Alexander se figea. L’odeur de sa magie te colle à la peau. La magie d’Altaïs ? La dague s’enfonça dans sa cape en laine, lui arrachant une grimace.
— Suis-moi.
Il fut contraint d’obéir sans avoir la moindre idée de l’identité de celui qui le menaçait. Ils s’engouffrèrent dans la première pièce qu’ils trouvèrent sur leur chemin. Un petit salon désert – un parmi tant d’autres – qui abritait deux fauteuils au revêtement de velours rouge, une table basse en bois de pin, une écritoire et une large cheminée. Une épaisse fourrure couvrait les dalles lisses, usées par le temps.
— Cela fera l’affaire. Assieds-toi.
Il s’exécuta. Enfin, son interlocuteur le contourna et s’installa dans le fauteuil face à lui. Alexander tressaillit ; des prunelles gris anthracite le jaugeaient avec amusement, de la moquerie presque. Il reconnut sans peine le jeune homme aux courts cheveux bruns, et son regard s’attarda un instant sur la tunique en lin brodée de fils d’or, ornement dévolu à la royauté.
Soren.
L’un des princes d’Issheimr. Le cousin d’Altaïs.
L’avait-il reconnu ?
— Pour un Protecteur, avec un lourd secret de surcroît, tu es bien peu sur tes gardes.
— Que voulez-vous ? souffla Alexander.
— Alors… Comme ça, tu as retrouvé Altaïs ? Ce que l’armée échoue à faire depuis deux ans ?
La respiration d’Alexander se coinça dans sa gorge.
— Comment…
— J’ai grandi avec lui. Je perçois très facilement sa magie, je l’ai sentie sur toi dès que tu t’es approché du palais. Comme à l’époque où tu le suivais partout.
Alexander plissa les yeux, le cœur battant à tout rompre. S’il percevait si facilement la magie de son cousin, pourquoi Soren n’avait-il pas retrouvé la trace d’Altaïs plus tôt ? Pour la même raison que toi, murmura une petite voix dans son esprit. Parce qu’elle avait disparu. Qu’en était-il maintenant ? Altaïs était-il trop éloigné pour que son cousin puisse repérer l’endroit exact où il se cachait ?
— La famille royale sait qu’Altaïs est de retour. Je ne vous donne pas plus de quelques heures avant que le secret ne fuite et se répande dans les rues de la ville.
Soren entrelaça ses doigts pour venir y appuyer son menton, les coudes posés sur les accoudoirs de son fauteuil.
— Tu dois te demander pourquoi tu es ici et non dans un cachot, j’imagine…
Il laissa un silence s’étirer entre eux, puis reprit d’un ton tranquille :
— Je ne tiens pas particulièrement à ce que notre famille mette la main sur Altaïs. Qu’il soit coupable ou non, j’ai mes raisons de vouloir lui épargner une exécution.
Alexander écarquilla les yeux.
— Pourquoi…
— En revanche, le coupa Soren, je suis étonné que tu le protèges. Tu dois être bien inconscient pour aider quelqu’un accusé du meurtre d’un roi. Quoique…
Un rictus étira ses lèvres.
— C’est vrai qu’à l’époque du régicide, tu avais cherché à le défendre. C’est ce qui t’avait valu d’être évincé, n’est-ce pas ?
— Rien ne vous assure que je l’aide, répliqua Alexander.
Soren ne lui disait rien qui vaille ; malgré ce qu’il affirmait, pourquoi épaulerait-il Altaïs ? Pourquoi ne piègerait-il pas Alexander pour qu’il le mène à son cousin ?
— Les fragments de sa magie sur ton corps parlent. Tu l’as soigné.
Alexander se figea. Était-ce la magie de Soren qui lui permettrait d’arriver à cette conclusion, non content d’avoir décelé celle d’Altaïs sur lui ?
Ressaisis-toi.
Soren ne savait pas quelle relation s’était tissée entre le prince et son Protecteur ni quels souvenirs abritait la mémoire d’Alexander. Il ne pouvait pas non plus deviner l’état dans lequel celui-ci avait retrouvé Altaïs. Il n’avait pas vu la douleur le terrasser au moment où le jeune homme avait tenté de contourner le sceau qui pesait sur son esprit, n’avait pas constaté l’ampleur des dégâts que son corps avait subis. Soren ignorait tout, mais à cet instant, il tenait l’avenir d’Altaïs entre ses mains.
— Il était emprisonné, murmura Alexander. À l’insu de tous.
Pour la première fois, le masque de Soren se fissura pour laisser transparaître sa stupeur, puis une expression peinée adoucit son visage. Un semblant de vérité flotta entre eux.
Altaïs est innocent. innocent. innocent.
— Serais-tu prêt à tout abandonner pour le protéger ?
Un rire ironique mourut dans la gorge d’Alexander. Il aurait tout abandonné deux ans auparavant si l’armée n’avait pas agité sous son nez la perspective d’une pendaison. Une petite voix cynique lui chuchota pourtant que rien ne l’y obligeait, que dénoncer Altaïs l’assurerait de revenir dans les bonnes grâces de l’armée, d’obtenir une position plus confortable qu’il n’en avait jamais eue.
À condition de rester soumis à la royauté.
Et cela, il ne l’accepterait jamais ; même s’il n’avait pas retrouvé Altaïs, il aurait fini par craquer et s’enfuir.
— Je le ferai.
— Vous devez quitter la ville. Ici, vous ne tiendrez pas deux jours avant que l’armée ne vous mette la main dessus. Et si Altaïs songeait à dissimuler sa magie, votre espérance de vie augmenterait considérablement.
Soren traversa la pièce jusqu’à l’écritoire pour récupérer un parchemin. Il trempa élégamment une plume dans l’encre pour tracer quelques lignes. Il attendit quelques instants que les arabesques noires sèchent avant de revenir vers lui et de lui tendre la feuille. Alexander s’en empara avec hésitation.
— Rendez-vous à cet endroit.
Alexander pressa le parchemin dans sa paume sans le regarder. Pouvait-il se fier à Soren ? Un sourire moqueur tordit les lèvres du jeune homme, comme s’il était incapable de révéler sa véritable personnalité plus d’une fraction de seconde, oscillant constamment entre sérieux et légèreté. Et s’il s’agissait d’un piège ? Alexander se raisonna en songeant que s’il percevait la magie d’Altaïs, Soren n’avait pas besoin de ce stratagème pour le retrouver.
— Dans ce cas, je vous retrouverai sur place pour discuter des détails.
Il transperça Alexander de son regard gris.
— Ne t’avise pas de me faire défaut. Et ne t’avise pas de le piéger.
Alexander ne trouva rien à répondre, conscient de ne pas avoir le choix. S’il ne lui obéissait pas, Soren n’aurait qu’un mot à dire pour les dénoncer, Altaïs et lui. L’air satisfait de l’issue de la conversation, Soren se leva en faisant mine de lisser des plis sur sa tunique. Il interrompit pourtant son geste un instant.
— Comment va-t-il ?
Alexander l’observa quelques secondes avant de répondre, troublé par la tristesse qu’il percevait dans sa voix.
— Il était grièvement blessé.
Soren acquiesça lentement.
— Veille sur lui, Protecteur.
Il n’attendit pas de réponse pour sortir de la pièce. La porte se referma derrière lui sans un bruit, et Alexander relâcha brusquement l’air emprisonné dans ses poumons. Il n’avait pas eu conscience de retenir ses tremblements tout au long de la conversation.
◊
Alexander traversa le corridor d’un pas trop pressé pour être naturel. Il avait besoin de quitter ce palais. De s’assurer qu’Altaïs était en sécurité.
Soren savait.
Garderait-il réellement le secret ? Ou trahirait-il son cousin, malgré sa sincérité apparente ?
Alexander avait toujours eu du mal à mettre des mots sur la relation qui les unissait, mais Altaïs et Soren avaient grandi ensemble. Ils n’avaient jamais connu leur mère, et le père d’Altaïs avait disparu quelques années après sa naissance. Un suicide, murmurait-on. C’était alors son oncle, le père de Soren, qui s’était chargé de son éducation. Était-ce pour cela que Soren souhaitait aider Altaïs, malgré les accusations qui pesaient sur lui ? Alexander doutait pourtant de ses intentions.
Soren savait-il autre chose ? Quelque chose qu’il n’aurait pas confié à un parfait inconnu ? Pensait-il que l’ombre d’un complot planait au-dessus de la famille royale ? Cherchait-il à placer ses propres pions ?
Alexander fouilla sa mémoire à la recherche du moindre indice. Le roi défunt, Thorvald, avait deux frères. Elaran, l’aîné et le père de Soren, était un bâtard qui avait été écarté de la succession dès sa naissance. Altaïs était pour sa part le fils du dernier-né de la fratrie, Eigil. Thorvald lui-même avait eu deux enfants : Harald, qui était monté sur le trône après sa mort, et Aalis, sa sœur cadette. Harald était celui qui avait le plus à gagner en faisant tuer son père et accuser son cousin. Mais l’attrait du pouvoir avait-il été une motivation suffisante ?
Alexander s’engagea dans la vaste cour du palais. Des tranchées creusées sur les côtés abritaient des rigoles dans lesquelles l’eau avait dégelé jusqu’à la nuit prochaine. Des plantes qui n’avaient pas encore fleuri grimpaient le long des colonnes longeant la cour où flottait une odeur de pierre humide. Le givre s’était évaporé sous la lumière pâle du soleil, et la nature ne tarderait pas à renaître ; dans quelques semaines tout au plus, des fleurs perceraient la terre entre les pavés. Çà et là, des charrettes en bois attendaient qu’on vienne les remplir ou les décharger. Plusieurs soldats s’entraînaient bruyamment, épées et boucliers en main, des domestiques effectuaient les tâches qui leur étaient attribuées.
Personne ne lui prêtait attention. La tension dans ses épaules se relâcha légèrement.
— Alex !
Il fit volte-face. Un jeune homme accourait dans sa direction. Les rayons du soleil illuminaient ses cheveux châtains, et ses yeux noisette pétillèrent lorsque leurs regards se croisèrent.
Nils.
Il portait une cuirasse brune, sur laquelle s’entrelaçaient quelques veinures dorées. La cuirasse des soldats d’élite de la Haute-Garde. Celle qu’Alexander s’abstenait régulièrement de revêtir, pour des raisons de confort surtout, à moins que ce ne soit par provocation.
— J’ai entendu dire que tu avais eu quelques jours de permission, sourit Nils.
Alexander acquiesça, incapable de prononcer la moindre parole. Sa permission touchait à sa fin, mais il s’était fait discret depuis son retour pour explorer la capitale en toute tranquillité. Nils le démasquerait sans peine dès qu’il ouvrirait la bouche, il le connaissait mieux que quiconque : ils avaient passé des années à subir l’entraînement de la Haute-Garde ensemble, s’étaient soutenus l’un et l’autre. Il l’avait vu s’éteindre peu à peu au cours des deux dernières années, au fur et à mesure que les échecs pour retrouver Altaïs s’accumulaient, même si Alexander ne lui en avait jamais rien dit. Verrait-il le soulagement qui le réchauffait depuis qu’il avait ramené Altaïs chez lui ? Ces deux années d’incompréhension, de doutes, de détresse qui prenaient fin ?
— Tout va bien ? Tu as l’air ailleurs…
Une lueur inquiète assombrit soudain son regard.
— Tu fais des crises ces derniers temps ?
Alexander se raidit. Il faisait des crises depuis son plus jeune âge, des instants où il avait l’impression de ne plus pouvoir respirer, où sa peau gelait, où il se croyait sur le point de mourir. À l’époque où il s’entraînait aux côtés de Nils, celui-ci l’avait aidé chaque fois qu’il avait pu et elles s’étaient peu à peu espacées. Après le régicide, les crises d’Alexander avaient empiré alors qu’il sombrait d’impuissance. Il avait gardé cela pour lui, pour ne pas inquiéter Nils, parce qu’il ne pouvait pas lui expliquer les raisons de son mal-être, et parce que ses missions à l’autre bout du royaume l’avaient isolé.
— Ma dernière mission s’est éternisée. Je suis simplement fatigué.
Nils le jaugea du regard pendant une poignée de secondes, trop longtemps pour qu’Alexander puisse croire que son mensonge avait fonctionné.
— Prends soin de toi, Alex.
Une vague de nostalgie lui étreignit le cœur. Leurs affectations dans les différents corps de la Haute-Garde les avaient inexorablement éloignés. Alexander était un Protecteur, Nils un Épéiste. Fut un temps, ils guettaient la moindre occasion de se retrouver ; quelques heures ensemble pour se raconter ce qu’ils avaient vécu en l’absence de l’autre, partager une écuelle de ragoût ou échanger quelques passes d’armes.
Comment réagirait Nils en apprenant qu’il s’apprêtait à trahir la royauté et déserter la Haute-Garde ? Ferait-il partie de ceux qui se lanceraient à leur poursuite ?
— Je suis attendu, annonça Nils. Mais tu sais que je suis là, n’est-ce pas ? Si tu as le moindre problème…
Alexander acquiesça, le salua avec un sourire qu’il espérait convaincant, puis il tourna les talons en lui adressant un geste de la main. Nils avait toutes les raisons de s’inquiéter.
◊
Le soleil poursuivait sa courbe descendante au-dessus des rues pavées de la capitale, toujours aussi animées en ce début de soirée. Les commerces aux devantures colorées et les petits marchands ambulants vendaient leurs derniers produits, bradant souvent leurs prix pour attirer les passants. Le bruit emplissait l’espace après les mois de silence provoqués par l’hiver, et ce n’était rien comparé aux festivités qui fleuriraient bientôt dans le royaume pour célébrer le retour du printemps et la transformation de la Magie qui délaisserait son apparence hivernale.
À contre-courant de cette ambiance paisible, Alexander avançait d’un pas vif. Ils devaient partir rapidement, Altaïs et lui, s’ils ne voulaient pas finir dans les geôles du palais. Ou au bout d’une corde. Ils devaient partir, et Alexander ne pouvait s’empêcher d’éprouver une certaine appréhension, conscient que l’armée les traquerait, et qu’elle ne serait peut-être pas la seule à leurs trousses.
Sa magie picota sa peau.
Il esquiva un passant en se frottant le bras pour faire disparaître la sensation, mais cette dernière persista, semblable à celle qu’il avait ressentie la nuit précédente juste avant de secourir Altaïs. Depuis le jour où Alexander était devenu son Protecteur, il avait perçu un lien se tisser entre leurs magies, jusqu’à la disparition du prince. Cette nuit-là, Alexander avait senti la magie d’Altaïs disparaître, évaporée, volatilisée. Au cours de ces deux dernières années, il avait parfois eu l’impression de la discerner, lorsqu’il revenait dans la capitale essentiellement, ce qui l’avait poussé à concentrer ses recherches sur Issarta, mais ce n’était jamais que de brefs fragments, bien différents de l’éclat luminescent qui s’était logé dans sa poitrine depuis qu’il l’avait retrouvé.
— Regardez mes belles pommes ! En provenance du sud du royaume !
Alexander s’arrêta auprès d’un marchand ambulant et se décida pour quelques pommes, deux poignées de noix et des lamelles de viande séchée, qui devraient se conserver pendant quelque temps. Il sortit une couronne de sa bourse pour payer, hermétique aux propositions insistantes du marchand pour qu’il prenne autre chose.
Il commençait à s’éloigner lorsqu’un frisson remonta le long de sa nuque. Il se retourna brusquement, observa les alentours, mais il ne vit que les passants qui poursuivaient leurs activités sans se soucier de lui. Sa main glissa vers le poignard qu’il dissimulait sous sa cape.
Arrête.
La situation le rendait excessivement méfiant. Il ne pouvait pas dégainer au milieu de la foule en raison d’un simple malaise. Une clameur le tira soudain hors de ses pensées. À quelques dizaines de pas, la rue était bloquée par plusieurs charrettes dont les roues ne formaient plus qu’un amas de branches brisées. Beaucoup tentaient de forcer le passage, mais ils étaient trop nombreux et soulevaient dans leur sillage une vague d’agacement. Alexander plissa les yeux ; faire un détour rallongerait considérablement son trajet, mais il ne pouvait pas attendre. Il repoussa quelques personnes qui essayaient tout de même de se frayer un chemin dans l’espoir de passer… percuta un enfant dont le panier de pommes se déversa sur le sol. Un juron lui échappa.
— ’xcusez-moi ! lança le gamin.
Alexander répondit du bout des lèvres et se baissa précipitamment pour ramasser les fruits. Certains d’entre eux avaient explosé en heurtant le sol. L’enfant jeta un coup d’œil nerveux autour de lui, puis son regard se posa de nouveau sur Alexander, dériva vers la broche qui maintenait sa cape en laine en place. Ses yeux s’écarquillèrent sous le bonnet en lin qui couvrait ses cheveux.
— Oh, z’êtes de la Haute-Garde !
Alexander retint un sifflement de dépit. Il avait oublié d’ôter la broche en quittant le palais, lui qui souhaitait pourtant passer inaperçu. Il détacha l’objet et le fourra dans la poche de sa cape, puis fit un pas sur le côté pour contourner l’enfant. Celui-ci suivit son mouvement. Son épaule cogna un passant, et son bonnet glissa, révélant une masse de longs cheveux sales. Une pointe de tristesse piqua la poitrine d’Alexander lorsqu’il comprit qu’il s’agissait d’une fillette, contrairement à ce qu’il avait cru de prime abord. Combien en avait-il vu se cacher en arpentant les rues, plus jeune, parce qu’il était infiniment plus facile d’être un garçon ?
La culpabilité tordit soudain les traits de la fillette.
Un nouveau frisson parcourut Alexander de la tête aux pieds. Quelque chose clochait… Il força le passage, repoussant l’enfant sur le côté sans lui faire mal. Au même instant, il perçut une présence dans son dos.
Son cœur tressauta dans sa poitrine.
Protège-toi.
Il se retourna avec vivacité. La lame d’un couteau s’écrasa contre la surface diamantée du bouclier qu’il forma, arrachant un grognement à l’homme qui l’avait attaqué. La magie d’Alexander enfla autour de lui, des cris retentirent. La surprise de son assaillant lui offrit une brève ouverture dans laquelle il s’engouffra sans hésiter ; la matière constituant son bouclier se tordit jusqu’à envelopper son poing qui percuta la trachée de l’homme. Celui-ci s’écroula en tentant d’aspirer de grandes goulées d’air frais.
Alexander s’élança à travers la rue en courant. Du coin de l’œil, il aperçut la fillette prendre la fuite. L’agression ne pouvait pas être une coïncidence ; on avait voulu lui faire perdre du temps, s’assurer qu’il avait l’esprit occupé.
Et pendant ce temps,
Altaïs restait seul.
J'ai beaucoup aimé le début de ton histoire. Je trouve que tu maîtrises bien le suspense, et j'ai tout particulièrement apprécié le personnage d'Altaïs. Il a un côté mystérieux et affirmé qui le rende assez unique. Sa relation avec Alexander éveille évidemment la curiosité, on sent une histoire intime entre eux.
Du coté d'Alexander justement, j'aime son côté intègre, du côté de la vérité plus qu'autre chose, et j'aime qu'il agisse contre ses appréhensions pour protéger celui qu'il a juré de protégé.
Sinon, j'ai peur que l'extrait choisi pour la catégorie ait un petit peu spoilé l'histoire, mais je suis dans le même cas héhé. Ça ne m'empêchera pas de continuer à lire pour autant, donc à bientôt !
J’aime bien les passages où tu vas à la ligne pour n’écrire qu’une phrase (voir un mot). Ça rythme hyper bien la lecture.
On découvre un nouveau personnage, quant à savoir s’il est allié ou ennemi, la suite le dira.
Alexander, le héros malgré lui, comme tout bon héros qui se respecte. Intéressant comment tu modèles ce personnage.
On découvre un peu de son passé, de ses faiblesses aussi. J’aime bien les personnages pas trop lisses et pas trop prévisibles.
Propositions de correction :
« De petites tranchées creusées sur les côtés abritaient des rigoles qui avaient enfin dégelé. Des plantes qui n’avaient pas encore fleuri grimpaient le long des colonnes de pierre qui longeaient la vaste cour »
→ La succession de « qui » m’a choquée ici. Peut-être pourrais-tu réécrire ce passage pour éviter cette lourdeur.
→ Sur ce paragraphe de manière général : j’aime bien le fait que tu décrives la saison. Peut-être peux-tu rajouter quelque chose sur l’odeur, la pression, la température, l’humidité, le bruit (on pense souvent à la vue mais on oublie les autres sens).
on avait voulu lui faire du temps, s’assurer qu’il avait l’esprit occupé.
→ lui faire « perdre » du temps
Personnage très mystérieux que Soren haha. Quant à Alexander, il a effectivement un côté "héros malgré lui", mais je voulais également qu'on perçoive bien le fait que ce sont également ses propres décisions !
Merci pour les coquilles :)
Idem pour Nils. Le peu qu'on sait sur son relationnel avec Alex est suffisant pour comprendre qu'ils ont une base amicale plutot très solide, malgré les séparations forcées.
Allez, maintenant on go chercher Altaïs è_é !
Mais contente que tu aies apprécié la rencontre, ainsi que celle avec Nils ! Ils ont effectivement une amitié très forte avec Alexander !
Alors encore une fois, excellent chapitre, et deux nouveaux personnages potentiellement dangereux, c'est intriguant !
Par contre, deux petits points qui me font tiquer:
- pour quelqu'un qui a manifestement une formation militaire, Alexander ne m'a pas l'air très tactique... il se demande vite fait ce que veut Soren, s'il peut vraiment être gentil, mais je trouve ça un peu dommage qu'il ne se fasse pas une sorte de vraie réflexion structurée, ne serait-ce pour décider si oui ou non il peut rentrer chez lui direct sans risque d'être simplement suivi...
- J'apprécie que l'histoire démarre avec deux personnages masculins, à priori surtout du point de vue d'un allié du prince, et pas du prince lui-même, mais tu passes ici le 3e chapitre et on n'a vu absolument aucune femme. Loin de moi l'idée d'en mettre partout, tu as certainement réfléchi à la place qu'elles occupent dans ton univers, et ça me va très bien, mais aucune servante dans le palais, aucune femme dans les rues ? ça m'interpelle
Alors en ce qui concerne Alexander, il veut rentrer au plus vite parce qu'il est justement inquiet à l'idée d'avoir laissé Altaïs seul, s'il fait un détour ou essaie de voir s'il est suivi, il perd du temps donc c'est un choix qu'il fait :)
Sur le deuxième point, tout d'abord, nous avons vu peu de personnages, et je ne trouve pas forcément pertinent de mettre des "PNJ" féminins dans le texte juste histoire de dire "regardez il y a des femmes". Dans la rue par exemple je parle d'ailleurs plus souvent de "foule" que d'hommes, donc cela inclut tout le monde. Ensuite, il s'agit d'un univers sexiste donc les femmes sont exclues de nombreux rôles, ce qui est d'autant plus accentué par le fait qu'Alexander était dans l'armée où il n'y a pas de femme. Il y a de fait un déséquilibre avec davantage de personnages masculins que féminins, mais cela ne signifie pas que ces dernières ne sont pas présentes dans le roman (surtout que nous sommes encore dans "l'introduction") et qu'elles n'auront pas leur rôle à jouer, y compris pour dénoncer le sexisme ambiant justement :) J'espère que cela a répondu à ta remarque :)
Mais tes personnages croisent régulièrement des "PNJ" masculins, donc ils pourraient aussi en croiser des féminins ^^ Le jeune qui manifestement a été payé pour lui faire perdre du temps pourrait être unE jeune sans que (à mon humble avis) dénaturer ton oeuvre.
Après tout ceci reste bien entendu mon ressenti, je suis pas en train de chercher à te faire changer d'avis à tout prix, et cela ne m'empêchera pas de continuer à te lire :)
J'attends de voir tes personnages féminins avec hâte :)
"Leur affection dans les différents corps de la Haute-Garde les avait inexorablement éloignés."
*leur affectation.
"on avait voulu lui faire du temps, s’assurer qu’il avait l’esprit occupé."
*on avait voulu li faire perdre du temps.
Bon, on ne sait pas trop pourquoi Soren veut aider Altaïr. Une relation fraternel ? Il savait que son cousin était battu et n'aurait a priori pas pu faire ça ? C'est lui qui l'a aidé à s'enfuir lors de sa fugue ? Ou alors, c'est pour être sûr qu'Altaïr réapparaisse pas et parle pas de choses qu'il faut mieux taire ? Tu me diras, c'est plus simple de le tuer dans ce cas-là, mais je suppose qu'il y a une raison pour laquelle on l'a gardé en vie, même si très maltraité. Hum... Toujours beaucoup trop de questionnements ='D Mais oui, sans plus d'infos de la part de Soren, dur de lui faire confiance, même si bon, vu la situation, pas trop le choix non plus.
Petite réflexion que j'ai eu en lisant, "la sensation, mais cette dernière persista, semblable à celle qu’il avait ressentie la nuit précédente juste avant de secourir Altaïs." son instinct magique le prévient quand Altaïs est dans la merde ? =o
Bon, ce Nils, je sais pas trop si je lui fais confiance ou pas. Il a l'air sympa, très cool, il a bien vu qu'Alex mentait mais sans trop insister, mais voilà, trop sympa pour être honnête. Et puis, tout le monde abandonne pas tout pour suivre un officiel régicide sur sa bonne parole ='D On verra bien ^^
Bon, pour la fin, Soren avait pas tort, Altaïs allait être retrouvé très vite ^^" Sa fuite est pas passé inaperçu, et je suppose que sa magie doit vraiment se sentir de loin pour le coup. Il va espérer qu'il soit pas trop tard et qu'il soit pas trop amoché hein, le pauvre petit ^^" Il a déjà assez morflé.
Jamais haha (il faut maintenir les lecteurs sur les chapeaux de roue) :p
Disons que la distance à laquelle on peut sentir la magie de quelqu’un dépend de sa puissance, mais pour sentir d’où elle vient avec précision ou localiser des sources plus diffuses, il faut avoir certaines affinités avec la personne, or Soren a grandi avec Altaïs donc ce n’est pas un hasard qu’il ait décelé la présence d’Alexander dans le palais avec des traces de la magie d’Altaïs ;) (Mais Alex ne pouvait pas le savoir)
Évidemment, Soren a ses raisons de vouloir aider Altaïs, ou de faire mine de l’aider en tout cas, donc tu peux garder tes questionnements pour plus tard :p Les réponses viendront (un jour, peut-être) ^^ Mais comme tu le dis, Alex n’a pas trop le choix non plus x)
Pour « l’instinct magique » d’Alex, en tout cas pour l’instant il a l’air de fonctionner quand Altaïs est en danger :p À moins que ce soit une coïncidence ? ^^
Haha, j’adore parce qu’à chaque nouveau personnage personne ne sait si on peut lui faire confiance ou non xD Cela dit tu as raison en disant que tout le monde ne plaque pas tout pour aider un régicide x)
Merci pour ton retour :D
Quelques remarques, si je puis me permettre :
- je trouve qu'Alexander accepte bien vivre de "donner sa vie" pour quelqu'un qu'il vient de rencontrer. Même si je comprends que ça fait partie de sa personnalité, que sa dévotion à sa cause de Protecteur est grande, je n'y ai pas tout à fait cru. Je pense que ce serait plus pertinent de lui demander s'il serait prêt à tout quitter pour Altaïs. Mais ce n'est que mon avis, bien entendu :)
- j'ai dû relire la partie "arbre généalogique" (désolée, je ne sais pas comment appeler ça autrement) de la famille royale. J'étais perdue parce qu'il y a plein de noms d'un coup, je pense. Je me suis demandée comment tu pouvais résoudra ça facilement et une idée m'est venue : pourquoi ne pas faire comme au Moyen Age, en leur donnant des "petits nom" comme Philippe le Juste ou Berthe aux grands pieds ? Au moins, on repère direct !
- ce passage : "Alexander prenait son temps pour rentrer, savourant le moment de calme et de mélancolie avant la tempête. Ils devaient partir rapidement" m'a fait tiquer. J'étais en mode : "Mais pourquoi tu prends ton temps coco ! Chaque minute compte ! T'es prêt à mourir pour lui, mais pas à courir, c'est ça ?!?". Mais c'est sans doute parce que je suis beaucoup trop investie XD
(Il se rattrape certes après, mais j'ai malgré tout trouvé étrange qu'il prenne son temps).
Sinon, ça va être dur de résister à la tentation de lire la suite dès ce soir !
Je vois ce que tu veux dire sur le fait qu'Alexander accepte bien vite de "donner sa vie", mais en même temps c'est effectivement ce qu'il risque s'il est surpris en train d'aider un régicide ^^ Mais je vais essayer d'atténuer un peu la phrase pour moins donner cette impression !
Je ne suis pas étonnée pour l'arbre généalogique ! Je ne m'attendais pas que les lecteurices retiennent tout dans ce chapitre ! Je l'ai plus posé comme base pour qu'on puisse avoir une idée de comment elle se compose, sachant que des rappels seront évidemment faits lorsque ce sera nécessaire. Pour les petits noms, j'avoue je ne suis pas très fan, surtout que très peu des cités règnent donc il n'y a pas de raison qu'ils aient un surnom ^^
Hahaha, oups xD Ça prête effectivement à confusion, mais je ne considérais pas non plus qu'il faisait une longue balade en ville pour rentrer chez lui xD Disons juste qu'il ne court pas, mais je vais modifier la phrase !
Merci pour tes remarques ;) À bientôt !
Entre Soren, qui réagit de façon tout à fait inattendue (je ne pensais pas que quiconque au château puisse être du côté de Altaïs) et qui prévoit un rendez-vous assez suspect; Nils qui semblerait bien avoir eu une relation plus ambigüe avec Alexander que tu ne veux bien le laisser paraître; et l'attaque sur Alexander et la probable disparition d'Altaïs... que de rebondissements!
J'aime bien le fait d'être surprise, et de ne pas lire ce à quoi je m'attends (notamment vis-à-vis de Soren).
Hâte de lire la suite!
Haha, Soren ce grand mystère x) Mais oui tu as raison, c'est surprenant qu'il puisse être du côté d'Altaïs, d'autant plus qu'il ne s'étale pas vraiment sur ses raisons ^^ Et pour Nils, on en apprendra plus sur la relation qui le lie à Alexander au fil de l'histoire ;)
Je suis ravie que l'histoire te plaise ! Merci pour ton commentaire !
Mais quel bazar tout ça :o
Pauvre Altaïs, a peine sauvé que déjà il est débusqué et rattrapé ^^' (je crois en Alex, il va lui sauver les miches encore... hein ?)
Je suis vraiment fan de leur magie, le côte "laisse une trace", qu'ils puissent l'utiliser de plusieurs manières... j'ai hâte d'en lire plus ^.^
Je ne fais pas confiance au cousin par contre, et j'aime pas Nils non plus (ils sont un danger, donc dans le doute, j'les aime pas :p)
Je suis curieuse d'en savoir plus sur les différents corps d'armée :)
La généalogie de la famille royale m'a un peu perdu par contre ^^'
Pas de repos pour les braves qu'ils disaient x) Altaïs et Alex ont encore du pain sur la planche avant de pouvoir souffler (la miche de pain, toussa toussa).
Chouette que le système de magie te plaise ! À l'origine j'avais du mal à le conceptualiser, maintenant j'ai rajouté des explications donc c'est plus structuré !
Haha, les réactions au sujet de Soren sont grosso modo les mêmes, on ne sait pas trop ce qu'il veut donc mieux vaut se méfier xD Pauvre Nils par contre, il s'inquiétait sincèrement pour Alex x)
Au sujet des différents corps de l'armée, ça me fait penser que je ne suis pas certaine d'expliquer clairement à un moment, donc dans le doute je fais le topo rapidement. Tu as deux corps d'élite : la Garde royale et la Haute-Garde. La Haute-Garde est elle-même divisée en deux branches distinctes : les Épéistes (Nils) et les Protecteurs (Alexander).
Pour la généalogie, oui pour l'instant ce n'est pas évident vu qu'on n'a pas encore vu les concernés, mais ce n'est pas très grave si c'est encore flou à ce stade ^^
J'ai lu la première moitié du chapitre.
Le cousin d'Al menace le garde Alex et souhaiterait le voir quitter la ville. (Je n'ai pas compris pourquoi perso)
"La dague s’enfonça dans sa cape en laine, lui arrachant une grimace"
> Là, j'ai cru qu'il l'avait transpercé donc je me suis dit, il ne fait qu'une grimace ? Mais en fait, il ne l'a pas transpercé ? Donc "posa la pointe de sa dague dans son dos" ?
> Autre question de cohérence : Alex qui est un soldat ne porte aucune protection ?? Cotte de mailles ou je sais pas quoi ?
> Une dague? un soldat entraîné peut désarmer le gars easy peasy. Alex a fait bien pire la veille.
> Plus tard, Soren ne le menace plus ? Alex est attaché à la chaise ou quoi ? Pourquoi reste-t-il avec ce type qui l'a menacé d'une dague une minute plus tôt ? Il a fracassé 2 mecs qui ont levé un bras au précédent chapitre et là un gars qui le menace, c'est bon ??
> Pourquoi le gars ne s'introduit-il pas sans dague si Alex le connait ?
Y a pas un petit soucis de fond : s'il détecte la magie d'Altais sur Alex, pourquoi ne detecte-t-il pas la magie d'Altais ...sur Altais ??
Et Altais n'a pas utilisé sa magie sur Alex, c'est l'inverse : Alex a soigné Altais avec sa magie. Donc comment a-t-il laissé des traces de magie sur lui ??
"Un petit salon désert"
> Mais attends ils sont pas dans une caserne ?
> Pour répondre à ma question et je suis revenue en arrière : "il traversait désormais les couloirs de l’aile nord du palais royal". Je me demande si tu ne devrais pas racaser cette info en une phrase ici, pour replacer le décor, pour que les lecteurs moufles tels que moi ne soient pas perdus.
"usé par le temps"
> Rien ne me permet de voir que le sol est usé par le temps, du show serait plus adapté que du tell ici à mon sens.
On s'attendrait à ce que le gars vérifie s'ils ne sont pas écoutés ? S'ils sont rentrés dans une maison au hasard, il y a vraisemblablement des gens a l'intérieur ? Pourquoi l'emmene-t-il dans une maison au hasard ? Des gars pourraient le débusquer pour lui ? Leur discussion semble comporter des secrets d'état. Ça ne le dérange pas d'en parler alors que d'autres gardes prennent peut-être leur pause à côté et tous entendent leur conversation ?
"Enfin, son interlocuteur le contourna"
> Le "enfin" n'est pas nécessaire. Avec ce "enfin", on dirait qu'il a attendu qu'il s'asseoit depuis une éternité alors qu'en fait non.
"Alexander plissa légèrement les yeux."
> C'est drôle, c'est la 2e fois que je vois cette phrase sur PA. Pourtant, ça ne veut pas dire grand chose de plisser légèrement les yeux. Soit on les plisse soit non ? Y-a-t-il une sorte de demi-mesure de plissement ? Perso j'enlèverais le "légèrement". D'autant que tu as un autre adverbe, nerveusement, la phrase d'après.
"avant que le secret ne fuite et se répande dans les rues de la ville."
> J'arrêterai la phrase après répande, ce serait plus percutant, ça ne limiterait pas aux rues de la ville, mais partout.
"je suis étonné que tu sois convaincu de son innocence…"
> Il n'a aucune raison de penser qu'Alex croit à l'innocence d'Alexis, tu as oublié de lui faire dire avant ou tu as coupé une phrase qui existait dans une précédente version, je ne sais pas. Cette info n'est pas là. D'ailleurs même remarque sur sa réplique d'avant, genre il dévoile tout son sac à Alex sans rien savoir. Pourquoi ?
" Il n’avait pas vu la douleur le déchirer de l’intérieur au moment où celui-ci avait tenté de contourner le verrou qui pesait sur son esprit, n’avait pas constaté l’ampleur des dégâts que son corps avait subi."
> Le style est lourd dans ce paragraphe, je ne comprends pas bien.
"À la bonne heure ! Nous allons donc pouvoir aborder le point suivant."
> Hein ? Pourquoi ? Pour ma part, j'ai du mal à suivre ce dialogue.
En gros, le cousin d'Al menace un type avec sa dague et dit : assieds-toi, je sais que tu a été en contact avec mon cousin. Le militaire accepte quand bien même il n'est plus menacé d'une arme ! (Pourquoi le menacer avant ? ça n'amène rien ?). Ensuite il dit : Je sais qu'il est innocent et tu le sais aussi (comment ?? Moi j'ai eu l'impression qu'Alex vivait sa meilleure vie de garde et qu'il est tombé au hasard sur Altais justea veille, mais je me trompe peut-être). À la bonne heure, passons au point suivant ! (Mais ils se sont rien dits ! Si ça se trouve, Alex a vaguement été en contact avec Altais sans le savoir d'où la trace de magie sur lui. T'imagine si c'est le cas, le cousin il est hyper inconscient de se dévoiler, à un garde en plus qui pourrait aller voir son supérieur juste après !). En plus, il lui demande de protéger Al, alors qu'il a disparu depuis 2 ans ! Il ne faudrait pas plutôt qu'il lui demande de le retrouver, comme il a été en contact avec lui ? Qu'est-ce qui lui dit que les deux sont copains ? C'est pas le cas d'ailleurs. C'est un hasard de fou qu'il soit chez lui. Alex aurait pu l'emmener à l'hosto ou le laisser partir, il aurait une trace de magie sur lui aussi, sans meme avoir su qu'il avait été en contact avec Al.
"Dès l’instant où il avait compris l’identité d’Altaïs, il avait su que sa vie changerait"
> Ah bon ? C'est pas l'impression que j'ai eu au chapitre précédent. Et pourquoi il a compris ça ?? On dirait qu'il est tombé amoureux, un coup de foudre ou je sais pas quoi. Perso j'accueille un mec louche chez moi, je reconnais le meurtrier de Macron disons, je ne me dis pas automatiquement que ma vie a changé. Ou si, je me dis qu'il va essayé de me tuer aussi ! Donc c'est ballot
"et vivre avec la culpabilité qui pèserait sur son esprit"
> Pourquoi ? Si Al est en vrai le régicide, il ferait son boulot en livrant un meurtrier. Il ne sait pas qu'il est innocent à ce stade, il le soupçonne très vaguement, basé sur un vieux souvenir.
"pour suivre ce qu’il pensait être juste."
> C'est-à-dire ?
"Vous devez quitter la ville."
> Pourquoi ? Il ne donne aucune justification, rien. Je serai Alex, j'irai direct voir mon supérieur, car ce n'est pas le jeune cousin d'un prince qui lui donne ses ordres -probablement le roi et /ou le chef des armées
"— Comment va-t-il ?"
> Il devrait commencer le dialogue comme ça, pour être sûr qu'Alex ait été en contact avec lui.
"dans la mesure où leur différence d’âge ne les séparait pas tout du moins."
> Phrase bizarre.
Je m'arrête là pour l'instant car j'ai fini ma pause café. À ce stade, je suis pas super sûre de bien suivre l'histoire. Les répliques du dialogue s'enchainent bizarrement je trouve. C'est plus une question de fond que de forme. Le perso d'Alex est obscur pour moi, je n'arrive pas à comprendre son raisonnement. Ni pourquoi il accepte si facilement de quitter la ville. Ni pourquoi il aide Al. Ni pourquoi il accepte de suivre cet homme au lieu de le désarmer. J'ai du revenir en arrière pour raccrocher les wagons. Et Soren n'essaie même pas de lui soutirer des infos, rien. Il part du principe qu'il a recueilli Al et qu'il l'aime bien, alors qu'Alex pourrait faire partie des mercenaires. Pourtant, tu précises qu'il ne lit pas ses pensées. Or c'est en lisant ses pensées qu'il pourrait savoir ça. Et ça ne fait rien a Alex d'être forcé de quitter son boulot et la ville ? Je ne comprends pas ce perso. Peut-être que la suite permettra d'éclaircir ma lanterne :-)
Comme l’explique Soren, il conseille à Alexander (et donc Altaïs) de quitter la ville car ils ne feront pas long feu s’ils restent. L’armée les retrouvera vite. Alexander ne se débat pas lorsque Soren commence par le menacer parce qu’il est dans le palais royale et qu’il ne veut surtout pas attirer l’attention, puis il découvre que son interlocuteur est Soren, un prince donc.
Soren détecte bien la magie d’Altaïs dans la ville, mais celui-ci n’est pas dans un périmètre suffisamment proche pour qu’il puisse détecter un point précis, contrairement à Alexander qui se trouve dans le palais. Pourquoi Soren et pas quelqu’un d’autre lui tombe dessus ? Parce qu’il a des affinités avec Altaïs qui le rendent particulièrement sensible, mais ce sera évoqué par la suite. Et pourquoi la magie d’Altaïs laisse des traces sur son entourage, et plus précisément sur Alexander ? C’est une réponse qui viendra en temps voulu, je ne vais pas tout dire dès le chapitre 3.
Ils ne sont pas entrés dans une maison au hasard, mais dans un salon du palais où il n’y a personne. Soren n’est pas né de la dernière pluie et sait que personne ne traîne dans les parages.
La magie d’Altaïs laisse des traces sur Alexander, donc ils sont liés d’une manière ou d’une autre (il faut un peu plus d’un contact de quelques minutes), et Alexander ne l’a pas dénoncé, donc il le protège d’une manière ou d’une autre. Soren en tire des conclusions, et cherche également à provoquer Alexander pour en savoir plus. Et sur le fond, Soren ne révèle pas grand chose à Alexander autre que « Vous êtes dans la merde, quittez la ville. » (et non Alex n’irait pas voir un supérieur puisqu’il abrite quelqu’un accusé de régicide)
Alexander explique en quoi sa vie changerait dans les phrases qui suivent. Je ne suis pas sûre qu’une comparaison avec notre société soit des plus pertinentes. Quant à sa culpabilité, elle est en effet fondée sur un souvenir, mais la culpabilité n’est pas un sentiment rationnel, et c’est quelque chose qui peut croître avec le temps. Il se pose également des questions sur le fait d’aider Altaïs et de quitter la ville, donc ça ne le laisse pas insensible.
J’avoue que je suis un peu perplexe face à toutes ces remarques, qui n’ont jamais été soulevées dans les précédents commentaires (et il y en avait pourtant une petite dizaine), et je ne suis pas certaines de savoir quoi faire avec. Je te remercie cependant d’avoir pris le temps de laisser un commentaire :)
Oui désolé, j'aime bien laissé des commentaires détaillés.
J'ai eu des problèmes de caractérisation de persos et je crois que j'ai un soucis de suspension consentie de l'incrédulité. Je ne trouve pas les persos cohérents. Si l'un est un prince, il n'irait pas menacer un garde avec une dague au risque de se faire exploser la face. Si l'autre est un garde violent, il dénoncerait le régicide sitôt qu'il l'aurait trouvé. Le prince n'a aucune raison de suspecter que le garde cache Alais. Et de son côté, Alais n'a aucune raison de faire confiance à Alex et de rester chez lui bien pénard.
Si Alex a de bonnes raisons de douter de l'innocence d'Alais, pourquoi a-t-il attendu 2 ans ? Si Alais et Alex se connaissent bien, pourquoi ne se reconnaissent-ils pas dans la rue ? Alais ne semble même pas du tout reconnaître Alex. Bref, je suis désolée, je pense que je vais m'arrêter là, je pense que je risque d'allonger la liste. J'ai peur de ne pas pouvoir te donner de commentaires plus positifs et mon but n'est pas de décourager, ce serait même plutôt l'inverse.
Après, je ne suis pas vraiment le public cible, je pense que ton livre est à destination des ados et en plus, je lis très peu de romance donc j'aurais du mal à bien t'aiguiller par la suite avec mes remarques. Mais je te souhaite du succès :-)
Ahhhh ce Soren je sais pas trop quoi en penser mais je doute qu'il soit aussi bien intentionné qu'il le laisse paraître... Du coup Alexander il me fait rire parce que le gus se pose toutes ses questions existentielles genre "est-ce que je suis vraiment prêt" et tout, alors que : il n'a absolument plus le choix bhahaha
Mais j'ai bien aimé tout le côté introspectif d'Alexander, encore une fois je trouve qu'on suit très facilement son fil de pensée, et j'aime bien que fasses évoluer le décor en même temps qu'il réfléchit à tout ça. Le rapide passage avec Nils m'intrigue aussi, j'imagine que si tu as glissé ça ici c'est que ça aura forcément de l'importance pour la suite... Est-ce que Nils va vouloir aider Alexander ? Ou l'inverse ? Mystère. En tout cas l'idée du complot est très chouette, on comprend bien les enjeux et les motifs potentiels, mais on n'arrive pas non plus à démêler le vrai du faux donc : c'est parfait !
D'ailleurs je trouve aussi assez étrange que la magie d'Alexander "résonne" avec celle d'Altaïs, mais comme t'as encore très peu parlé de la magie c'est peut-être juste parce que je la comprends pas encore :)
Et puis la fin évidemment en cliffhanger, fallait s'y attendre... hâte de voir ce qui s'est passé !!!
Bravo pour le chouette chapitre, et à vite !!
Trop contente que tu sois revenu si vite, ça me fait trop plaisir <3
Haha, alors Soren même moi je ne suis pas sûre de savoir quoi en penser pour l'instant xD C'est un nouveau personnage, il n'était pas présent dans le premier jet et en remplace plus ou moins un autre (Natt, tu demanderas à Dodo qui l'aimait bien je crois haha) donc je le découvre x) Mais oui du coup Alex est juste dans la merde, il n'a plus du tout le choix et il a intérêt à se bouger fissa avant d'être encore plus dans les ennuis si c'est possible x)
Oui tu as raison ! Nils aura son importance aussi (pareil, nouveau personnage, en fait c'était un peu le chapitre des nouveaux perso hahaha), même s'il reste assez secondaire !
Trop contente que le complot soit bien amené/présenté en tout cas ! Si tu savais comme le premier jet j'étais en freestyle total xD
Pour le fait que la magie d'Alexander résonne avec celle d'Altaïs, c'est normal que tu ne le comprennes pas encore (surtout qu'il n'y a pas encore eu trop d'explication sur la magie. Pourquoi faire des explications finalement ??), mais tu peux retenir cette information :p
Merci pour ton retour dhjlkjghrrkr c'est si mims <3
Bisouuuuuuus !
Chouette que tu introduises des nouveaux personnages ! ça te donne de nouvelles pistes à explorer en réécriture :)
Je note ce que tu dis pour la magie, et je le garderai en tête... héhé
Je suis ravie d'avoir croisé ta route grâce aux HO. Je viens d'achever ce chapitre qui me laisse sur ma faim, avec beaucoup de questions et d'inquiétudes pour Ataïr et Alexander. Je réserve mon jugement quant à Soren et je reviendrai vers toi pour poursuivre et j'espère avoir le fin mot de toute cette histoire.
A très bientôt
Ton commentaire me fait chaud au coeur, je suis ravie que les HO t'aient permis de découvrir cette histoire et de te prendre d'empathie pour ces personnages. J'espère que la suite sera à la hauteur de tes attentes si tu repasses par ici !
À bientôt :)
J'ai bien aimé aussi découvrir tout ce qui tracasse Alexander au fil de sa marche - le pauvre est bien perdu à peser toutes les solutions et les différents risques. x)
Juste un petit conseil mais c'est vraiment une affaire de goût : l'introspection des derniers paragraphes est peut-être un peu trop "longuette" et détachée. Je n'ai rien du tout contre les grandes réflexions, mais ça vaudrait peut-être le coup de l'ancrer davantage. On a une petite mention du décor au début et ensuite presque plus rien. Et si les pensées d'Alexander évoluaient en même temps que la ville nocturne autour de lui, alors qu'il traverse les rues, les boutiques qui ferment. Et comment est sa posture ? On pourrait davantage ressentir son malaise autrement que dans ses réflexions pures. Quelque chose en mouvement, je ne sais pas si je suis claire x)
Mais je pinaille ! C'est toujours aussi énergique et je suis contente de découvrir cette autre histoire de ta plume. Je reprendrai aussi "Le Sang des Dieux" après les HO.
D'ailleurs je vais arrêter là pour le moment, histoire d'essayer de lire un peu tous les nominés, mais je repasserai avec plaisir !
Bonne soirée, bisous !
Oui tu as raison sur la fin, il faudrait que je retravaille les paragraphes introspectifs pour les alléger et mieux les lier à l'histoire !
Je suis ravie que ce début te plaise en tout cas, tes retours me font très plaisir ! À bientôt, sur une histoire ou sur une autre ;)
J'ai beaucoup aimé te lire, y a beaucoup d'éléments de l'intrigue qui m'intéressent, je trouve que la style sert très bien ton histoire, je l'ai trouvé fluide et sympa à lire, la dynamique entre les personnages je la trouve prometteuse.
Ce qui m'a marqué dans ce début, néanmoins, c'est la redondance de certaines informations : les rêves d'Alexander, ses projets, ce à quoi il va devoir renoncer en aidant le prince, sa culpabilité, j'ai trouvé que c'était répété plusieurs fois. D'ailleurs j'ai trouvé que c'étiat plus raocnté que montré, s'agissant de ses émotions, et c'est quelque chose que, personnellement, je n'apprécie pas beaucoup. Je trouve aussi que le passage où on nous explique pourquoi A pense le prince innocent est un peu rapide ; je trouve que A accepte son innocence un peu facilement.
Cela étant cespo ints relèvent plutôt du détail ; que cela ne te décourage pas ! J'ai passé, je le répète, un bon moment à te lire :)
Plein de bisous !
Je suis ravie que ce début te plaise et que tu apprécies le style :)
Haha, ce texte est un peu ma bête noire, c'est une réécriture mais j'ai tout repris sur un document vierge, en essayant de gommer les défauts de la première version, j'en crée de nouveaux x) D'autant plus que je l'écris de manière très décousue puisque ce n'est pas mon projet principal en ce moment, donc il faudrait vraiment que je reprenne tout le début à tête reposée pour reprendre les points soulevés.
Pour le fait qu'Alex le pense innocent, il a tout de même des raisons qui sont approfondies par la suite haha.
Merci pour ton retour :)
Ce chapitre revient plusieurs fois sur le statut de Protecteur, sans qu'on sache encore tout à fait de quoi il en retourne. De même, on a pour la première fois des descriptions de lieux un peu plus précises. Toutes ces "premières fois" me vont très bien : le mystère s'épaissit un peu plus avec cette histoire de Haute-Garde, et j'imaginais de toute façon un cadre médiévalisant.
J'ai comme l'impression qu'on en apprendra davantage sur Altaïs mais aussi sur Alexander. Le fait que la moutarde lui monte facilement au nez, de même que ses intentions exactes dans cette affaire, tout ça me semble plus complexe qu'il n'y paraît...
Merci pour ces chouettes moments de lecture, et à bientôt !
Haha, non évidemment il y a des raisons qui le motivent un peu plus à aider Altaïs (même s'il reste globalement plutôt désintéressé comme personnage, c'est ce qui fait son charme, oups).
Effectivement, il reste encore un certain nombre de questions sans réponses, notamment au sujet de la Haute-Garde et des Protecteurs. Il en va de même pour les personnages (bon, Altaïs reste tout de même celui qui cache le plus de choses) ! J'aime bien disséminer les pièces du puzzle haha ^^
Merci beaucoup pour tes retours enthousiastes, ils me font chaud au coeur :)
Je découvre ton récit grâce aux Histoires d'Or et j'accroche pas mal à ces premiers chapitres. Ton style est agréable, l'intrigue interroge forcément et les cliffhangers d'un chapitre à l'autre sont assez réussis, ça donne envie de "tourner la page" pour voir ce qui va se passer ensuite.
Le personnage d'Alexander est bien cambré dès le départ, on sent le poids d'un homme pris par son serment et ses remords, qui s'estime redevable. Je rejoins Edouard concernant le passage d'introspection, nécessaire mais peut-être un peu trop long et répétitif.
Pour le reste, ça m'a globalement plu et je viendrai sans doute lire la suite une fois les Histoires d'Or terminées.
A bientôt donc,
Ori
Je suis ravie que tu trouves ce début suffisamment accrocheur pour avoir potentiellement envie de continuer après les HO. J'ai beaucoup retravaillé le personnage d'Alexander avec le début de cette réécriture donc c'est rassurant qu'il soit bien posé et qu'on comprenne son dilemme. Pour ce chapitre, j'ai prévu de retravailler les passages un peu répétitifs !
Je te remercie pour ton retour.
À bientôt :)
Mais ensuite ? Se rendre à l’adresse ? C’est terriblement dangereux, ce pourrait être un piège. Soren était à l’affut, il a direct repéré l’odeur de la magie d’Altaïs et est intervenu immédiatement. Il est motivé, s’il n’est pas dans le coup, en se dévoilant, il prend des risques aussi…
En tout cas, dès qu’il le retrouve, il faut qu’ils se tirent fissa. L’ami soupçonne déjà un truc, le cousin est au courant, le retour d’Altaïs va être rendu publique : il faut vraiment s’éloigner, sinon, Soren aura raison et ils ne tiendront pas un jour. Mais purée, le retrouver, prendre la décision de tout plaquer, malgré ses valeurs, et tout organiser…. C’est la misère, il va falloir faire très vite ! Alex s’est fourré dans un sacré guêpier…
Lui mentir sur le fait qu’il soit un garde, par contre, ça pourrait se retourner contre lui plus tard…
La magie m’intrigue… je me doute qu’elle n’est pas vivante, mais on dirait vraiment un sens avec soit un côté instinctif, soit quelque chose d’un peu intelligent. Parce qu’elle réagit, mine de rien, et Alex parle de compagne…
La répétition, que ça fait deux ans qu’il regrette… ça indique quand même qu’il s’intéressait déjà beaucoup à Altaïs avant, voir plus… Qu’il soupçonnait déjà fortement quelque chose quand on l’a accusé du meurtre.
Il y a plein de mystères… Affaire à suivre ! Je te dis à bientôt ;)
Hehe, tant de questions sans réponses :p Ça pourrait effectivement être Soren qui a profité de l'occasion, ou quelqu'un d'autre qui a également retrouvé la trace d'Altaïs... Le pauvre a tout le monde à dos x) Ou alors, comme tu le dis, Soren prend également des risques en proposant son aide à Alexander ^^
Mais oui dans tous les cas Alex et Altaïs ont intérêt à décamper fissa T_T Quant au fait qu'Alex ment sur son statut, ça risque sans doute de lui retomber dessus, mais en même temps il n'a pas tort, Altaïs ne l'aurait sans doute pas supporté...
Pour la magie, tu as raison ! Elle n'est pas vivante à proprement parler, mais elle fait réellement partie de n'importe quelle personne comme une sorte de conscience !
Merci pour tes retours, ils me font très plaisir ! :D
Et je confirme : on voit que tu as soigné tes cliffhangers ! J'avoue que je pratique aussi : l'idée que mes lecteurices puissent avoir envie de tuer pour lire le chapitre suivant me satisfait particulièrement (#auteuresadique). Donc évidemment, je suis sensible aux tiens !
Comme j'ai encore environ 2500 histoires à lire pour les HO, je ne continue pas tout de suite, mais je reviendrai après !
A bientôt !
Oh merci pour ton commentaire <3 J'ai un gros faible pour les cliffhangers, je trouve que ça apporte un dynamisme indéniable, non content de pousser le lecteur à lire la suite x)
Pour Soren, c'est effectivement une rencontre mitigée, c'est le moins qu'on puisse dire... Pas étonnant qu'Alexander soit aussi tendu x) Mais je suis contente qu'on ressente bien la tension en tout cas !
Merci pour tes retours et bon courage pour la suite des HO ! On se croisera sans doute sur d'autres histoires ;)
À bientôt !
Il y a beaucoup plus d'introspection. Je pense que c'est important vu qu'Alexander va prendre une décision importante mais il y a plusieurs fois où il invoque le même argument : tu n'as rien dit la dernière fois, donc ne rate pas cette occasion de rachat. Peut-être que c'est volontaire pour insister mais je pense qu'il y a moyen de couper / réduire quelques passages. Surtout que le choix d'Alexander n'est pas si choquant que ça donc ça n'est pas nécessaire de le surjustifier à mon sens.
Intéressant les nouveaux personnages. Soren est assez piquant à l'oral, ça le rend amusant. Il semble savoir pas mal de choses, j'imagine qu'on va le revoir. En tout cas c'est cool de savoir que les deux héros ne sont pas seuls.
J'ai bien aimé la manière dont tu as écrit la rencontre entre Alexander et Nils. La dernière phrase laisse planer le doute sur ce qui va se passer. Nils pourrait-il parler ? S'inquiéter ?
Encore une excellente chute, pour l'instant les cliffhanger sont très propres ! C'est un des plus gros point fort de ce début d'histoire je trouve.
Une petite remarque :
"Pour la première fois, il voulait écouter ce que lui dictait sa compagne." -> sa conscience ?
Un plaisir,
A bientôt !
Argh, Alexander manquait de profondeur dans la première version donc j'avais peur que ça ne suffise pas, résultat c'est peut-être trop répétitif ^^ Je vais voir si je peux alléger certains passages pour éviter cette redondance !
Chouette si tu apprécies Soren ! Lui c'est un nouveau personnage (enfin il en remplace un autre, toute une histoire), donc j'ai eu pas mal d'hésitation...
Et pour Nils (nouveau personnage également, pas mal d'enjeux du coup dans ce chapitre pour une réécriture haha), ce sera la surprise, mais après tout il s'agit également d'un membre de la Haute-Garde...
Merci pour ton compliment sur les cliffhangers ! C'était l'un des points forts du premier jet, j'en ai profité pour les peaufiner hehe.
Pour la "compagne", Alex désignait sa magie, mais peut-être que conscience fonctionnera aussi.
À bientôt !
Je te fais un petit retour sur tes trois premiers chapitres, en espérant avoir le temps de lire la suite bientôt !
J'ai beaucoup aimé ce début ! Ton style est très fluide et ton texte se lit avec plaisir :D
J'apprécie vraiment beaucoup tes personnages, je trouve que tu arrives à leur donner une densité en peu de temps
Quant à l'intrigue, je trouve pour l'instant sa construction prenante, et les enjeux que tu mets en place plutôt intrigants !
Ça fait plaisir de te voir ici ! Je suis contente que ce début te plaise ! Ton retour me motive à poursuivre cette réécriture :)
Ravie de savoir que les personnages et les enjeux soient bien posés !
Merci pour ton commentaire et à bientôt :)
Ce suspens à la fin est bien amené, on n'a aucune idée de ce qui s'est passé
Par ailleurs, on découvre un nouveau personnage : Soren. Je sens qu'il va être un allié précieux, même si j'aurais tendance à rester sur mes gardes, on ne sait jamais. J'aime bien ce personnage en tout cas.
PS : Je trouve que tu termines bien tes chapitres.
C'est chouette que tu apprécies Soren, c'est un nouveau personnage donc je cherche encore un peu sa voix !
Merci pour ton retour ;)