Sans y réfléchir j’ai sorti mon glaive de mon fourreau et est ramasser ma dague, le problème, c’est qu'après, n’ayant jamais tenu une arme de ma courte vie qui était d’ailleurs apparemment destinée à rester courte je ne sus plut quoi faire.
En y réfléchissant il était même remarquablement stupide de tenter de voler des armes dont je ne saurais même pas quoi faire. Les soldats avaient des armures gris clair et des casques avec des cornes et là, je remarqua que l’un d’eux était plus grand que les autres et que des yeux rouges brillaient derrière la feinte de son casque. Il prit la parole :
-L’héritière de la lumière… ça voie était rauque et éraillé par le temps. Ravis de te rencontre…Ilena t’a cherché si longtemps…avant de réussir à te capturer…tu as réussi à t’échapper de ta cellule et tu as eu la stupidité de tenter de voler des armes de demi-dieu dont tu ne sais même pas te servir…tu m’a rendu un fier service…mais…avant de t’accompagner en salle d’exécution tu vas t’agenouillé devant moi…et je te fournirai une mort la…moins douloureuse possible…à présent À GENOU ! Je ne fis rien. Intéressant, tu te dresses contre moi. Sache petite insolente que je suis un des trois mals primordiaux et pour ta gouverne, sache que je suis celui de la famine. Soldat des ténèbres, détruisez cette orgueilleuse héritière. Et il a disparu dans un nuage de fumée.
Les trois soldats restants se sont rués sur moi. J’ai esquivé une attaque du premier mais est reçu un coup de pied tous de suite après du même adversaire et n’ai put m’empêcher de crier. Il c’est passer alors quelque chose que sur le moment je n’ai pas su expliquer, une aura lumineuse m’a entouré, j’ai orienté la paume de ma main vers un des soldats et un rayon lumineux dorée en est sorti et a frappé un soldat qui a éclaté en projetant un liquide noir et puis…l’onde de choc a projeté un disque lumineux qui les a tous tranché en deux. Dans un bruit d’explosion. Si les gardes ignoraient ma présence ce n’était plus le cas. Enfin, l’avantage, c’est que je n’étais pas morte.
Une fois mon soulagement passer je me suis demander si je ne devais pas m’enfuir par le trou béant laisser par l’explosion de ma...ma magie mais au fond je savais bien que c’était impossible…il y avait Lana…je me suis rappelé que les soldats l’avaient traîner à droite. Je suis donc partit de l’autre côté. En avançant j’ai entendu des cris de douleurs. Je suis arrivé devant une porte avec une pancarte intitulée salle de torture, les enfants dehors ! Ah ! Dehors hein ? Et bien juste pour les embêter je vais entrer.
En chassant ma peur j’ai tirée la porte mais elle ne sais pas ouverte. Je remarqua alors un autre écriteau : poussez la porte, ont préfère prévenir depuis la mort d’épuisement d’un mage. Donc, en poussant la porte et en chassant ma peur je suis entrée glaive à la main et est découverte Lana attaché à un poteau par les mains maintenant ces bras tendus, la douleur devait être atroce. A ce moment là je remarqua un homme devant elle qui la giflai et disais
- Ou se trouve la masse des éléments, répond !
- Sais pas espèce d’abrutis ! Il la gifla de nouveau. Et d’un rapide coup de dague, lui entailla l’épaule. Le sang coula de sa plaie et tomba au sol. Je remarqua que de sa plaie à la joue, du pue suintait. Elle devait être infecter. Soudain le bourreau qui devait avoir senti ma présence se retourna vers moi et brandit sa dague et se jeta sur moi avec un cri de bête féroce. La bave aux lèvres je crus qu’il allait me dévorer et j’opta pour une héroïque retraite du genre « courage fuyons ! ».
J'ai reculé juste à temps pour esquiver un furieux coup de dague. J’ai contre-attaqué d’un coup de glaive qui l’a atteinte à la base de la gorge et il s’est écroulé dans une mare de sang. Je me suis précipité sur Lana que j’ai détaché. Elle s’est écroulée dans une position improbable. J’ai tenté de la réanimer sans succès. Je farfouilla alors dans les fioles et tomba sur une avec écris dessus : réanimation liquide, tenir hors de portée des enfants de moins de 3 ans après partir de 4 ans, ne pas dépassé la dose indiquée : dose maximale 1 mll. Je trouva à côté une cuillère à dose. Je remplis donc un mml dedans et lui versa dans la bouche, instantanément, elle poussa un cri et se réveilla. Lorsque qu’elle vit le flacon que je tenais elle dit :
- De la réanimation rapide ? Ça à toujours un goût aussi infecte. Je me suis toujours demander si ce n’était pas ça qui ranimer la personne. Enfin bon…suis moi, je connais l’endroit. Mais quand elle voulut se relever elle flancha sur le poids de ses jambes. Je la calas donc sur mon épaule et commença à avancer en suivant ces indications.
Pour la scène du combat j'ai bien visualisé le moment où elle fait appel à la lumière pour repousser les soldats. En revanche, je me suis un peu emmêlée les pinceaux dans les phrases. A l'occasion revoir un peu la ponctuation et la tournures de certaines phrases pourrait améliorer la scène :)