Chapitre 9

Notes de l’auteur : Voilà l'arrivée de "l'héroïne principale". J'espère que vous aurez du plaisir à découvrir cette seconde partie d'histoire.

Edité le 12 juin

Paris

 

Dans une rue pavée bien connue pour ses bars, près de la Bastille à Paris, l'ambiance électrisante était à son paroxysme, amplifiée par le match de rugby diffusé en direct sur des écrans suspendus. Les cris enflammés et les hurlements de joie des supporters résonnaient, faisant vibrer les murs à chaque essai marqué et à chaque plaquage spectaculaire.

Un serveur aux cheveux blonds décolorés naviguait entre les tables avec agilité, esquivant les gestes débordants de certains clients. Des rires tonitruants et des cris enjoués formaient un fond sonore au fond du bar où deux amies se retrouvaient. Morgane esquissa un sourire éblouissant en remerciant le serveur qui déposait leurs deux cocktails, un mojito pour elle et une sangria pour Juliette. 

— À nous ! dirent simultanément les deux jeunes femmes en trinquant.

Juliette, une détective privée au physique de petite brunette arborant une coupe pixie, venait de conclure un gros contrat. Morgane, une grande blonde franco-suédoise, avait récemment publié sur sa chaîne YouTube un sujet explosif qui avait généré un grand nombre de vues et suscité l'intérêt de la presse professionnelle. Elles profitaient de ce moment de répit pour célébrer leurs succès et leur amitié, au cœur de la foule exubérante.

— Alors, tu me disais que tu avais quelque chose à me dire, c'est un nouveau contrat intéressant ? demanda Morgane. 

— Tu sais que je n'aime pas ce terme. Je laisse les « contrats intéressants» à Patrick, c'est lui le patron qui s'occupe des grosses affaires. Moi, je préfère les demandes de personnes disparues ou les contrats de renfort sur des affaires criminelles. Non, aujourd'hui ce n'est pas une nouvelle du boulot, mais quelque chose de personnel, s'exclama Juliette avec les yeux pétillants.

— C'est à propos de Thomas ? Questionna Morgane en prennant la main de son amie, un sourire entendu flottant sur ses lèvres.

— Il m'a fait sa demande ! Est-ce que c'est toi qui l’as aidé pour l'alliance ? Demanda Juliette.

— Bien sûr ! S'il avait essayé tout seul, il n'aurait même pas eu le temps d'aller chez le bijoutier. Tu es trop méfiante. Ça fait trois mois que je lui ai donné ta taille de doigt et les modèles que tu voulais. Il a pris son temps. 

— Tu sais comment il est, plongé dans son travail au laboratoire et ses analyses. En même temps je n'étais pas mieux avec mes déplacements professionnels, soupira Juliette.

— En tout cas, j'ai hâte d'y être. Vous prévoyez de le faire ici ou dans ta famille ? 

— Dans ma famille, il y aura plus de place pour loger les invités et Thomas voudrait un château gonflable géant dans le jardin pour occuper tous les enfants. Un de ses clients lui a proposé de lui prêter pour un week-end, et il a saisi l'occasion.

— Avec les alliances et le château, vous êtes prêts, pouffa Morgane. 

 Juliette roula des yeux et pinça les lèvres comme à son habitude quand Morgane faisait de l'humour. 

— Et toi ? Quand est-ce que tu me présentes ton prince charmant ? La nargua la brunette.

— Le jour où je trouverai quelqu'un qui ne me prendra pas pour une blonde stupide faisant des vidéos YouTube sans avoir regardé les sujets, qui sera capable de me laisser ma liberté et de supporter mes fréquents déplacements. 

— Et qui te fera vibrer ! 

— T'as tout compris, Miss Marple ! 

— Mais je t'en prie, Miss Scully ! 

— Il faudrait changer nos surnoms, ça date, répliqua Morgane.

— Nannn, tu les adores.

Elles éclatèrent de rire en reprenant une gorgée de leurs boissons.

 

***

 

De retour dans son appartement, Morgane s'affala sur son lit après une douche rapide pour se débarrasser des odeurs du bar : tabac, transpiration et parfums en tout genre s'étaient imprégnés dans ses longs cheveux. Ces derniers étaient fins et soyeux, un véritable nid captant chaque molécule odorante. Sa meilleure amie, Juliette, se moquait souvent gentiment d'elle, devinant où elle était allée rien qu'à l'odeur de ses cheveux.

Elle sentait encore ses oreilles vibrer à cause du bruit assourdissant du bar, mais cette soirée avait été riche en émotions. Avant de dormir, elle jeta un coup d'œil à ses e-mails et parcourut rapidement les dernières actualités sur son réseau. Un message attira particulièrement son attention. L'intitulé évoquait des « Disparition à Paimpont » . Elle décida de le mettre de côté pour l'étudier en détail après une bonne nuit de sommeil, avec un œil frais.

 

***

 

La lumière du matin s'insinua doucement dans l'appartement de Morgane, jouant avec les reflets sur les murs. Ayant oublié de fermer ses volets, elle plissa les yeux, encore un peu engourdie de sa soirée au bar.

Installée avec son café, Morgane parcourait distraitement son ordinateur portable, traitant les différents messages du lundi matin : demandes de partenariats, publicités, commentaires de ses abonnés.

Ayant terminé un gros projet, elle cherchait déjà son prochain sujet pour ses publications à venir. Depuis deux ans, elle proposait un gros reportage trimestriel et une à deux petites publications mensuelles. Elle offrait également ses services de journaliste indépendante pour la presse ou des chaînes d'information, comblant souvent le besoin de « petites mains» pour la recherche, les interviews et la planification d'articles.

Le courriel de la veille concernant une disparition en Bretagne retint son attention. 

Le message semblait authentique, provenant d'une certaine Suzanne, très préoccupée et désireuse de la rencontrer. Cette Suzanne signalait la disparition d'Elara Ziani, une jeune touriste parisienne en vacances dans la région, la police refusait d'enquêter en raison du manque de traces d'agression. Intriguée, Morgane décida de la contacter directement par téléphone.

Après quelques sonneries, une voix féminine répondit. Morgane demanda des détails supplémentaires.

— Suzanne, pourquoi rejettez-vous l'idée qu'elle soit partie d'elle même de son bungalow ? 

— Son logement était en ordre, mais elle a laissé son téléphone sur place. Ça ne lui ressemble pas de partir subitement en laissant un frigo presque plein. Elle a abandonné son vélo, et le lieu n'est pas accessible en voiture.

— Et sa famille, n'est-elle pas au courant de son départ ? Demanda Morgane.

— La police m'a dit que comme c'était une femme adulte responsable et en l'absence de signes distinctifs dans son logement ils ne feront pas de recherches, expliqua Suzanne, la voix chargée d'émotion.

— les disparitions sans prévenir sont fréquentes, Qu'est-ce qui justifierait une recherche celon vous ? 

— Je ne vous ai pas tout dit par mail. Mais ce n'est pas la première disparition dans la région. C'est une zone boisée et ma tante m'a parlé d'autres cas il y a des années. 

— Et pourquoi m'avoir contactée ? Je suis journaliste, pas détective privée. 

— Une personne qui suit votre chaîne m'a parlé de vous. Des disparitions mystérieuses au cœur d'une forêt pleine de légendes, ça ferait un bon sujet, non ? Répliqua Suzanne la voix tremblante.

Morgane sentait les rouages s'enclencher dans sa tête, cette histoire lui parlait et cette fois-ci, elle n'aurait pas à se mettre en danger. 

Elle imaginait déjà la manière de structurer son reportage, combinant les mythes et légendes locales avec la problématique des disparitions de personnes adultes en France. Elle envisageait d’effectuer des recherches préalables, et elle savait que Juliette serait d'accord pour l'aider si elle avait besoin d'informations supplémentaires.

—  Très bien, repris Morgane. Je ne peux pas garantir que je pourrai faire quoi que ce soit pour votre amie, c'est davantage le domaine des détectives privés. Mais cela pourrait effectivement faire un bon sujet, et si je trouve des éléments qui corroborent vos craintes, cela pourrait peut-être débloquer la situation avec la police.

Elle prit toutes les coordonnées nécessaires et commença à planifier ce dont elle aurait besoin avec énergie. Dès qu'un sujet la captivait, elle était survoltée.

Assise à son bureau, elle parcourut les informations disponibles sur Paimpont. Après quelques heures de recherches, elle dressa la liste des lieux principaux à visiter, rassembla les coordonnées de personnes locales à interroger, et réserva son premier hébergement.

Alors que le bruit de la pluie tambourinait sur les fenêtres, Morgane commença à faire sa valise. Caméra légère sur perche, trépied pour son téléphone, carnet, ordinateur... elle veilla à ce que chaque élément soit bien en place.

Sa journée avait été bien remplie et, dans son excitation, avait oublié de déjeuner. Elle se prépara rapidement un plat de pâtes au pesto tout en consultant son téléphone : un message de son oncle Hans qu'elle ignora pour le moment, ses abonnés qui laissaient des commentaires, et une demande en attente d'un journal. Elle répondit au journal pour l'informer qu'elle serait en déplacement, puis appela Juliette tout en avalant une bouchée de pâtes.

Le grognement contrarié de Juliette résonna au bout du fil. 

— Salut, ma belle ! Devine quoi ? Demanda Morgane joyeuse.

— Tu t'es trouvé un mec dans la nuit après être rentrée bourrée ? Répondit Juliette en emettant un baillement sonore.

— Raté! Un nouveau sujet m'est presque tombé dessus dans la nuit, ça va me changer des histoires de corruptions. Le titre serait : "Les disparues de Brocéliande, entre mythe et réalité" annonça Morgane emballée.

— Classique mais accrocheur ! Dis-m'en plus, ça me botte, il y a un petit côté Blair Witch. 

— Je me doutais que ça te plairait, répondit Morgane avant de lui expliquer en détails toute l'histoire.

Après quelques minutes, Juliette bien reveillée était à son tour enthousiaste pour le nouveau projet de son amie.

— Je récupère la voiture chez Christopher demain soir et je file, continua Morgane.

— Il te passe encore sa voiture ?

— Ça rassure mes oncles que je ne fasse pas de covoiturage. D'ailleurs oncle Hans m'a envoyé un message, ça sent la visite impromptue.

— Ça me rendrait dingue d'avoir des oncles qui me maternent autant. Ils ne sont pas assez occupés avec leur famille ? 

— Tu sais que tout ce qui est en rapport avec ma mère est sacré pour eux, avant que Maman se remarie, c'est eux qui m'ont presque élevée, plus que mon beau-père. 

— Ouai ouai, je sais. Mais tu as une demi-sœur... tu n'es plus la seule fille ! S'exclama Juliette.

— L'un n'empeche pas l'autre... D'ailleurs tu connais la dernière de Hans ?

— Il s'est inquiété que tu ne lui aies pas ouvert quand tu te douchais !

— Pff! Non, pouffa Morgane. Il a paniqué parce qu'il a vu le t-shirt de ton Thomas plié sur ma machine. Il a cru que j'avais une relation secrète et pendant deux semaines, il était dans tous ses états. 

Juliette éclata de rire, cette fois-ci bien réveillée.

— En fait, ce n'est pas ton boulot qui va t'empêcher d'avoir un homme, c'est ton oncle... Il se souvient que tu as vingt-cinq ans ? 

— Parfaitement, il est même venu m'apporter des croissants le matin de mon anniversaire chez moi. Trop gentil !

— Tu es désespérante... Ne te plains pas si tu deviens vieille fille, soupira Juliette.

Morgane rit en guise de réponse et elles terminèrent leur discussion en parlant des dernières actualités qu'elles n'avaient pas pu évoquer à cause du bruit dans le bar.

Elle se coucha peu après, sachant qu'elle devait se lever tôt pour terminer ses préparatifs et faire quelques achats. Le sommeil l'emporta rapidement, comme toujours.

 

***

 

Elle émergea quelques heures plus tard, fraîche et dispos, lancée dans sa routine matinale. Elle espérait éviter Hans, qui ne manquait pas de trop s'inquiéter dès qu'elle allait quelque part. Morgane adorait ses oncles, mais lui et Chris la voyaient encore comme une petite fille qui devait être protégée. Même en ayant choisi le journalisme, en se confrontant à des aspects très sombres du monde ou de la société, cela ne leur suffisait pas. Quelque part, elle voulait leur prouver qu'elle avait les épaules pour s'assumer, qu'ils pouvaient arrêter de se soucier d'elle comme ils l'avaient fait avec sa mère plus jeune, plus romantique et naïve qu'elle.

Isabel Meyer, sa mère, s'était retrouvée enceinte à dix-sept ans, encore étudiante, sans conjoint et ses deux grands frères, Christopher et Hans, l'avaient couvée, protégée, lui avaient permis de finir ses études d'art et de mener la vie qu'elle voulait dans l'insouciance. Morgane, ayant été élevée dans l'amour et l'attention constante de sa mère, de ses deux oncles, de son beau-père et petite, de ses grands-parents déjà vieux, n'avait cherché à connaître ses origines qu'une fois adolescente.

Elle savait qu'elle avait un père quelque part, mais avait décidé que ça ne valait pas la peine de rendre sa mère triste en la questionnant. 

À ses vingt ans, à la naissance de sa demi-sœur, ils avaient déménagé et elle avait retrouvé de vieux messages que sa mère gardait ainsi que des dessins de ses années étudiantes dans un placard. 

Elle avait fini par découvrir le nom de son père biologique : Karl Lindström. Profitant de ce déménagement pour prendre son indépendance et poursuivre ses études de journalisme, elle avait décidée de rechercher son père. C'est à cette occasion qu'elle avait fait la connaissance de Juliette, devenue sa meilleure amie et qui était la seule à savoir qu'elle avait retrouvé Karl.

Elle soupira, ce n'était pas son genre de ressasser le passé, mais cette histoire de disparitions lui rappelait quelque part le passé de sa Maman. Hans avait peut-être raison de se soucier d'elle, sa mère se laissait volontiers choyer et porter par le courant, elle était prévisible, contrairement à elle qui vivait en esprit libre et n'avait aucun souci à cacher sa découverte à sa famille.

Elle ressentait parfois des remords, mais Paul, son beau-père, et sa demi-sœur ne méritaient pas qu'elle remette le passé de sa mère sur le tapis. Elle avait quitté le nid familial, ils formaient un couple adorable et uni. Paul avait été un beau-père stable, respectueux envers elle et ils avaient le droit de goûter à un bonheur simple.

Après avoir préparé son matériel elle décida d'appeler sa mère.

— Salut, ma chérie ! Dit la voix chaleureuse d'Isabel au bout du fil.

— Coucou Maman, je vais partir quelques temps en Bretagne pour un reportage. Si Oncle Chris ou Hans te posent la question : rien de dangereux à l'horizon, RAS.

— J'ai vu ton dernier sujet, ça m'a donné froid dans le dos. Comment ça se fait que les médias n'en ont pas parlé avant ?

— Tu sais bien que c'est compliqué pour les reporters et journalistes de traiter de certains sujets librement. Personne ne donne de budget pour aller fouiller dans les comptes de gros bonnets et mettre en avant des histoires de corruption.

Morgane n'évoqua pas le fait qu'elle avait reçu une protection policière après la publication de son reportage et que cette histoire pourrait peut-être lui retomber dessus un jour.

— Tu ne veux pas faire une petite pause après ça ?

— Je verrai Maman. Je voulais juste te prévenir pour que tu ne t’inquiètes pas de mon absence, tu sais que je ne suis pas toujours joignable quand je travaille.

— Bien sûr ! Prends soin de toi. Tu me diras quand tu reviens, Hans a insisté pour être tenu au courant.

— Je vais lui passer un coup de fil quand je serai sur la route, répondit Morgane en soupirant.

— Il ne va pas être content...

— Je me doute, mais avec lui si je ne prends pas des mesures drastiques, il passerait son temps chez moi. Je me sens déjà assez coupable d'être une des raisons pour lesquelles lui et Nadia ont divorcé. Je ne tiens pas à ce que mes cousins m'en veuillent d'accaparer leur père.

— Tu sais bien que tes cousins te considèrent comme leur sœur et c'est son boulot la raison principale de leur divorce, pas toi... Au moins elle n'avait pas à s'inquiéter qu'il ait une maîtresse, elle savait exactement où il était.

Morgane pouffa, étonnée que sa mère plaisante sur le sujet.

— Pas faux, c'était un peu malaisant qu'elle m'appelle pour dire à son mari de rentrer dîner. N'empêche, il passe son temps libre avec moi plus qu'avec ses fils.

— Que veux-tu, il t'aime. Christopher aussi, bien sûr.

— Oui, mais Hans c'est un autre niveau. Chris s'est calmé depuis le divorce d'Hans, il a sa femme pour le canaliser. Bon ! Il faut que je boucle mes valises.

— Bon courage ma chérie, je t'embrasse fort !

— Bisous Maman ! Je t'aime.

Enfin, le moment arriva de prendre la route. Morgane chargea son équipement et ses courses dans la voiture que son oncle Christopher laissait à disposition pour ses déplacements, organisant chaque élément avec soin. Après un message tendre et rassurant à chacun de ses oncles, restant vague quant à son projet, elle boucla sa ceinture et sentit l'excitation monter à mesure que les kilomètres défilaient. 

Paimpont l'appelait, ses mystères l'attendaient et Morgane était prête à les découvrir.

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Bleumer
Posté le 07/03/2024
Voilà une nouvelle héroïne qui semble bien sympathique!^^
Encore une fois, sépare bien dialogues et narrations et un peu plus de verbes de parole, j'ai bien dû relire 3 ou 4 fois pour comprendre qui disait: "Est-ce que c'est toi qui l’as aidé pour l'alliance ?"
Après, c'est purement personnel mais peut-être les phases de dialogues sont-elles trop longues. je me suis un peu perdu dans la deuxième partie avec toutes les histoires de tonton que je suppose (peut-être à tort) qu'on ne retrouvera pas plus tard. Cela donne un peu de background au personnage mais ça n'a pas l'air nécessaire ou alléger un peu en limitant les échanges. Exemple factice:
"Tonton est un farceur.
-Oh oui, quel déconneur!
-C'est vrai mais ça agace mon père!"
A changer en:
"Tonton est un farceur mais ça agace mon père!"
Papayebong
Posté le 27/03/2024
C'est clair que si je dois fractionner les dialogues importants, je vais aussi devoir rendre ça plus concis et tailler dans le lard pour réduire tout ça si je ne veux pas gagner 50 pages en plus pour "rien". J'en suis déjà à 502 pages... ça fait long pour une romance.
Et pour le tonton je ne dirais rien, maiiiiis, ce n'est pas que du background ;)

Papayebong
Posté le 12/06/2024
J'ai un peu retravaillé les dialogues ici. Les rappels de personnages, synthétiser certains passages et en supprimer d'autres.
EmmaLy
Posté le 09/01/2024
Hello,
Je crois que j'ai repéré une petite erreur de temps au début du texte "s'est insinuée doucement" tout est au passé, je ne comprends pas trop pourquoi c'est au présent ici.

Pour quelque chose de plus général sur ce chapitre, je suis bien prise dans l'histoire, pas de soucis, bon par contre, un peu déçue de ne pas être restée plus longtemps avec Elara et Lirion mais j'ai l'impression qu'il va y avoir plus d'action là, donc je te laisse m'embarquer dans cette nouvelle partie de l'histoire
Papayebong
Posté le 09/01/2024
Hey ! erreur corrigée... fichue correcteur qui m'a fait une modification de temps étrange -_- A force d'avoir le nez dedans, on ne voit plus.

Alors désolé de te décevoir, mais l'action met un peu de temps à se mettre en place... Dans la vrai vie, les journalistes ne sautent pas dans le feu de l'action comme ça, ils font beauuuuucoup de recherches préalables. (toi même tu as dépeints une journaliste et les enquêtes qui piétinent ça te connais hein!)
Mais, c'est quand même la trame principale de l'histoire.
EmmaLy
Posté le 11/01/2024
Ouais, des fois on pense avoir changé des phrases en lisant on voit la phrase telle qu'elle est dans notre tête et pas telle qu'elle est écrite, ce qui peut être gênant des fois. D'où l'intérêt des commentaires, hein ;)

Très bien, bon bah pas grave pour le piétinement hein, je vais donc aller piétiner gaiement avec ton héroïne dans la suite =D
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