Emprisonnement, torture et évasion

Je me suis réveillé dans une cellule étendue face contre terre.Je tenta de me relever sans succès.Tous mes muscles me faisait souffrir.Au bout de quelques minutes je réussi à m’asseoir avec difficulté.J’observa les alentours.C’était une cellule de petite taille avec un drap en guise de lit.
Je réfléchis à un moyen de sortir sans succès. Deux soldats en lourde armure grises armées de masse d’arme et d’arc entrèrent dans la cellule d’en face et en sortirent Lana inconsciente. Elle avait une longue entaille à la joue, un œil au beurre noir et un hématome au visage, son long cheveu bleus était en bataille et crasseux, et elle semblait avoir la mâchoire brisée. Ils la traînèrent par les bras et disparurent au bout du couloir.Ils revinrent un peu plus tard en, la trainant de la même façon.

Elle était toujours inconsciente et blessée. Je compris alors, on devait la torturer.En passant devant ma cellule et se réveilla un cours instant et me jeta un tous petite objet qui tombas avec un tintement métallique. J’observa l’objet, c’était un crochet. Je remarqua alors quelque chose à son pouce.Un trou béant. Je compris alors… elle avait arraché le crochet de son pouce. Un instant plus tard les gardes la jetèrent dans sa cellule et repartirent. J’attrapa alors le crochet et commença à tenter de crocheter la serrure.Au bout de 2 heures au moment où je sentais qu'elle allait s’ouvrir les soldats revinrent ouvrir la porte de la cellule qui retenait Lana et la traînèrent or de sa cellule. Puis, ils disparurent au bout du couloir. Pendant de longue seconde, j’écouta, puis, je repris le crochet qui était resté fichées dans la serrure et le tourna, quelques secondes plus tard, la porte pivota dans un grincement de…d’élémentium de foudre rouillée. D’où je sors se nom ?

Enfin bon…, ce n’est pas le moment de réfléchir à ça. Je m’accroupis et sortit en ne faisant presque aucuns bruits. Je partis à gauche et tomba sur la salle des gardes. J’hésite car de nombreuses armes s’y trouver mais également 4 gardes. Au. Bout d’un moment je me motiva en me disant que je ne pourrai jamais m’en sortir sans armes et je commenças à avancer tout doucement un pied après l’autre. Je me glissa derrière une caisse et avança jusqu’aux armes sans encombre.

Je réussis même à voler une dague et un glaive de d’acier céleste…d’où je sors se nom ? Enfin…bon, mais sur le retour la dague est tombée de ma ceinture dans un grand bruit de métal. Lentement, les soldats se sont tournés vers moi. Ils ont sorti leurs masses d’armes aussi noires que la nuit et se sont jetées sur moi.