Chapitre 3

 

Quand Maxime se réveilla, il sentit un atroce mal de tête. Il regarda autour de lui, il était seul pas de Gaspero. Il cria de vive voix en se relevant lentement, Gaspero, Gaspero ! Ou est-tu ? Mais rien ne lui répondit. Il marcha quelques pas et se retrouva devant une auberge. Il s’avança prudemment de celle-ci et y lu, « Restaurant Pizza ». Le jeune garçon remarqua alors, qu’il mourait de faim.

         Il se précipita à l’intérieur et découvrit une télé ou se dérouler un match de foot. Maxime regarda ce qu'il y avait au menu et commanda une pizza 4 fromage. Il s'assit précipitamment pour observer le match de foot. L’équipe des bleu et l’équipe des rouges étaient à égalité « 2/2 ». Il ne manquer qu’un seul point à l’une des deux équipes pour faire gagner le match. C’était la ligue de foot nationale et la France et le Royaume-Uni se disputé le match. Bien sûr Maxime était pour la France.

 

         Ayant mal aux yeux il ferma les yeux un instant « J’espère que les bleues vont emporter le match » se dit-il. Quand il les ré-ouvrit, il sentit son corps se faire aspirer par l’écran. Arriver sur le terrain, il ne comprit pas ce qu’il se passer. Il regarda son maillot, bleu, le numéro 10 était inscrit avec son nom : Maxime Bental. Il était donc un joueur offensif. En regardant en face de lui il aperçut un ballon, il chuta dedans sans réfléchir et le ballon atterrit au pied de l’un de ses coéquipiers qui lui fit le signe du pouce en l’air en lui souriant. Celui si essaya de marquer mais rata son but. L’arbitre siffla la mi-temps. Le bleu de tout à l’heure emmena Maxime dans un coin.

Enchanter mon petit, je me présente je m’appelle Sad, heureux de te rencontrer. Maxime le regarda, il avait les cheveux noirs et bouclé. Des perles de sueurs gouter le long de son front. Son regard noir lui aussi refléter la peur et l’inquiétude. Son t-shirt porter le numéro 9, le numéro de l’attaquant. Souvent le joueur le plus important au foot. Il brandit sa gourde et bu d’une traite avant de s’essuyer la bouche d’un coup de main. Il me donna à son tour une gourde toute fraiche

  • Tient boit !
  • Merci !

Maxime bu deux à trois gorger. Il referma sa gourde et regarda à nouveau Sad.

  • Dit moi, sait tu ce que je fais ici ?
  • C’est lui qui t’envoie, il m’a dit de t’informer !
  • M’informer comment ça ?

Il fit une pause et regarda à droite, puis à gauche comme s’il avait peur d'être espionnée !

  • Le message que l’on m’a laissé et le suivant : « Si tu gagnes ce match libérer seront nous à tout jamais et si tu échoues prisonniers tu seras châtié à coup de fouet ».
  • Hein ! Mais quoi ?
  • Bonne chance ! Il croit en toi !

Sad se dirigea vers le stade. Maxime tout penaud de la nouvelle ne bougea pas d’un pouce et bégaya.

  • Mais qui ça ? Et pourquoi moi ?

Sad se retourna et lui fit un clin d’œil

  • C’est l’heure d’y retourner.

 

Maxime le suivit, tremblotant de part et d’autre. Des questions fusèrent dans sa tête. Déjà l’enlèvement de ses parents par des êtres maléfiques et maintenant, un match de foot qu’on a l’obligation de gagner sous peine de mort. En même temps il y a de quoi avoir peur après tout.

 

Il s’installa sur le lieu en tant que joueur offensif. Il regarda autour de lui.

 

Tout à l’heure en arrivant, il n’avait pas fait gaffe mais le terrain était immense.

 

Le toit panoramique s’ouvrit laissant entrée la luminosité. Maxime mit les mains devant son visage afin de se protéger de se soleil aveuglant. Il était majestueux avec ses 46 mètres au-dessus du terrain. Il décrit comme « une sorte d’anneau de saturne » avec différents symboles olympiques et objets sportifs.

 

Le haut-parleur du présentateur crié en tous sens. « Après une petite mi-temps nous vous informons de la reprise du match. Un rouge s’avance vers le camp adverse. Il se prépare à marquer ! Mais non c’est rater pour lui. Le gardien réussi à stopper le ballon. » Maxime se retourna, on lui fit une passe. La panique le guetta. Il renvoya la balle et s’avança sur le terrain, le ballon lui revient à nouveau et tira dans les but tout en fermant les yeux. « Siff siff siffffffff ». Maxime rouvrit les yeux. Il avait réussi, il avait marqué. Tous, ses coéquipiers lui sautèrent dessus en criant en cœur « ON EST LES MEILLEURS ! ». Ils avaient remporté le match. Cela voulait dire que Maxime pouvait retourner à la pizzeria et qu’ils étaient délivré. Il cria de plus belle « WOUHA ON EST LES PLUS FORT ! ».

Sad s’avança vers Maxime et lui dit à l’oreille : « je savais que tu pouvais le faire. Il avait raison. Après tout il a toujours raison ! »

 

Un tourbillon l'emporta et il se retrouva sur sa chaise devant sa pizza avec un curieux bout de papier. Il le déplia et lut :

 

« Au large de la côte ouest de la France se trouve une maison très redoutée ou maintenant se déroule une mission. Bravo à toi ! Je savais que nous pouvions tous compté sur toi ! Signé R. »

 

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         Maxime décida de se renseigner sur ce mystérieux lieu où il devait se rendre.

Il demanda quelques renseignements à un des serveurs de la pizzeria :

  • Pouvez-vous me dire ou se trouve un port ?
  • Oui vous continuez le chemin en partant vers la droite puis vous aller tout droit en suivant le sentier, puis un port. Il se trouve coller à la gare alors vous devrait la traverser pour y accédé. Vous en aurez pour deux jours de marche car ce n’est pas la porte à coter mais sache qu’il se trouve un magasin pas loin d’ici ou tu pourras emprunter un vélo ça ira plus vite au moins. Je ne me fais pas de soucie tu as l’air d’un vaillant jeune homme tu trouveras. En vol d’oiseau tu y serais en 20 min.  
  • D’accord au revoir et merci beaucoup pour tous ces renseignements.

 

Il se mit donc en route. Quand un froissement de feuille le fit sursauter. Il s’arrêta curieux de savoir d’où cela venait. Il aperçut un feuillage qui bouger de tout son sens. Il commença à s’en approcher quand un jeune garçon sauta du haut de l’arbuste et atterrie d’un saut avant de se réceptionner par une gracieuse roulade. Maxime le regarda, les deux acolytes se sautèrent dans les bras.

 

  • Gaspero ! Ou était tu passez ? S’exclama Maxime avec un sourire rayonnant.

Gaspero se retira de l’étreinte de Maxime et répondit.

  • Alors que je te rechercher, après notre séparation, je t’ai entendu crier mon nom. J’ai suivis le son du cri et j’ai fini par te retrouver !
  • Comme je suis content de te retrouver j’étais tellement inquiet
  • Moi aussi !
  • Tu sais j’ai pleins de choses à te raconter !
  • J’ai rater autant de choses ! ah ah ah ah ah !! S’esclaffa Gaspero
  • Eh oui !

Sur le chemin, Maxime raconta toute son aventure à Gaspero afin de lui expliquer ou il comptait se rendre. Après un long moment, Gaspero pris la parole.

  • Et tu es sensé y faire quoi dans ce fort ?
  • Accomplir ma mission ! C’est un guide.
  • Donne-moi ce papier, s’il te plait.

Maxime lui donna le papier et Gaspero l’examina sous tous les angles. Après cela il reprit,

  • Attend mais c’est un guide magique ! Je ne sais pas qui a bien pu te le laisser, mais tout ce que je peux te dire c’est que cette personne est là pour nous venir en aide !
  • Comment sais-tu cela ?
  • Regarde, ici, de la lumière bleue jailli du bout du papier. C’est une magie très ancienne utiliser par les grands magiciens.
  • Waouh ! Impressionnant dit Maxime bouche baie.
  • Elle nous est donc très précieuse ! On ne doit sous aucun prétexte la perde ! Tu as dit que c’était à deux jours de marche ! Je suis un équidé on va voler on y sera en moins de deux.
  • Tu es sûr de vouloir voler et si tu te fais repérer ? Le barman m’a dit qu’il se trouvait un magasin de vélo non loin d’ici…

Gaspero lui coupa la parole

  • Trêve de bavardage

 

Il se transforma en licorne, attrapa Maxime et le mit sur son dos. Après un petit voyage sans encombres, les deux amis passèrent lentement devant leur destination. Et comme avait dit le barman une immense gare parsemait d’une belle et majestueuse coupole de verre. Arriver près de la gare Gaspero descendit en silence, se cacha dans un cul-de-sac et se retransforma en humain à l'abris des regards. Une fois chose faîtes, Ils s’avancèrent vers la gare.

Une fois à l’intérieur, l’ensemble était tellement sublime et la pièce tellement immense que Maxime s’arrêta pour contempler la beauté du lieu suivis par Gaspero. Ils y découvrirent un haut plafond sublimé par des ornements et des murs recouverts de grandes et magnifiques mosaïques. On pouvait rester des heures a contemplé ce paysage, mais aucuns des deux amis n'avait le temps pour cela. A contre cœur, ils se remirent tous deux en marche vers leur destin. 

Une fois la gare traverser ils se retrouvèrent devant une immense porte dorée ou était écrit le Port de Bâcher. Ils poussèrent la lourde porte et contemplèrent le paysage qui se traduisez devant leurs yeux, de nouveau ébahi. De nombreux bateaux accoster au-dessus de l’eau. Les uns si différents des autres. D’une part on distinguer des bateaux blancs comme la neige et étincelante et d’autre part on, distingué de petits bateaux, barque en bois de toutes les matières et couleurs. Certains attendais avec impuissance de partir comme des enfants ou des passagers presser de monter à bord. D'autres était en fuite ou attendais calmement que des passagers monte à leur bord. Quelle belle figure de style je fais là ce dit Maxime ou souriant bêtement. Puis les deux acolytes décidèrent de regarder sur le plan là ou pourrai se trouver leur destination.

 

Maxime se disait dans son fort intérieure en regardant chaque destination, un fort, un fort au large de la côte Ouest. Il y en a tellement…

C'est alors qu'il décida de se rendre vers le vendeur de tickets.

  • Bonjour, dit-il 
  • Bonjour, jeune garçon que t'amène-t-il ? Ou sont tes parents ici tous seul, tu es perdu ? Ne t’inquiète pas je vais t'aider à les retrouver donne-moi ton nom...
  • Non, je ne cherche pas mes parents ! Je cherche un fort qui se trouverais au large de la côte Ouest. Vous en connaîtrez un par tout hasard ? exposa Maxime en lui coupa la parole.
  • J'en connait un bon nombre mais je crois me souvenir d'un grand fort du nom de Fort Boyard c'est surement de celui-là que vous devaient parler je pense.
  • Hum, ce trouve-t-il près de la côte Ouest du large ?
  • Si je ne me trompe pas oui ! Laisser moi vérifier cela tout de suite

Le guichetier dévoila une immense carte nommée les forts du grand large. Il la déplia et scruta rapidement chaque parcelle avant de s'arrêté sur un point. 

  • Oui, je ne me trompe pas, c'est le fort le plus proche de la côte Ouest. C'est bien là que vous devez vous rendre. Par contre revenons aux choses sérieuses vos parents ou sont-ils ?

C'est alors que Gaspero se posta devant le guichet et regarda l'employé,

  • Il est avec moi ! Annonça t--il 
  • Ha ha ha ha ha ! Vous rigolez ! Deux enfants qui se balades dans un port pour se rendre à Fort Boyard sans parents ! Vous croyez que nous allons vous laissez passer ! Gardes emparer vous de ses deux gamins qui disent vouloir se rendre à Fort Boyard !

 

A ce moment-là, Gaspero dû usé de sa magie, il malaxa ses mains et une boule bleue apparu en son creux. Il regarda tour à tour les gardes et le guichetier et referma ses mains. Puis, les trois personnages se figèrent et Gaspero s'exprima

  • Vous le Monsieur du guichet, vous allez tout de suite me faire deux tickets et accepter de me laisser monter moi et mon ami dans le prochain bateau qui se rend à Fort Boyard et sans faire la moindre histoire. Egalement, vous allez dire à vos gardes que c'est un malentendu et qu’ils peuvent retourner à leurs occupations. 

Gaspero referma ses mains refis le même mouvement mais cette fois dans le sens contraire et relâcha ses mains. Les trois personnages firent chaque action mentionner par notre ami plus tôt et les deux acolytes prirent leurs tickets et se dirigèrent vers le prochain bateau de leur destination. 

 

 

         Arrivée à Fort Boyard, ils furent accueillis :

  •  Bonjour, vous êtes les derniers arriver.

Les deux amis sursautèrent et répondirent en cœur

  • Bonjour…

 

L’hôte leurs emboita le pas et se mit à accélérer comme s’il avait peur d’être en retard. Ils le suivirent tant bien que mal alors qu’il passé devant plusieurs portes, quand il s’arrêta brusquement devant une porte faisant heurté Maxime en son dos. L’hôte se retourna gêné en formulant une excuse et se remis en état. Il indiqua la porte de sa main droite. C’était une porte en bois qui avait l’air ancienne avec ses grands lattes de bois poser à la verticale. Elle comporté un cadenas en fer pour bloquer son entrée. Maxime sentait à son travers comme une lueur de magie qui l’appeler avec des chuchotements stridents. Il comprit à cette instant que s’il devait se rendre à un endroit dans ce Ford c’était ici et il ferait tout pour y entrée même si on l’en empêcher.

  • Je voulais vous prévenir que cette pièce est hantée… depuis hier. Il est strictement interdit de la franchir c’est bien trop dangereux s’imposa le guide d’un ton en colère mais qui reflété l’inquiétude.
  • Je comprends votre inquiétude, mais si vous la laissez fermer vous ne pourrez jamais découvrir ce qui se cache et protéger correctement le Ford.
  • Je comprends bien vos dire mes enfants mais sachez que c’est bien trop dangereux. J’y suis déjà aller. Je connais les habitants de ce lieu et je me dois sur ordre du directeur d’être leurs serviteurs et de ne divulguer aucunement ce que je sais au moindre visiteur ! Vous ne pouvez y aller sans aucunes façons !
  • Monsieur, nous avons moi et mon ami quelque chose de très important à accomplir et je sais que c’est ici que se déroulera l’issu de notre voyage.
  • Je veux bien vous croire chuchota l’hôte mais c bien trop dangereux vous perdrais la vie.

 

C’est là que Maxime pris son courage à deux mains, sorti son guide de sa poche et le tendit de sa main gauche et tremblante au guide en attendant qu’il le prenne. Gaspero regardé Maxime d’un regard de colère. Maxime savait ce qu’il penser au fond, mais c’était la seule solution pour qu’ils parviennent à découvrir ce qui se cacher derrière cette porte. Le guide hésita en regardant les deux enfants, mais Maxime insista en s’avançant vers l’hôte.

  • Prenez, lui dit-il

Le personnage pris le bout de papier et écarquilla les yeux

  • Un guide magique répondit celui-ci d’un aire surpris. Mais comment vous l’êtes-vous procurez ? c’est donc vous ! C’est pour ça, il est malin ! Je comprends mieux !
  • Quoi ? Comment ça ? Je ne comprends pas !! Qui a fait se guide ? vous le connaissez ?
  • Je ne peux rien vous dire à ce sujet.

Il détacha le cadenas et fit entrée les deux acolytes à l’intérieur de la pièce.

  • Faites attention à vous avant que je ne revienne s’époumona avec empressement l’hôte.

 

Il ferma la porte et Maxime et Gaspero se retrouvèrent seuls dans un noir complet.

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