaire moins fort ou au contraire évoquer un exemple concret du désaccord grand-mère/petite fille et ainsi donner du grain à moudre au lecteur pour qu’il se fasse sa propre idée. Pareil pour les remarques sur les patrouilleurs, si tu veux ménager la chèvre et le chou tu pourrais remplacer le crachat par une autre réaction. Pour moi, ça ne m’a pas posé de problème. C’est raccord avec Mallaig.
Mais comment peut-on vivre avec une mémoire en damier ? C’est horrible ce gruyère de souvenirs et un véritable challenge à gérer en tant qu’auteure. Tout ça m’intrigue. Si X doit être effacé et qu’il est avec Y,Z. Y, Z sont forcément effacés aussi ? Mais la pauvre Alya, elle va chercher partout ses notes ! Se souvient-elle seulement de ses parchemins ? J’espère qu’elle ne va pas oublier sa pièce. La suite ! La suite !
Peccadilles :
avec le sentiment étrange de plus se connaitre.> de ne plus se connaitre
porta à ses narines, le bourgeon >virgule en trop
roque>rauque
raccomodait>raccommodait
Ceux-ci l'intéressait peu> Ceux-ci l'intéressaient peu
Ces points vous permettaient par la suite d'aller acheter des confiseries, des produits de beauté> confiserie détonne avec l’ambiance de ton chapitre.
Concernant l’usage de la virgule à la place du point-virgule. La première tend à remplacer le second de nos jours. J’étais moi-même larguée par rapport à ce qu’on m’avait appris. Alors je me suis documentée et il reste des restrictions : les sujets des verbes d’action doivent être les mêmes. Ou alors les propositions doivent être courtes et s’opposer ex : il rit, elle pleure.
La porte de l'ascenseur s'ouvrit soudain, elle se hâta de sortir dans l'immense hall vitré.>sauf si c’est la porte qui se hâte dans cet exemple, la syntaxe est fausse.
Je n’ai pas fait la liste, mais si tu veux un balayage de tous tes chapitres sur ce point n’hésite pas à me le demander ;)
Des bisous
C'est super de te voir par chez moi :) Tes commentaires me font extrèmement plaisir <3
Merci d'avoir relevé les phrases qui t'ont marquées, cela me touche <3
Je suis contente que tu ais trouvé tout le concept des éclairs d'absence original ainsi que le fonctionnement totalitaire de Mallaig.
Je suis particulièrement contente qu'Alya te plaise, j'ai tenté d'esquisser le personnage dans ce chapitre mais l'action domine alors ce n'est pas facile !
Suite aux nombreuses remarques sur la violence des patrouilleurs, je pense atténuer leurs propos et leurs gestes dans un futur proche ( quand j'aurai le temps ! lol).
En effet, c'est pas facile de gérer le perso d'Alya avec sa mémoire à trou et je compte sur mes fidèles lecteurs pour pointer les incohérences :p
Merci pour les pécadilles, je vais corriger tout ceci :)
A bientôt
Bisous volants
Je viens voir ton histoire pour les HO. Une belle entrée en matière avec cette société pas cool du tout. Super l’idée de faire oublier des épisodes aux gens. Ca manque peut-être un peu de nuances pour moi, entre les patrouilleurs très méchants et la super héroïne badass, mais j’attends de voir comment tout cela va se développer.
Détails
sur le bouton qui chaperonnait le tout : j’ai du mal à comrpendre ce verbe dans ce contexte
et d'autres s'hérissaient dans l'azur. : pas d’élision avec hérisser
Sa peau foncée dénotait dans cette masse anonyme blanche : détonnait
Une trentaine d'hommes et de femmes de tous âges s'animaient dans la pièce : s’activaient ?
Je suis contente que le premier chapitre te plaise :) On m'a déjà parlé de mettre plus de nuances dans ce début, en effet. Le problème c'est que si je développe trop la partie des patrouilleurs cela va devenir lent alors que je veux que le livre commence "comme si on prenait l'histoire en cours". Je ne trouve pas les patrouilleurs soient très méchants, clairement ils méprisent Alya et mettent le désordre partout mais ils ne font rien d'autres. Ils sont oppressants, oui. Méchants... ça se voit que tu n'as pas encore lu le chapitre avec Nohan^^ahah.
Alya n'est pas une super héroïne badass, sa personnalité est encore morcelée à ce stade de l'histoire : le seul trait qui apparait clairement est sa révolte :)
Tu n'es pas la seule qui n'adhere pas à elle dès le début, cela m'interroge...
Merci pour les coquillettes je vais corriger tout cela !
Bisous volants.
Makara
C'est toujours d'actualité ta note de bas de page ? Tu n'es pas satisfaite de ce chapitre ? Pour quelle(s) raison(s) ?
Moi j'ai été assez vite embarquée. On sent tout de suite la lourdeur et l'injustice d'un système totalitaire grâce à la scène du début. On sent la colère d'Alya face à ce monde et face à sa grand-mère qui semble y adhérer.
Tes descriptions sont très parlantes et le petit parcours dans la cité met bien dans l'ambiance.
Alya est attachante par empathie : comme on adopte tout de suite sa colère, ça crée un lien avec elle, c'est intéressant.
Et l'histoire de la pièce est une bonne fin qui donne envie d'aller voir la suite.
Franchement, je trouve que c'est un très bon début !
La seule remarque que je te ferais (et encore, je pense que le fait de lire sur FPA n'arrange pas les choses) c'est que je trouve ton texte pas très aéré. Tu fais très peu de retours à la ligne et du coup ça fait des gros pavés.
Par exemple :
"Cette rengaine se répétait chaque heure dans les haut-parleurs et leur rappelait sans cesse leurs obligations. Alya savait qu'elle ne pourrait pas éternellement le tolérer. Alors qu'elle déterrait une plante pour la transvaser dans un autre pot, elle sentit contre ses doigts, un contact dur et froid. " : je pense que tu pourrais sans problème faire un retour à la ligne (voire un changement de paragraphe) entre "étenellement le tolérer." et "Alors qu'elle déterrait...", puisque tu changes de sujet.
Petite coquille :
"Certains matins elle se réveillait avec le sentiment étrange de plus se connaitre." : de NE plus se connaître
Je file voir la suite ! A+
Je dois t'avouer que lorsque j'ai vu ton nom apparaitre au début du commentaire, j'ai eu un sursaut d'adrénaline. Pour moi tu es un peu la reine de plume d'argent parce que je vois passer beaucoup de tes commentaires sur le site. Je me disais souvent que j'aurai bien voulu avoir ton avis sur mon histoire et j'ai jamais osé te demander^^. Bah c'est chose faite maintenant :p
Je suis si contente de te voir embarqué dans le roman ! Mon premier chapitre a subi énormément de changements et j'ai toujours peur de voir que le lecteur n'accroche pas du tout à cet univers froid et technologique. J'en suis plus satisfaite à présent mais il m'arrive encore souvent de rajouter quelques élèments ou d'enlever des choses. De plus, on pourrait croire que cette Cité et son fonctionnement n'est pas franchement original alors que la GROSSE originalité est dévoilé dans le chapitre 5 avec Jun (J'ai tellement hâte que tu me dises ce que t'en penses :p ). Idem pour Etioli, on en apprend beaucoup sur les femmes avec le chapitre de Nohan <3.
J'ai vraiment essayé de distiller des informations petit à petit pour ne pas noyer le lecteur face à la complexité de mon monde mais du coup pour moi c'est assez frustrant de voir les lecteurs arrêter au chapitre 3 car vous ne pouvez pas encore saisir les enjeux et les révélations des Cités. Allez, je prends mon mal en patience :)
Merci pour tes remarques pour l'aération du texte, je suis allée l'éditer pour l'aérer un peu.
Je suis contente que tu apprécies Alya, soit on l'aime soit on adhère pas du tout mais bon c'est un risque que je prends...
Encore merci pour ta lecture <3
Bisous volants
Makara
j’aime bien tout lire d’un coup, pour me faire une bonne idée de l’histoire.
c’ est dur de choisir un chapitre parmi les huit... J’aime beaucoup Alya et Jun, du coup je retiens le dernier, car il est très prometteur. Il donne envie de lire la suite !
ça me motive trop pour poster le RDV entre Alya et Jun ça :p
Maintenant, j’ai envie de savoir où tu veux en venir, avec ces histoires qui n’ont aucun rapport entre elles. Je me demande si elles vont se croiser bientôt.
Makara
Coucou Makara !
Je passe ici dans ma tournée Histoire d'or. Je suis passé lire ton premier chapitre, je lirai la suite demain quand mon cerveau sera moins fatigué xD
Je te laisse mes impressions ici, qui sont un peu partagées pour être honnête. Je m'explique : le principe de ta société est très intéressant, je pense d'ailleurs qu'il y a beaucoup de potentiel et j'aime beaucoup ce genre de monde, néanmoins deux points me chiffonnent.
Le premier est lié à ta première partie : je trouve que ça manque un peu de subtilité et d'explications. Les Patrouilleurs sont très méchants et s'attaquent directement à la famille d'Alya. Alors c'est mon ressenti, mais qu'ils lui crachent direct dessus, qu'ils retournent sa maison et la menacent comme ça, sans autre forme de contexte m'a un peu dérangé, parce que j'ai eu un peu le sentiment que tu indiquais dès le début au lecteur qu'ils sont méchants, que la société est mauvaise.
Sinon, la deuxième partie fonctionne mieux. Le principe de la société qui rend amnésique ses habitants me plaît bien. La première partie, où tu indiques pourquoi Alya écrit, est intéressante. En fait, je dirai que tu as une base très intéressante, mais tu gagnerais à amener les choses plus subtilement (je m’expliquerai plus bas) et en fournissant plus de contexte à ta première scène. Alors ça implique pas de tout révéler dès le début, mais expliquer un peu plus le pourquoi du comment. Cela aiderait le lecteur à mieux s'imprégner du contexte et à mieux entrer dans la scène (ça va faire le lien avec mon propos suivant).
Ensuite, ce qui m'a gêné, c'est l'opposition directe de l'héroïne. Peut-être que c'est dû à son âge ? A sa non conscience du danger ? Mais son opposition directe, comme ça, ça m'a un peu agacée, parce que ça m'a donné la sensation de forcer le trait, de montrer que c'était l'héroïne différente des autres, qui va s'opposer à la société. Si c'est l'angle de ton histoire pourquoi pas, ça ne signifie pas que c'est mauvais, pas du tout, mais à mon sens (là encore c'est subjectif), ça manque de subtilité et cette opposition trop nette m'a empêché d'adhérer à l'héroïne. Il manque peut-être des éléments de sa personnalité propre. Alors je sais que c'est dur dans ce genre de société xD, mais il manque un peu son point de vue à elle, la peinture du décor par ses yeux, en fait j'aurais aimé que tu nous en dises plus sur ce qu'elle pense, surtout dans la première scène. En fait, c’est ta première scène qui m’a gêné.
Bon, je remarque que mon commentaire est très lourd, je n'ai pas du tout envie de te décourager. Comme je te disais, il y a des éléments très intéressants, et j'apprécie aussi ton style. J'ai vu que tes autres lecteurs avaient accrochés, donc peut-être que ça vient de moi, à toi de faire le tri entre tous tes retours. Je préfère juste être honnête et te livrer mon ressenti en essayant d’être constructive.
Bonne soirée !
<br />
Alya est un personnage que les lecteurs en général ont du mal à saisir lors du 1er chapitre et c'est normal car comme tu le dis je ne livre pas trop d'informations sur ses états d'âme ou sa personnalité mais si tu continues ta lecture tu verras que ses réactions sont tout à fait compréhensibles et que son statut l'empêche d'être réellement en danger. Clairement la construction de ce personnage est à l'image de sa mémoire morcelée : incomplète.
Dans l'ensemble je ne suis pas très satisfaite de ce chapitre, je pense le reprendre encore car il reste des maladresses... En tout cas j'espère que tu es assez emballée pour lire la suite car les cités te réservent beaucoup de surprises... Merci encore d:avoir été honnête :)
Ah mon tour je viens voir ce qui se trame chez toi ! et quelle belle idée j'ai eu de te rendre visite ce soir !
Nous avons quelques petits points communs sur le type de monde dans lequel nous faisons évoluer nos personnages. :)
J'ai bien accroché sur ce premier chapitre, je trouve que ce que tu écris est visuel, fluide et intrigant. Ma curiosité est complétement piquée, je vais de ce pas lire la suite !
Le seul petit truc qui m'a perdu au début était les prénoms des 3 femmes. J'aime bien la façon dont c'est amené, mais j'ai du relire pour être sûre d'avoir fait la différence entre Camilla et Eline. Une allusion rapide des prénoms après la mention "la grand-mère" ou "la mère d'Alya" un peu plus haut, pourrait peut-être mieux introduire ? Ce n'est qu'une suggestion.
Une coquille repérée ici (je dis ça, je dis rien, toujours plus facile de les voir chez les autres :p) :
"Elle enfila une tenue grise, celle que tous les jeunes entre 16 et 21 ans portée "
C'est un plaisir de te voir par ici ! Merci pour tes compliments, tu m'as donné le sourire ! Oui c'est vrai que nos deux mondes se ressemblent un peu ! Ils font un peu peur ^^.
Bonne remarque pour la mère et la grand-mère d'Alya, je m'en vais préciser et je vais corriger la coquille aussi !
A bientôt pour tes prochains retours ;-)
Bisous volants
J'ai été super ravie de découvrir plusieurs nouveaux chapitres, je les ai dévorés !
J'ai plus accroché avec Alya dans ces derniers chapitres qu'au début. Je crois que je comprends mieux sa révolte, sa mémoire trouée, sa colère incesante. Elle est plus nuancée je trouve qu'au début.
J'ai beaucoup aimé découvrir Jun, un personnage intéressant, et la révélation sur sa perte de sensations m'a indignée pour lui. Comme ce doit être terrible à vivre. Surtout face à Alya. Par contre, les petits indices que tu laisses quant à cette révélation n'étaient pas assez clairs pour moi, j'ai du remonter le texte pour comprendre que c'est de ça que tu parlais dans la scène du restaurant.
J'aime toujours autant Nohan et Cyla, je tremble à l'idée de ce qui va arriver à cette dernière !
Merci pour ce beau moment de lecture, et à très vite !
Ah si tu as dévoré les chapitres c'est une bonne chose ! Cela veut dire que (pour l'instant) le rythme est bon malgré les nombreux personnages ?
Alors je suis bien contente que tu apprécies plus Alya dans les derniers chapitres, je pense que j'ai pris plus le temps d'analyser ses pensées et ses actions au contraire des deux premiers où je lançais l'histoire et je voulais qu'on démarre un peu sur les chapeaux de roues^^ Bref ce que tu dis me rassure :)
Je note ta remarque pour amener peut-être plus d'indices sur les nons sensations de Jun. Je pense que je verrai ça pour la relecture finale (si je commence à faire des modifications tout de suite, je crois que vous n'aurez jamais la suite ! lol)
Du coup parmi tous ces personnages, tu préfères lequel ou laquelle ? (question ardue héhé)
Pleins de bisous volants et merci encore de ta lecture !
Makara
Private joke de soeurs de voyage mise à part, j'aime beaucoup le dynamisme avec lequel tu nous plonges dans ton univers ! Avec ce réveil en pleine nuit, on sent d'emblée la tension de cette dystopie. Et puis ton personnage principal a une force de caractère qui me plait bien ! Son côté désobéissant et son rapport à la notion de sécurité me parlent beaucoup.
On sent d'emblée que Mallaig n'est pas le havre de paix qu'elle prétend être : ces cinq bonhommes bras levés et les Génomes 1 posent les bases d'une religion qui pousse à l'adoration aveugle, et on voit déjà des soucis de discrimination, sans parler du système de points (ça m'a tout de suite fait penser à ce qu'il se passe en Chine, c'est glaçant...).
Tu dis en en fin de chapitre que cet incipit ne te plait pas trop, mais pourquoi ? Je le trouve très efficace ! Je crois que si je devais te faire une seule remarque un tant soit peu négative (et encore...), je dirais qu'on n'en sait encore trop peu sur les rapports entre les différentes cités survivantes, pour comprendre tout à fait l'intérêt que porte Alya à la pièce de monnaie d'Etioli. Mais encore, je me doute qu'on en saura plus aux chapitres suivants et je me fais pas de bile :-)
A bientôt pour la suite !
Liné
Mmmmmmais chut, ne dis rien pour Mallaig c'est un secret :p
En fait quand j'ai inventé ce monde, il m'est venue naturellement, il s'est assez imposé (j'aimais bien le nom de cette ville aussi :p)
Je suis contente de savoir que le dynamisme du chapitre te plaise, je l'ai pas mal retravaillé. J'en suis toujours insatisfaite car je le trouve un peu conventionel, en fait on ne se rend pas compte pas de l'originalité de la Cité lors du premier chapitre (enfin c'est mon impression^^).
Et puis ton personnage principal a une force de caractère qui me plait bien ! Son côté désobéissant et son rapport à la notion de sécurité me parlent beaucoup => Alya est le personnage le plus "classique" je trouve, de mon évantail de persos. Après je pense que l'évolution que je lui réserve en surprendra quelques uns ;-)
(ça m'a tout de suite fait penser à ce qu'il se passe en Chine, c'est glaçant...) => La société de Mallaig pourrait grave exister, c'est hyper flippant ( je me fais flipper moi-même -_-)
En ce qui concerne les autres cités, en effet on va en apprendre plus dans le chapitre suivant mais globalement je distille les infos au compte-goutte^^
En tout cas, j'espère te revoir ! J'ai hâte que tu découvres les autres personnages :)
Pleins de bisous volants !
Tu as tout à fait réussi ton coup, avec la robe d'Alya, qui coupe court à tous les clichés du type Cendrillon et qui apporte une touche d'humour bienvenue. Je suis heureuse d'en apprendre plus sur son père, qui se révèle de plus en plus. C'est tout aussi horrible d'être privé de sa mémoire.
Bref, j'ai hâte de découvrir la suite !
Cela me fait très plaisir de te revoir par ici et le fait que tu ais commenté rapidement ce chapitre m'est d'une grande aide <3
Je suis contente que les sentiments de Jun t'aient touché, j'ai essayé le mieux possible de les retranscrire, je voulais qu'on soit emporté par les émotions avec lui, que l'on ressente son désespoir ! Je ne suis pas encore satisfaite du chapitre mais je vois déjà qu'il marche bien comme il est pour l'instant.
Oui étant donné les thèmes que j'aborde dans ce chapitre je voulais mettre une touche d'humour, histoire qu'on est pas envie de sauter par la fenêtre après^^ Lol. J esuis rassurée que l'épisode de la robe soit réussi :p
Merci beaucoup de ta lecture, cela me touche que tu continues ta lecture avec tant d'enthousiasme :)
A bientôt ! J'ai hâte de te faire découvrir la suite !
Bisous volants
Makara
J'ai la tête pleine de questions à la fin de ce chapitre, ça motive à fond pour lire la suite ! (à quoi sert à la serre ? qu'est-ce que c'est que cette histoire de pièces interdites et où ça va nous mener ? Alya va-t-elle se faire virer ? et j'en passe...)
Ma citation préférée : "Le décor glacé fondait dans le désordre."<br /><br />Une petite coquillette :<br /><br />"on aurait pu croire, à une véritable jungle" : la virgule est en trop, je dirais !
Merci pour ce moment, j'ai hâte de découvrir la suite ! :D
C'est super que tu ais commencé l'histoire :) Je suis tellement ravie !
Ce chapitre 1 me pose encore énormément de problèmes et il va subir de nouvelles transformations je pense^^ ( je pense qu'il est le plus faible de tous mes chapitres dans cette histoire). Tu as en effet noté que le monde d'Alya était très complexe et je ne souhaite pas submerger le lecteur dès le début par des explications immenses, les réponses à tes questions sont donc disséminées sur les différents chapitres. Ceux sur les points de performances par exemple, tu n'auras la réponse que dans le chapitre 8 (celui que j'écris en ce moment^^).
Au niveau des détails pour se représenter la Cité, tu as raison je vais peut-être rajouter quelques phrases pour que nous ayons une meilleure idée de l'espace dans lequel elle évolue.
Les patrouilleurs ne sont pas vraiment là pour faire peur, c'est plutôt l'objet qu'ils utilisent qui fait peur... Tous les citoyens sont traités de la même manière s'ils ne respectent pas les règles. Peu importent leur "génome" ( tu verras ce que cela signifit). En ce qui concerne la réaction de la Grand-mère, tu me donnes à réfléchir je vais voir ce que je peux faire. Idem pour les souvenirs enlevés, c'est vrai que les points enlevés perdent leur sens si je ne le mentionne pas par la suite et je ne crois pas que je le fais (alaalala). Je vais me repencher sur la question.
En ce qui concerne les références aux oeuvres, tu n'es pas la premère à me faire la remarque pour Men in Black, mon inconscient a dû l'utiliser sans vraiment sans rendre compte^^. Pour les sabliers de la Passe-miroir je n'avais pas fait le lien, ça y ressemble un peu mais vraiment de loins ( tu verras par la suite). En ce qui concerne Black mirror, je ne pense pas avoir vu cette épisode ( mais ça a l'air interressant^^).
Après je suis contente que les questions que tu te poses te donne envie de poursuivre. C'est difficile de "doser" en reflexion et en description cet univers.
J'espère que le chapitre suivant te plaira :)
Désolé d'avoir répondu un peu n'importe comment^^
Bisous volants
"Une voix, en rythme, s'exclamait" j'ai de la peine avec cette phrase. "Une voix s'exclamait en ryhtme" sans les virgules ça irait ? ou "Une voix s'exclamait à un rythme régulier" ?
"Elle réalisa lentement que les bruits persistaient, tambour cinglant dans les ténèbres, un très mauvais signe. " j'aurais écrit "Elle réalisa lentement que les bruits persistaient, tambour cinglant dans les ténèbres. Un très mauvais signe. " mais c'est très personnel.
Ensuite, c'était tout fluide !
J'aime beacoup comme tu poses le monde. Souvent, j'ai de la peine avec les chapitres d'exposition (qui sont un mal nécessaire), mais je trouves que tu as superbement dosé les éléments. On apprend plein de choses, les mystères qui restent ne bloquent pas la lecture mais donnent envie de continuer à lire, bref, c'est une réussite pour moi.
Merci pour tes remarques sur les deux phrases, je vais les changer, je préfère ta version :D
Moi je ne le trouve pas très original ce premier chapitre, assez convenu on va dire... Après, comme tu le dis, il permet de bien planter le décors et d'embrayer sur la suite. Je voulais qu'on ait une plongée dans le monde et qu'on puisse pas trop relever le nez avant la fin du chapitre :)
Bref, merci pour ta lecture,
A bientôt !