Chapitre 4 :
PDV CLARA :
Je me réveille en sursaut. Mon front est baigné de sueur. J'ai du mal à respirer. J'essaye de reprendre mon souffle. Au bout de quelques secondes, ma respiration redevient normale. Je viens de faire LE cauchemar. Celui qui me hante depuis mes 10 ans. Le jour où mon père est mort et que ma mère est devenu folle. Je revis cette nuit des milliers de fois mais chaque fois le traumatisme est aussi puissant. Je m'assois sur le bord de mon lit, repense à mon rêve puis enfin repense à cette soirée abominable.
Flash Back :
Ce soir là son père avait été appelé pour une mission. Des anciens Mangemorts avait été découvert près de la ville de Edinbourg et son père, Killian Ross, avait été sollicitait pour aller le arrêter avec d'autres Aurors. Il était donc parti à vingt heure, il y a maintenant trois heure et quart. Sa mère et elle l'attendait à la cuisine.
Sa mère, Marina, était ce soir habillé d'un jean noir de la même couleur que ces cheveux ébène. Elle avait un débardeur rouge qui lui allait parfaitement et la mettait en valeur. Elle était d'une grande beauté : une peu pâle, des lèvres fines et des yeux verts émeraude. Marina était issue d'une famille de Sorciers entièrement sang purs qui l'ont rejeté après son mariage
Nous attendions donc Killian en jouant aux cartes. Nous nous amusons beaucoup et nous étions nous nous tournons vers le téléphone. Ma mère se leva et alla décrocher le téléphone. Elle se mit à parler puis tout d'un coup sa voix se fit plus basse, plus souffrante. Elle chuchotait presque. Puis elle se mit à hurler. Elle jeta le téléphone au sol. Ce dernier explosa. Elle se mit à sauter dans tous les sens, à renverser toute les meubles dans la pièce. Je m'étais levais et essayer de la calmer. J'essayer de comprendre. Quand je l'attrapais au bras et qu'elle se tourna vers moi, je vis ses yeux, avant si beau, devenu fou de tristesse e de folie. Je la relâchais devant ses yeux qui m'ont terrifié. Je me suis reculé et me suis collé à un mur de la cuisine.
Après avoir fait retourné toute la cuisine et avoir cassé des milliers d'objets, Marina s'était écroulé contre le sol et s'était mis à pleurer de désespoir Après quelques minutes où on n'entendait que les pleurs de sa mère, les voisins, des sorciers, était rentré dans la cuisine. Ils s'approchèrent d'elle et la prirent dans leurs bras puis voulu l'amener dehors. Mais je ne voulais pas, je voulais rester auprès de me mère. Mais ils la sortirent dehors tandis que certains rester auprès de sa mère. Ils l'amenèrent au ministère de la Magie française et le fit dormirent.
Le lendemain, après un sommeil de quelques heures, le ministre de la magie lui avait expliquer que son père était mort dans cette mission et que sa mère était devenu folle a cette perte. Elle avait été déporté à St Magouste, un grand hôpital anglais. Elle y resterai jusqu'à la fin de ces jours. Quand a moi , j'irai chez de la famille à elle. Je fut amené chez la sœur de mon père, une moldue, qui habitait dans le sud de la France. Elle s'appelait Céline et aviat un mari, Laurent, un fils, Louis et une fille, Jeanne. J'ai eu du mal à rentrer dans ma tête que je vivrais avec eux et non avec ma mère et mon père.
Fin du Flash Back
PDV DRAGO :
Je dors. Enfin. Hier, j'ai eu du mal. Je dormais paisiblement sans rêve pour m'embêter quand je sentis une chaleur se poser à côté de moi. Elle sentait mauvais et essayait de me coller le plus possible. J'ouvris les yeux et appeçu...une tête de pékinois. Je saute de peur. Mon crâne se frappe contre le lit au dessus du mien. Ah... Une douleur atroce. J'ai hurlé de peur puis de douleur. Je le sais. En hurlant, j'ai fait peur à la personne s'étant allongé à côté de moi. Elle est tombée. Tan mieux. Je sors de mon lit en évitant le corps allongé au sol et me met debout devant elle. Elle se tourne vers moi.
Pansy Parkinson. Cette fille se trouve dans le dortoir des garçons qui sont tous réveillé et qui l'observe. Sa tête de pékinois m'observe avec des yeux de chiens battus et d'une fille folle amoureuse. Ce deuxième regard je le croise dans le regard de toutes les filles, ou presque, que je croise dans les couloirs. Elles me regardent toutes avec espoirs et amour. Mais chaque fois je les rejette ou ne les calcule pas. Et quand j'accepte leur compagnie, ou même de sortir avec elle, ça ne dure jamais longtemps et elles ont le cœur en miette. Mais bon, je suis le gars le plus sexi de Poudlard. Faut pas s'étonner.
Donc Parkison se trouvent devant moi, allongé à me regarder comme le graal mais là, je n'ai pas envie de jouer le gars qui la drague. Alors, mes yeux plein de colère, je lui hurle :
- Qu'es ce que tu fous ici !
Son expression change. Elle croyait que j'allais lui sourire et lui dire de remonter dans mon lit. Qu'on se colorait et que peut-être, à tout casser, je l'embrasserai. Et ben non. Je n'ai pas envie. Elle me regarde ahurit.
- Je... je... pensais que ma venue auprès de toi te plairait, dit-elle en chuchotant.
- Eh ben non ! Le matin, je dors !
Mon réveil sonne. De cette sonnerie qui te casse bien les oreilles. Je marche vers lui et je l'éteins en le frappant sur le sommet. Je me retourne vers Pansy et lui dit d'une voix un peu plus aimable :
- Sors d'ici. On se reverra plus tard.
Son expression change encore. Il semblerait que mon changement de ton lui remet de l'espoir. Elle se lève, se tourne vers moi, me sourit puis se dirige vers la porte. Elle ouvre la porte et sort. On entend ses pas lourd dans l'escalier.
- Il n'existe pas plus chiente comme meuf, dit Blaise
PDV CLARA :
Cette après midi, après avoir mangeait un bon repas et avoir trainaillé au bord de lac, Harry, Ron et moi nous nous dirigeons vers le cours de divination. Hermione ne faisait pas ce cour. J'aurais bien aimé moi aussi.
Donc nous nous trouvons à ce moment même devant l'échelle qui montait à la salle de classe. Nous montons tous les trois : Ron puis Harry puis moi. Quand je soulève la trappe, c'est la chaleur qui me frappe d'abord. Elle est étouffante. Puis, j'observe la salle. On dirait un vieux grenier. Il y a des tables rondes recouvertes de nappes blanches. Autour de ces tables, se trouvent des fauteuils rouges et des petits poufs. La lumière de la pièce est rouge car les rideaux sont tiré et que seul des lampes, recouvertes de tissus rouges, nous éclaire.
Je me dirige vers les gryffondor qui sont rassemblé et leur demande qui pourrait se mettre avec moi. Mais ils me répondent tour après tour qu'ils sont déjà en groupe de deux : Ron et Harry ; Dean et Seamus ; Parvati et Lavande ; Neville et Hannah Abbot, une poufsouflle que je ne connais pas e Sally Anne est avec les Serpentard.
Une fille aux cheveux bruns lisse et aux yeux marron s'approche de moi. Sa peau est de couleur mate. Elle a l'insigne de Serdaigle sur son uniforme. Elle est magnifique.
- Je m'appelle Padma Patil, dit-elle, je suis la sœur jumelle de Pavati. Et en fait... je suis toute seule et je me demande si tu voudrais bien être avec moi.
- Bien sûr, dis-je, mais je te préviens je suis nul en divination !
- Ok
Nous nous asseyons toute les deux à une table qui se trouvent entre les Serdaigle et les Gryffodor. Nous étions en train de parler toute les deux quand la professeur rentre.
- On dirait un insecte ! je chuchote
Padma se mit à rire. Mais je ne rigolais pas. Pour moi, cette professeur ressemblait vraiment à un insecte. Elle est très maigre et a un bandeau sur ses cheveux emmêlé. Elle portait des lunettes marron qui lui faisaient agrandir les yeux de façon abominable et portait de milliers et des milliers de bracelets à ses bras. Alors, d'une voix aigu et stridente, elle commence à parler :
- Bonjour, Bonjour. Hier soir, j'ai vu la mort d'un de mes précieux élèves...
J'entends Padma soupirai à côté de moi. Je me tourne vers elle et lui demande du regard pourquoi elle soupire. Elle m'explique en chuchotant que le professeur, Trelawney, prédisait à chacun de ses cours la mort d'un de ses élève. Après cette explication, je réécoute Madame Trelawney. Elle est train de parler à Harry. Il semble que l'élève c'est lui.
Puis elle se retourne vers nous tous et dit :
- Donc cette année, nous apprendrons plusieurs choses mais nous commencerons par la Xylomancie. C'est une façon de voir l'avenir par des brindilles. Cette façon de divination est très rare. Nous commençerons aujourd'hui même. Un de votre groupe ira chercher les assiettes qui serviront à disposer les brindilles dessus. Abbot, je préférerais que se soit vous. Prenez les bleus. Donc, l'autre viendra pren... Oui ?
Je venais de lever la main. Elle me regarde, cherchant surement quelle élève j'étais.
- Bonjour, dis-je, je suis nouvelle et je m'appelle Clara Ross. Je suivrai votre cours et donc je devrai, normalement vous montrez ma fiche de compétence en divination comme les autres.
- Euh... oui, amenez la moi Ross.
Je me penche vers mon sac, sort une pochette grise de mon sac. Je sors ma fiche de compétence en divination et me dirige vers elle. Je pose mon dossier sur son bureau remplit de boule de cristal et autre. En posant ma feuille, je fais tomber une boule de cristal sur le sol. Celle-ci explose en frappant le sol. Silence complet dans la salle. Qu'es ce que je suis maladroite !!! J'en ai marre ! J'entends alors quelqu'un dire :
- Reparo !
La boule de cristal se reforme. Je regarde toute la salle pour savoir qui a réparé cet objet. Mon regard passe des Gryffondor au Serdaigle. Je ne sais pas qui c'est. Bon. Je me penche et attrape la boule de cristal que je repose sur le bureau. Le prof m'observe puis se met à lire ma fiche de compétence.
- Désolant en 3ere année, Troll en 4eme et troll en 5eme, dit-elle, Il semble que vous ne possédez pas de troisième œil.
Elle me rend ma fiche de compétence. Je me rends vers ma place, pendant que je l'entends se lever. J'attrape ma pochette, range ma fiche à l'intérieure et écoute Madame Trelawney. Elle s'est remise à parler.
- Donc... L'autre viendra chercher les brindilles. Puis vous ouvriez vos manuels à la page 159. Venez chercher vos affaires.
Padma et moi nous nous décidons qu'elle va chercher les assiettes tandis que je vais chercher les brindilles. Je me dirige vers le bureau où je commence à faire la queue. Ron se trouve devant moi et nous commençons à parler. Puis il prend les brindilles et s'éloigne. Puis, c'est à mon tour de prendre les brindilles. Je me dirige vers ma table où m'attend Padma. Nous commençons à commencer de travaillez. Tandis que j'essaye de lire son avenir dans des putains de brindilles, mon coude pousse l'assiette ayant les brindilles et l'assiette de couleur rose explose au sol. A nouveau, un silence complet. Disons que je ne suis pas un génie pour passer inaperçu. Super. Putain, comme je suis maladroite ! Padma sort sa baguette et fait la formule :
- Réparo !
La même voix que toute à l'heure. C'était elle. L'assiette rose se reforme. Je la ramasse avec les brindilles. Je les pose sur la table. Les discussions reprennent. Je dis merci du regard à Padma qui me répond, par le regard, que ce n'est rien. Je reprends donc ma prédilection avec les brindilles en faisait attention d'où se situaient mon coude.
*
Ce soir là, je suis assise à la table de la salle commune. Je suis penché sur mes devoirs de divination qu'on doit rendre pour vendredi, dans deux jours. Mon cerveau est embrouillé. Je ne comprends rien. Ron et Harry sont en train de jouer aux échecs de sorciers, un jeu donc je ne comprends pas l'intérêt, et ils semblent bien d'amusait. Hermione, quand à elle, se trouve dans un fauteuil bien moelleux à lire un livre surement passionnément. Tandis que je me lamente, Dean s'assoit à côté de moi. Il me sourit. Il est vraiment sympathique. Je l'aime bien.
- On dirait que ça va pas, lui-dit-il
- Non... Je ne comprends rien à tout ça ! je m'énerve
- C'est quoi ?
- De la divination. Tu es fort ?
- Non..., dit il en faisant une grimace d'excuse, Mais Parvati et Lavande sont forte.
- Oui mais Lavande ne m'aime pas trop depuis que je lui ai lancé le sac à la figure.
Il sourit à ce souvenir. Tout les deux se mettent à rire. Puis, après quelques minutes et beaucoup d'effort, ils s'arrêtent de rire.
- Peut être que Lavande ne t'aime pas trop, dit-il, mais Parvati à l'air de bien t'aimer. Va lui demander de l'aide.
Je fais la tête. Je n'ai pas très envie de leur demander de l'aide à ces deux filles. Il m'observe pendant quelques minutes. Ça en devient gênant. Je tousse. Il se ressaisit.
- Si tu le dis... dis-je, Je vais tenter ma chance. Merci.
Puis je me dirige vers les filles qui sont assied sur des fauteuils rouges auprès du feu.
PDV DEAN :
Clara vient de se dirigeait vers Parvati et Lavande. Elle se poste devant elles et commence à leur parler. Il semble qu'elles acceptent de l'aider. Elle s'assied à côté d'eux.
Je crois que je suis tombé amoureux d'elle.
Je sais, ça ne fait que quelques jours que je la connais. Trois précisément. Mais son caractère me plait vachement. Elle a un humour si drôle, une confiance envers les autres, une gentillesse envers tout le monde... Puis, pour me faire tomber encore plus amoureux d'elle, elle est d'une beauté sans pareil. Elle a des cheveux si beau, si flamboyant. Son visage est magnifique avec ses lèvres fines et ses faucettes quand elle sourit. Ses yeux verts émeraude que je pourrais regarder des heures sans me lasser.
Je suis fou amoureux d'elle.
J'ai pris du temps à l'accepter. Seamus s'en ai rendit compte avant moi. Il me le répétait tout le temps. Maintenant, j'ai accepté. Je ne pourrais jamais me lasser d'elle. Ça fait même des situations assez bizarres. Comme tout à l'heure quand j'ai commencé à l'observer. Elle s'en ai rendit compte et a toussé.
Je l'observe quand une voix m'appelle depuis les escaliers pour amener au dortoir des garçons.
- Dean !
C'est Seamus. Il est à mi-chemin dans les escaliers. Il me regarde.
- Oui ?
- Viens, il y a des bonbons de chez Farces pour sorciers facécieux qui sont arrivé !
Je me lève et me dirige vers lui. Au pied de l'escalier, je me retourne vers elle une dernière fois. Elle est toujours avec Parvati et Lavande. Ses cheveux son devant son visage qu'on ne peut pas voir. Elle est vraiment magnifique.
Je monte les escaliers et rejoint Seamus. En avant pour gouter les bonbons de Fred et George, les frères Weasley !!!!
Commençons pas le positif. Je vois que tu as pris en compte mes remarques de la dernière fois concernant les dialogues. Aucun d'entres eux n'est inutiles ou mal placé. Cependant, quand par exemple tu dit que ron et clara parle, tu peux dire de quoi ils parlent. Vaguement "ron et moi échangâmes quelques banalités". Oui, vive le passé simple.
Par contre, ce qui me choque vraiment dans ce chapitre, sarah, ce sont ... les fautes ! Il y en a pratiquement une voire deux à chaque phrase ! J'avais commençé à les relever, mais j'ai abbandoné. Ca gâche particulièrement le flash back, le rendant illisible et pas crédible du tout.
Concernant le flash back, c'est vraiment maladroit de faire ainsi. Peut être aurais-tu pu donner moins d'information comme ça. Faire par exemple que clara se réveille en sursaut et donne mentalement quelques éléments sur ces évènements "Les hurlements de ma mère hantaient encore mes nuits ... La façon dont elle avait jeté le tellephone, la cuisine renversée ... Ses yeux autrefois si beaux, brillaient désormais d'un éclat de folie". Un truc du genre. Par ce que là, ça casse tout, je trouve, de nous présenter ça comme ça.
La partie drago est ... elle sert à montrer que dragon n'est pas mauvais, mais j'avoue que je ne comprend rien au début. "je dors" ...
Le cours de divination, et la malhadresse de clara. mh ... pas plus tard qu'hier j'ai vu une vidéo sur comment faire un bon personnage de fiction et éviter la "marie sue" qui est un personnage que les lecteurs tendent à déterster.
Les marie sues sont des filles parfaites. belles, intelligentes, gentilles, populaires, drôles, modestes, justes, avec un passé tragique et un tout petit défaut, généralement la maladresse. Je pense que tu vois où je veux en venir.
Clara n'est pas humaine. Elle est trop parfaite, telle une poupée barbie. regarde par exemple un bon personnage :
hermione n'est pas spécialement belle, elle est autoritaire et sensible, protectrice et intelligente, mais aussi hautaine et sérieuse.
Harry, bien qu'étant le protagoniste et l'élu d'une prophétie, n'est pas parfait. Il est gentil oui, mais aussi irrespectueux des regles. Pas modeste, plutôt paresseux, buté, colérique. Il est une vraie personne. Il a des désirs contradictoires, des démons, des peurs, et aucun flash back. Ta clara n'a pas tout ça. Elle est le genre de fille que beaucoup aimerait avoir comme copine, mais pas une vrai personne ... Il suffirait de lui donner plus de défaut, plus de définition aussi (ses goûts, ses aspirations) pour la rendre humaine, et rendre aussi ton histoire plus vivante.
Pour finir mon commentaire, j'ajouterais que parfois ton texte passe du point de vue subjectif à objectif d'une phrase à l'autre, ce qui n'a aucun sens. ^^'
pourquoi écris-tu, Sarah ? Je te le demande sans arrière pensée ou sous-entendu, je voudrais juste le savoir.
Je ve pas te le cacher: ton commentaire m'as dait un peu, beaucoup, de peine. Voilà. C'est dit.
Du positif? super!
ah... les fautes. j'ai pas du tout fait gaffe! je suis nulle en orthographe mais là à en faire 2 par phrase...
En fait, j'ai lu plusieurs fois des flash back comme j'ai fait et ça m'avait plus. J'y réfléchirai.
La partie de drago t'as plus car il n'est plus le grand mauvais? yes! c'est ce que j'ai essayé de faire. Et le je dors, j'aurais du le remplecer par je reve.
et merde! merde merde merde (exuse moi). je sais, clara est un personnage totalement NULLE.
Pourquoi j'écrsi? Et toi? Et pouquoui cete question?
J'écris car j'aime écrire(même si m'est histoire ne sont pas vivante) et que j'aime raconter des histoire (pas vivante).
Merci pour ton commentaire, vraiment mais exuse moi, démoralisant. Je remet en compte m'on envie d'écrire.
Mais quand mêm merci. Bisou <3