Compte-rendu d'enquête n°12 et 13

Par Ozskcar

Compte-rendu d’enquête n°12 :

Je me suis mis dans un joli pétrin…

J’imagine que cela devait finir par arriver… C’est qu’on se croit prudent, réfléchi, on pense avancer avec précaution… et voilà qu’on se retrouve dans un grenier poussiéreux, avec une militaire toute guindée qui nous fusille du regard. Moi qui me l’étais figurée si douce et compréhensive, une sœur de chagrin en quête de justice, voilà qu’elle s’est avérée n’être qu’une odieuse jeune femme, suspicieuse et frénétique… Ce n’était pas faute, pourtant, d’avoir entraperçu, au travers de ses mots, une partie de son cœur. Il faudra que je me fasse une raison…

Mais tout de même… Qui eut cru que la demoiselle Josèphe serait si désagréable ?

Les circonstances, je dois l’admettre, n’étaient pas propices à une sereine et chaleureuse rencontre ; on eut sans doute préféré, pour faire connaissances, un goûter en extérieur, par une douce après-midi de printemps. Ou bien un dîner convivial entre nos deux familles. Mon père aurait salué ses parents, et je me serais assis, un peu gêné, au milieu de son vaste salon… N’importe quoi aurait convenu. Mais une scène d’effraction, ça… À mes dépends, qui plus est, l’effraction. Non pas que j’en sois la victime – quoique –, mais plutôt que je me trouvais, à mon insu, au beau milieu d’un appartement, lequel avait été déserté par un propriétaire qui, de toute évidence, ignorait tout de mon passage.

Il serait justifié, de fait, de parler d’intrusion – si tant est qu’on puisse considérer qu’un invité, invité par une tierce personne, certes, et non pas le propriétaire lui-même, un invité dont on désapprouve la venue ainsi que le motif, un invité, surtout, qui s’introduit de nuit et en notre absence, que cet homme, en l’occurrence, ici, ce môme, lorsqu’il entre dans un lieu où on l’a prié de se rendre, commette une effraction.

Abus de langage, si on vous me demandez mon avis.

Comment aurais-je pu me douter qu’en acceptant une énième requête de la part de ces politiciens mal-lunés, j’allais me retrouver à me faufiler, de nuit, hors de l’orphelinat, afin de m’introduire illégalement dans un appartement sombre et mal tenu de la capitale ?

On m’a confié cette mission hier. Je m’étais rendu, comme souvent ces derniers temps, à l’Assemblée, mais cette fois, plutôt que de m’envoyer au grand amphithéâtre, on m’a demandé de m’asseoir dans un vestibule ; après quelques minutes d’attente, un homme est sorti d’un bureau et m’a invité à le rejoindre. Il devait approcher de la trentaine, semblait en tout cas plus jeune que la plupart de mes interlocuteurs ordinaires. C’est lui qui m’a demandé de m’introduire dans l’appartement d’un certain Louis Vauréal, politicien modéré, de déposer un paquet dans son bureau puis de ressortir. Un travail d’une parfaite simplicité. Il est en voyage, il ne rentre que demain. Tout est arrangé. Un jeu d’enfant. « Pourquoi effectuer la livraison de nuit », demandai-je tout de même – non pas que j’eus un soudain élan de courage ou de suspicion, simplement que je trouvais cela curieux, et à dire vrai peu arrangeant. « Vauréal a pris le train de nuit, il sera là aux premières heures. Il a absolument besoin des informations écrites dans ce courrier. Il les lui faut au plus vite. » Voici, de près ou de loin, ce qu’on m’a répondu. J’avoue que toute cette affaire m’interpellait, et j’ai longuement hésité, en rentrant à l’Orphelinat, à ouvrir ce fameux paquet. Seulement voilà, je savais qu’on me faisait confiance pour la simple et bonne raison que je m’en étais montré digne – et surtout pas trop curieux. Et puis bon, n’avais-je pas aidé, jusqu’à présent qu’un parti modéré et raisonnable, lequel ne s’abaisserait jamais à quelques exactions – pourquoi, d’ailleurs, en ressentirait-il le besoin ? Les modérés sont les favoris, à l’assemblée. Sans compté qu’apparemment, le Vauréal était l’un d’eux ; il ne risquait rien, de fait.

Autant dire que je me persuadais du bien fondé de mon action.

Je me suis donc faufilé de nuit, hors de l’orphelinat, et ce en prenant bien garde à ne pas réveiller les vieilles harpies en cornette. Les rues étaient calmes, l’appartement désert. La serrure n’a opposé qu’une résistance symbolique, et en quelques secondes, j’étais à l’intérieur.

J’aurais dû me méfier de ce silence parfait qui accompagnait chacun de mes pas, de ces portes grandes ouvertes, de ce désordre ambiant, à l’intérieur du bureau. Si j’avais été assez fin, j’aurais peut-être pu m’échapper à temps ; au lieu de ça, j’ai exécuté ma mission dans les règles, me suis glissé derrière le bureau, ait ouvert l’un des tiroirs, mais au moment où j’allais glisser la paquet, une ombre a surgit devant moi, m’a saisi par le col et plaqué contre la surface place de la table en chêne. J’ai bien essayé de me débattre, mais la poigne était trop ferme.

« — Qui t’envoie ? »

Une voix de femme, dure. Sévère. A laquelle je n’ai pas répondu, perdu que j’étais. Dans la faible lumière qui filtrait des volets, j’ai distingué un visage. Une mâchoire carrée, des yeux clairs et perçants, une chevelure ramenée en un chignon strict. C’était la demoiselle Josèphe. Nos regards se sont croisés, et j’ai senti sa prise se desserrer légèrement – non pas qu’elle me reconnaissait, mais sans doute qu’elle fut surprise de tomber sur un gosse de trois pommes de haut.

Elle me surprit lorsqu’elle me demanda mon nom, et, pris de court, je répondis que je m’appelais Petit-Jean. Non pas que j’eusse délibérément souhaité mettre mon amis dans la panade, seulement que ce fut le premier nom qui me vint. J’espère tout de même que mon mensonge ne lui causera pas trop de tort…

Avant même que je ne puisse réagir, elle saisit le paquet et l’éventra d’un coup de lame : des feuilles en tombèrent, des registres, des comptes de paiement. Sans me lâcher le col, la demoiselle parcourut un document, puis un second, rapide :

« – Tu savais ce que tu faisais, petit ? »

Je balbutiai, et comme sa poigne se resserra, que ma peur prenait le dessus, je déblatérai que je ne faisais rien de mal, juste une livraison.

« – Une livraison ? Et pour le compte de qui ?

De Louis Vauréal. On m’a dit qu’il avait besoin de ces papiers. Et vite.

Le même Louis Vauréal qu’on essaie de piéger ? »

Je dû sembler perdu, car la demoiselle précisa : « Ce que vous baladez, ce sont des faux registres avec des listes de pots-de-vin. Tout est là pour qu’on pense que Vauréal achetait des alliances en secret. Même la signature est falsifiée. »

J’ouvris la bouche avant de la refermer, confus, les pensées fusant d’un bout à l’autre de mon esprit. Je n’eus pas le temps de répondre qu’un bruit, à l’autre bout de l’appartement, nous surpris. Josèphe se redressa vivement, me jeta un coup d’œil, puis m’attrapa sous un bras, saisissant de l’autre les faux qui s’étaient éparpillées à nos pieds. En quelques secondes, nous étions à la porte du bureau, l’instant d’après, elle se faufilait au dernier étage, me poussait à travers une lucarne et me rejoignait sur le toit.

J’étais tétanisé. Déjà, il faut avouer que la demoiselle Josèphe n’est pas de ces personnes qui dégagent une aura particulièrement rassurante – au contraire, d’ailleurs –, mais surtout, j’avais le vertige. Liquéfié sur place, livide, sans doute, je fermai les yeux tout du long, ne les rouvrant qu’en nous sentant retomber en contrebas. Un instant, je crus que nous étions tomber, que j’allais mourir. Mais non : nous nous trouvions sur le plancher d’un grenier, une sous-pente aménagée avec quelques affaires éparses, des documents, des notes, des cartes. Sur celle de la capitale qui était étalée en travers d’un mur, je reconnus la rue des coquilles, laquelle était sertie d’un gros point rouge. L’atelier de mon père avait été mis en évidence. Josèphe, comme promis dans sa lettre, enquêtait.

Elle ne me laissa pas le temps de réfléchir davantage – ni de reprendre mes esprits, d’ailleurs – ; elle referma la lucarne d’un geste sec et se tourna vers moi, bras croisés, l’air sévère.

« — Bon. Petit-Jean, c’est ça ? »

J’acquiesçai, toujours sonné.

« — Dis-moi, bonhomme : on t’envoie souvent poser de fausses preuves chez des innocents ? »

Je voulus répondre, protester même, mais les mots se coinçaient quelque part entre ma gorge et mon bon sens.

« — Parce que vois-tu, reprit-elle, l’air méfiant, ce que tu viens de faire aurait pu envoyer un homme droit à l’échafaud. J’espère donc pour toi que tu as une bonne explication… »

Maintenant que j’y pense, la demoiselle ne sait décidément pas y faire, avec les enfants… J’étais épuisé. Terrifié. Sans doute qu’avec un peu de doigté, elle serait parvenue sans mal à me rallier à sa cause, à me persuader du bien-fondé de son enquête, et j’aurais déballé sans remord tout ce que je savais des missions qu’on me confiait, des gens que je côtoyais à l’assemblée.

Sauf que j’étais décidément apeuré. J’avais froid, le coeur au bord des lèvres, et en face de moi, une jeune femme au regard plein de reproches me jaujeait, attendant une réponse qui ne venait pas. Pire : elle s’impatientait. Je le sentais, et cela ne faisait qu’ajouter à mon malaise.

Elle soupira, passa une main sur son visage fatigué. « Écoute, gamin » commença-t-elle, s’efforçant de contenir la colère qui pointait dans sa voix. Sauf que ce faisant, elle avait baissé les yeux. Et je n’étais décidément qu’un gamin. Un gamin pris sur le fait d’une grosse bêtise.

Sans réfléchir, je me carapatais sur le côté, rampant sous la table. Derrière moi, j’entendis l’ordre courroucé de la demoiselle : « Petit-Jean, reviens ici tout de suite ! Mais quel sale gosse… »

Je ne m’en préoccupai pas, plongeai vers la porte et dévalai l’escalier. Dans mon dos, j’entendis des pas précipités. Josèphe me poursuivait, et elle était rapide. Beaucoup trop rapide.

Mon cœur s’accélérant, je dérapai dans l’ombre du palier, frôlai une vieille lampe à huile posée sur un tabouret et la renversai d’un coup sec. Le fracas du verre brisé, l’huile répandue sur le sol, l’odeur qui monta aussitôt dans l’air… Josèphe pila net.

«  Bordel… Gamin ! »

Je n’attendis pas de voir si elle me suivait toujours. Un couloir, une volée de marches, une porte entrebâillée. Je m’y engouffrai, débouchai sur une arrière-cour, puis dans une ruelle. Un dernier regard en arrière : personne. J’étais libre. Pour quelques temps, du moins. Je ne ralentis qu’en apercevant la silhouette familière de l’orphelinat.

J’avais la tête en feu, les idées en vrac, et, tambourinante, une crainte terrible me rongeant les nerfs : on allait me mettre la main dessus. Que ça soit les politiciens qui m’avaient engagés, la demoiselle Josèphe, la Garde… L’un d’entre eux allait forcément me retrouver.

Et que ferai-je, alors ? Me terrer comme un rat. Prendre la fuite à chaque fois ?

Les murs de l’orphelinat, autour de moi, ne m’ont jamais paru aussi fins, et alors que je me blotti sous mes couvertures, au milieu du dortoir, il me prend soudain l’envie de ne redevenir qu’un enfant ordinaire.

Compte-rendu d’enquête n°13 :

Depuis mes aventures de noctambule, je n’ai plus osé sortir de l’orphelinat. Voilà cinq jours que je me terre ici, à ronger mes inquiétudes sous l’œil inquiet des Sœurs. Elles ont bien essayé de me proposer l’une ou l’autre des courses habituelles, mais j’ai chaque fois prétexté une gêne quelconque à l’estomac ou à la tête, assurant que s’il le fallait, si elles avaient besoin de moi, je prendrais évidemment sur moi, mais que pour l’heure, si elles le voulaient bien, je préférais demeurer à l’intérieur, dans le calme solitaire de la salle d’étude.

C’est ici que je passais le plus clair de mes journées, à rédiger des exercices ou des énoncés de lecture pour les plus petits, à en illustrer certains, aussi, à l’aide des peintures que j’avais récupérées dans l’atelier de mon père, lors de mon dernier passage. Enfin, lorsque mes gestes n’étaient épiés ni par les Sœurs ni par l’un des mioches de l’orphelinat, je relisais des lettres de ma mère ou de l’ami de mes parents, préférant me glisser dans cet interstice hors du temps plutôt que de me confronter à la réalité de ma situation.

C’est Petit Jean qui m’y a replongé de force. D’abord en me faisant demander une première fois, en toquant à la porte de l’orphelinat — rencontre que j’avais préféré refuser en prenant pour excuse une vilaine migraine venue me clouer inopinément au lit. Puis en répétant ses visites jusqu’à ce que je daigne sortir le nez dehors. Là, il m’alpagua, criant aux Sœurs derrière nous qu’il m’empruntait quelques minutes pour une affaire très sérieuse.

Tandis qu’il me tirait par le bras pour me forcer à le suivre, je lui demandai, assez peu poliment, je l’avoue, quelle mouche pouvait bien l’avoir piquer. Je finis par peser de tout mon poids pour le forcer à se retourner vers moi, ce qu’il fut obligé de faire.

Parce que tu crois qu’avec moi, l’autre furie s’est montrée si commode ?

La furie ?

La Josèphe. Celle que tu voulais que je te montre, à la Caserne ; celle à qui, accessoirement, t’as préféré refiler la livraison qu’on t’avait confiée. De cela aussi, on pourrait parler, d’ailleurs, tiens ! Parce qu’à qui est-ce qu’on demande depuis trois jours où est-ce que t’es passé ?

Je…

À qui est-ce qu’on serine les puces parce que t’as pas été foutu de faire ce qu’on t’avait demandé ? Et encore, attends de voir ce que ça va donner, lorsqu’ils vont apprendre qu’en prime, t’as paumé leurs documents ! Va pas falloir compter sur moi pour porter le chapeau ! Tu vas aller dire à tout le monde que c’était toi, ce soir-là ! Moi, j’ai rien à voir là-dedans !

Je nous avais évidemment arrêté au milieu d’une rue passante ; aussi commencions-nous à attirer l’attention, avec Petit Jean qui me beuglait dessus comme sur une mule mal réveillée. Par égard pour sa discrétion comme pour ma dignité, je lui fis signe de continuer à marcher et de baisser le ton. Ça l’agaça un peu, mais il finit par s’exécuter, continuant à me faire la liste de mes torts, mais à voix basse, cette fois-ci :

Tu crois que ça m’a amusé, qu’elle m’attrape au col, ta demoiselle de la Garde ? J’étais aux buttes, en plus. T’as intérêt à ce que M’sieur Ferdinand accepte toujours de me prendre, sinon je te fais y aller à ma place. Et je garde la paye !

Elle t’as interpellé comme ça ? Qu’est-ce qu’elle te…

C’est ça le plus drôle, espèce d’imbécile ; c’est pas à moi qu’elle voulait quelque chose ! C’est à toi ! Parce que t’as été assez stupide pour lui donner mon nom, à ta vieille bique ! Et figure-toi que – surprise ! – elle s’est mise à ma recherche ! T’imagines sa tête, quand elle a remarqué qu’elle faisait erreur sur la personne ; et moi la mienne quand j’ai eu compris qu’t’avais non seulement préféré sauvé tes miches, mais qu’en prime, t’avais cru bon de me dénoncer – pour aucune raison en plus ! Avant ça, elle avait jamais entendu parler de moi !

J’étais un peu sonné, je l’avoue, tant par la nouvelle que par la tendance de Petit-Jean à ne s’exprimer qu’avec de longues tirades.

Qu’est-ce que tu lui as répondu, au juste ?

Qu’est-ce que tu crois ? J’ai prétendu que je ne savais rien. Que je ne comprenais pas de quoi est-ce qu’elle me parlait. Et aussi bizarre que cela puisse paraître, je nous ai couverts. Tous les deux !

Je suis désolé, je… Je voulais pas te causer d’ennuis. Vraiment !

Ah ouais ? Tu m’en diras tant…

J’te jure ! C’est juste que lorsqu’elle m’est tombée dessus, je… C’était la nuit – la nuit de ma livraison. Je venais de m’introduire chez un gars de la haute et voilà qu’elle surgit de nul part, qu’elle me harponne, à me demander ce que je fais là.

Et donc, tu t’es dis qu’en prétextant être moi, tout s’arrangerait…

Je n’ai pas réfléchi. J’ai dit la première chose qui m’est venue par la tête. Je suis désolé. Vraiment désolé.

Et ta livraison, elle est devenue quoi ?

C’est elle. Elle me l’a prise.

Foutre. C’est pas bon, ça…

Ah ouais ?

Qu’est-ce que tu crois ? T’as laissé filer des documents compromettants. Évidemment que ça va être un problème. Ils vont pas te laisser filer comme ça, les gars de chez nous.

Tu vas leur dire ?

Que t’as tout fait foirer ? Alors que c’est moi qui t’ai présenté ? Remarque, tu me diras, j’y suis pour rien, je ferais sans doute mieux de te balancer. Au moins, j’aurais la paix…

J’ai dû sacrément pâlir pour que Petit-Jean me jette un regard pareil. Il a levé les bras, promettant qu’il en ferait rien, du moins pour le moment, et lorsque je lui ai demandé s’il voudrait bien m’aider, il a opiné. Doucement, mais opiné quand même.

Que la chevaleresse se tienne sur ses gardes, car je n’ai pas l’intention de la laisser filer avec ma paperasse ! Pas tant qu’une armée de politiciens sans scrupules pourrait s’en prendre à moi. Petit-Jean et moi avons un plan, pour récupérer le paquet. Il n’y a plus qu’à le mettre à exécution. J’espère que tout se passera bien…


 

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adelys1778
Posté le 23/08/2025
Et tout bascule ! aie aie aie mais dans quel pétrin il s'est fourré celui-ci ! Mes aïeux, j'ai mal pour lui parce qu'il est pris dans un étau-là !! Bon je cours lire la suite, qui j'espère, démêlera son problème... on peut croiser les doigts...
itchane
Posté le 18/07/2025
Coucou Ozskcar,
Je continue ton texte avec beaucoup de plaisir.
C'est bien pour le rythme que Théo se soit mis dans de beaux draps ainsi, c'était presque un peu trop facile avant, haha : )

C'est sympa aussi que les personnages secondaires restent positifs pour lui, comme Petit-Jean qui est finalement très conciliant je trouve vu le contexte. Peut être qu'il faudrait un peu de background pour expliquer que Petit-Jean soit si gentil avec Théo ? Genre je sais pas, que Théo lui ait déjà sauvé les miches une fois, même il y a longtemps ? A réfléchir...

Pour le reste, je suis curieuse de voir comment la magie va pouvoir intégrer ce récit qui est si concret pour le moment : )
Je pars lire la suite, youhouuu, je rattrape mon retard !
Ozskcar
Posté le 19/07/2025
Tu as raison ; Jean se met vraiment en difficulté, pour Théo. On ne peut pas justifier sa générosité et son courage par une simple amitié. Je vais réfléchir à un truc.

Elle met du temps à se faire remarquer, mais la magie aura un rôle assez important, même côté Théo, à un moment !

C'est vrai que tu as tout lu drôlement vite. Merci encore ! ^-^
Plume de Poney
Posté le 17/04/2025
C’est plutôt un bon camarade ce Petit Jean! Un peu vantard mais il sait être solidaire dans les difficultés, c’est déjà pas mal.

Bon ils sont mal barrés quand même les deux loustics.
Ozskcar
Posté le 03/05/2025
Je te le fais pas dire. Et moi aussi, pour écrire la suite. x) Y a des petits trucs qui se sont passés dans les derniers chapitres qui n'étaient pas prévus dans le plan de base... M'enfin, normalement, ça devrait se régler tranquillement. ;)
Plume de Poney
Posté le 03/05/2025
Ah ça… les personnages finissent toujours par n’en faire qu’à leur tête…
Bon courage pour la suite que j’attendrai !
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