– Tu as un portable ?! s'exclama Maï Rose.
La petite aux cheveux châtains ignora son commentaire, elle s’empressa de déverrouiller son téléphone avant de se mettre à crier de frustration.
– Non !! Ça ne marche pas ! Pas de connexion ! Rien !!
Elle eut un geste pour jeter son portable au sol mais Maï Rose l'en empêcha.
– S'il te plaît calme toi ! On a peut être pas de réseau pour l'instant mais il peut revenir !
Maï Rose guida le bras de la jeune fille jusqu’à ce qu’il soit baissé, elle n’avait pas l’air d’apprécier qu’on lui donne des ordres.
– On va faire simple, bonjour… Moi, c'est Maï Rose… Comment tu t'appelles ?
– …. Liz… marmonna la petite brune, amère mais calmée. Je sais qui tu es…
– Salut Liz- Hum- Comment ça ?
Ariane pouvait déjà deviner que cette petite n'allait causer que des problèmes. Mais son attention était peu à peu détournée des autres filles de sa cage : elle entendait d'autres voix. Des chuchotements provenaient de la cage au-dessus d'elles et se décomposaient en échos à travers la bâtisse. En levant la tête, elle aperçut un dos sombre appuyé contre la cage au-dessus de la leur. Ariane voulut tenter de les écouter mais n'arrivaient pas à distinguer les mots, arrivant seulement à déterminer qu’ils n’étaient que deux.
– Tu es la fille qui va aller dans le meilleur lycée de France avec tes notes. bougonna Liz. Tout le monde te connaît…
– Oh… Tu es dans notre collège donc ? rit Maï nerveusement.
– Je suis un an en dessous de vous, en 4e… Je suis arrivée cette année…
Ariane observa Maï Rose pâlir sous les affirmations et elle sentit une colère sourde l'envahir. Cette Liz avait une aura autour d'elle pour s'attirer des problèmes et si elle les cherchait, elle allait en trouver. Personne ne parlait comme ça à sa meilleure amie, elle ne le permettait pas, mais une voix grave et enjouée interrompit ses pensées.
– Excusez-moi, il y a quelqu'un en bas ?
Ariane leva la tête vers la cage au-dessus et découvrit un garçon brun qui abordait un grand sourire. Il ne semblait pas tout à fait adulte, mais s'en rapprochait, il devait être au lycée à en juger par son uniforme sombre.
– Bonjour ! les interpella-t-il en voyant qu'elles relevaient la tête. Quelqu'un pourrait-il nous expliquer ce qu'il se passe ? Il n'y avait encore personne hier.
Les filles devinrent toutes silencieuses, s'échangeant un regard entendu. Ariane se demanda s'il y avait eu des annonces de kidnapping la veille. Mais rien ne lui vint en tête, ils en auraient parlé à la télévision non ? Et elle était sûre d’avoir entendu deux voix, où était la deuxième personne ?
Maï prit finalement la parole, cédant au regard insistant du brun.
– On s'est fait kidnapper par des terroristes- alors qu'on était au collège…
Elle sembla omettre l'histoire de la langue, mais demanda rapidement, comme pour confirmer leur théorie :
– D'où viens-tu ?
Le garçon se mit à rire. De loin son visage était néanmoins indiscernable, on apercevait son expression et son costume qui n'avait rien d'un accoutrement que l'on portait au quotidien.
– Je ne viens de nulle part, personne ne connaît cet endroit. Mais vos vêtements sont étranges. D’où venez-vous ?
– De France… et de Norvège… Mais de quel pays viens-tu ?
– France ? fit le garçon en plissant les yeux avant qu'il eut une soudaine réalisation. Oh je vois- je crois comprendre ! Je m'appelle Mike par ailleurs- et lui, c'est mon frère, Éléo.
Il semblait s'adresser à quelqu'un à côté de lui, son interlocuteur s'approcha alors du bord à ses mots. C'était un très bel homme, tout de blanc vêtu, les cheveux blancs pur eux aussi, et des yeux bleu clair cristallin qui luisaient presque. Il tira sur sa capuche à la vue des filles, dissimulant ses cheveux blancs. Sa cape recouvrait son corps et était sale, sûrement à cause de la cage. Blanc comme neige…
– Ils viennent de Terre ! lui expliqua le brun avec enthousiasme.
– Attends- tu te fous de notre gueule ! gronda Liz qui voyait ici l’insinuation.
– Pas du tout ! Je vous annonce que vous êtes à Norrow, et que vous vous êtes fait embarquer dans une autre dimension !
Maï regarda longuement l’homme en espérant qu'il leur faisait une blague mais il semblait on ne peut plus sérieux. Il avait l'air d'un fou.
– Ariane. Chuchota Maï Rose en se rapprochant de son amie. Lui, on ne lui fait pas confiance d'accord ? Il est sûrement dérangé pour croire à ces histoires…
Liz pesta en continuant de pianoter sur son portable, séchant ses larmes avec les manches.
– Un peu plus et il nous sort que la Terre est plate…
– Croyez-moi ! Qu'est ce que je peux faire pour vous convaincre ! supplia Mike.
– Expliquez nous pourquoi on se comprend alors que nous ne parlons pas les mêmes langues. Aude demanda d'un ton hautain, elle n'y croyait pas à son histoire.
– D'accord ! répondit Mike avec enthousiasme, avant de continuer d’un air abattu. En fait, je suis mauvais en histoire… C'est…
– Frida… commença son camarade avec une voix glaciale.
– Frida ! Frida Kyto. Qui a inventé la traduction instantanée il y a 500 ans ! Et qui l'a appliquée au monde entier. Une magie surpuissante-
– Mais vous êtes fêlés ? rugit Liz. La magie. Ça n'existe pas.
Pourtant l'optique qu'une magie et qu'un tout autre monde puisse exister était si déconcertante. Mais son esprit terre à terre avait vite repris le dessus. La magie ça ne peut pas exister, ces garçons se sont fait embrigadés dans un groupe terroriste et se sont fait laver le cerveau…
Mais quel genre de prisonnier garde son uniforme impeccable ?
– Ça existe ! On ne peut pas le prouver maintenant avec les cages- sinon c'est la chute mortelle assurée-
– Comment ça ? demanda Aude, peu rassurée.
– Ces cages ont été conçues de sorte que si l'on utilise trop de magie, la chaîne qui tient le tout, lâche et nous laisse nous écraser !
– ... C'est impossible. déclara immédiatement la lycéenne
Ariane arrêta de suivre la conversation qui ne semblait mener nulle part, voilà bien 30 minutes que la petite Liz s'était réveillée. Sa montre continuait de tiquer de manière régulière, l'apaisant l'espace d'un instant, puis elle se sentit mal à l'aise. Mike s'était mis à la scruter, ce n'était pas un regard chaleureux, mais méfiant. Qu'est ce que j'ai bien pu faire pour me montrer menaçante…
La jeune blonde faisait toujours attention à ce que les autres n'aient pas à la considérer comme une menace physique. Personne à son collège ne savait qu'elle faisait de l'escrime depuis toute petite.
Mais lui la regardait comme un de ses adversaires.
Avec une méfiance froide.
– Comment tu t'appelles ?
Il voulait savoir son nom ? Il pouvait bien attendre longtemps.
– Ariane… répondit Maï Rose à sa place.
La concernée soupira longuement ; la naïveté de Maï Rose allait finir par lui coûter cher. Heureusement qu'elle veillait sur elle. Après avoir observé Ariane avec une attention particulière, il se mit à parler plus bas avec la personne à côté de lui, Éléo. Puis il tourna la tête vers elles et leur fit un grand sourire.
– On vous aime bien. Quand les secours arriveront, on vous aidera.
Il lui manque définitivement une case... se dit Ariane en reposant sa tête sur l’épaule de sa meilleure amie. En laissant son regard s’aventurer vers le haut, sans regarder le sol, elle croisa le regard d’Eleo. La jeune fille ne distinguait pas son visage, mais ses yeux luisants et glaciaux, si, ils lui transperçaient son âme. Elle se retrouva obligée de détourner le regard, brûlée à froid. Pire que son propre petit frère, qui devait bien profiter de son absence.
Ses parents devaient être morts d’inquiétude, mais s’il y en a bien un qui s’en donnait à coeur joie, c’était bien lui. Ariane se demanda comment les enlèvements ont été vus sur Terre ? Qu'ont-ils vu ? Ont-ils réalisé que les enlèvements s’étaient déroulés partout à travers le monde ? Ont-ils organisé des recherches massives pour retrouver tous ces collégiens et lycéens volés de leurs établissements ?
Un immense bruit leur fit tourner la tête, des cris retentirent alors qu’une alarme commençait à résonner dans tout l’édifice. Ariane mit ses mains sur ses oreilles pour couvrir le son atrocement aigu qui lui faisait vibrer les tympans.
En plus de l’alerte, tout le monde se mit à crier, enfants, adolescents, adultes, il semblait y avoir de toutes les voix, de tout le monde, le tout donnant une agonie de cris sans fin.
Puis une immense secousse, Ariane se retrouva projetée contre les barreaux, Maï Rose se heurtant à elle dans son dos. Et c’est ainsi qu’elle le vit, le garçon de tout à l’heure, Mike.
En dehors de sa cage.
Volant.
Il volait avec d'immenses ailes blanches.
Il volait, comme un ange, c’était tout comme un ange, puis il se posa sur la cage en s’accrochant aux barreaux, ce qui la fit tanguer. Liz lâcha un cri paniqué.
– Mais t’es complètement malade ???
– Ouvrez celle-là aussi !
– Grouille toi Mike ! gronda une voix lointaine qui semblait provenir du sol.
A peine Ariane eut le temps de s’éloigner du bord que leur cage se fit pulvérisée d’un côté, il n’y avait plus de barreaux, le vide. Je vais tomber !! Ariane agrippa fermement les barreaux à côté d’elle et tendit une main pour attraper le haut de Maï Rose qui glissait dangereusement vers le vide. Ariane ne pouvait plus du tout bouger.
– C’est parti ! s’écria Mike en tendant une main pour aider les filles à sortir. On fuit ! Venez !
– T’es complètement malade ! Aucun moyen que je sorte ! feula Liz en se recroquevillant à l'opposé, accrochée aux barreaux.
Elles s'étaient toutes réunies du côté opposé au trou béant de leur cage. Ange ou pas, personne n'allait les faire sortir pour tomber au sol d'une mort certaine.
Même Aude semblait refuser catégoriquement, les yeux écarquillés par la peur, et un bras tendu devant Liz qui était, elle, erratique.
De derrière lui surgit un autre ange, Eleo, entièrement vêtu de blanc, dont une longue cape, et des ailes tout aussi blanches. Lui ne demanda pas la permission et tendit la main pour attraper Maï Rose et s’envoler avec elle.
– Maï !! s’écria Ariane.
La collégienne ne pouvait qu’observer avec horreur Eléo lui arracher son amie. Mike tendit une main pour attraper Aude qui n’osa pas se débattre au-dessus du vide avant de s’envoler à son tour, provoquant une grande secousse dans la cage.
Ariane se mit à hyperventiler, de plus en plus pâle alors que tout se mettait à tourner. Il y avait toujours autant de cris, de mouvements, depuis plus de deux minutes il n’y avait que ça.
Ses mains glissaient et il ne suffisait que d’une seconde d'inattention et… Ariane se sentit tomber vers l’avant, son champ de vision s’assombrit.
Ariane ne voyait plus rien, et ne sentait que la panique de la chute.
Elle ne pouvait pas mourir maintenant, Maï Rose était en danger, elle devait la sauver.
Mais c’est le sol qu’elle ne va pas tarder à rencontrer.
Mais il n’en fut rien.
A la place elle sentit des bras l’entourer et la soulever, le vent fouettant son visage et brouillant partiellement sa vision. Ariane sentit une impulsion et le bruit d’un battement d’aile d’oiseau, son corps reprenant de la hauteur avant que ses pieds ne touchent enfin le sol. Elle pouvait enfin ouvrir les yeux et regarder celui qui l’avait sauvé, Eleo, qui lui adressa un petit sourire paisible.
Ariane se sentit revivre mais ses jambes tremblaient de plus belle. Les bruits autour d’elle lui faisant réaliser que la cage était peut-être plus sûre que l'extérieur.
Partout des soldats en uniforme se battaient contre toute sorte de personne, des anges, des bêtes, des éclairs crépitaient bruyamment dans le champ de bataille. En tournant la tête, elle réalisa qu’Eleo n’était plus là.
Ariane se fit tirer avec force par une grande femme, qui lui fit un grand sourire, pleine de dents tranchantes qui figea la jeune fille sur place : Amie ou ennemie ?
– Hé toi ! Moi c’est Sofia ! Je récupère les blessés ! Ne bouge pas d’accord ? Si tu me suis, il n’y aura aucun problème !
– A-aucun problèmes- balbutia la jeune fille qui se rendit compte que la femme avait des yeux jaunes luisants.
Un corps vint la bousculer et avant qu’elle ne puisse s’affoler, elle aperçut que Maï Rose était maintenant avec elle, la serrant immédiatement dans ses bras. Son absence avait duré une éternité.
– Ces espèces de malades peuvent voler- s'affola son amie dans ses bras.
– Je suis Sofia ! interrompit à nouveau la femme. Loup Garou de premier ordre ! Prête à vous servir ! Mais ne bougez pas trop si vous ne voulez pas trop mourir !
– ATTENTION !
Maï avait hurlé son avertissement en tirant Ariane en arrière, un homme armé se dirigeait vers eux avec une épée. Mais à peine eut-elle le temps de le dire que Sofia s’était retournée pour prendre la lame à mains nues, l’autre main sur le visage de l’homme qu’elle enfonça dans le sol, le tout dans un craquement terrible.
Du sang gicla sur tout le sol, paralysant les deux filles, rejointes par Liz et Aude, qui ne bougeaient pas d’un pouce, alors que Sofia essuyait sa main poilue sur sa hanche, disant en riant :
– Ils ne sont pas très forts avec leurs muscles ici !
Liz eut l’air terrorisée et se mit à hurler. Elle essaya de se mettre à courir mais Aude attrapa son haut, lui montrant que beaucoup plus de gens se battaient plus loin.
– On a aucune chance de s’en sortir si nous y allons à l’aveuglette.
– LAISSE MOI ESPECE DE FOLLE !!
Liz se débattit comme une animale, ce que Sofia semblait trouver amusant, lui tirant la langue.
– Ah c’est donc votre premier champ de bataille- Honorée d’être protectrice de ce petit groupe de Mike !
– Mike ? Répéta Maï d’une voix faussement assurée.
– Le gars qui vous amené là- regarde il revient- avec le dernier-
L’ange se posa, souriant au reste du groupe.
– On peut y aller, on a récupérer ceux qu’on voulait-
– QUOI ? Vociféra Liz, proche de la crise de panique. C’est NON.
La jeune brune n’eut pas le temps d’en dire plus, elle se retrouva projetée plus loin, rattrapée par l’autre ange, Eleo.
Une femme en uniforme les regardait et avait une main tendue vers eux, ne s’approchant pas mais semblant manier une force invisible à leurs yeux.
– C'est le moment de déguerpir !
Sofia attrapa le bras de Ariane et l’entraîna dans un immense couloir, la jeune fille ne lâchant pas sa meilleure amie malgré la cadence.
– Où on va ?? cria Maï.
– On sort !! Leur sourit Sofia en tournant la tête vers eux. La liberté les gars !
Ariane eut le temps de voir que les anges et Aude les suivait, puis elle aperçut Liz, et enfin les gardes qui étaient à leur poursuite. Ceux-ci lançaient des projectiles lumineux qui fusaient entre eux, s'écrasant sur les murs qui commençaient à s'effondrer.
Le mur s’affaissait sous leurs yeux et Ariane tira le bras de sa meilleure amie pour qu’elle ne finisse pas sous les décombres, elle ne pouvait l'abandonner.
Au détour d’un virage, Sofia les emmena dans une pièce immense et luxueuse.
Sofia se précipita sur une fenêtre richement décorée, l’ouvrant et criant :
– CORALIE ICI
Puis se tournant vers les deux filles portant pour la première fois un air sérieux.
– Vous me faites confiance ?
Non ! Bien sûr que non ! Cela faisait à peine quelques minutes qu’elles se connaissaient, elles n’allaient pas faire confiance à cette inconnue dérangée.
– On a pas le temps de penser à ça non ?? cria Maï.
– Bonne réponse ! Sourit malicieusement Sofia. Vous apprenez vite. Sautez !
Elle montra la fenêtre, et Ariane ne voyait que les vingt mètres de hauteur qui la tétanisait sur place. C'était bien un château.
Sofia ne sembla pas prendre cela en compte. Elle sauta dans le vide en tirant Ariane, qui, emportée, tomba la tête la première, ayant juste eu le temps de lâcher Maï Rose pour ne pas l’entraîner dans sa chute.
Le vent lui fouettait le visage, si fort qu’elle ne put garder les yeux ouverts et ne put que crier sans aucun contrôle, la terreur de sentir le sol se rapprocher l’envahissant de seconde en seconde.
3 secondes avant d'atteindre le sol.
Elle ne pouvait pas mourir, elle ne pouvait pas.
2 secondes.
Pas maintenant.
1 seconde.
Elle sentit à nouveau sa montre s’arrêter.
Les explications m'ont passionné et le rôle de la magie est inattendu pour moi, j'ai trouvé que c'était très subtil. J'ai bien compris l'enchaînement des actions (ce qui est une chose difficile quand il y a autant de monde à présenter en même temps donc bravo !). D'ailleurs la présentation des personnages est d'une clarté limpide, toujours en action, je peux voir exactement le résultat de ton travail de caractérisation. Et suspense final sur ce chapitre, parfait !
Pour les coquilles :
Je t'ai retrouvé du présent ici :
"Ses parents devaient être morts d’inquiétude, mais s’il y en a bien un qui s’en donnait à coeur joie, c’était bien lui. Ariane se demanda comment les enlèvements ont été vus sur Terre ? Qu'ont-ils vu ? Ont-ils réalisé que les enlèvements s’étaient déroulés partout à travers le monde ? Ont-ils organisé des recherches massives pour retrouver tous ces collégiens et lycéens volés de leurs établissements ?"
Et du futur là :
"Mais c’est le sol qu’elle ne va pas tarder à rencontrer." -> qu'elle n'allait pas
Au passage : "A-aucun problèmes- balbutia la jeune fille qui se rendit compte que la femme avait des yeux jaunes luisants." -> pas de S à problème :)
Oui je t'avais demain, il y a au moins 3 jours, my bad.
j'aime toujours ton univers, plein de rebondissement, j'avoue que je sais plus ou donner de la tête, mais j'aime ça ^^
relever quelques petites choses : En levant la tête, elle aperçut un dos sombre appuyé contre la cage au-dessus de la leur. (tu l'a déjà dit dans la phrase d'avant qu'il étaient au dessus :p )
" – Ariane. Chuchota Maï Rose en se rapprochant de son amie. Lui, on ne lui fait pas confiance d'accord ? Il est sûrement dérangé pour croire à ces histoires…" Rien à redire, juste que ça m'a fait rire, c'est très naturel !
"– Mais vous êtes fêlés ? rugit Liz. La magie. Ça n'existe pas." ça aussi j'ai adoré, je ne sais pas je vois bien la tête de la fille les regarder d'un air d'autoroute hahaha
Je ne vais pas cité tout les passages qui m'on plu sinon , je te refait le chapitre ^^
Et cette histoire de montre m'intrigue de plus en plus en tout cas ^^
Prend le temps que tu veux ! Savoir que des gens lisent mon histoire c'est déjà incroyable XD
Les premiers chapitres sont lourds en lore mais j'espère que ce n'est pas de trop (histoire de n'assommer personne)
Merci ! Je suis contente que j'arrive a bien incorporer l'humour ! Même si ce n'est pas forcément voulu par les personnages XD
Tu es trop gentille, j'espère que la suite te plaira autant
Je me balade de surprise en surprise, d'abord des extraterrestres, puis des anges, puis des loups garous, et ce mystérieux effondrement. C'est un récit très surprenant et très dynamique. J'avais parfois un peu de mal à visualiser les scènes, de mon côté, pour ce chapitre. J'ai trouvé qu'Ariane semblait finalement accepter facilement l'idée de rencontrer des extraterrestres alors qu'elle s'opposait farouchement à l'idée quelques lignes avant, mais c'est un détail.
Petite remarque : " et découvrit un garçon brun qui abordait un grand sourire." => arborait ?
A bientôt !
Difficile de soutenir la théorie du réel face aux faits, mais je peux voir pour rendre la transition plus fluide.
Ah oui ! Merci beaucoup !
Remarques:
"Qu'est ce que j'ai bien pu faire pour me montrer menaçante…" Cette phrase n'est pas dans un dialogue on passe de "elle" à "je" et je ne sais pas qui parle.
"Il lui manque définitivement une case... se dit Ariane en se posant sur l’épaule de sa meilleure amie qui la laissait faire."
Tu devrais mettre des guillemets ou autre pour montrer que c'est Ariane qui parle.
Voilà voilà :)
Oups, ce sont les italiques des pensées qui ont sautées, je vais les remettre, merci de les avoir remarquées !