Chapitre 7 : Ordre
Bzzzz…Bzz…Bzzz… Sixième brigade, nous avons besoin de votre aide ! Une armée de monstre nous attaque en ce moment même au point Alpha 7, de latitude 48.858370 et de longitude 2.294481. Envoyer immédiatement quatre cents soldats pour nous apporter de l’aide ! Bzzz…Bzz…
- Général, que faisons-nous ? Nous manquons de soldats, on peut se permettre d’en envoyer autant pour les aider ?
- Malheureusement, non, nous manquons nous-même d’effectifs, et on risque de se faire attaquer si on envoie autant de soldats pour un territoire déjà potentiellement perdu… Appeler les commandants des différentes factions mise en place depuis l’apocalypse, je veux faire une réunion au sommet !
- Très bien général, nous envoyons des missives immédiatement.
A l’intérieur de Paris et de partout dans le monde, de nombreux groupes d’environs deux à cinq-milles soldats s’étaient regroupé et tentaient de survivre et de secourir le plus de civils possibles, après cinq jours depuis l’apparition de monstres que tous désormais appelaient l’Apocalypse, les brigades avais secouru un totale de deux millions de civils uniquement à Paris, cependant, plus d’un milliard de victime était déjà à déplorer à l’échelle internationale, mais tout espoir n’était pas perdu, le nombre de nouvelle victime baissait chaque jour, dévoilant une certaine résistance des survivants et des armées internationales ainsi qu’une stabilisation de la situation.
Lors de l’apocalypse, plusieurs des généraux et des hommes politiques influents tels que les ministres avaient disparus, un message radio avais prévenu les différents groupes de résistant que le président avait pu fuir l’Élysée avant qu’elle ne se fasse attaquer, mais il n’y avait plus de nouvelle depuis près de quarante-huit heures, les armées étaient donc livré a eu même, malgré cela, les hiérarchies et l’ordre avais été préservé.
La sixième brigade se trouvait dans la banlieue de Paris, a environ quarante minutes du centre-ville, le temps pour aller dans le centre-ville avait été multiplier en raison des routes obstrué et du fait que la zone n’avait pas encore été cartographiée. Il comptait environ deux-mille soldats, la plupart n’avaient jamais été envoyés sur un champ de bataille, et la vie était dure, chaque jour, il avait de nouveaux problèmes, actuellement, le problème principal qui se posait était le manque de vivres, en effets, le nombre de vivres trouvé se tarissait de plus en plus, premièrement, car ils allaient toujours au plus près pour chercher de la nourriture et de l’eau, mais aussi, car les monstres eux-mêmes dévorais les réserves. Avec les vivres déjà en leurs mains et en faisant attention aux rations, il devrait y avoir assez de nourriture et d’eau pour encore deux semaines ; ce qui est vraiment peu.
Environ dix minutes après que le général de la sixième brigade ais demandé la venue de tous ses principaux éléments, ces derniers arrivèrent dans le nouveau quartier général qui n’était autre qu’une ancienne maison presque entièrement intacte.
- Bonjour mon Général. Dirent chacun des douze commandants qui avaient été récemment promus, faute de membres hauts placés.
- La situation est grave, les monstres ne cessent de prendre des terres nous appartenant, la troisième brigade en plein centre de Paris est proche d’être éradiquée, de plus, nous manquons de vivres, que me proposez-vous pour remédier à cela ?
- Excusez-moi général, mais pourriez-vous nous faire un rapport sur la situation depuis l’Apocalypse, nous ne sommes pas tous au courant de tout, et cela nous ralentis dans notre travail ? Demandait timidement l’un des douze.
- Bien sûr, l’Apocalypse a eu lieu il y a cinq jours, lors de cette funeste journée, de nombreuses brèches se sont ouverte partout dans le monde, et des monstres en tout genre en sont sortis. À Paris, ce sont des espèces de gobelin apparemment nommé Yabans, ils sont petit, agile, et très dangereux en grand nombre, ils ne cessent de sortir des crevasses et nous avons du mal à les repousser.
- Ne pourrions-nous pas envoyer des avions pour les abattre depuis le ciel ?
- Cette solution a déjà été testée, mais d’énormes dragons semblent voler au-dessus des nuages, ils ne descendent pas, mais anéantissent tout appareil volant qu’ils ne reconnaissent pas. De plus, dans les quarante-huit heures après l’apparition des monstres, d’étranges phénomène se sont produits, des fenêtres semblables à celles des jeux-vidéos apparaissent devant les humains, elles donnent apparemment des missions, bien que je n’en aie jamais été témoin. En même temps que ces phénomènes surnaturels se produisaient, de nombreux groupes de soldats sont venus en ville pour sauver les civiles, ils ont déjà subi plusieurs milliers de pertes humaines, mais nous arrivons à repousser les monstres pour l’instant. Maintenant, que la situation est clarifiée, dites-moi quelles solutions vous proposez !
- Je pense que nous devrions envoyer des soldats pour aider la troisième brigade, pour les vivre, nous avons déjà installé des champs, mais il faudra effectivement chercher de la nourriture en attendant que nous puissions récupérer le fruit de nos plantations, surtout que nous somme encore en hivers. Je suggère que nous envoyons plusieurs petits commandos de quatre à cinq soldats dans plusieurs directions avec des camions, ils partiront en expéditions vers les grandes surfaces ou les entrepots pour récupérer le maximum de nourriture.
- On voit que tu as déjà connu la guerre et la famine lieutenant Edouard ! Tu feras toi-même partis d’une des expéditions, tu es après tout l’un des meilleurs tireurs à notre disposition. Pars immédiatement, prends les soldats que tu veux, nous autres, nous allons continuer la réunion.
- Bien Général ! Termina Edouard en faisant un salut militaire.
Il partit de la tente peu après et prit directement la direction des campements de soldats pendant que la réunion au sommet se poursuivait. Durand sa route, il passait devant les hôpitaux de fortune ou tous les médecins militaires étaient débordé à cause des nombreux blessés qui arrivaient chaque heure, les hôpitaux étaient organisé en plusieurs secteurs : les blessés légers, graves, en dangers de mort, il y avait également une zone ou les soldats entassaient les cadavres avant de les brûler… Ils ne pouvaient malheureusement pas les enterrer, et ils ne pouvaient pas non plus les garder, cela risquerait de propager des épidémies mortelles. Enfin, une grande zone était privilégiée aux civils traumatisés ou qui étaient tombé dans la folie suite à l’apocalypse.
Edouard arrivait quelques minutes plus tard aux campements des militaires. Il s’approchait d’un micro qui permettait à tout le campement d’entendre et commençait à appeler des soldats.
- Jack Lefebvre, Juliette Dubois, Maxime Renault, Pauline Moreau, Thibault Moreau, vous êtes immédiatement demandé au poste de commandement !
Quelques minutes plus tard, les cinq soldats arrivèrent, ils semblaient fatigués, ce qui était compréhensible, ils devaient beaucoup aider de partout dans la base. L’un d’eux, Maxime, un soldat de trente-sept ans avec dix ans d’ancienneté dans l’armée, pris la parole d’un ton amical :
- Vous faites chier lieutenant, j’étais en train de me la couler douce… Euh, non, je dormais !
- Eh ben justement ! Comment se fait-il que l’un de nos meilleurs éléments se la coule douce ? Où ne sois pas sur le terrain pour combattre les envahisseurs ?
- Lieutenant, je vous trouve bien froid avec vos soldats, vous devriez…
- Ça suffit ! Je vous sollicite tous les cinq pour former une escouade sous mon commandement, nous avons pour mission de partir en direction des grandes surfaces et des marchés afin de récupérer des vivres, est-ce bien compris ?
- Oui Lieutenant ! Répondirent-ils tous en cœur en faisant un salut militaire.
- Pour la France ! Déclara-t-il d’une voix forte et déterminée en levant haut le poing.
- Pour la France ! Continuèrent-ils en criant.
- Une fois l’appel effectué, tous partirent en direction du campement pour s’équiper, ils prirent ensuite quelques vivres dans le cas où ils partiraient pour plusieurs jours, puis se réunirent tous les cinq dans les hangars improvisés ou de nombreux véhicules militaire attendaient d’être sollicité.
Les cinq soldats et le lieutenant lui-même étaient très différents physiquement, premièrement, Le lieutenant Edouard était un homme dans la quarantaine, il était très musclé, mais n’avais pas une forte carrure et pouvais facilement se fondre dans la foule quand il le souhaitait, il était dans l’escouade le plus expérimenté, avec près de vingt-cinq ans au service de l’armée, en effet, il avait rejoint l’armée avant même d’avoir atteint la majorité en falsifiant ses papiers, aujourd’hui, il a un casier blanc après avoir avoué son crime. C’était un homme aux cheveux noirs mi-long, il avait une cicatrice au coin des lèvres et de nombreuses autres sur tout le corps, ses dernières durent causer par des tirs de balles ou par des fragments de grenade à fragmentation, pour le caractère, il était assez dur, mais il aimait rire et s’amuser avec ses coéquipiers.
Jack Lefebvre était un soldat de vingt-huit ans, le plus jeunes des six, depuis son plus jeune âge, il était formé par ses parents à vivre dans la nature, à tuer et à se nourrir de ce qu’il pouvait, il avait les cheveux auburn, ce qui lui donnait une légère teinte rougeoyante, il faisait un mètre soixante-quatorze, était très agile, il était d’ailleurs surnommé le soldat assassin en raison de sa grande vitesse et de ses mouvements à la fois fluide et complexe. Durant l’une de ses missions, il avait même escaladé un immeuble de quatre-vingts mètres de haut pour éliminer un opposant de son camp. Psychologiquement, il était plutôt solitaire, il avait vécu de nombreux traumatismes tels que la mort de ses parents à seulement huit ans, il avait du mal à rire et prenait tout au sérieux, il n’hésitait pas à tuer s’il le fallait, après la mort de ses parents, il fut recueilli par une agence de mercenaire clandestin d’Iran jusqu’à ces quinze ans ou il extermina tous ces camarades avant de s’enfuir avec l’armée française qu’il décida de soutenir.
Juliette Dubois était une femme de trente-trois ans, blonde et mesurant un mètre soixante-dix-neuf, elle était très musclée, un corps et un mental d’acier, maîtrisait les arts martiaux et avais déjà tuer des hommes de sang-froid, elle était toujours en train de s’entraîner, de faire de la musculation ou de s’entraîner au tir. Elle était joyeuse en temps normal, mais pouvait vite s’énerver, elle ne tenait pas l’alcool et avait déjà failli tuer certains de ses coéquipiers par inadvertance, mais le lieutenant dont elle était amoureuse arrivait toujours à la calmer. Elle était instable psychologiquement.
Maxime Renault était comme dit précédemment un soldat vétéran de trente-sept ans, le comique de la bande, il avait déjà participé à plusieurs guerres, mais avait toujours gardé son sourire. Il avait grandi dans un bidonville peu connu, et il ne se plaint jamais sauf si c’est pour provoquer le rire, lorsqu’il boit trop, il parle légèrement de son passé avec un air triste, il est reconnaissant envers son lieutenant de l’avoir sortie de la misère et de la peur constante.
Pauline Moreau était le stratège, elle élaborait toujours des stratégies pour ces camarades casse-cou qui fonçaient toujours sans réfléchir, seul Thibault, son mari, suivait toujours ses ordres et ne fonçait pas dans les bagarres, elle a maintes fois sauvé ses compagnons dans des situations qui semblaient insolubles.
Le dernier, Thibault Moreau, est un homme de deux mètres de haut, c’était le seul qui suivait toujours les ordres à la lettre, il avait une carrure semblable aux bodybuilders et avais une bonne capacité à viser et à tirer, il passait souvent en première ligne pour protéger ses compagnons et sa patrie. C’est celui des six qui est la plus « normale » en tant que soldat.
Le lieutenant arriva peu de temps après avec de gros sacs remplis d’arme de rechange et de munition qu’il portait à l’aide de quelques soldats, les sacs devaient peser dans les cinquante kilogrammes. Ils ont ensuite mis les différents équipements dans un camion, puis se séparèrent en groupe de deux pour prendre plusieurs camions, sois trois au total, ils en remplissant les trois camions à leurs capacités maximales, il y aurait assez de nourriture pour tout le camp pour une durée de trois jours.
Ils partirent immédiatement après avoir récupéré les clés des véhicules et partirent en direction de la ville.
J'espère que tu vas bien, c'est mon tour de venir lire ton chapitre.
Alors tout d'abord : j'ai trouvé intéressant que tu changes de point de vue ! C'est bien, ça nous donne une image plus large de l'histoire, de ce qui se passe autour.
Les descriptions de l'escouade sont peut-être un poil longues, ça faisait assez listé. Si ce sont des personnages qui reviendront dans l'histoire, je peux te suggérer de disséminer une partie de ces descriptions quand on verra des actions concrètes ! (notamment certains traits de caractère).
Sur le texte même :
"De plus, dans les quarante-huit heures après l’apparition des monstres, d’étranges phénomène se sont produits, des fenêtres semblables à celles des jeux-vidéos apparaissent devant les humains, elles donnent apparemment des missions, bien que je n’en aie jamais été témoin." donc ce n'est pas la totalité des gens qui "participent" au jeu ? Intéressant.
"mais il faudra effectivement chercher de la nourriture en attendant que nous puissions récupérer le fruit de nos plantations." -> Que se passe-t-il en dehors de Paris ? Parce que je crois savoir que pas si loin de la capitale, il y a les plus grosses productions agricoles (céréalières) de France, aussi un garde-manger préexistant n'est pas si loin ! Et en général, les grandes surfaces sont les premiers endroits à être pillés quand il se passe quelque chose d'inhabituel ! Donc je doute que ce soit une réserve sûre.
Petit détail sur le prénom "Edward" -> puisque l'action se passe en France, j'aurais tendance à te dire de franciser le prénom : "Édouard". Idem pour Jack (Jacques).
"de faire de la musculation" -> l'expression est assez orale, puis un peu redondant avec le fait que tu dis juste avant qu'elle est très musclée. Tu peux par exemple dire qu'elle passait son temps à la salle de musculation pour varier un peu en gardant l'idée.
"Elle était instable psychologiquement." -> je pense que tu peux retirer cette remarque : il vaudrait mieux le montrer au cours du récit, par des actes, ou des remarques des gens qui la connaissent plutôt que dans la narration, où elle est un peu abrupte !
"comme dit précédemment" -> ce n'est pas idéal dans la narration, cette tournure ! Mieux vaut ne pas le dire précédemment, ou tout mettre précédemment, mais ne pas dire "je reviens à ce que je disais précédemment" ^^
Dans le début de texte j'ai trouvé une belle amélioration dans les concordances de temps ! Par moment tu reviens à passer du présent au passé sans prévenir, mais il y avait un bel effort quand même.
Ce que je peux te suggérer, pour améliorer encore, ce serait de lire à voix haute ton texte. Je pense que tu sentiras mieux les moments où les changements de temps ne sont pas bons. Sinon, si ça ne marche pas, cherche les conjugaisons au passé simple et à l'imparfait et pioche dedans :)
Il y aussi des fautes d'orthographe, mais pareil, je te dirai que la relecture est la clé.
À bientôt :)
J'espère que tu te portes bien, je suis moi-même de retour sur le site alors j'en profite pour lire ton chapitre.
À vrai dire, je suis mitigé. Tout d'abord, il y a une détérioration de ton orthographe par rapport aux chapitres précédent et tu perds un peu la dessus. De plus, quelques incohérences dans ton récit. Pour le positif, on apprécié d'avoir une appréciation de l'ensemble de la situation, on comprend l'apparition de nouveaux personnages qui semblent être très importants vu la description individuelle que tu fournis d'eux. Petite suggestion : "apocalypse" devrait donc prendre une majuscule à chaque fois. Et : "- Une fois l’appel effectué, tous partirent en direction du campement pour s’équiper, ils prirent ensuite quelques vivres dans le cas où ils partiraient pour plusieurs jours, puis se réunirent tous les cinq dans les hangars improvisés ou de nombreux véhicules militaire attendaient d’être sollicité." vu que ce n'est pas un dialogue, tu peux supprimer le tiret.
À bientôt
Gardar
Pourrais tu si possible me donner les incohérences que tu as vue s'il te plaît ?