Cette douce nostalgie
Qui caresse mon coeur
De l'enfance, de la vie
Quand tout n'était que douceur
Cette suave amertume
Qui me fait rêvasser
Cette légèreté de plume,
Que j'avais sans me soucier
Je réentends mon rire naïf,
Mon esprit libéré
Je me revois, pensif,
Dans mes rêves inespérés
Mon âme incarnant l'innocence,
Les mille questions que je posais,
Je regrette cette cadence,
Cette spirale colorée
Et ces souvenirs que j'ai vécus
Les vacances et les copains
Mes petits pas résonnant dans la rue,
Tout cela s'évapore un peu plus chaque matin
Ma maladresse enfantine,
Que toujours on pardonnait,
Mes regards émerveillés,
Qui toujours attendrissaient
Mais à présent
Sur le rebord de ma fenêtre,
Je me revois enfant,
À ce souvenir, j'aimerais de nouveau y être...
Car si les souvenirs subsistent,
L'oubli frappe encore
Jamais au temps on ne résiste,
Et ainsi sera jusqu'à la mort...
Pluma & Fy
Je n'étais plus venue vous lire depuis longtemps. Honte à moi. Mais bonheur à vous. Vos plumes mariées donnent des enfants merveilleux. Vous devriez envisager le mariage vraiment !
Sur ces belles plaisanteries (oui, elles sont belles), je vous félicite. Voici encore un poème magnifique. On sent toute cette douce mélancolie, on flotte avec vous, avant de sentir le poids du temps qui agit sur elle. C'est pour moi, un poème très réussi !
Bon mariage ;) ,
Trisanna.
C'est vrai que nous non plus n'avons pas coécrit de poème depuis un certain temps x/
Ton passage fait plaisir, à bientôt !
Fy
Jolie texte où tu ne te caches pas.
Mais merci tout de même pour ton gentil commentaire, ça fait plaisir :)
Que l'inspiration soit avec toi !
Fy
Pour le fonctionnement, cela dépend des poèmes ! :)
Souvent on fait un vers sur deux, en alternant celle qui commence la strophe, ou parfois deux vers par deux... Cela varie d'un écrit à l'autre :)
Le thème est choisi comme ça nous vient sur le coup.
Merci pour ton commentaire, bonne suite !
Fy