Chapitre 9 :

-Viens t'asseoir là. Désolé je n'ai rien à t'offrir. Mais bon je me dis que je vis bien ici.

Swann s'assit et Amandine en fit de même face à lui.

-Tu voulais parler ? J'imagine que tu veux savoir comment est le roi au lit vu que tu vas bientôt en faire l'expérience.

Elle ricana doucement mais Swann lui ne rigolait pas. Après tout, il ne coucherait jamais avec le roi. Il fit un non de la tête et ouvrit son carnet et montra ce qu'il avait fait lire au roi il y a peu de temps. Il tendit son carnet à Amandine qui prit et lu. Elle regarda Swann avec regret. Le brun trouva ce regard étrange mais surtout encore plus aux paroles de la concernée.

-Je ne peux rien pour toi là dessus.

Swann reprit son carnet et écrivit ses observations lors du thé goûter. A la lecture de cela Amandine baissa le regard.

-Je...Peter a...comment dire...Il m'a violée avant la cérémonie.

Les yeux de Swann s'agrandissent, il ne s'attendait pas vraiment à ça. Il s'approcha de Amandine et l'enlaça. Il pensait que c'était le mieux à faire. Il avait subit beaucoup de torture que se soit physique et mental mais ça malheureusement il ne connaissait pas et ne savait comment réagir. Elle explosa en sanglots dans les bras de Swann. Ils restèrent ainsi durant quelques minutes puis le brun recula. Il lui apporta un mouchoir. Elle se moucha et avec un tissu elle s'essuya les yeux maintenant rouge et gonflés.

-Pardon d'avoir explosé ainsi en sanglots.

Swann fit un non de la tête et fit un geste compatissant. Il avait comme senti cette chose qui la torturait de l'intérieur la seconde concubine. Une torture discrète et laissant une marque invisible. Il fut quelque part ravi de ne pas avoir subi cela.

-Tu mérites de savoir j'imagine. Car tu risques d'avoir la même chose. Il...une fois qu'il jeté son dévolue c'est comme si tu avais le pied dans un piège et que tu ne peux te délivrer. Pour cela il ne faut qu'une chose. Le payer de son corps. Il m'a piégé la veille de la cérémonie. Il attendait que je retourne à ma chambre et il m'a plaqué à la porte de cette dernière. Couvrant ma bouche pour pas que je hurle. Puis il m'a dit que je lui plaisait. Qu'il me désirait et pour preuve il a collé son corps contre le mien et j'ai senti son...

Elle eut un frisson de dégoût en parlant. Swann ne fit rien, pas un geste ni un regard changeant car il avait peur que cela la coupe dans son élan.

-Puis il m'a menacé. Il m'a dit que si je ne lui cédais pas, il refuserait mon union avec le roi. Je ne pouvais pas laisser faire ça. Le roi m'avait choisi parmi beaucoup, il avait été gentil alors que je n'étais pas riche et de haut rang. Il m'avait donné une nouvelle vie ici et peu importe qu'il se montrait froid et qu'il ait tué la reine de ses mains. Je ne voulais pas que cette union vole en éclat alors j'ai cédé. Il m'a malmené durant des heures puis une fois satisfait il m'a laissé là sur le sol. Il ne m'avait pas marqué sachant que le roi coucherait avec moi pour parfaire cette union. Mais le mal était fait, j'étais détruite de l'intérieur. Je ne veux pas que ce cauchemar recommence avec toi. Tu es vraiment gentille Swann mais toi s'il t'arrive quelque chose tu ne pourra pas crier.

Swann prit son carnet et écrivit dedans. Puis il le tendit à Amandine qui lu.

-Pourquoi je n'en ai pas parlé au roi ? Car j'avais honte, pour sauver ce concubinage et ma vie au palais j'ai donné mon corps. D'ailleurs je me demande s'il n'avait pas des doutes car j'étais effrayé lors du premier acte. Il à un côtés violent et bestial certes mais il peut se montrer doux et attentif. Enfin tu vas découvrir ça par toi-même.

Swann acquiesça et se leva et récupéra son cahier. Il enlaça de nouveau Amandine et quitta la chambre de la seconde concubine. Il regagna sa chambre et sortit un papier et un crayon. Il commença à écrire ce que venait de lui raconter Amandine. Il avait repris son écriture plus masculine pour écrire la lettre en disant que cela allait sûrement se reproduire cette fois encore. Il ne signa pas cette lettre qu'il mit dans une enveloppe. Il allait là où le courrier était reçu et y glissa la lettre au nom du roi. Puis repartit à ses occupations mais surtout à sa torture du soir qui était plus intensive cette fois car elles savaient qu'elle ne pourrait plus le faire durant un temps. Elles seraient fortement demandées pour préparer la cérémonie.

-Tu n'as plus qu'une chose à faire le tuer. N'hésite pas.

Elle lui lança une dague alors qu'il était sur le sol. Une fois les domestiques sortit il saisit la dague. Il l'effleura elle avait quelque pierre précieuse que la poignée puis il ricana nerveusement.

-Un roi se doit de mourir avec la plus belle arme non ?

Il déposa l'arme devant sa coiffeuse et se regarda. Il n'était pas beau à voir. Il voulait que tout ça s'arrête. Mais avec tout ce monde maintenant dans le palais il aurait encore plus de mal à arriver à ses fins. Les invités venant de loin commençait déjà à arriver comme la venue d'un membre du clergé annonçait l’événement certain arrivait le même jour où le lendemain. Il soupira. Il n'aurait qu'une seule chance. Le moment où il sera seul avec lui. Juste avant de se faire démasquer, lors de l'acte charnel.

Le lendemain matin Louis alla réveiller le roi. Il l'habilla en lui confiant les nouvelles du matin. De qui arriverait dans la journée pour être présent à la cérémonie. Kalisto demanda d'ailleurs de renforcer les gardes au cas où les Dios cherchaient à entrer pour récupérer leur fille durant la cérémonie.

-La robe de Swann sera-t-elle prête à temps ?

-Oui elle est et elle la recevra demain matin.

-Avec un jour d'avance c'est plutôt une bonne chose. Pour sa tenue de cavalière elle en est où ?

-Les couturiers se sont affairés à la robe de cérémonie en priorité. Ils commenceront celle-ci après avoir tout terminé.

-J’imagine que ce n'est pas si mal. Ai-je du courrier ?

-Aujourd'hui vous avez la réponse de plusieurs comtes pour la cérémonie. Des demandes de concubinage de plusieurs femmes souhaitant votre compagnie. Deux demandes d’audience par des paysans. Oh et une lettre anonyme qui vous est adressée.

-Brûle les demandes de concubinage, accepte les demandes d’audience et enfin donne la lettre à mon nom.

Louis lui obéit et il alla dans son bureau. Une fois seul, il ouvrit l'enveloppe sans armoiries et ayant juste son nom. Il sentit cette dernière mais ne décela aucun poison. Il l'ouvrit et la lu. Sa tension monta en flèche.

-Voyez-vous cela ?

Il savait que cette lettre venait de quelqu'un du palais car on l'avait mise dans le courrier du roi. Elle ne présentait ni armoiries ni caches nécessaires pour le transfert de document. Il savait que c'était quelqu'un de forcément proche de Amandine et de Swann. Il pensa à un domestique. De part cette écriture beaucoup moins élégant que celle d'une femme. Il posa la lettre.

-Je doute que cela vienne de Louis. Il n'aurait pas fait tout ce petit stratagème pour en arriver là. Il ne se serait pas gêné pour me le dire en face. Mais qui ?

Il réfléchit mais ne trouva pas. Il doute que ce soit une domestique de Swann car elles n'étaient là que depuis un peu plus d'un mois. Elles ne connaissaient que peu la seconde concubine et ne l'a croisait que peu. Il restait donc les majordomes, domestiques, hommes et ou un chevaliers. Mais convoqué tout le monde était d'un complexe et pas sûr qu'il se livre car sinon il aurait donné son nom en bas de la lettre. Il soupira en s'affalant sur son fauteuil et en mettant les pieds sur son bureau tout en continuant de regarder la lettre. Elle semblait l'attirer.

-Je ne peux pas être sûr de ce que dit cette lettre. Mais je me vois dans l’obligation de vérifier. Si j'en crois cette lettre et les remarques de Swann sur le thé d'hier, il va recommencer demain soir. Je ne te laisserais pas recommencer Peter. Surtout avec elle.

On frappa à la porte. Le roi autorisa et Louis fit son apparition.

-Mon roi cette posture n'est pas digne de vous et de votre rang.

-Tu devrais savoir que je suis un vilain garçon quand on touche à mes jouets Louis.

-Oui mieux que personne.

Le roi sourit plutôt sadiquement et se replaça derrière son bureau. Maintenant il était prêt à voir sur son écrivain anonyme avait raison et que Peter passerait à l'attaque le lendemain soir dans le but de menacer la position de son invitée et protéger Swann Dios. 

Alors il décida d'attendre sans en parler à personne. Il préférait régler ça à sa manière, le prédateur face à un autre voulant s'approprier ses biens. La journée débuta et suivit son cours. Lors des regroupements il faisait attention aux gestes de Peter envers sa futur concubine. Mais ce dernier se montrait bien calme. Le soir venu Kalisto parla avec Louis lors de son bain.

-Tu peux faire surveiller Peter la journée. Le plus discrètement possible et dès ce soir.

-Quelque chose vous dis qu'il va se passer quelque chose ?

-Oui. Ce serait bien son genre.

Kalisto sortit de son bain et se vêtit de son linge. Louis s'inclina tout en lui disant que les audiences auraient lieu le lendemain. Le roi approuva et il se retrouva seul de nouveau. Il alla à sa fenêtre et vit au loin la chambre de Swann toujours éclairée. Il posa ses doigts sur la vitre froide. Il commença à la caresser délicatement, il vit dans le reflet de cette dernière ses yeux briller. Il sourit, il désirait. Puis il vit celle qui fait objet de tous son désir à sa fenêtre. Elle semblait dépareillée mais il n'était pas sûr vu qu'elle était si loin de lui. Il la vit fermer son rideau et il ne pouvait déceler que son ombre quittant ainsi la fenêtre et disparaissant dans le noir de la nuit car les bougies furent éteintes.

-J'espère que je ne vais pas me lasser trop vite cette fois. Mais bon étant entouré de mystère tu ne peux que m'émoustiller San.

Il quitta à son tour la fenêtre et se coucha vêtu seulement de son linge encore un peu humide et d'un sous-vêtement qu'il venait d'enfiler. Il tira un peu sur ses cheveux roux rougeâtre et se mit sous les couvertures. Il regarda la place vide à ses côtés. Il la voyait déjà, nu et endormi à ses côtés. Une vision qu'il verrait dans les jours qui suivent. Dans peu de temps il pourrait l'étreindre, l'entendre faire de léger son et enfin ne faire qu'un. Il en frémissait d'avance bien plus qu'il ne l'aurait imaginé. Elle était encore pure et il était hors de question que Peter y laisse sa marque. Il n'avait rien vu avec Amandine, mais il se doutait vaguement de quelque chose vu sa réaction lors de leur première nuit. Elle avait peur, il avait longtemps pensé que c'était un peu sa faute avec son côté froid et sanglant. Puis avec le fait de ce qu'on disait sur lui. Mais il avait été bien berné cette fois. Toutefois c'était la dernière fois que cela se produirait, il en fit le serment en trouvant le sommeil.

Au petit matin, Kalisto comme Swann furent réveillés. Swann par les couturiers apportant la robe et lui demandant de s'habiller à l'aide de ses domestiques pour les dernières retouches et Kalisto part Louis et son rapport du matin. Une fois prêt et ayant mangé son petit déjeuné il alla à la salle du trône où l'attendait ses audiences. Les paysans firent part de leur problème. Un champ ravagé et une maison effondrée. Il donna de l'argent au premier et envoya des chevaliers pour aider à reconstruire la maison sans oublier un peu d'or pour le mobilier. Le tout accompagné d'un regard froid et distant. Pour le bas peuple, Kalisto était un bon roi malgré sa froideur. Il accordait un plus grand privilège et un plus grand temps au plus pauvre comme il leur accordait souvent un peu d'or pour les aider.

-C'est tout pour aujourd'hui ?

-Oui sire.

-Bien où en est Swann ?

-Les dernières retouches sur la robe viennent de s'achever apparemment. Elle sera en votre compagnie pour le déjeuner comme prévu.

-Parfait et Peter ?

-Il est parti faire un tour dans les terres du domaine.

-Je vois.

-Quelque chose vous perturbe ?

-Je pourrais te dire oui ou non demain matin. Voir ce soir.

-Comme vous voudrez.

Au déjeuner, Kalisto regarda Swann qui mangeait mais toujours peu. Le roi se leva et prit place juste à ses côtés se qui surprit le brun. Il lui saisit le bras et regarda son poignet. Il sentait ses os sous ses doigts.

-Tu es encore maigre. Dis moi la vérité. Est-ce que tu t’affame car tu ne veux pas de la nuit à mes côtés ? Car je ne souhaite en aucun cas te casser.

Swann regarda le roi dans les yeux, il sentait son désir dans son regard puis il fit un non de la tête.

-San...demain tu seras mienne. Corps et âme je sais que cela peut faire peur comme c'est ta première fois.

Swann retira violemment son poignet et détourna le regard. Il ne voulait pas le confronter là dessus. Le regard du roi se fit plus sérieux mais il préféra quitter les lieux. Il ne voulait pas sortir de choses déplacées ou qui pourrait la faire fuir. Qui sait, elle pourrait se retrouver plus facilement dans le piège de Peter. Ils firent leurs activités chacun de leur côté et une fois le dîner avalé et toutes ses obligations remplies, il attendit dans l'ombre non loin de la chambre de Swann. Les minutes puis une heure passa quand il vit une ombre se dessiner et entrer sans un bruit dans la chambre plongé dans le noir.

-Tu ne perds rien pour attendre.

Sans un bruit il le suivit et entra pour voir ce qui se passait. Peter entra donc dans la chambre de sa future proie. Il s'approcha du lit où Swann fit semblant de dormir. Il sentit un poids se faire sur le matelas. Puis il sentit rapidement une main se loger sur sa gorge et la serrer comme le bassin sur son ventre pour lui couper le souffle.

-C'est drôlement agréable finalement. Je te serre de toutes mes forces et toi tu ne peux pas crier parce que tu as perdu la parole. Disons que c'est à moitié jouissif.

Il sentit alors Peter se pencher et lui lécher la joue. Toutefois Swann ne semblait en rien paniqué. Il commencerait vraiment à l’être si les doigts du membre du clergé commencent à le toucher et le déshabiller hors pour l'instant se n'était pas le cas.

-Maintenant très chère Swann. Tu veux que toi et ton cher roi soyez unis n'est-ce pas ? Je suis prêt à vous l'accorder à tous les deux mais en échange.

Il caressa de sa main libre son visage.

-Je veux que tu me donnes ton corps en plus j'ai cru comprendre que tu étais vierge. Cela fait longtemps que je n'ai pas goûté à de chair fraîche et pure en même temps. Alors dit moi Swann. Quelle est ta réponse ?

Kalisto assistait à la scène et était surpris que l’anonyme avait raison sur toute la ligne. Sa tension montait en flèche. Puis Swann fit un non de la tête.

-Non ? Mais je ne te donnais pas le choix.

Sans attendre une lame se logea sous la gorge de Peter. Cela le stoppa net et Swann savait que sa lettre avait eu l'effet escompté.

-Qu-qui est-ce ?

Une voix froide et haineuse se fit entendre.

-Qui crois-tu que ce soit Peter ?

-Roi K-Kalisto ?

-Je ne dis pas que je te porte dans mon cœur Peter. Mais que tu obliges deux de mes concubines à vendre leur corps pour qu'elle puisse s'unir à moi. Tu es vraiment une ordure.

-Dit celui qui est comme moi.

-Nous ne somme pas pareil toi et moi.

-Ah oui ? Pourtant tu les collectionne aussi. Sauf que toi tu les garde plus longtemps que moi sous le coude.

-Fait attention à ce que tu dis c'est toi qui à le couteau sous la gorge. Maintenant descends du corps de Swann tu l'étouffes.

Peter obéit mais il ne semblait plus du tout inquiet d'avoir une lame sous la gorge.

-Comment tu as su ?

-Un auteur anonyme mais bien renseigné. Je n'ai rien vu pour Amandine mais maintenant au courant je ne pouvais laisser faire cela une deuxième fois.

-Ah oui et tu vas faire quoi ? Si tu me poignarde, ta cérémonie va être repoussée voir annulée.

Les yeux or de Kalisto brillaient fortement. Cela fit frissonner Swann qui tenait sa couverture contre lui. Mais il voyait que le roi se mit à sourire.

-Je me doutais que tu me sortirais cette excuse. Non je ne vais pas te tuer bien que ce n'est pas l'envie qui m'en manque. Mais je vais te menacer à mon tour. Unie nous demain moi et Swann sinon crois moi je te fais virer du clergé dont tu sembles si fier d'être membre. Je doute que Darvil soit très ravi. Puis si jamais tu ne le fais toujours pas je te ferais enfermer et toi qui semble si attaché à l'acte charnel je te ferais faire violer encore et encore jusqu'à ce que mort s'en suive.

Peter ferma les yeux et souffla.

-Je vois que j'ai vraiment à faire au roi stratège. Je suis vaincu à mon tour.

-Garde !!!

Les chevaliers arrivèrent avec Louis. Ils embarquèrent Peter qui fut enfermé dans sa chambre à double tour et cela sera jusqu'à l'heure de la cérémonie. Une fois les chevaliers partis et Louis retiré sur ordre du roi, ils se retrouvèrent seuls. Kalisto s'approcha de Swann et s’assit à ses côtés.

-Tout va bien maintenant. Je suis désolé de ne pas avoir agi tout de suite mais j'avais besoin de l'entendre de sa bouche. Sa menace. Dit moi enfin montre moi où il t'a touché.

Swann montra sa gorge et son visage. Le roi s'approcha et caressa la gorge du brun puis son visage délicatement. Swann appréciait ce contact sûrement l'un des derniers. Tellement qu'il en ferma les yeux, penchant légèrement la tête vers l'arrière. Voir ce corps presque s'ouvrir à lui, Kalisto approcha son visage de ce cou, de cette gorge puis l'embrassa et commença à la lécher. Il sentit les frissons de Swann comme sa respiration s’accélérer alors qu'il commençait à la mordiller. Mais reprenant la raison, le brun repoussa le roi alors que son corps retomba en position couchée quelque peu essoufflé. Toutes ces attentions, tous ce désir, il avait du mal à faire face au roi. Tuant ses propres envies, cette flamme qui se rallumait parfois par le biais du roi. Un roi qui finalement était comme lui à la seule différence que le lendemain à cette même heure, en pleine nuit il le poignardera. Pour ainsi mettre fin à sa vie pour terminer avec la sienne. 

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