Les jours de rentrées avaient une ambiance particulière propre à chaque personne. Certains ressentaient de l'appréhension, de l’anxiété ou bien de la joie pour les plus chanceux. Pour Thalion, la première chose qu’il ressentit en se réveillant fut… de la colère.
— Réveille-toi ! Réveille-toi ! Il faut se réveiller ! Réveille…
Un oreiller s’abattit sur le réveiltoiseau, le projetant contre le mur et le réduisant au silence. Thalion jura. Pourquoi Berry lui avait offert une chose pareille ? Ce volatile en fer lui écorchait les oreilles chaque matin avec sa voix métallique et lui filait des crises cardiaques. Il n’existait pas pire réveil au monde, et le jeune homme n’avait pas besoin de ça pour être de mauvaise humeur.
Thalion soupira sans pour autant se lever de son lit, fixant le plafond dans la pénombre. Même si ça lui déplaisait, c’était la rentrée. Et il avait tout sauf envie de retrouver ses… semblables. Était-il obligé d’aller à l’école pour apprendre la magie ? Il pourrait étudier en autodidacte. C’était un élève travailleur, après tout. S’il se rendormait maintenant et se réveillait malencontreusement trop tard…
— RÉVEILLE-TOI !
Le réveiltoiseau qu’il espérait détruit surgit brusquement devant lui et frappa son front avec son bec en métal, comme s’il essayait d’y percer un trou dans son crâne. Thalion tenta de l’attraper pour l’arrêter mais l’oiseau n’en démordait pas. S’ensuivirent quelques minutes de combat intense et douloureux contre un réveil déchaîné, avant que le malheureux ne cède et saute de son lit, plus énervé que jamais.
— Aïe ! Aïe ! D’accord ! D’ACCORD JE ME LÈVE ! bon sang, râla-t-il entre ses dents tout en se frottant la tête. Ce réveil veut ma peau…
— RÉVEILLE-TOI !
— Mais je suis réveillé ! s’emporta Thalion alors que le volatile de fer se remit à l’attaquer.
L’adolescent se rua hors de sa chambre et courut dans le couloir, pourchassé par le réveiltoiseau.
— Réveille-toi ! Réveille-toi !
— Berry, éteins-moi ce réveil de malheur ! beugla-t-il en débarquant dans le salon.
Son tuteur était assis à table où le petit-déjeuner était servi. Il ne réagit pas immédiatement, appréciant le comique de la situation, puis marmonna à voix basse. Le réveiltoiseau tomba au sol et Thalion se retint de le réduire en miette devant le conseiller.
— Apprends-moi… ce sort, demanda-t-il en reprenant son souffle. J’en ai besoin pour ma propre survie.
— Certainement pas. Tu ne le remettras jamais en marche sinon, lui répondit le conseiller tout en tartinant de confiture aux fruits rouges un morceau de pain, pas le moins du monde embêté.
— Ce réveil veut me tuer Berry ! Tu as bien vu, il y a volonté de me nuire !
— Allons, tu exagères. Tu as juste tardé à te lever et voilà le résultat.
— Donc maintenant c’est à cause de moi si ce tas de ferraille est détraqué ? Génial. Si je finis par mourir avec un trou dans le cerveau, ce sera de ta faute.
— Oui, oui, c’est ça. Puisque tu es désormais réveillé, viens prendre ton petit-déjeuner, ordonna Berry avant de lui tendre la tartine qu’il venait de préparer.
Thalion grommela, toujours outré par cette tentative d’homicide, mais accepta la tartine et s’installa à la table. Mystic, un petit chat gris aussi adorable qu’insupportable, sauta sur ses genoux en miaulant. Il appartenait à sa mère avant. Maintenant, c’était le sien. Ce garnement avait uriné sur son uniforme neuf, ce qui l’avait obligé à le laver. Même si le magérien lui faisait la tête, il ne put rester de marbre face à ses miaulements implorants. Il le caressa doucement, le faisant ronronner. Thalion était faible.
Le petit-déjeuner de Berry était délicieux. S’étendait devant lui des piles de tartines parfaitement grillées, des fruits frais, un large choix de confitures faites maison, tout ce qu’on pouvait souhaiter comme boisson et le bonheur suprême : des pancakes. Il s’était surpassé, une manière de lui donner du courage pour cette nouvelle année scolaire qui débutait.
— Tes pancakes vont me manquer, déclara l’adolescent après en avoir mangé plusieurs d’affiler.
— Je suis sûr que les cuisiniers de l’école en feront d’aussi bon.
— J’espère, car si je ne suis pas rassasié, je serais obligé de manger les élèves qui n’ont pas été sages, dit-il sur le ton de la plaisanterie en arborant un air féroce, mais ça n’amusa pas le conseiller dont les sourcils broussailleux se froncèrent.
— Comment ça ?
— Tu ne sais pas ? C’est la nouvelle rumeur qui court. Apparemment, l’Enfant Maudit mange les enfants désobéissants la nuit. Honnêtement, je suis flatté de voir ma légende grandir de jour en jour.
Le front de Berry se plissa et ses doigts vinrent tortiller la pointe de sa moustache grise. Un tic qu’il avait chaque fois que quelque chose le préoccupait. Thalion n’aimait pas voir cet air soucieux sur son visage rond, accentuant les rides au coin de ses yeux.
— Je m’en doute Thalion, mais...
— Berry, l’interrompit-il, je t’assure que ça ne m’atteint pas.
— Quand même…
— Arrête de t’inquiéter pour moi. Tu vas avoir encore plus de cheveux blancs après.
— Allons, pas besoin d’attaquer sur le physique, c’est bien normal de me faire du souci pour toi, se justifia son tuteur, vexé.
— Et je te dis justement de ne pas t’en faire.
Thalion ne voulait pas que Berry s’inquiète inutilement pour lui. Il savait que son tuteur le considérait comme son fils et que sa situation le préoccupait. Le jeune magérien voulait à tout prix l’empêcher de saisir le Conseil à propos de cette affaire. Le connaissant, son tuteur en était capable, et il avait suffisamment de divergences à son sujet avec ses collègues. Rien que le fait de l’avoir pris sous son aile était un problème. En général, les conseillers élus pour une durée indéterminée ne possédaient pas de famille pour éviter qu’elle soit utilisée contre eux. Mettre ainsi en danger ses proches était mal vu et vivement critiqué par l’opinion publique. Pourtant, Berry n’avait pas hésité à prendre en charge le fils de ses défunts amis. En dépit de sa fonction, il était parvenu à devenir son tuteur. La réputation de ses parents avait aidé. Si ça avait fini par se faire accepter, tout avait été gâché quand Thalion avait reçu son signe. Un conseiller chargé de la protection des magériens qui protège un futur mage noir meurtrier, c’était trop gros pour passer. Malgré tout, Berry avait essuyé le raz-de-marée haineux de l’opinion publique et la pression de ses collègues sans jamais regretter son choix. L’affaire s’était finalement tasser puisque, au grand désarroi de certains, Thalion restait un enfant encore innocent, mais les séquelles sur les relations professionnelles du conseiller subsistaient.
Après un instant de réflexion, le regard du vieil homme s’adoucit.
— Bon, je te fais confiance. Si tu as terminé, file te préparer. Tu dois partir dans quinze minutes.
L’adolescent hocha la tête. Il engloutit sa dernière tartine avant de chasser Mystic de ses genoux et de monter dans sa chambre. Quinze minutes, c’était peu. Surtout quand on n’avait même pas fini de faire sa valise.
Comme la totalité du manoir, sa chambre était aménagée dans un style sombre et chic. Les murs ornés de moulures étaient peints en noir et le mobilier, en bois massif sculptés. Quelques miroirs et peintures décoraient la pièce, ainsi qu’une cheminée élaborée. L’éclairage était assuré par des appliques murales en laiton, même si les grandes fenêtres apportaient suffisamment de lumière en journée. Encore faudrait-il qu’il fasse beau. Thalion ouvrit les larges rideaux en velours vert sapin, sa couleur préférée. Le ciel était terne et donnait une ambiance lugubre à la pièce. À l’image de son père, il appréciait ce style de décoration. Sauf qu’autrefois, les rires qui résonnaient régulièrement conféraient au manoir une ambiance moins austère, ce qui n’était plus le cas aujourd’hui. Son cœur se ratatina en observant le vaste jardin dans lequel il avait joué de nombreuses fois avec ses parents, avant de se retrouver brusquement seul. Ce n’est que trop tard qu’on réalisait à quel point ce genre de moment était précieux.
Il referma le rideau. Finalement, c’était trop déprimant. Il observa sa chambre. Son lit était défait et quelques coussins traînaient sur le parquet. Des vêtements gisaient par ci par là et Mystic dormait paisiblement sur le fauteuil en cuir. Qu’est-ce qu’il aimerait être à sa place ! Mais Thalion n’avait pas de temps à perdre. Il devait ranger sa chambre avant son départ et finir sa valise. Et accessoirement, s’habiller, puisqu’il était toujours en pyjama. En voyant sa malle vide, il eut envie de frapper son soi du passé. Pourquoi s’était-il obstiné à repousser ce moment jusqu’à sa dernière échéance ? Il aurait tout aussi bien pu faire sa valise en dix minutes et s’en débarrasser ensuite.
Il rassembla les dernières affaires dont il avait besoin et rangea ce qu’il n’emmenait pas. Le magérien jeta rapidement un coup d’œil à son bureau, vérifiant une dernière fois qu’il n’avait rien oublié. Quelques livres étaient négligemment posés dessus et des feuilles étaient éparpillées. Il les feuilleta promptement au cas où un document scolaire important aurait échappé à son attention et les rassembla. Cachée parmi les feuilles, une fiole se révéla. Thalion la saisit entre ses doigts et admira la boule de feu miniature qu’elle contenait. Une étoile. Un sourire effleura ses lèvres lorsqu’il contempla la lueur flamboyante qui s’en dégageait. Il reposa le flacon et se mit à ranger le bureau. Par inadvertance, il renversa un petit cadre noir qu’il remit aussitôt en place. Il affichait l’une des rares photos où ses parents et lui apparaissaient. Elle avait été exceptionnellement prise le jour de ses six ans, à sa demande après avoir vu un amagérien utiliser une caméra. Thalion avait énormément insisté pour les convaincre, et sa joie d’y être parvenu transparaissait dans son sourire radieux. Il avait l’air si enfantin, bien loin de l’image qu’il renvoyait aujourd’hui avec ses piercings. Il possédait deux petits anneaux argentés sur le lobe de ses oreilles, un autre à l’hélix sur celle de droite, et au coin de la lèvre inférieur, sur la gauche.
Le cliché était raté : son père avait bougé son bras, le rendant flou, et sa mère faisait la grimace en râlant contre la machine. Pas étonnant puisqu’ils avaient rarement un appareil photo entre les mains. Si son père était un astronome doublé d’un musicien, sa mère, elle, était peintre. Elle tenait absolument à s’occuper des portraits ou des représentations de leur famille. Elle adorait ça, et son mari ne pouvait rien lui refuser. Thalion se souvenait surtout de ses difficultés à rester figé aussi longtemps. Il prit le cadre pour examiner de plus près l’image. L’adolescent avait hérité des cheveux noirs de sa mère et de sa peau blanche comme du marbre, mais des taches de rousseur et de la chevelure bouclée de son père. Son sourire s’affaiblit tandis que son esprit divaguait dans les méandres de ses souvenirs. La voix de Berry le tira de sa mélancolie.
— Thalion ! J’espère que tu es prêt !
Oups. Il avait un peu trop traîné. Heureusement, il avait pratiquement fini de ranger. Il reposa le cadre et saisit son uniforme désormais sec. Il était aussi sophistiqué que celui des années précédentes. Entièrement noir et bleu nuit, brodé de fils d’or avec une courte cape et une cravate. Sur la poitrine se trouvait une chaînette dorée à laquelle était relié l’emblème de son signe. Ce n’était pas obligatoire, mais il était déconseillé de le porter le jour de la rentrée pour éviter de l’abimer en cours de route. La plupart des élèves avaient compris pourquoi et appliquaient ce conseil.
Berry l’interpella une nouvelle fois, et sa voix gronda comme le tonnerre avant un orage. Ni une ni deux, il fourra son uniforme dans sa valise, la boucla et s’habilla en vitesse. Il caressa une dernière fois Mystic en lui intimant de rester sage pendant son absence, avant de descendre.
— Allons Thalion ! Dépêche-toi enfin ! s’impatienta Berry sur le pas de la porte.
— Oui, oui, c’est bon ! Mes affaires sont prêtes, tu n’auras plus qu’à les donner au rokh qui viendra les chercher.
L’adolescent posa sa malle en bas de l'escalier. Le rokh était un oiseau qui pouvait s'apparenter à un aigle de la taille d’un avion de ligne. Ses ailes puissantes lui accordaient une rapidité époustouflante, mais il faisait également preuve d'une force étonnante. Sans aucune difficulté, il était capable de soulever un éléphant entre ses griffes acérées. L'école exploitait plusieurs d’entre eux en les chargeant de récupérer les valises des élèves. Cette organisation avait été mise en place pour faciliter le voyage des apprentis magériens et éviter les bagages perdus. Un sort permettait aux rokhs de ne pas se faire remarquer par les amagériens. Thalion n'en avait jamais vu de ses propres yeux car les volatiles passaient quand il était en chemin.
— Mais je suis vexé que tu sois pressé de me voir partir.
— Ne dis pas de bêtise, fiston. C’est juste que si tu ne pars pas maintenant, tu vas être en retard !
— Ce serait tellement dommage !
Thalion sourit, à l’inverse de son tuteur. Arriver en retard ne lui faisait ni chaud ni froid. Quoi qu’il fasse, il serait toujours au centre de l’attention. Il n’y avait là aucune arrogance, c’était juste un fait. Mais le conseiller n’était pas du même avis.
— C’est toujours mieux de faire bonne impression auprès des professeurs, argua-il en lui ouvrant la porte pour le laisser sortir, et la referma derrière lui.
— Ouais, si tu le dis.
— Tu aurais d’ailleurs dû passer chez le coiffeur. Tes cheveux te tombent devant les yeux.
Thalion glissa une main dans ses boucles noires. Il devait reconnaître qu’ils avaient bien poussé depuis la dernière visite au salon de coiffure. Le magérien ne s’y rendait pas souvent car il réduisait au maximum ses sorties en ville.
— Moi, j’aime bien comme ça. Ça me donne un côté mystérieux. Peut-être que, maintenant, on me trouvera séduisant et on cessera de me fuir comme la peste. Mon pauvre cœur d’adolescent pubère n’en peut plus.
Thalion avait dit ça sur le ton de la plaisanterie, comme à son habitude. Il utilisait souvent l’humour pour dédramatiser sa situation, et sa vie amoureuse aussi florissante que le Sahara n’y échappait pas. Même s’il était en âge de vivre ses premières histoires d’amour, il s’imaginait difficilement en faire l’expérience. Certains pensaient qu’en tant que bisexuel, il était plus simple de se mettre en couple, mais c’était un cliché. D’autant plus quand on possédait son signe. Qui accepterait de s’unir avec un corbeau ?
— Il n’y a pas que ton cœur qui n’en peut plus, j’imagine.
L’adolescent manqua de s’étouffer avec sa salive. Il ne s’attendait pas à recevoir une réponse de ce genre de la part de Berry.
— Rassure-toi, tout va bien de ce côté-là. Mais parlons d’autres choses avant que ça en devienne gênant.
— Il n’y a rien de mal à ça. C’est normal de penser à ça à ton âge.
— Berry !
— D’ailleurs, si tu finis par passer le cap avec une jeune fille, ou un jeune homme, il faut que tu…
— BERRY ! l’interrompit Thalion, dont les oreilles commençaient à rougir d’embarras. On ne va pas se voir pendant plusieurs mois, et toi, tu veux me faire un cours d’éducation sexuelle avant que je parte ? Sérieusement ?
— Allons, reprit le conseiller en rigolant, tu préfères des au revoir larmoyants peut-être ?
— Hm non, pas vraiment…
Son tuteur lui sourit chaleureusement, et ça suffit à le détendre. Berry allait lui manquer. À bien des égards, il était comme un deuxième père pour lui. Jamais Thalion n’aurait les mots pour exprimer sa reconnaissance et son affection.
Nom d’une sirène desséchée. Le voilà avec un nœud dans la gorge. Son cœur se serra en l’imaginant seul dans ce gigantesque manoir.
— J’aurais aimé rester ici avec toi, marmonna Thalion en fixant au sol.
— Je sais bien, lui répondit-il avec compassion. Mais je suis sûr que tout se passera bien là-bas. Tu as toujours su t’en sortir.
— Évidemment. Ils ne me font pas peur, déclara-t-il en relevant la tête, l’air plus confiant qu’il ne l’était réellement. Rien ne me fait peur.
Les yeux gris de son tuteur le scrutaient attentivement, comme s’ils pouvaient lire en lui comme dans un livre ouvert. Berry n’était pas dupe. Et la douceur de son regard lui donna presque envie de pleurer. Presque.
— Allons, pas de ça avec moi, dit le conseiller avant de lui ébouriffer les cheveux d’un geste affectueux.
Thalion sourit. Bien sûr qu’au fond de lui, il avait peur. Pas des autres, non. Mais de lui. Plus que tout, il avait peur que la destinée des corbeaux, qui avait la réputation d’être inévitable, finisse par se réaliser.
— C’est toi qui ne devrais pas trop t’inquiéter Thalion. Un jour, ils comprendront qu’ils ont eu tort d’agir ainsi, j’en suis certain.
Le jeune magérien n’était pas aussi convaincu que lui, mais acquiesça tout de même.
— Ne te perds pas en chemin, l’avertit Berry. Tes cours commencent ce matin. Si tu files maintenant, tu arriveras avec les derniers enfants.
Puis il le prit dans ses bras. L’adolescent n’était pas quelqu’un de tactile, mais les câlins de son tuteur avaient le don de le réconforter. Alors il profita de ces quelques instants de tendresse. Zéphire, qui avait attendu sur le côté le temps des au revoir, s’approcha. Thalion quitta l’étreinte de son tuteur avec un pincement au cœur, et enfourcha son balai. Il jeta un dernier coup d’œil à Berry qui lui adressa un sourire encourageant.
Thalion finit par détourner le regard et s’envola dans le ciel, des larmes coincés dans la gorge, et le cœur lourd.
Fidèle à lui-même, Thalion ne stresse nullement à l'approche de la rentrée et va même jusqu'à se mettre à dos un réveiltoiseau ! C'est scandaleux et donc, à refaire ! J'ai beaucoup aimé cette ouverture de chapitre qui permet d'enchainer avec le petit déjeuner.
Le fait d'avoir approfondi le contexte de Berry, conseiller mais tuteur d'un futur mage noir, était habilement placé. Entre son hommage à ses amis défunts et ses conséquences professionnelles, j'aime beaucoup le fait qu'il se batte contre les idées reçues. Cela contraste très bien avec un Thalion qui préfère se jouer de sa réputation et qui plaide coupable à coup de cynisme et d'auto-dérision.
Par contre, j'ai eu un peu de mal pour son orientation sexuelle. C'est trop brusque puisqu'il n'a pas encore rencontré qui que ce soit et qu'il ne semble pas parti pour taper l'amitié par défaut. Je suppose que cela jouera beaucoup avec ceux qui l'accompagneront dans ton récit. Dans l'immédiat, pour dédramatiser l'heure du départ, je m'attendais plus à voir un Thalion faussement dramatique sur l'enfer des cours qui l'attendrait et à quel point il se sentirait abandonné par son seul et unique soutien...
Je pense que je dois encore mieux le cerner au fil des chapitres suivants. Ton univers est très complet et donne envie de l'explorer en même temps que l'affreux enfant maudit !
Au plaisir !
En écrivant ce début de chapitre, je ne m'attendais pas à ce que ça fasse autant rire, mais j'en suis ravie xD !
Je comprends tout à fait pour l'orientation sexuelle, c'est un problème que j'ai du mal à résoudre. Je ne sais pas où le placer autre part dans l'histoire... mais j'ai conscience de ce défaut.
Je suis contente que cet univers continue de te plaire et de t'intriguer, et que ce chapitre t'ait plu malgré ses défauts !
Merci beaucoup pour tes commentaires !
J'ai commencé à lire ton œuvre, et j'aime bien !
Je trouve qu'il y a de supers idées (le réveiltoiseau m'a fait mourir de rire, le principe des animaux/signes, l'enfant maudit, Zéphire le balais vivant, etc.), les descriptions efficaces (parfois un peu trop précises à mon goût) et le rythme de l'histoire entraîne, on accroche bien.
J'ai un peu de mal avec les dialogues, mais c'est très subjectif cette affaire-là. Mon impression, parfois, c'est que les répliques sont un peu surjouées, un peu comme dans les mangas/anime.
Un point fort, je trouve, c'est la touche de cynisme, que ça soit celui de Thalion ou celui de la narration, j'en redemande !
Point bonus + avec l'évocation de sa bisexualité et des problématiques auxquels il fait face à son âge. En revanche, je trouve que c'est un peu amené brusquement dans la narration, c'est-à-dire que je sens que l'autrice veut me faire passer un message.
Mais ce n'est pas très dérangeant, et ça reste surtout mon avis personnel.
En tout cas, je vais continuer car je me suis très vite attacher à Thalion mine de rien !
Bonne journée !
Je suis contente que mon histoire te plaise et te fasse au moins un peu rire !
Je vois ce que tu veux dire, pour les dialogues. Peut être que ma passion pour les manga/animés m’a inconsciemment un peu influencé. Je m’éclate pas mal dans l’écriture des dialogues, c’est assez spontanée mais je comprends que ça plaise moins à certains.
J’adore le sarcasme et les personnages un peu cynique, c’est un trait de caractère que je voulais donner à Thalina donc normalement tu devrais être servi !
Je suis d’accord avec ta remarque sur l’évocation de la bisexualité. On m’avait déjà fait la remarque avant et j’avais essayé d’arranger ça (dis toi que c’était pire avant x) ) mais j’ai toujours un peu de mal à m’introduire de manière plus naturelle. Je veux que les lecteurs le sachent dès le début car je ne trouve pas d’autre moment propice à cette évocation.
Merci beaucoup pour ton commentaire, j’espère que la suite te plaira !
Bonne journée à toi aussi !
Une chose que j'apprecie grandement dans ton style d'écriture c'est tes descriptions légères et fluide ! Elles ne sont ni trop longue ni trop courte et laisse de la place à l'imaginaire. Tu laisses as travers tes mots juste de quoi voir ton univers tout en s'en fesant sa propre image.
Par exemple le réveiloiseau. J'ai l'image d'un travail d'orferverie et de mécanisme d'horloge, une petit décoration pratico-partique qui demande un travail d'exterme minutie. Mon image d'objet presque presicieu viens se faire casser par le coup d'oreiller et le son infernal qu'il produit, je n'en voudrait pas d'un. Mais cette scène vient renforcer le caractère de ton personnage.
Joli Boulot !
Bonne journée !
Nuah
Ton compliment sur mes descriptions le touche beaucoup car je considère ça comme un de mes points faibles ! J'ai beaucoup travaillé dessus car au début je les négligeais beaucoup. J'ai du mal à ajuster parfois entre trop décrire ou pas assez, mais tes mots me rassurent et me font très plaisir.
Merci sincèrement pour ton commentaire, et bonne journée à toi aussi !
Je reprends ma lecture avec plaisir. Peut-être que ce réveil, il peut le mettre dans sa sac avec une grosse pierre et le jeter dans une rivière ? Problem solved. Il réveillera les poissons.
Le duo Berry-Thalion est toujours très attachant, hâte de lire la suite :)
A bientôt !
Contente de te revoir dans l’espace commentaire !
C’est une bonne idée. Je suis sûr que thalion ne manquera pas de la mettre en place la prochaine fois que son réveil l’embêtera !
J’aime mettre en scène leur relation, ce duo me plait autant qu’aux lecteurs visiblement, ce qui me ravie ^^
Merci pour ton commentaire, j’espère que la suite te plaira !
À bientôt !
Merci beaucoup pour ton commentaire !
Un cadeau de Berry je parie !
Sinon toujours très juste au niveau des dialogues et des émotions, ils sont très touchants très vite, chacun à leur façon, et sachant qu'il a un chat, c'est bon, tu as définitivement conquis mon cœur.
Je trouve que l'uniforme fait encore un peu trop "grandiloquent" et un peu cliché de magicien à grande robe, mais bon, ça donne un côté classieux quand même. J'ai très envie qu'ils se retrouvent du coup ^^
Je savais que les chats étaient le moyen le plus efficace pour conquérir un lecteur xD Plus sérieusement, je suis ravie que mes dialogues te plaise ! J'aime beaucoup les écrire ^^
Je peux comprendre ton avis, moi je voulais justement leur donner un uniforme plus extravagant qu'une simple robe noir.
Berry refera quelques apparitions dans l'histoire, tu verras ^^
Merci pour ton commentaire ! En espérant que la suite continuera de te plaire :)
Encore un bon chapitre. Une lecture fluide, on en apprend davantage sur ton personnage.
Quelques commentaires qui sont personnels :
J'aime beaucoup ton réveil matin, en revanche j'ai trouvé la phrase "lui filait des crises cardiaques" peut-être un peu forte.
Dans l'avant dernier paragraphe, tu as oublié le T du prénom de ton personnage : s’approcha. halion quitta l’étreinte de son tuteur
A bientôt !
Contente que l'histoire continue de te plaire !
C'est une exagération qui je ne trouve pas perturbante personnellement mais je garde ton avis en tête !
Ah, mince, merci de me l'avoir signaler !
Merci pour ton commentaire, à bientôt !
Voilà, la foule en délire peut m'applaudir pour ce commentaire incroyablement détaillé et pertinent. À plus !
... Non, je plaisante. Mais quand même, il m'a sacrément fait marrer, ton réveil mécanique enchanté. C'est vraiment une super idée d'attaquer le chapitre avec cette anecdote, ça donne immanquablement le sourire et ça met le lecteur dans de bonnes dispositions pour la suite.
Je ne vais pas décortiquer tout le chapitre ligne par ligne, Luna et Will l'ont déjà très bien fait en-dessous. Mais j'ai tout de même quelques petites remarques :
1 - Le chat qui fait pipi sur son uniforme. C'est peut-être moi, mais je trouve que l'usage de l'expression "faire pipi" jure un peu avec le reste de ta narration soignée. J'utiliserais plutôt le verbe "uriner" ou "se soulager" pour ne pas donner un côté trop "puéril" à ton écriture.
2 - Comme Will, je tique moi aussi sur l'âge de Thalion. Si j'ai bien compris, la cérémonie des présages (je ne sais plus si c'est le nom exact que tu lui donnes, désolé, la mémoire de Papy Ori est en vacances...) se déroule à l'âge de 5 ans. Dans le prologue, Thalion est déjà seul avec Berry au moment de sa cérémonie. Or, tu évoques ici le fait que la photo avec ses parents a été prise "le jour de ses six ans". Il y a une petite incohérence à ce niveau ;)
3 - L'annonce de la bisexualité de Thalion m'a franchement fait tiquer.
Non pas que j'ai quelque chose contre les personnages bisexuels, ce n'est pas du tout de cet ordre-là. Mais je ne comprends pas vraiment l'intérêt d'amener le sujet si tôt dans l'histoire, surtout dans un moment comme celui-là.
La réplique de Berry juste avant ("Il n’y a pas que ton cœur qui n’en peut plus, j’imagine.") est absolument savoureuse, j'étais en train de me marrer tout seul devant mon pc comme un idiot. L'explication sur l'orientation sexuelle de Thalion et sa crainte de la biphobie dans le paragraphe suivant vient un peu casser, je trouve, le côté sympa et amusant de leurs adieux.
Si je peux me permettre une suggestion, à ta place je couperais le paragraphe à "Ce dernier était bien au courant que sa vie amoureuse était aussi florissante que le Sahara." et plutôt que de nous expliquer que Thalion est bisexuel, tu pourrais nous le faire découvrir de manière subtile plus tard dans l'histoire, par exemple s'il tombe sur un autre garçon qu'il trouve séduisant. Là, je trouve que cette info arrive un peu comme un cheveu sur la soupe, ce n'est pas le moment propice. Enfin, c'est mon ressenti personnel, libre à toi d'en tenir compte ou non.
Autre possibilité, si tu tiens absolument à suggérer cette idée au lecteur à ce moment de l'histoire, ce serait d'ôter la fin du paragraphe comme je le suggérais mais de conserver la réplique de Berry ensuite : " D’ailleurs, si tu finis par passer le cap avec une jeune fille, ou un jeune homme, il faut que tu… ", ce serait déjà plus subtil et moins "lourd".
Voilà pour mes remarques ! Pour le reste, j'apprécie toujours autant ton histoire et je passe un agréable moment aux côtés de tes personnages, je suis vraiment en mode "lecture-confort" :)
À bientôt pour la suite !
Ori'
Mince ! Désolée pour l'incohérence. Normalement, j'avais modifié l'âge du rite pour l'avancer à sept ans. J'ai du oublié d'enregistrer ou que sais-je, je vais arranger ça !
Merci pour tes remarques, je vais les prendre en compte et apporter les modifications nécessaires !
Je suis vraiment heureuse que cette te plaise autant ! ^^
Merci de prendre le temps de laisser un commentaire à chaque fois,
A bientôt !
Chapitre 3 ! J’ai juste eu une poussière dans l'œil en lisant le chapitre ;) . Nous retrouvons Thalion chez lui ainsi que la confirmation du lien qui le lie à Berry. D’ailleurs je viens tout juste de le réaliser, mais est ce que c’est en lien avec les sorcières du Berry ?
Un chapitre encore très bien maîtrisé avec des dialogues super, un bon ajout à ton univers avec le réveiltoiseau, qui devrait être juste être illégal et interdit par la convention de Genève !!!!
Juste, juste une chose. “L’adolescent avait hérité des cheveux noirs de sa mère” “yeux verts” “mèches noires (petite faute ici) indisciplinées”. Alors je sais que personnellement ça me ferait royalement ch**** qu’on arrête pas de comparer mon œuvre à Harry Potter, mais là ! J’ai tiqué !
Bref la comparaison s’arrête là. Du coup ça m’a mis un peu du baume au cœur en pensant que ce serait peut être la vie qu’aurait mené Harry avec Sirius s’il avait pas fini à Azkaban.
“Thalion était faible”, cette réplique… je l’ai tellement pris personnellement… J’ai sentit le jugement jusqu’au tréfond de mon être !! Oui j’ai un chat et je comprends tellement Thalion, mais pourquoi ces petits êtres démoniaques sont si mignons T_T.
Je n’ai pas beaucoup de choses à dire pour ce chapitre qui était très agréable à lire. J’énumère en dessous ce que j’ai vu/ressenti tout au long du chapitre.
> Volatil se dit d’un mélange ou d’une substance, volatile pour un oiseau
> “comme s’il essayait de le percer” me paraît un peu faible. Je verrais bien “il avait l’impression qu’il aurait de cesse que lorsqu’il aurait percé un trou dans son crâne”
> “beugla-t-il en se ruant dans le salon.” deux fois l’utilisation du verbe ruer : précipiter, débarquer en synonyme possible
>”Il mit quelques secondes avant de réagir, appréciant le comique de la situation, avant de marmonner finalement quelques mots à voix basse” sinon je trouve l’utilisation du mot réagir superflu.
> “en faisant une tartine de confiture” faire est un verbe faible, plutôt “tout en tartinant de confiture aux fruits rouges un morceau de pain, pas le [...]”
> “l’Enfant maudit” Si c’est un titre je pense qu’il faut une majuscule aussi à Maudit. Et puis ça rajoute de la théâtralité.
> “je suis flatté de devenir la nouvelle légende d’aujourd’hui” il est en quelque sorte déjà la légende même, il ne le devient pas. “je suis flatté de voir ma légende grandir de jour en jour” du style plutôt
> Je tique encore un peu sur l’âge de Thalion, je pense que c’est mieux de faire la cérémonie vers ces 7-8 ans, comme ça il a le temps de faire des bêtises et d’en vouloir à ses parents. Et de pouvoir dire “Ce n’est que trop tard qu’on réalisait à quel point ce genre de moment était précieux.“
> “il eut envie de se secouer”, je pense que ça se dit de vouloir secouer quelqu’un mais pas de se secouer sois-même. suggestion : “il voulut frapper son soi du passé d’avoir été aussi feignant.”
Ce passage dans l’ensemble mériterait moins de phrases.
> “quand son regard s’attarda sur son bureau” Il est un peu dans la précipitation, de mon point de vue il ne prend pas son temps. Je verrais plutôt une phrase du genre “Il jeta rapidement un coup d’oeil à son bureau, vérifiant une dernière fois qu’il n’avait rien oublié.”
> “Il prit l’une d’elle par curiosité.” Encore une fois pas le temps ; “il les feuilleta rapidement au cas où un document important de la vie scolaire (ou autre) aurait échappé à son attention”. “Il tomba sur un des exemplaires [...]”. “Il savait qu’il n’avait pas beaucoup de temps, mais sa curiosité l’emporta et il chercha la rubrique [...].”
> “mais son attention fut attirée“. je verrais plutôt Thalion en train de ranger très sommairement le bureau est renversé par inadvertance le cadre. Il le remet aussitôt sur place, le cadre est très important pour lui, il contient une photo très précieuse pour lui. D’ailleurs ça m’a étonné qu’il n'ait pas pris la photo avec lui.
> “Si M. Connor était un astronome doublé d’un musicien, son épouse, elle, était peintre. Elle tenait absolument à s’occuper des portraits ou des représentations de leur famille. Elle adorait faire ça, et son mari ne pouvait rien lui refuser.” Attention tu as changé de type de narration ! On a une vision par Thalion tout du long et ici tu as une narration omnisciente externe. Je sais que tu voulais rappeler le nom, mais il faudrait trouver un autre moyen de le rappeler
> “Sur la poitrine se trouvait une chaînette dorée à laquelle était reliée l’emblème de son signe.” Ils sont salauds quand même ! Au cas où certaines personnes ne seraient pas en courant il le force à porter le signe du corbeau ! En vrai j’aurais plus cru qu’ils haïssent le signe du corbeau à tel point qu’il ne crée même pas ce symbole pour les uniformes ! Il serait ainsi le seul élève avec un emblème vide, pour bien lui rappeler qu’il n’est rien et qu’ils veulent l’oublier. Et ça pourrait être même Thalion qui par défiance à ajouter de lui même le symbole, car il n’a pas honte de qu’il est (en faites si un peu au fond) et que c’est eux qui devrait avoir honte. Ça pourrait même devenir un développement de ton personnage dans l’histoire ! Au début il n’a pas de signe mais au fur et à mesure qu’il prend de la confiance, il adopte finalement le signe du corbeau. Bon je m’emballe, mais tu vois en gros où je veux en venir.
> “donc il ne se rendait pas souvent au salon de coiffure” inutile de le rajouter on le comprend implicitement. Sinon plutôt “Il devait reconnaître qu’ils avaient bien poussé depuis sa dernière visite au salon de coiffure, il ne s’y rendait pas souvent à cause du fait qu’il essayait de limiter au maximum ses sorties en ville”
> “Aucune fille ne l’approchait, ni aucun homme”. fille/garçon ; femme/homme. D’avoir mélangé les deux me fait un peu bizarre, ça donne l’impression d’une maturité différente. Bizarrement ça passe avec jeune fille, jeune homme. Je te laisse en juger.
> “ il avait peur que la destinée des corbeaux auquel il semble impossible d’y échapper finisse par se réaliser.” le temps est un peu bizarre non ? “Il avait peur que la destinée des corbeaux, qui avait la réputation d’être inévitable, finisse vraiment par se réaliser”
> “Alors il profita de ces quelques instants de tendresse, avant de se décaler. Zéphire, qui avait attendu sur le côté le temps des au revoir, s’approcha.” Un peu bref, je ferais durer ce moment qui est dur pour Thalion “Alors il profita de ces quelques instants de tendresse. Zéphire, qui avait attendu sur le côté le temps des au revoir, s’approcha. Thalion quitta à contrecoeur l’étreinte de son oncle et enfourcha le balai. Alors qu’il s’éloignait il [...]”
> “des larmes coincés dans la gorge” Un peu étrange comme endroit pour des larmes, ce n’est peut être que moi
Encore une fois je suis désolé pour le pavé que je viens d’écrire, en plus je me suis dis que j’avais rien à dire pour ce chapitre, et puis voilà le résultat… Il est encore plus long que les précédents !
Superbe chapitre, d’ailleurs je m’étais dit que je ne lirais qu' un chapitre par jour mais j’ai pas résisté à lire la suite.
Merci pour ton travail et de nous faire découvrir le monde de Thalion,
Bonne continuation
Bonjour !
J’ai plutôt bien trouvé le titre du chapitre alors ;)
Je ne connaissais pas du tout les sorcières du berry ! A la base, je cherchais juste un nom court qui correspondrait bien au caractère protecteur et affectueux du conseiller, cette coïncidence me fait rire x)
Je suis d’accord ! Un tel réveil ne devrait pas exister ! Nous compatissons pour Thalion et tous les terribles réveille qu’il a dû endurer.
Ah, c’est vrai que c’est un peu agaçant d’être sans arrêt comparé à Harry Potter, mais en même temps je comprends x) surtout pour le physique du protagoniste. Je voulais absolument que mon personnage ait les cheveux noirs et les yeux verts. Un peu plus tard je me suis rappelée que ce physique ressemblait beaucoup à celui d’un célèbre personnage… Je devrais peut-être rajouter une différence, genre des cheveux bouclés ?
Désolée que tu te sois senti attaqué de cette façon xD Je n’ai pas de chat mais crois moi, je comprends ! Ces boules de poils démoniaques sont beaucoup trop adorables.
Je pense que tu as raison, pour l’âge de la cérémonie. Même scénaristiquement, pour les souvenirs et tout, ce sera plus crédible.
Dans une des réécritures de ce chapitre, Thalion emmenait le cadre photo, mais j’ai finalement retiré cette partie. J’hésite encore à réintégrer cette partie ou pas x)
Ah ça, pour haïr les corbeaux, ils les haïssent ! Tu le remarqueras rapidement dans les prochains chapitres. Malgré tout, pour les uniformes, je me suis dit qu’aucun ne devait échapper à la règle par pure esprit d’homogénéité. Après tout, les écoles (dans la réalité) sont souvent intransigeantes là-dessus, me semble-t-il. Néanmoins, j’ai beaucoup ton idée. Je ne sais pas si je vais l’intégrer dans l’histoire, mais je la garde en tête.
Je comprends que cette dernière phrase puisse te paraître étrange. En fait, on dit parfois « ravaler ses larmes » donc moi ça me choque pas tant que ça. Et puis je t’avoue que je trouve que ça sonne bien donc bon x)
Ne t’inquiète pas pour la longueur ! J’adore les longs commentaires, surtout quand c’est des remarques pertinentes ! D’ailleurs, j’ai pas réagis à tous les points car je ne savais pas quoi dire à part « c’est vrai tu n’as pas tort » xD Comme toujours j’ai pris note de tes suggestions et je vais corriger mon chapitre de ce pas !
Tout le plaisir est pour moi ! 😊
J'adore le "réveiltoiseau". J'avais l'impression d'assister à la scène tout en gloussant un peu à voir Thalion grommeler.
Encore une fois, tout est fluide. Aucune tournure ou faute ne m'a arrêté dans ma lecture.
J'ai vraiment pris goût à ton histoire !
Ahah, le réveiltoiseau plaît à beaucoup de monde ! Mais je n'aimerais pas être à la place de Thalion x)
Si tu étais plongé dans la scène et que tu as pris plaisir à lire, alors j'ai réussi ma mission !
Je suis vraiment contente que tu aimes, j'espère que ça restera ainsi !
Merci pour ton commentaire ^^ !
Bon, déjà je tenais à m’excuser, je dis que je viendrai commenter au moins une fois par semaine et je manque direct à ma parole. Mais même avec du retard, me revoilà ! Et avec un commentaire toujours aussi long ^^’
Bref, accrochez vos ceintures, le pavé arrive !
Commençons par le commencement, à savoir ce premier paragraphe. Je le trouve un peu maladroit dans sa formulation bien que l’idée soit très bonne comme entrée en matière. J’en profite pour relever deux petites choses : une petite coquille au niveau du temps que tu emploies « la première chose qu’il a ressenti […] c’est de la colère ». Il me semble plus juste de dire « la première chose qu’il ressentit […] ce fut de la colère » (le « ce » peut même disparaître ça ne gêne pas) mais ta version peut fonctionner aussi, c’est à voir.
Ensuite, je trouve ta liste de ressenti par rapport à la rentrée un peu longue, la peur par exemple me semble superflue quand tu parles juste avant d’anxiété, les deux sont plus ou moins liées. En revanche tu pourrais ajouter l’impatience, il y en a parfois, bien que je ne les comprenne pas !
Le « réveiltoiseau » est à la fois une idée géniale et un jeu de mot tordant. Qu’est-ce que je suis contente de ne pas l’avoir ! XD Pauvre Thalion, c’est pas une manière de réveiller les gens, voyons. J’en profite pour souligner un truc, la phrase « Pourquoi Berry lui avait offert ce réveil en forme d’oiseau ? » me semble assez morne. Une reformulation dans ce goût-là serait plus intéressante : « Pourquoi diable Berry lui avait-il offert une horreur pareille ? Ce réveil en forme d’oiseau lui écorchait les oreilles chaque matin avec sa voix métallique. » ça relève à la fois l’agacement de Thalion pour cette chose et son apparence, bien que j’avoue préférer la formulation « volatile en fer », je sais pas pourquoi, je la trouve plus chouette et ce serait dommage de l’abandonner. Au passage, qui a inventé ce cauchemar ambulant ? Faut l’arrêter, c’est un criminel ! X’D
« Bien que cela le déplaisait fortement… » - > « cela lui déplaisait »
« De toutes façons, était-ce vraiment obligé… » - > Je ne suis pas sûre que « toute façon » prenne des « s » mais il faudrait vérifier, ensuite la bonne formulation ne serait-elle pas plutôt « était-il vraiment obligé ? » Tu ne donnes pas vraiment le sujet dans cette phrase ce qui la rend assez nébuleuse. Ou alors, pour garder cette formulation il faudrait dire « était-ce vraiment nécessaire pour lui d’aller à l’école pour apprendre la magie ? »
« S’ensuit » - > s’ensuivit
« courser par » - > se faire courser marche à l’orale, mais cela semble un peu trop familier à l’écrit (ou alors c’est juste moi qui aime écrire comme une petite vieille ? possible), à la place tu peux parler de poursuivre, pourchasser voire même traquer, ce réveil a l’air assez énervé pour que ça marche x) Au passage, même si tu laissais cette formulation il me semble qu’elle se terminerait par -é plutôt que -er (la règle du « vendre » ou « vendu », c’est simple mais ça aide beaucoup !)
« Thalion était faible » - > Tout le monde est faible face à une boule de poile XD
« Allons, pas besoin d’attaquer sur le physique… » - > c’est bizarre, je l’aurai bien imaginé lui répondre quelque chose du genre « je te dois déjà la majorité de ceux-là (aka les cheveux blancs), un peu plus un peu moins », tu sais, ce genre d’humour. Mis à part ça, Berry a l’air vraiment inquiet, ne peut-il vraiment rien faire avec sa place de conseiller ? Eh puis d’abord, elles viennent d’où ces rumeurs ? Je veux dire, OK vous flippez parce que le corbeau c’est un signe maudit et blablabla mais ont-ils jamais vu un enfant « maudit » (je tiens aux guillemets) faire ce qu’ils disent ? Genre, ont-ils la moindre preuve, le moindre petit début de soupçon qui leur permette de balancer ce genre d’horreur ? Je veux bien que la plupart des commérages sont grossis dans ce genre de situation, que la peur les alimente, mais à ce point ? Si les gens ne savaient pas qu’il avait comme signe le corbeau, personne ne remarquerait seulement Thalion, il a pas la tête d’un monstre bon sang ! Ni l’attitude ! Alors qui est la source de ces rumeurs ? Est-ce le gouvernement ? Un truc du genre « il faut un ennemi commun pour rassembler le peuple donc on en fabrique un de toute pièce et tant pis pour lui ? » Je suis fascinée par le courage de Thalion, n’importe qui à sa place aurait perdu l’esprit, même avec un Berry aussi chouette à ses côtés.
« Ce n’est qu’une fois qu’il est trop tard… » - > pour le coup, tu peux laisser la totalité de la phrase au présent, c’est un constat que tu fais et qui flotte au-dessus de l’histoire si je puis dire, il n’est pas tangible comme pourrait l’être une action (je sais pas si c’est très clair). C’est une leçon que Thalion a apprise très jeune, aussi elle peut être écrite au passé ou au présent, comme tu veux. « C’est souvent une fois qu’il est trop tard qu’on réalise à quel point ce genre de moment est précieux. » ou « Ce n’était qu’une fois qu’il était trop tard qu’on réalise à quel point ce genre de moment était précieux. » les deux marchent, à toi de voir.
« c’est qu’il n’aura pas chaud » - > j’hésite très fort à te conseiller de mettre ce « c’est » au passé. Bon, je le souligne et tu choisiras, comme pour la phrase précédente, le passé va aussi bien que le présent pour cette formulation, enfin à mon sens.
« Ses lèvres se tordit d’un sourire. » - > aah que dire de cette phrase ? Déjà, le verbe tordre devrait être conjugué au pluriel, ce sont les lèvres qui se tordent donc « tordirent ». Ensuite… je ne suis pas très convaincue par la tournure de la phrase, est-ce seulement possible ? « Tordre un sourire »… à la limite, si tu veux garder cette formulation il t’aurait fallu dire « Ses lèvres se tordirent en un sourire… » quoique même là ça appelle à une suite de phrase… En fait j’arrive pas à savoir s’il grimace un sourire, s’il a un sourire hésitant, de biais où s’il essaie simplement de sourire. Pas très clair donc. En passant, ce journal de l’école m’inquiète. Avec le bol qu’il a, je suis sûre qu’il a dû y croiser des articles pas folichon sur lui : « L’Enfant maudit entre à l’Académie ! » ou encore « L’enfant du corbeau incapable d’utiliser la magie sans baguette ! » Je sais pas pourquoi mais ce journal ne me dit rien qui vaille pour la suite… ou alors je me trompe totalement et je suis juste parano ! XD
« c’est elle qui s’est occupée » - > « c’était elle qui s’était occupée… » elle n’est plus là et s’est occupé des portraits il y a un moment, donc tu peux user au plus-que-parfait sans souci. D’ailleurs tu passes un peu du coq à l’âne dans ce paragraphe. Quel rapport entre la profession des parents disparus et le journal de l’école qu’il vient de récupérer ? A mon avis il te faudrait une rupture qui rendrait le tout logique : il remarque le journal, sourit en lisant l’article anonyme sur les petits sorts pour faire le malin (au passage, j’adorerai savoir quel était le sort de ce numéro de journal !) puis son regard est attiré par quelque chose qui fait qu’il abandonne le journal pour poser les yeux sur le cadre et là tu peux aller à la ligne et faire lien avec les parents et les souvenirs qu’il en garde. En passant, tu peux même préciser pourquoi ils ne sont pas doués en photo en expliquant dans quelles circonstances a été prise la photo du cadre et pourquoi elle a l’air ratée, comme ça tu parles de l’incapacité de ses parents à faire des photos corrects et tu peux passer à leur passion respective.
D’ailleurs ça me fait penser, ce manoir c’est celui des parents de Thalion ? J’avais supposé qu’il s’agissait de la maison de Berry mais vu la description que tu en fais…
« Le rokh » - > trop contente de croiser ce mythe par ici ! Mais du coup ceux de ton univers sont beaucoup plus petit que ceux que j’imaginais, tu sais, ces oiseaux de pierre aussi grand que des montagnes. Ta version semblable à des aigles les rend soudain minuscules dans ma tête x) mais c’est un peu bizarre d’utiliser des animaux pareils pour chercher les bagages des élèves, ils peuvent pas les emporter avec eux ? Ils utilisent quoi comme moyen de transport pour pas pouvoir embarquer leurs bagages ?
Et là je lis la fin et je comprends qu’ils y vont en en balai (du moins côté Thalion) et je ne peux m’empêcher de me questionner : est-ce vraiment une bonne idée de laisser les élèves se débrouiller pour venir à l’Académie ainsi depuis chez eux ? Si l’école est à côté passe encore, mais de ce que tu en dis les rokh s’en vont chercher les bagages de tous les élèves (enfin d’après ce que j’ai compris) donc aussi les plus éloigner. Et quant est-il des plus petits ? Les parents ont-ils le droit d’accompagner leurs enfants ? Si c’est le cas, ont-ils d’autres moyens de transport à leur disposition ? Et dans ce cas, pourquoi confier les bagages des élèves aux rokh ?
« Comme le sorcier… » - > le « comme » est superflu dans ta phrase, si tu dis simplement « Le sorcier essayait toujours de réduire au maximum ses sorties en ville donc il ne se rendait pas souvent au salon de coiffure. » ça va parfaitement.
Y a pas à dire, j’adore l’humour de Thalion, le coup de son « petit cœur d’adolescent pubère » m’a bien fait rire X’D et la réponse de Berry ! Leurs interactions sont un vrai bonheur à lire !
« Un jour ils comprendront qu’ils ont eu tort d’agir ainsi… » - > mouais enfin j’ai comme un doute. Puis cette phrase sonne assez comme un avertissement pour la suite des évènements, y aura-t-il une menace que seul le corbeau peut combattre ? Je me demande si Thalion se transformera en héro cliché qui veut sauver tout le monde où s’il se montrera un peu rancunier à jouer les anti-héros jusqu’à ce qu’il n’ait plus le choix d’intervenir pour sauver ses proches ? Il a trop de caractère pour jouer les élus de la prophétie bien docile qui sauve de bon cœur ceux qui l’ont maltraité, personne de normalement constitué ne ferais ça et Thalion est très loin d’être un saint (saint dans le sens : dévotion sans faille pour les autres envers et contre tout). Ou alors découvrira-t-il quelque chose d’encore plus gros comme la véritable signification de son signe, que le corbeau est loin d’être maudit mais essentiel ? Y aura-t-il un lien avec ses parents et leur décès ? Serait-ce un complot des hautes instances pour garder secret la véritable signification du corbeau ? Les dieux interviendront-ils ? Est-ce que je m’emballe un peu trop alors que je ne suis qu’au tout début ? Ça, c’est certain.
En conclusion, je dirais que c’est un excellent chapitre plein d’humour et de nostalgie. On en apprend un peu plus sur les parents de Thalion ainsi que sur l’école (je parle bien sûr des uniformes, des rokh et du manque de popularité du pauvre petit cœur pubère de notre sorcier (rassure-toi Thalion, être l’élu n’est pas franchement mieux, demande à Harry !)). La relation entre Berry et Thalion est toujours aussi belle ce qui me fait me demander quel lien le conseiller avait avec les parents de Thalion pour l’avoir pris ainsi sous son aile et lui vouer un tel amour. Enfin bref, c’était un chapitre tout doux très agréable avant l’arrivée à l’école et les catastrophes qui attendent Thalion.
Voilà, je crois que c’est tout…
Encore désolée pour le retard et à bientôt ! :)
Ne t’inquiète pas, je comprends totalement que tu n’aies pas eu le temps ou quoi ! En tout cas, je suis contente de recevoir un autre long commentaire de ta part ^^ !
Ceinture accrochée, je suis prête pour la lecture du pavé !
Je pense qu’on est tous ravi de ne pas avoir un réveil comme celui-là xD ! Sinon je prends note de tout ça, mais je vais garder la formulation « volatil de fer ». J’avoue que je l’aime beaucoup aussi. Et pour répondre à ta question, l’inventeur est resté anonyme pour sa sécurité x) comme quoi, même les sorciers inventent aussi des choses aussi inutiles qu’ignobles comme celle-ci !
Je te fais confiance, donc je vais opter pour « pourchasser » ! ça diversifie un peu mon vocabulaire en plus. Au passage je ne connaissais pas cette astuce « vendre-vendu », c’est très utile, merci !
Ah, j’avoue que ta proposition de réponse est marrante ! Après dans ma tête, je voyais mal Berry dire ça pour ne pas faire culpabiliser Thalion, qu’il s’en veuille de lui provoquer autant de stresse. Mais j’y réfléchirai. Ensuite, même si Berry a une place de conseiller, le Conseil est composé de cinq membre donc si une décision doit être prise, c’est à la majorité. Et tu te doutes bien que le conseil est plutôt (très) hostile aux corbeaux. Et puis, bien que cela soit de l’harcèlement, ça reste des rumeurs. Même si le conseil démentit cette légende, ça n’empêchera pas la populace à continuer de la faire circuler. Mais dans le chapitre 5, tu comprendras un peu mieux cette haine bien ancrée à l’égard des corbeaux. En effet, Thalion est loin d’être le premier corbeau de l’histoire, mais je ne veux pas te spoiler alors je vais m’arrêter là :p En tous cas, sache que je partage totalement ta colère alors même que c’est moi qui ait écrite cette histoire :’) C’est clair qu’on aurait tous pété un câble depuis longtemps.
Ah, la conjugaison de cette phrase m’a souvent pris la tête x) Mais après tes explications, je pense que je vais la mettre au passé.
Eh bien, c’est vrai qu’en y réfléchissant, c’est un peu étrange comme formulation, je vais la modifier. Quant au journal, c’est clair qu’il en a vu des choses passées sur lui x) Après tu verras ce qu’il en est par la suite… ;)
Je n’avais pas pensé que le changement serait bizarre dans ce paragraphe, je vais arranger ça en suivant tes conseils. Et non effectivement c’est la maison de Thalion. On m’a fait remarqué après coup que normalement, puisque Berry était son tuteur, il aurait du vivre avec lui… élément que je n’avais pas envisagé x) je pense que dans un des chapitres précédents je vais expliquer brièvement qu’après la mort de ses parents, Thalion n’avait jamais réussi à quitter sa maison ( à 5 ans ont peu piquer de sacré crise ) contraignant Berry à y vivre avec lui. Ça sera peut-être plus logique ?
Oh ! Je ne pensais pas que quelqu’un reconnaitrait ce mythe. Pour info, toutes les créatures mentionnées sont issues d’une légende qui existe vraiment. Je peux comprendre que la comparaison minimise la taille de l’oiseau, je vais en trouver une plus appropriée. Aussi, à la base, les élèves devaient faire léviter derrière eux les valises, mais pour des raisons de simplifications et d’autres plus logiques que tu découvriras par la suite, j’ai estimé que ça serait mieux que les bagages soient séparés des élèves. Tu verras, arriver à l’école n’est pas de tout repos pour un sorcier x) en tout cas, tes interrogations auront pour la plupart (normalement) des réponses dans le prochain chapitre (j’espère que ça sera claire en tout cas x) ).
Je suis contente que tu prennes plaisir à lire leur interaction ! je prends beaucoup de plaisir à les écrire ! ^^
Effectivement, Thalion n’est pas du genre à jouer docilement le héros qui pardonne et sauve le monde x) Mais on en est loin d’être là pour l’instant xD et puis je vais pas tout te spoiler maintenant ahah !
Comme les fois précédentes, j’ai pris note de toutes tes corrections et conseils. Tes commentaires sont toujours très agréables à lire et me font très plaisir, alors merci beaucoup ! J’espère que les prochains chapitres te plairont tout autant !
Aucun souci ne t'en fais pas, encore merci de prendre ce temps-là et à bientôt ! ^^
Ravie de pouvoir t'aider :) et merci pour tes explications, j'ai hâte de découvrir la suite ! (Ainsi que les différentes créatures que tu a disséminé dans ton histoire ! J'adore les mythes et légendes. En passant, les rokh de ton histoire sont-ils vraiment immenses ? Si tu c'est seulement leur apparence qui s'apparente à celle d'un aigle ta description n'est pas mauvaise mais dans ce cas il serait intéressant de préciser que la créature est bien plus grande que ce qu'on connait, tu peux même les comparer à des montagnes si tu les voit aussi grands ou à des avions de ligne, avoir un comparatif pour se rendre compte de la grandeur de l'animal, tu vois ? Tu peux même faire référence au mythe dans une petite description qui tiendrait en une phrase, sauf si Thalion croise ces créatures plus loin dans le récit et dans ce cas il serait plus intéressant de glisser cette phrase à ce moment-là.)
J'en profite pour rebondir sur cette histoire de maison. Plutôt que Thalion qui fait une crise, tu pourrais expliquer que Berry ne voulait pas déraciner le petit des seuls repaires qui lui restent. Après tout il vient de perdre ses parents ce qui est déjà une épreuve, surtout à un âge si jeune, puis il y a le coup du corbeau... dans une situation pareille, il est préférable de choisir un environnement dans lequel l’enfant se sent en sureté, un concon dans lequel il pourrait s'épanouir au mieux. Je vois bien Berry y réfléchir longuement avant de se décider à garder la maison de Thalion pour lui permettre d'y vivre. Ça soulignerait à la fois la sagesse du personnage et l'attention et la tendresse qu'il éprouve pour Thalion, sans compter que ce serait plus logique.
Au plaisir de te revoir ! ^^
La relation entre Thalion et Berry est assez touchante... j'aime leur façon de s'exprimer de manière décomplexée, mais aussi la vulgarité de Thalion (parfois, les adolescents ont tendance à parler de façon hyper édulcorée dans les romans, notamment la fantasy ado).
Juste une petite remarque : tu as noté les chiffres en chiffres (15 minutes...). J'ai plutôt l'habitude de les voir notés en toutes lettres...
Hâte de voir comment va se débrouiller Thalion par la suite ^^
Mon univers se dévoile souvent par petite touche, surtout durant les premiers chapitres ^^^
Je voulais absolument que Thalion entretienne une relation complice et de confiance avec sa seule famille. Et puis pour la vulgarité, c'est pour donner une touche de réalisme. Thalion est un ado de 15 après tout x)
Effectivement généralement on écrit les chiffres en lettre, je vais corriger ça !
Merci beaucoup pour ton commentaire ! J'espère que la suite de plaira ^^
L’attaque du réveiltoiseau m’a bien fait rire, sans oublier la tranquillité de Berry face à tout ça ^^
Je ne sais pas pourquoi, mais je n’imaginais pas Berry comme un vieil homme
Je suis presque triste que Thalion parte pour l'école, j'aimais beaucoup leur relation :)
À part quelques fautes je n’ai rien à ajouter si ce n’est que j’ai hâte de lire la suite!
Me revoilou.
J'adoooore l'oiseau-réveil qui vous attaque si on ne se lève pas assez vite.
Je n'arrive pas a bien analyser qui est Berry par rapport à Thalion, visiblement tout le monde vit chez Thalion... Pourquoi? et qu'est-il arrivé aux parents de Thalion? (oui, je sais, on saura plus tard. XD)
L'écriture est toujours aussi fluide et ça se lit tout seul, même si je trouve que la fin ralenti un peu de rythme.
Hâte de lire la suite.
Pour le fun : https://cdn.midjourney.com/6de926e8-1430-4921-9117-0a2b83ac52de/0_0.png
J'avoue beaucoup apprécié aussi ce passage avec l'oiseau-réveil, surtout que je l'ai complètement improvisé au moment ou j'écrivais xD Concernant les parents de Thalion, ils sont morts x) c'est normalement indiqué dans le prologue avec les personnages qui prennent la parole mais tu n'es pas la première à ne pas l'avoir compris, je pense que je ne l'ai pas assez clairement exprimer x) Berry est donc le tuteur de Thalion, légalement c'est celui qui s'occupe de lui, même s'ils vivent ensemble dans la maison de Thalion ( peut-être que c'est bizarre ? ). Après pour ce qui est arrivé aux parents...l'explication arrivera plus tard effectivement ;)
J'ai essayé de laisser un peu de place à l'émotion à la fin donc c'est vrai que ça ralenti un peu.
Merci beaucoup !
ps : j'adoore l'image elle est incroyable !! Si j'aurais du imaginer ce réveil je dirai qu'il ressemblerait à ça !!
Concernant les parents, j'avais compris qu'il étaient morts, ce que je voulais dire c'est que je me demandais bien pourquoi et comment ils étaient morts.
Sinon, c'est quand même rare que le tuteur s'installe chez son pupille, c'est généralement le contraire. Mais après c'est une histoire et l'auteur est libre de faire ce que bon lui semble.
Pour le réveil, Midjourney était bien lunatique (on parle d'Intelligence Artificielle... perso j'appelle ça Idiotie artificielle XD) il a fallu que je lui montre à quoi ressemblait un oiseau et une pendule -_-... hier il savait pas ce qu'était une pieuvre...
J'ai d'autres versions du réveil-oiseau si tu veux, mais elle font plus steampunk (l'IA a du mal avec la notion de " oiseau en métal"). XD
Mince, je n'avais pas pensé à ça :/ on va dire que Thalion refusais de quitter son domicile quand il était enfant x)
Et dire qu'on craint les IA xD Au moins tu lui as appris des choses x)
Le concept "d'oiseau en métal" doit être trop irrationnel pour lui xD En tout cas la version que tu m'as envoyé était géniale !
Bon, je m'égare.
Mais je demande bien ce qui a pu arriver à ses parents... Ils ne veulent simplement plus de lui ? Ou bien j'ai mal lu quelque chose...
Normalement dans le prologue, les commentaires des adultes qui le regardent indiquent qu'ils sont morts, mais peut-être que ce n'est pas très claire ? :/
La relation de Thalion avec son tuteur est bienveillante, son tuteut est pour l'instant son seul allié dans la vie.
super l'idée du réveil oiseau je comprends son agacement
impatiente de savoir comment va se passer sa rentrée...
Merci ! L'idée du réveil oiseau est une idée complètement improvisée en plus.