Quelle enflure. Il est partie avec elle en m’assurant qu’il était dans l’incapacité de la soigner. Sérieux je pensais qu’au moins, il aurait pu l’aider. On ne m’a rien dit sur lui car on ne sait rien appart que c’est son garde du corp. Il aurait pu en foutre d’autre sur cette putin de mission. Il sait très bien que je vais finir par le laisser tomber de toute façon, alors je ne comprends pas. Et pourquoi même j’ai accepté moi ?
Pour l’argent qu’elle à surement…
Je ne suis pas sûr qu’appuyer cent fois sur le bouton de l’ascenseur en demandait à cette intelligence artificiel va servir à grand-chose. J’ai beau faire ça, la seule réponse que j’ai de la pat de Cortana c’est que ce Smith me tient au courant de l’état d’Allia, et de ne pas m’inquiéter. Au fond, je sais qu’il la connait bien, qu’il est tout le temps avec elle, mais, je ne peut pas m’empêcher de me dire que je n’aurais pas du la laisser avec lui. Il l’emmené surement voir un médecin. Cette histoire me retourne le crâne. Je ne reconnais clairement plus mes réactions. J’ai l’air ridicule de me mettre dans des état comme ça. Je me sors un joint de mon paquet de douze et je l’allume, venant m’assoir sur l’accoudoir du canapé.
- Monsieur Amera ne cautionne pas le fait que l’on fume à l’intérieur du bâtiment. Veuillez éteindre cette cigarette.
- Il est mort ton monsieur Amera. Tu n’as pas eu de mise à jour ou quoi ?
- Même mort, il est de mon devoir de faire respecter ses choix. Le balcon reste à votre disposition.
- Il fait trop froid dehors.
- Bordel je déteste les trucs de ton genre.
Elle m’avertit qu’elle va appeler la sécurité. Je déteste se genre de technologie. On ne peut même plus être tranquille. Même si bon je ne suis pas chez moi et je devrais respecter les règles. Je me lève pour finalement aller vers le balcon, mais j’ai fumé ça bien plus vite que je ne l’aurais cru. Ouvrir une fenêtre ne serait tout de même pas de trop. C’est vrai qu’un joint sent plus qu’une clope qui plus est.
- Que définissez-vous par « les truc de mon genre » ?
- Rien, laisse tomber. Ce n’est pas important. Ou est Allia ?
- Elle se trouve actuellement dans le sous-sol. L’accès est réserver seulement aux personnes autoriser. Vous ne comptez pas parmi ses personnes.
- Je vois… Et il fait quoi l’autre mec ?
- Confidentiel. Monsieur Loroma, puis-je vous poser une question ?
Depuis quand les intelligences artificiel pose des question ?
- Votre réaction envers mademoiselle Amera est particulière. Est-ce ce que l’on appel de l’amour ?
- Confidentiel.
Non mais elle ne croit quand même pas que je l’aime. C’est absurde. Je suis là pour découvrir les secret de l’entreprise, pas pour tomber amoureux de la dirigeante. Et puis même si c’était le cas, ça ne regarde que moi. Je ne la connais pas. J’enchaine les coup d’un soir. Elle ne sera que ça.
- Votre rythme cardiaque à varié. Je ne comprends pas.
Bordel, elle ne va pas arrêter de m’analyser. Elle me tape sur les nerfs. Les I.A ne sont pas supposer, demander autant de questions et être autant développer. Comment ils ont pu en venir à crée un robot comme ça. Quel genre de technologie elle est.
- Vous êtes nerveux. Est-ce cela qu’on ressent quand on est amoureux ?
- Pourquoi tu t’intéresses à ça ?
- Mon rôle est de tout faire afin de pouvoir aider mademoiselle Amera. Je considère donc qu’en apprendre tout les jours sur le comportement humain est primordial.
- Je ne l’aime pas en tant qu’amour. Disons que je l’apprécie an tant qu’ami.
Elle me pose encore des tas et des tas de questions. Je ne connais Allia que du Lycée, et du fait qu’elle à aider ma mère à s’en sortir un minimum. Je dois dire que je la considère comme une amie si je veux pourvoir avancer dans les information de l’entreprise. Ils ont besoins de ses informations pour remettre la justice en place.
Il me l’a promis…
Je dis que je la considère comme une amie, mais elle, me considère t-elle-même tout simplement ? C’est vrai, Allia a toujours été de type solitaire. Elle ne reste qu’avec Rei ou Livia. Et encore, ce n’est pas tout le temps. Et depuis la mort de son père, on ne la voit même plus. Je passe surtout pour un imbécile a mon avis. Cortana me confirme même qu’allia ne sort et ne vois plus beaucoup, puisqu’apparemment, le passage des deux successeurs est de plus en plus rare. Ça m’intrigue.
- Pourquoi elles ne viennent plus ?
- Confidentiels. Tu peux me parler un peut plus de leur amitié ?
- La demoiselle que vous appelez Rei est le successeur du Black Hummingbird de même pour la demoiselle Livia pour la Blue Jay. Elles se connaissent depuis leur plus jeunes âge grâce à leur parents. Depuis quelques années, la séparation des entreprises se faisant de plus en plus ressentir. Les demoiselles ont été séparées. Julien Amera a eu un point d'honneur sur le fait de préparer sa fille à prendre la place de l’entreprise. L'éducation des autres parents n'étant pas là même, il y a eu des désaccords se rajoutant a d’autre plus vieux. Dans une interview datant du 14 Mai 2136 réalisé par le journal « Le petit news », monsieur Julien Amera affirme : « Je préfère favoriser mon travail plutôt que les amis pour assurer un bon futur aux gens que j'aime. Il en sera de même pour ma fille »
Son discours plutôt long ne m’ide pas énormément et ne me guide pas vraiment sur se que je veux savoir. Je trouve ça triste de ne pas pouvoir choisir la vie que l’on veut mener et qu’elles soient obligées de subir tout ça. Leur vie est déjà toute tracer par leur parents sans qu’elle ne puisse y faire quoi que se soit. Elles doivent obéir et ne rien dire. Leur vie est bien triste.
Comme la tienne…
- Vous dites que leur vie est tracée, comme leur parents, mais aussi comme leur grands-parents, et leur ancêtres avant eux. Or, la faute ne leur revient pas comme vous le penser. Elle est la faute plus de. Cortana se tait. J’ai parlé à voix haute ? Elle continue : Confidentiel. Monsieur Smith est dans l’ascenseur.
Elle allait parler. Elle allait dévoiler un truc. Bordel, foutu programme. La sécurité est remarquable.
Les portes s’ouvrent, et le baraquer barbue en costume est là. Il ne me calcul pas, se dirige vers le bar et un silence se fait, avant que l’I.A vienne annoncer « déconnexion. ». Il l’a éteinte. Je le fixe dans un silence qui parait être des heures. Son apparence lui va bien quant au titre qu’on ma dit de lui.
Son garde du corp…
- Ou est Allia ?
- Au sous-sol. Elle demande à ne pas être déranger. Il daigne enfin me regarder. T’es qui toi ?
- Un ami d’Allia.
Il me fixe en jouant avec sa barbe d’une semaine et affirme que je ne suis pas dans la liste des amis qu’Allia aurait faire. En même temps, on ne se connait que depuis peut elle et moi, donc, cela ne m’étonne pas. Son regard est persistant. Et sa question très étrange. Il demande à se que je lui raconte tout de se qui c’est passer entre Allia et moi depuis que je suis venue hier soir ici. Il attend quoi exactement dans ma réponse. Je n’ai rien à lui dire. Allia n’avait de plus pas m’air enchanter qu’il soit là. Je n’ai rien à lui dire. Il n’a rien à savoir.
- Si tu ne me dis rien, je regarderais les caméras de surveillance.
Il bluff. Mais pour être sur… autant bluffer à mon tour. Ne dire qu’on a juste partager un repas après les cours.
- Et tu l’as sauté ?
- Pourquoi j’aurais fait ça ?
- Parce qu’elle est mignonne, tout à fait ton genre, que tu l’appel « beauté » que tu l’as défendu dans la cours sans qu’elle ne t’envoie chier et que vous avez taper de l’exta pour finir sous les draps. Je sais tout Kaito.
Bordel, l’enflure. C’est le genre de mec a avoir un coup d’avance.
- Pourquoi demander si tu sais la question ?
- Pour savoir se que tu sais sur Allia.
Son regard persistant sur moi me fait froid dans le dos. J’en ai vue des mecs comme lui, mais là, il est balaise. On voit bien qu’il ne fait pas plaisanter de façon trop mauvaise avec lui. Sur Allia, je ne sais rien.
C’est pour ça que je suis là…
- Monsieur Smith. Je détecte une chute de tentions de la part de mademoiselle Amera.
Sauver par Cortana. L’homme soupire et se dirige vers l’ascenseur, m’indiquant que la discussion se finira tout à l’heure. Je n’ai aucune confiance en lui.
- Monsieur Loroma, puis-je vous suggérer quelques chose ?
- Je t’écoute ?
- Ne cacher rien a monsieur Smith. Plus vous êtes franc, plus votre taux de survie est élever.
- De survis ? Carrément ?
Elle m’explique que ce personnage mettrait un point d’honneur a la sécurité de l’entreprise et qu’il n’hésite pas à se débarrasser, du sens tuer, des choses, personnes, ou situation néfaste. Elle allait me dire que c’était un homme qui… « Confidentiel. Erreur 708, redémarrage du système ». Elle a gardé un grand silence. Elle allait encore une fois parler. Elle n’est pas une I.A normal. Il y a plus en elle. On dirais des sentiments, mais qui serait tout de même bloquer par les programmes qui la compose. C’est sur maintenant, les secret que cache la Amera ne sont pas minime. Et je dois découvrir se que c’est.
Pour les sauver…
- Bonjour. Je suis Cortana, une intelligence...
Elle se présente à nouveau… Ils sont fort ses redémarrages. Je me demande pourquoi elle à redémarrer. Toute les autres fois, elle ne disait que des « confidentiels ». Les informations qu’elle allait lâcher étaient plus importante je suppose. De ses dire, l’erreur 708 est une défaillance de l’I.A et il est conseiller de la redémarrer. Si cela persiste, extermination de l'intelligence. Dit donc, ils n’y vont pas de main morte. Je me demande si elle va bien même. Elle faisait une chute de tentions il y a quelques minutes. Et même ça main d’ailleurs. Elle a été arracher.
- Un message de la part de mademoiselle Amera. « Ne t’inquiète pas pour ma main trou de balle, mais si tu continue à posée des questions a Cortana et qu’elle continue de venir me demander si elle à le droit de te répondre, je vais lui reformater son disque dur, et toi te refaire ton portait. ».
- Je vois… Je rigole. Donc là, tout ce qu’on s’est dit a été transmis à Allia. Merci Cortana !
- Je vous en prie. Désirez vous manger ici ce soir ?
- Je suppose que c’est Allia qui le demande ?
- Affirmatif.
- Ouai, je veux bien manger ici beauté
- Mise en relation avec mademoiselle Amera : « Je monte dans cinq minute, je viens te refaire le portrait ! »
- Non sans façon, merci de la proposition beauté. Je rigole.
- « Trente secondes. Cours, cache toi. Improvise mais je vais t’éclater » Fin de la transmission. Mademoiselle Amera vient de rentré dans l’ascenseur.
Trente secondes après, Allia rentre dans la pièce. Mon premier réflexe est de regarder ça main. Tout va bien. Ça me rassure. Elle soupire me confirmant qu’elle n’avait rien de grave, mais je l’ai vue. Sa douleur. Elle n’était pas que mental, elle était physique.
- Je ne serais pas longue se soir.
- Pour ?
- Te faire toute les gâteries que tu veux mon amour. Elle me répond de son ton moqueur.
- Variation du rythme cardiaque. Il est conseiller de vous assoir.
Sérieusement Cortana, Merci. Il n’y avait pas besoin de dicter se changement ! Allia me juge fort. En même temps, il y a de quoi. Qu’elle idée aussi « mon amour ».
- Je déteste ton machin.
- Moi je l’aime bien. Tu n’imagine pas le temps passer avec qu’elle qui ma permis de ne pas m’ennuyer !
- Depuis votre naissance, nous avons parler ensemble un total de quatre ans, un mois, deux semaines, sept heures et trente-cinq minutes.
Très précis son truc ! Je souris un peut, et Allia m’interpelle. Elle me fixe sans rien dire, moi de même. Elle m’ordonne de manger la pizza qu’elle à ramener. Je ne l’avais même pas remarquer. Puis, l’I.A vient encore signaler.
- Palpitation détecter, il est recommandé de respirer doucement.
Ce n’est pas moi cette fois.
- Tu as raison. C’est de la merde. Cortana ?
- Oui ?
- Mute jusqu’à nouvel ordre.
Enfin « seul ».