Chapitre 22 :

Les jours et enfin les mois défilèrent et se ressemblèrent. Comme prévu William fut mit dans la même chambre que Louise et ceux dès la fin du premier. Maintenant que leur relation était bien confirmée. Cela fut assez précis pour William qu'il était temps d'avoir une descendance, son père lui en avait touché deux mots après le dîner. Il n'en trouvait pas le sommeil cette nuit-là. Il sortit de sa chambre et marcha jusqu'au jardin. Il faisait bon et la lune ainsi que les étoiles étaient magnifiques ce soir. Il les regardait puis regarda la ville en contrebas et bien loin. Il espérait que quelque part Caecilius profitait lui aussi de cette nuit agréable mais ce dit qu'à cette heure il devait dormir et qu'il devrait en faire de même. Il soupira et rentra. Dans la ville justement posée sur un rebord de fenêtre se trouvait le magicien regardant le ciel songeur triturant la lame entre ses mains. Lui aussi ne trouvait pas le sommeil et ce depuis son départ. Au petit matin Caecilius retrouva Amanda.

-Aujourd'hui je dois habiller mademoiselle pour leur première nuit quelque peu érotique. Les deux familles pensent qu'il est temps. Je sens que je vais galérer. Elle est malgré tout assez difficile en termes de goût. Tu ne serais pas ce qui plaît à monsieur William comme tu es son majordome ?

-William aime les choses assez neutres en soi. Quelque chose de foncer. Si tu as du violet cela est pas mal. J'ai cru comprendre qu'il aimait bien.

-C'est vrai que je retrouve souvent un haut de cette couleur dans sa lessive.

Caecilius acquiesça et partit frapper à la porte du couple pour annoncer le petit déjeuner. La porte s'ouvrit sur William vêtu de son haut de nuit.

-Merci Caecilius. On arrive.

Ce dernier s'inclina et partit se mettre en place. Plus les jours avaient avancé, plus leurs dialogues devenaient courts et distants. Ce qui surprenait le brun mais il devait faire avec. Dans peu de temps sûrement il devrait l'affronter. Cet homme s'éloignant de lui avec élégance au rythme des talons résonnant contre le sol. Une élégance tâchée de sang. William et Louise s'habillèrent et allaient prendre le petit déjeuner. Puis Charles demanda à William d'avoir des heures de cours en plus pour préparer la nuit. Alors William retrouva le magicien dans la bibliothèque pour cela.

-Cela fait bien longtemps que nous n'avions pas eu cours ici.

-En effet William. Mais honnêtement tu n'en a plus besoin. Tu connais la majeure partie des choses. Tu es prêt en soi. Ce soir tu coucheras avec ta partenaire et vous prendrez votre pied pour faire naître une descendance.

-Tu pourrais m'attaquer et me tuer aujourd'hui ?

-Navré mais mon rôle tient jusqu'à au moins la fécondation. Tâche d'être un minimum doux. J'ai cru comprendre que miss Louise était aussi vierge que toi là dessus.

-Bien...Mais Caecilius ?

-Oui ?

-Je ne ressens rien pour cette femme.

-Cela ne change rien.

-Je voulais au moins le confier à toi.

-Va te détendre. Prendre un bon bain. Essayer de voir se qui te stimule avant l'heure pour ne pas paraître bête devant mademoiselle.

-C'est ton conseil.

Caecilius ferma les yeux et s'avança en caressant le bois du bureau de leurs premiers cours de ses mains gantées. Il passa aux côtés du brun qui accompagnait ses pas et son déplacement du regard. Mais il s'arrêta aux portes.

-William.

-Oui ?

-Insulte moi.

-Pourquoi ?

-J'en ai envie.

-Je le savais que tu n'étais qu'un chien. Un chien galeux Caecilius.

Ce dernier ferma les yeux appréciant le frisson qu'il lui procurait en l'insultant ainsi et sur ce ton. Il le regarda alors et lui dit :

-Pense à tes lèvres. Elles ne sont pas agréables à embrasser quand elles sont sèches.

William agrandit son regard alors que résonna par trois fois les coups de talons du magicien. C'est ainsi qu'il quitta la pièce. C'était fait. Il avait donné ses dernières directives. Il avait fait son choix. Il alla aider Vincent et les autres pour quitter le domaine vers vingt heures. Le brun était allé dans sa chambre et rangea un peu quand il tomba sur le livre que lui avait offert le magicien. Il avait trouvé bizarre le comportement de Caecilius. Il saisit le livre et le commença. Comme d'habitude il se laissa entraîner dedans et ne vit pas le temps passer. Ce n'est quand Amanda qui vient lui annoncer le dîner qu'il réalisa. Il posa le livre qu'il avait déjà envie de terminer.

-Un très bon choix comme toujours Caecilius.

Il alla manger et retourna vite dans sa chambre pour aller se laver et se préparer. Il se savonna le corps pour être propre pour sa partenaire. Une fois dehors à se sécher il réfléchit. Comment se stimuler ? Jusqu'ici c'était surtout Caecilius qui l'avait fait. Il se regarda dans le miroir et vit encore cette légère cicatrice dans le creux de son épaule gauche. Il passa les doigts dessus l'a caressant et l'a pressa juste un peu. Il se souvenait comment elle avait été faite. Il l'avait mordu à sang, traversant sa chair de ses dents tranchantes. Un courant électrique le parcourra en se souvenant de ça et d'autres moments. Il se souvenait qu'il lui avait dit que le stimuli pouvait être différent selon chacun. Un souvenir, un geste, un touché. Il avait eu le droit à tout avec lui. Il mit sa chemise et sortit. Il vit alors Louise en petite tenue sur le lit, semblant l'attendre. L'heure avait sonné. Vingt et une heures sonnaient pour tout le monde. Même pour le magicien assit sur le rebord de sa fenêtre et touchant du bout des doigts cette gemme violet rose à son cou.

-Ah William tu es très beau.

-Oh...je trouve que tu es ravissante aussi.

-Merci...Amanda l'a choisi car Caecilius lui avait dit que tu appréciais cette couleur.

-C'est vrai.

William embrassa la jeune femme qui répondit rapidement et qui mit ses mains sur sa nuque. Il se séparèrent pour reprendre leur souffle.

-Nos deux familles veulent une descendance. Je me montrerais le plus doux pour toi Louise.

-C'est charmant William. Je crois que je suis ravi que ce soit toi. Tu es gentil et attentionné.

Il l'était certes mais il ne l'était pas dans sa vie de tous les jours. L'attention il ne connaissait pas vraiment cela. Sa vie était la mort et tout ce qui s'accompagnait avec. C'est ce dont à quoi il pensait quand elle lui ouvrit sa chemise. Elle le touchait, doucement et avec douceur. Pour ne pas qu'elle remarque sa non réception il l'a fit basculer lui le lit. Pour se retrouver sur elle. Cela lui rappela la scène du bain où Caecilius se trouvait à sa place. Sa chemise trempée et devenant transparente. Il chassa cette vision et commença à la caresser. Elle se tordait déjà un peu sous ses caresses. Elle en fit de même puis alors qu'il se retrouva en sous vêtement il l'entendit dans le creux de son oreille. Comme un appel au loin.

-Liam~

Il sentit un violent courant électrique dans son corps et il réalisa en voyant quel sous vêtement il portait. Celui qu'il lui avait forcé d'acheter. Tout cela pouvait paraître anodin mais il comprit enfin les appels de son inconscience. Il réalisa enfin et quand leur dernier échange lui revint il comprit enfin que cela était comme un au revoir voir un adieu. Tout faisait enfin sens dans sa tête.

-Louise arrête. Je...je ne peux pas faire ça.

-William ?

-Je suis désolé mais je n'y arrive pas. Tu es magnifique mais je n'y arrive pas.

Il se leva et se rhabilla rapidement pour sortir de la chambre et vit Amanda alors qu'il s'effondrait presque contre la porte fermée.

-Monsieur cela ne va pas ?

-Je n'y arrive pas Amanda. Je ne peux pas.

La jeune femme s'agenouilla devant lui et mit sa main sur sa tête. Elle lui sourit complice et lui dit.

-Aller le rejoindre.

-Comment ?

-C'est Caecilius n'est ce pas ? Depuis l'arrivée de Louise, il semble différent. De pas grand chose mais j'imagine que quelque chose vous unis. Vous m'avez aidé pour mes dettes alors je vais être honnête. Allez là où vous voulez être. Et je pense que là où vous voulez être enfin votre cœur veut être, est prêt de lui et non avec Louise. Alors allez le rejoindre.

-Mais Amanda...

-Courez là bas monsieur William. Là où vous êtes bien, là où vous savez.

-Merci Amanda.

Elle l'aida à se relever et il partit en courant vers le seul endroit où il se sentait libre. Là où il se sentait bien et non étouffé. L'endroit chaleureux qu'il ne connaît que trop bien avec lui. Il n'espérait qu'une chose :

-Tu seras là ?

-Ça je ne peux te le garantir.

-J'espère que tu es encore là Caecilius. Je t'en prit attends encore un peu. Juste un peu.

C'est ainsi que William quitta le domaine en direction de là où son cœur le mena. 

La nuit régnait en maître à cette heure. La lune ce soir pleine était là, spectatrice d'un homme la contemplant en regardant l'heure presque avec regret. Un sourire quelque peu étrange sur son visage. Et d'un autre traversant la forêt dans le but de le retrouver. Une fois en ville, il décida de passer par les toits pour aller plus vite. C'est en passant sur l'un d'entre eux qu'il vit son reflet dans une fenêtre et qu'il se stoppa. Il souriait ?! Il y avait bien longtemps qu'il n'avait pas souri ainsi. Qu'il était heureux de quelque chose. Il sentait son cœur vibrer. Il ne se souvenait pas d'avoir ressenti ça un jour.

-Je cherchais sans m'en rendre compte un but, une raison d'exister dans ce monde. Tout commence à être clair pour moi maintenant.

Il continua d'avancer de toit en toit en suivant le rythme qui naissait dans sa tête et son coeur. Il se sentait soudain plus léger et ceux malgré l'air de la ville et sous le ciel étoilé. L'émotion qu'il ressentait à cet instant était si forte qu'il se demandait pourquoi son cœur battait de la sorte. Avec lui, la vie était bien plus légère, il était sa voie, il était sa chance. Quand il le regardait, ses pieds ne touchaient plus terre. Plus rien n'avait vraiment d'importance. C'est là qu'il réalisa :

-Quel bonheur d'être libre. De parcourir la ville en laissant la douleur derrière soi. Si fort du moment présent et quand j'irai de l'avant seras-tu là, auprès de moi ? Il y avait longtemps que je n'avais pas souri. Tout à coup, la nuit m'inspire. Enfin, ce soir, je vais pouvoir me réjouir si tu es encore là. Je t'en pris ne part pas, j'arrive.

Retrouvant le chemin, il sauta du toit et se mit à courir dans la rue. Il arriva essoufflé à la maison et vit la porte fermée à clé. Il s'arma de celle qu'il avait toujours sur lui et ouvrit la porte. En entrant tout était plongé dans le noir et un silence pesant régnait dans le logement. William ne pouvait y croire. Il ne pouvait pas être parti. Pas comme ça. Il sentit son cœur se serrer, c'est en plein désespoir qu'il cria son nom.

-Caecilius !

Ce dernier se trouvant sur le rebord de la fenêtre de la chambre l'entendit. Il se retourna surpris et pensa même avoir rêvé. Il se leva sans faire de bruit et alla au salon et fut surpris de le trouver là, à la porte encore un peu essoufflé.

-William ? Mais qu'est-ce que tu fais là ?

En entendant sa voix, le brun s'approcha du magicien passant outre qu'il n'ai pas changé de soulier. A cet instant il y avait plus important.

-Je ne peux pas.

-Quoi donc ?

-Coucher avec Louise.

-Mais tu dois une descendance si c'est une question de sentiments regarde tes parents cela sera la même chose. Tu n'as pas à t'inquiéter.

-Je ne peux pas car moi j'ai des sentiments.

-C'est limite mieux tu sais William.

-Tu ne comprends pas la personne que j'aime n'est pas Louise. La personne pour qui j'ai des sentiments c'est toi Caecilius.

-Q-quoi ?!

William fit un pas en avant et enlaça Caecilius de son propre chef. Le magicien agrandit son regard comprenant qu'il disait vrai. William n'enlaçait pas de son propre chef.

-C'est toi que je veux. Comme tu l'as dis tu es et sera toujours le premier choix. Les moments que j'ai passé avec toi me sont très précieux. Tu es quelqu'un que je peux affronter sans peur, la mort est notre quotidien à tous les deux. Tu sais ce que c'est. Je te demande pas de changer je répondrais à ta traque comme tu le voulais.

-Tu sais que je ne pourrais lancer cette traque qu'après la fécondation.

-Sache que je ne coucherais pas avec une femme. Il n'y aura jamais fécondation.

-Je serais ton majordome à jamais.

-Non...Je crois que je suis fini. Le nom Jones va sûrement m'être retiré si je continue sur cette voie. Mais j'ai réalisé que cela n'avait plus d'importance. J'ai appris à voir les choses différemment avec toi. A voir le monde avec toi et je veux continuer. Apprend moi vraiment la vie à tes côtés même si cela est un combat perpétuel.

Caecilius se retira de l'étreinte dont il avait toujours rêvé de sa part. Il était quelque part heureux de tout ça. Il était égoïste. Il baissa son regard et lui dit :

-Non...va t'en.

William sentit le poids du monde s'abattre sur lui. Il baissa la tête à son tour il avait quelque part mal mais c'était ainsi. Alors c'était fini...Après tout, depuis le départ il jouait de sa personne. C'est ce que le brun se disait. Bien il aurait dû s'en douter. Il commença à partir quand Caecilius saisit son poignet ce qui le surprit.

-Ça c'est ce que je t'aurais dit il y a quelques mois pour te briser.

-Comment ça ?

-Si tu m'avais déclaré ta flamme ainsi il y a quelque mois c'est comme ça que je t'aurais répondu pour te briser. J'aurais sûrement couché avec toi avant aussi afin de déguster tout de toi avant cette émotion de brisement.

-Qu'est-ce qui à changé ?

-Eh bien disons que je me suis fait avoir par mon propre piège. Voyant que tu étais vierge de tout, j'ai voulu te préparer au maximum. J'adorais toutes ses divines sensations qui me parcouraient. J'en voulais toujours plus et le piège que j'ai mis sur ton cœur à finit par se refermer sur le mien sans que je m'en rende compte.

-Tu souffrais en silence et je ne voyais rien avec Louise. Amanda elle l'avait remarqué. Quelque chose avait changé. J'ai pu vois aussi en te serrant contre moi juste avant que tu as perdu du poids.

Caecilius ricana en mettant une main sur son visage tirant un peu sur ses cheveux au naturel. William revient et se serra à nouveau contre lui. Caecilius finit par lui aussi le serrer contre lui.

-Sache que je souffrais de ce mur que tu avais imposé depuis son arrivée. Je n'aimais pas ma vie, le nouvel acte et je rêvais de faire un pas en arrière. Amanda m'a aidé à réaliser, c'est ici que je veux être. Avec toi. J'avais d'ailleurs peur que tu ne sois plus là à mon arrivée.

-J'avais prévu mon départ pour être honnête. Au levé du soleil je n'aurais plus été là.

-J'ai bien fait alors.

-Oui William.

-Appelle moi par mon surnom. Je veux l'entendre de nouveau dans ta bouche. Je veux que tu le dises, le crie, le gémisse s'il le faut.

-Ne m'émoustille pas Liam.

-Je ne devais plus être vierge cette nuit. Mais j'ai réalisé que la douceur ne serait pas pour moi.

William accrocha le regard doré envieux du magicien.

-J'ai remarqué que me souvenir de ta morsure me procurait des décharges. Même en la touchant. Souviens toi, père t'a dit que pour que je ressente quelque chose il fallait

-Te faire du mal.

-La douceur ne me fait rien. Ce dont j'ai besoin c'est de ta violence et de ta bestialité. C'est la seule chose qui me fera quelque chose.

-Oh Liam.

Ils s'embrassèrent et le combat de dominance commença. Il fut vite remporté par Caecilius qui lui mordit la lèvre.

-Tu avais la possibilité de coucher avec moi lors de ton test pratique. Pourquoi tu ne l'as pas fait ?

-Va savoir...par peur que tu me rejettes, ou peur que je te traumatise et que mon plan soit un échec. Ou alors une force supérieure me disait que cela était peut-être trop tôt j'en sais rien. Je ne comprenais pas encore mais mon inconscient lui à réagit. J'éprouvais déjà quelque chose pour toi sans le savoir.

-Caecilius fais le.

-Hm ?

-Fais-moi découvrir ce pourquoi tu couches. Ce plaisir et désir sexuel à son paroxysme.

-Tu n'es pas prêt de dormir. Mais es-tu vraiment prêt car une fois lancé, il n'y aura plus de retour arrière possible Liam.

-Je ne demandes que ça. Mais avant, tu vas me faire le plaisir de manger quelque chose.

-Tu gâches tout là William.

-Cela ne t'arrêtera pas pour autant. Bon tu t'assois et je vais te cuisiner un truc rapide.

William alla dans la cuisine après avoir allumé la lumière et lança une préparation. Caecilius démunie avait été s'asseoir et attendait. Le brun revint et déposa trois sandwichs sur la table devant lui. Il les regarda un peu étonné et en saisit un qu'il goûta.

-C'est super bon il y a quoi dedans ?

-Des œufs, de l'échalote, du bacon et de la mayonnaise.

-Je pense que ça va devenir ton sandwich spécial Liam. Je pourrais en manger tous les jours.

Caecilius termina son assiette que William alla remettre en cuisine. Mais il fut saisi à la taille par Caecilius.

-Je te veux Liam. Je ne peux plus attendre.

-Tu as dû lutter contre toi même durant si longtemps. J'en suis désolé.

-Donc tu avais compris quand je t'ai dit qu'il m'arrivait de coucher avec des hommes.

-Oui et aujourd'hui je te le demande. Il n'y aura plus que moi et seulement moi.

-Mais vos désirs sont des ordres master. Tant que tu seras en vie ce sera ainsi. Il n'y aura que toi et toi tu m'offres ton corps quand je le veux.

-Marché conclut Caecilius. C'est un peu comme un contrât de mariage en soi.

-Oui du donnant donnant comme c'est le cas depuis un moment. Tu es à moi et ceux jusqu'à ce que l'un de nous s'éteigne.

-Je crois que je vais aimer les prochains actes de ma vie. Bien que tu m'énerveras parfois.

-Sûrement.

-Caecilius je remercie le destin de m'avoir mis sur ta route.

-Je lui ai un peu tordu le cou au destin sur ce coup. Mais je le remercie car ce soir tu seras mien.

C'est alors que le magicien tira le brun vers la chambre mais il le stoppa. Caecilius se retourna vers le brun.

-Si je dois coucher avec toi. Je veux que ce soit le vrai toi. Le magicien flamboyant.

-D'accord cela me va.

Puis il le tira vers la salle de bain. Là où tout commencera et là où tout ce finira pour le Jones. Car il aura fait son choix. 

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