a belle Marjorie en avait assez d’être prise pour une poire, une bonne poire bien ronde et bien juteuse. Sébastien couchait avec cette pouffiasse d’Évelyne. Lorsqu’elle l’avait appris, elle avait pensé mourir, puis le quitter, le virer… Elle en avait été incapable. Elle l’aimait trop son Sébastien!
Elle voulait le garder, le récupérer à tout prix. Ses fautes elle les lui pardonnait à l’avance, elle ne pouvait imaginer une existance sans lui. Ce qu’elle désirait, s’était que cette… Elle n’avait pas de mot assez dur pour qualifier la maîtresse de son homme, sorte de leur vie. Surtout que dans son ventre un petit Sébastien arrivait, elle ne lui n’en avait pas encore Parlée, de toute façon elle était devenue transparente ces derniers temps. Non cet enfant aura un père. Ce père ce sera son mari, ce serait trop con autrement.
C’etait la pharmacienne du quartier qui l’avait aidée, lors d’une visite à son officine, la trouvant fatiguée déprimée... Elle avait compris le bébé qui arrivait, le mari qui s’éloignait…elle eut les mots qu’il fallait et la conseilla.
Cette pharmacienne lui donna la recette pour qu’elle puisse sauver son couple.
— Dans un premier temps, il faut que tu offres ton corps à un homme de ton choix. Lorsqu’il verra que toi aussi… Putain, avec ce cul et ces seins...il est con ou quoi, ton mari !
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Cela faisait longtemps qu’il la convoitait, elle allait exaucer ses désirs, les ébats elle les fera durer, elle aura du plaisir, elle en avait envie. Rien que d’y penser... sa culotte était déjà trempée. Si en plus, Sébastien pouvait les surprendre en plein sport...
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Son bel amant, beau comme un dieu du stade, était plutôt décevant e .Putain, il attendait quoi, le dégel ! Il la caressait,dépité,son gros engin flasque contre sa jambe. Elle entreprit sans aucun succès de le faire bander, avec ses mains, dans un premier temps, puis avec sa bouche… L’effet étant nul, il la repoussa sans ménagement et entra dans un accès de colére. Il agrippa le cou de son amante, le serra de toutes ses forces…encore,encore,tout en l’insultant. Elle se raidit, essayât ,un très court instant de résister. Puis, il sentit son corps s’avachir. C’était à ce moment précis juste comme il lâchait le cou de sa victime qu’il s’aperçut de son énorme érection…
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Ayant repris son sang-froid,il s’ habilla sans précipitation. Après s’être inquiété de ne pas laisser de traces derrière lui, il referma la porte avec un mouchoir et sortit sans hâte et sans se retourner. Rien dans son attitude, son regard ou sa démarche ne pourrait trahir qu’il venait de tuer une femme. Encore une, décidément, il y prenait goût !