Chapitre 4 – Forever Young
Mélie remuait son café, le petit doigt en l'air et les yeux fixés sur Charlotte, assise face à elle :
- Dit tout à Tata Mélie, commença la brunette, comment se sont passées tes semaines en temps que Petite-Princesse du Royaume Maternel ?
C'était vendredi après-midi, les deux amies s'était retrouvées dans un charmant café de Paris. Charlotte n'avait pas fait grand chose depuis sa mésaventure, à part écouter de la musique et faire des plans pour trouver les filles Opposés. Elle avait fini par appeler sa meilleure amie et lui avait donné rendez-vous à leur repaire habituel. C'était un petit café décoré comme un diner américain, rose et vert pétillant, sur le boulevard de Ménilmontant. Le « Stars of America » avait été le QG des deux amies dès la sixième, mais elles n'y étaient presque pas allées durant leur année de troisième. Mélissa habitait non loin du café, puisqu'elle vivait dans un appartement du 20ème arrondissement.
Sans vraiment savoir pourquoi, Charlotte avait eu le sentiment qu'il lui fallait retourner boire un smoothie fraise-banane au Stars of America.
En ce moment même, assise sur sa banquette rose en faux cuir élimé, la blonde jeune fille observait les grands miroirs sur les murs qui lui reflétaient sa figure pâle et soucieuse. Le vieux carrelage vert menthe et blanc derrière le comptoir était cassé par endroits et les joints avait brunis. Une serveuse montée sur rollers filait entre les tables un plateau à chaque main et une mine obstinée collée au visage. La lumière rose des néons qui lui colorait la peau et l'auréolait, ainsi que sa longue queue de cheval qui flottait derrière elle, lui donnait l'aspect d'un être surnaturel. Une sorte de frêle fée patineuse. Elle ne semblait pas avoir sa place dans ce mauvais décor américain qui tombait en morceaux. Le second serveur, quand à lui, n'était pas sur des patins mais il n'en restait pas moins rapide et efficace. Ses cheveux noirs gominés étaient plaqués en arrière et ses bras couverts de tatouages noirs et emmêlés. Mélie le trouvait terriblement charmant mais elle s'abstenait bien de le dire.
Charlotte passa une main dans ses cheveux et répondit enfin :
- Bien, comme toujours... Journées shopping exténuantes et soirées cocktails à mourir d'ennui... Bref, rien d'extraordinaire !
- Mais c'est qu'elle se plaint ! Demande donc un voyage dans les Caraïbes à ta génitrice, pour ton anniversaire. Où à New York... Non ! Los Angeles c'est beaucoup mieux, tout bien réfléchi. Tant que j'y penses, prend un billet supplémentaire pour ton amie dévouée, ta chère Mélissa...
Mélie se lança dans un grand discours sur Hollywood, ponctuant ses phrases de jets de café. Charlotte avait l'habitude du comportement exubérant de son amie. En réalité, elle connaissait la petite brune depuis si longtemps qu'elle lui laissait tout passer.
Mélie disait tout le temps qu'elle aurait aimé avoir la vie luxueuse que menait Charlotte quand elle allait chez sa mère. Charlotte, elle, lui aurait volontiers laissé sa place. Cette vie superficielle lui faisait horreur.
Quand Mélissa se fut lasser de son monologue, elle décida de changer totalement de sujet. C'est avec un étrange sourire qu'elle questionna :
- Et alors, avec ton Jules, ça va ?
- Avec Thomas ? On ne peut mieux, répondit Charlotte ce voyant mal raconter son aventure du dimanche soir et le fait qu'elle était sans nouvelles de son copain depuis.
Évidemment, Mélie comptait lui soutirer une toute autre information :
- Et... Vous avez couchés ensemble, je suppose...
Charlotte piqua un fard.
- Non, mais nous ne sommes pas ensemble depuis bien longtemps !
Et elle était surtout à milles-lieux de ce genre de chose depuis quelques jours. Mais Mélie qui raffolait des ragots de cours de lycée poursuivit :
- C'était une supposition ma jolie. Ne sois pas si gênée, tout est possible tu sais ?
- Oui, et bien non...
Charlotte préféra se taire, elle n'était plus réellement sûre de ce qu'elle comptait dire. Mélie, voyant qu'elle n'arriverait pas à lui soutirer des informations croustillantes, commença un nouveau monologue sur les aventures qu'elle avait put avoir avec des garçons. La blondinette, connaissant déjà les histoires de cœur de sa voisine de table, laissa son esprit se promener. Il revint presque spontanément à la Lumière. Ce Duncan ne lui inspirait pas confiance, mais tout de même, elle voulait en savoir plus sur le jeune homme. Et gagner le défi, si l'on pouvait nommer ça comme ça, bien entendu.
Après leur première rencontre, elle avait pensé que rien de pire ne pouvait lui arriver que de découvrir qu'une règle fondamentale des Opposés avait été brisée et qu'elle risquait à tout moment de devoir quitter sa « paisible » petite vie actuelle (si on oubliait qu'elle avait des pouvoirs magiques et qu'un être pouvant la détruire se baladait actuellement dans la même ville qu'elle). Mais elle se trompait, car maintenant, en plus de cela, elle était terrifiée au souvenir de sa seconde rencontre avec Duncan. Elle le détestait profondément sans réellement lui en vouloir pour se qui était arrivé à son cou. Sa haine n'était pas à proprement parler de la haine, puisqu'elle ne savait rien de lui, mais elle sentait qu'elle ne pouvait pas bien l'aimer. Elle ne le devait pas.
Étrange...
Pour le moment, elle cherchait plutôt à savoir ce qu'il s'était produit quand Duncan avait touché son cou, et comment cela était-il possible.
Son hypothèse : deux personnes opposées ne peuvent pas se toucher car leurs magies sont si différentes qu'elles se détruisent mutuellement au moindre contact.
Sa solution : trouver les quatre autres filles et Duncan partirait.
Son second problème : actuellement, il avait au moins deux garçons, mais qu'une seule fille des Opposés...
Bref, en attendant, elle devait éviter de toucher la Lumière et arrêter de se triturer l'esprit pour se concentrer sur son objectif premier : localiser ses camarades féminines.
Mélie continuait à déblatérer contre son dernier petit-ami. Ou était-ce l'avant dernier ? Elle en avait eu tant... Charlotte eu un sourire, heureusement que son amie était là ! Sans elle, l'adolescente aurait perdu le moral depuis longtemps. Mélie était, en plus d'une source de réconfort, un pilier qui lui permettait de ne pas oublier ce qu'était la réalité de la plupart des gens. Ceux qui n'avaient pas de magie ou de problèmes surnaturels à gérer.
Tout en écoutant son amie d'une oreille distraire, Charlotte observait les silhouettes des passants derrière la baie vitrée du café. Certains étaient pressés et passaient en coup de vent. D'autres, moins nombreux et plus rêveurs, prenaient le temps d'observer le monde qui les entourait. Il y avait également quelques touristes agrippés à leurs appareils photos. Toutes ces personnes créaient une nuée colorée qui croissait, puis décroissait à intervalles de temps irréguliers. L'adolescente ce laissait presque hypnotiser par ce mouvement.
Soudain, elle sentit une étrange présence. Un force inconnue et pourtant si familière. Charlotte se redressa instantanément et sortit du café en coup de vent.
Mélie vit son amie passer la baie vitrée du café et se mettre en travers du chemin d'une jeune fille de leur âge. Non sans une pointe de jalousie, Mélissa pensa que ladite jeune fille ressemblait à une princesse des milles et une nuits avec sa robe bleu marine moulante, sa grande taille, sa peau mate et ses épais cheveux bruns foncés et ondulés.
Encore une qui doit penser qu'elle est le centre du monde, se dit elle.
En effet, la « princesse » était entourée par trois autres adolescentes qui semblaient former sa suite. Une d'elles était rousse, les deux autres blondes décolorées et toutes les trois portaient des habits moulants et tendances. Des sacs de grands créateurs se balançaient insolemment à leurs coudes. Elles s’entre-regardaient avec des mines surprises et jetait des coups d’œil curieux à la « princesse ». Cette dernière avait une attitude hautaine et jouait avec sa bague en or sertie d'une dizaine de petits diamants. En voyant une adolescente blonde surgir devant elle, la jeune fille fit un pas en arrière et heurta une de ses amies.
- Je m'appelle Charlotte, se présenta l'adolescente en lui tendant sa main.
- Moi, c'est Aéna... hésita la jeune fille.
Elle leva les yeux au ciel et ne serra pas la main de Charlotte. Puis, elle avança, suivi de sa troupe d'amies. Mais Charlotte ne comptait pas la laisser filer et elle se replaça devant elle. Cette fois, Aéna fronça les sourcils. Pourquoi cette fille lui barrait-elle la route ?
De son côté, Charlotte palpitait intérieurement. Son cœur faisait des bonds furieux dans sa poitrine. Elle venait de trouver une des Opposés féminines ! Elle n'était plus seule ! Elle s'empressa de dire quelque chose pour empêcher sa trouvaille de prendre la poudre d'escampette.
- J'ai quelque chose pour toi Aéna ! Attends un peu, s'il-te-plaît...
Aéna leva un sourcil, peu convaincue par cette explication et légèrement déroutée par le comportement de Charlotte. Derrière elle, ses trois amies gloussaient déjà à propos de l'inconnue. Elle voulu partir de nouveau, mais la blondinette ne semblait pas pressée de la laisser passer. Elle resta donc plantée comme un piquet devant une adolescente qui affichait un sourire idiot. Charlotte sortit son portable de son sac. Elle y écrivit quelque chose et Aéna se pencha pour le lire. Elle vu d'un coup d’œil que la blondinette était dans ses notes et qu'elle venait d'y inscrire une courte phrase et une série de chiffres. Aéna pensa que c'était un numéro de téléphone et voulu vérifier. Elle n'en eu cependant pas le temps, car Charlotte éteignit l'appareil au moment où le regard de la « princesse » survola l'écran pour la seconde fois.
- Tu sais, nous sommes beaucoup plus proches que tu ne peux l'imaginer, Aéna. Et je peux t'expliquer pourquoi tu te sens si différente des autres, pourquoi tu as d'étranges capacités. Tu sauras comment me contacter, quand tu seras prête à tout découvrir.
Charlotte avait dit cela sans se départir de son sourire béat. Elle termina :
- Ravie d'avoir fait ta connaissance ! Nous nous reverrons prochainement, sois en sûre !
Et elle partit d'un pas joyeux, très fière de sa prestation.
Aéna resta quelques secondes sonnée, la bouche légèrement ouverte et les yeux exorbités – ce qui n'était pas très joli à voir.
Cette fille est folle à lier, en conclut-elle.
Son trio d'amies riait à gorge déployée. Lou se tenait les côtes et Emmy lui tapota l'épaule en guise de soutient.
- Beauté, c'est quoi tes étranges capacités ? s'enquit Ciara, à moitié morte de rire.
Aéna haussa les épaules et rit avec ses amies. Puis, comme elle savait si bien le faire, elle secoua sa magnifique chevelure brune en arrière et déclara :
- Cette fille ne va pas nous gâcher notre journée shopping ! Direction le métro !
Au fond, elle n'était pas si sûre d'elle, mais elle n'en montra rien et d'un pas conquérant les quatre filles quittèrent les lieux.
Toujours assise à sa table, Mélie avait suivi les événement par la baie vitrée du café.
Quand Charlotte revint, elle s'enfonça sur sa banquette, croisa les jambes et fronça les sourcils.
- Qu'es-tu encore aller faire ? questionna la brunette.
- J'ai traumatisé une bande de filles superficielles, tu sais que c'est mon passe-temps favori, ironisa Charlotte.
Elle s'assit et replongea sa paille dans son smoothie. Elle aspira longuement sous le regard perçant de son amie.
- Tu m'expliqueras tout ça quand tu auras payé l'addition, décida Mélie.
Et elle se pencha pour appeler le serveur. Malheureusement pour elle, Charlotte ne lui expliquerais rien, elle était très forte pour détourner l'attention de son amie, et si cette dernière se montrait trop insistante, elle lui ferait oublier l'épisode. Charlotte détestait cela et elle se haïssait d'avoir recours à cette méthode, mais elle n'avait pas le choix. Mélissa ne la croirait pas, de toute façon.
La blonde jeune fille paya le café de son amie et son smoothie avec plaisir, étant de nouveau de bonne humeur. Et cela, parce qu'elle savait très bien qu'Aéna ne tarderait pas à la contacter. Un plan avait germé dans son esprit et elle en était très fière. Après tout, n'était-ce pas son rôle d'Obscurité de rassembler les filles et de leur révéler leur véritable nature ? Elle se sentait faite pour cela. C'était assez inattendu, mais toute cette histoire commençait à l'amuser.
De plus, la chanson Forever Young était maintenant diffusée par les enceinte du café et elle adorait cette musique. Elle collait si bien avec la situation...
Oui, j'ai décidé de rattraper mon retard avant la rentrée xD
Suggestions et coquillettes :
- "Dit (dis) tout à Tata Mélie"
- "en temps (tant) que Petite-Princesse"
- "Charlotte ce (se) voyant mal raconter son aventure"
- "le fait qu'elle était (soit) sans nouvelles de son copain depuis." Euh... c'est pas son copain, si ? Et puis bon, ça ne paraît pas aberrant qu'elle n'ait pas de nouvelles vu que la dernière fois qu'ils se sont parlés elle l'a rembarré...
- "qu'elle avait put (pu) avoir avec des garçons"
- "elle était terrifiée au souvenir de sa seconde rencontre avec Duncan. Elle le détestait profondément sans réellement lui en vouloir pour se (ce) qui était arrivé à son cou" Fail : le chapitre de cette deuxième rencontre n'existe plus xD
- "L'adolescente ce (se) laissait presque hypnotiser"
- "une princesse des milles (mille) et une nuits"
- "adolescente" et "jeune fille" OU "jeune femme" Il faudrait se décider, là ça se contreduit un peu sinon...
- "Elle voulu(t) partir de nouveau"
- "Elle vu (vit) d'un coup d’œil"
- "Aéna pensa que c'était un numéro de téléphone et voulu(t) vérifier. Elle n'en eu(t)"
- "Emmy lui tapota l'épaule en guise de soutient (soutien)"
- "Qu'es-tu encore aller (allée) faire ?"
- "Charlotte ne lui expliquerais (expliquerait) rien"
- "Forever Young était maintenant diffusée par les enceinte(s) du café"
Alors, pour la petite critique du jour : J'ai trouvé ça super bizarre la façon dont Charlotte agit avec Aéna. Quand elle a commencé à écrire sur son téléphone, j'étais persuadée qu'elle allait montrer un message à l'autre fille disant genre "tu as des pouvoirs magiques, je peux t'aider" et que comme ça les trois autres filles n'allaient rien savoir. Mais... non. Qu'est-ce qu'elle écrivait alors ? Ce qu'elle a lu dans les pensées d'Aéna ?
Sinon, aussi, par moment je me suis un peu perdue au milieu de tous ces "elle"... Mais je compatis, c'est dur de rendre ça clair sans se répéter trois mille fois :/
J'ai bien aimé ce chapitre ! Je le découvre donc ça apporte un intérêt supplémentaire, en plus... J'aime bien la conversaiton avec Mélie, cette vie normale que mène Charlotte en parallèle de ses problèmes avec le surnaturel... C'était cool d'introduire ça !
Ça m'a étonnée qu'Aéna ne connaisse pas sa magie, mais bon, pourquoi pas ! C'est vrai que seuls la Lumière et l'Obscurité savent tout... Ce qui m'a surprise aussi, c'est que tous les Opposés semblent avoir le même âge de ce que l'on en sait. Ils sont tous morts en même temps, leurs prédécesseurs ? Je me demande si ça a un lien avec la Miss-je-tue-tout-le-monde du prologue...
Bref, pas mal de questions et une bonne envie de continuer ! ;)
(Ah, et j'aime bien la déco du café, elle est drôle à imaginer. Et la chanson est cool aussi !)
Ahh oui la rencontre entre Aéna et Charlotte est vraiment très bizarre. Mais elle va beaucoup changer, avec la réécriture ! x)
Je suis contente que tu te poses ces questions ! Comme ça je vois un peu si mon intrigue marche ou pas.
Merci beaucoup d'avoir relevé toutes ces coquillettes. <3
Des bisous !!
Je me suis demandé pourquoi tu avais choisi un titre anglais. Je n'ai compris qu'à la fin du chapitre.
Ici, tu as bien fait d'insérer la description du café dans la conversation des deux amies. Elle n'est pas trop longue et elle permet d'imaginer le décor.
Tu montres bien que les deux amies sont chacune dans son monde : Mélie parle de futilités alors que Charlotte pense à ses soucis au sujet des Opposés. C'est amusant de voir que l'Opposé fille qu'elle rencontre ensuite est également superficielle.
Dit tout à Tata Mélie, commença la brunette, comment se sont passées tes semaines en temps que Petite-Princesse du Royaume Maternel ?
Dis tout à Tata Mélie, commença la brunette. Comment se sont passées tes semaines en tant que Petite-Princesse du Royaume Maternel ?
les deux amies s'était retrouvées s'étaient retrouvées
et faire des plans pour trouver les filles Opposés les Opposés filles
et les joints avait brunis. Les joints avaient bruni
lui donnait l'aspect d'un être surnaturel lui donnaient. Il y a deux sujets : la lumière rose des néons et sa longue queue de cheval.
de tatouages noirs et emmêlés. Je dirais « de tatouages noirs entremêlés. »
Mélie disait tout le temps qu'elle aurait aimé avoir la vie luxueuse que menait Charlotte quand elle allait chez sa mère. Charlotte, elle, lui aurait volontiers laissé sa place. Pour éviter la répétition, tu peux remplacer « Charlotte » par « cette dernière »: « Cette dernière lui aurait volontiers laissé sa place. »
Quand Mélissa se fut lasser de son monologue, se fut lassée
répondit Charlotte ce voyant mal raconter son aventure du dimanche se voyant. J'ajouterais une virgule après Charlotte.
Et... Vous avez couchés ensemble, je suppose... Vous avez couché (auxiliaire avoir, pas de COD, donc pas d'accord.)
Charlotte piqua un fard. Piquer un fard est familier. Je propose rougit (subitement).
à milles-lieux de ce genre de chose à mille lieues. Un lieu ( des lieux), c'est un endroit ; une lieue, c'est une unité de mesure.
Mais Mélie qui raffolait des ragots de cours de lycée poursuivit : Mais Mélie, qui raffolait des ragots de cour de lycée, poursuivit
Ne confonds pas le cours et la cour.
et comment cela était-il possible. Interrogation directe : « Comment cela était-il possible ? ».
Interrogation indirecte : « elle cherchait plutôt à savoir (...) comment cela était possible »
actuellement, il avait au moins deux garçons il y avait
Charlotte eu un sourire, Charlotte eut
à leurs appareils photos appareils photo. Photo est la contraction de photographique.
L'adolescente ce laissait presque hypnotiser se laissait
milles et une nuits Mille s'écrit sans « s ».
ses épais cheveux bruns foncés brun foncé (adjectif composé de couleur : invariable)
des habits moulants et tendances tendance ne s'accorde pas ; ce n'est pas un adjectif.
Puis, elle avança, suivi de sa troupe d'amies Puis elle avança, suivie de sa troupe d'amies. (En plus de l'accord de « suivie », j'enlèverais la virgule après « Puis ».
Elle voulu partir de nouveau Elle voulut
Elle vu d'un coup d’œil que la blondinette était dans ses notes Elle vit
Je trouve que tout le passage suivant, qui est long, répétitif et peu clair est à remanier : « Charlotte sortit son portable de son sac. Elle y écrivit quelque chose et Aéna se pencha pour le lire. Elle vu d'un coup d’œil que la blondinette était dans ses notes et qu'elle venait d'y inscrire une courte phrase et une série de chiffres. Aéna pensa que c'était un numéro de téléphone et voulu vérifier. Elle n'en eu cependant pas le temps, car Charlotte éteignit l'appareil au moment où le regard de la « princesse » survola l'écran pour la seconde fois. »
Elle n'en eu cependant pas le temps Elle n'en eut
sois en sûre ! Sois-en sûre
Emmy lui tapota l'épaule en guise de soutient en guise de soutien (le nom « soutien » ne prend pas de « t » à la fin)
Mélie avait suivi les événement les événements
Qu'es-tu encore aller faire ? Qu'es-tu encore allée faire ?
Malheureusement pour elle, Charlotte ne lui expliquerais rien, elle était très forte pour détourner l'attention de son amie, et si cette dernière se montrait trop insistante, elle lui ferait oublier l'épisode. Malheureusement pour elle, Charlotte ne lui expliquerait rien. (Ici, je mettrais un point et je commencerais une nouvelle phrase.)
par les enceinte du café les enceintes
Plus tard ce soir, je reviendrai pour le dernier chapitre.
UNE SUITE!
PS: Va voir sur mon profil dans mes histoire favorite. Tu vas trouver une surprise...
Je n'ai rien trouvé dans tes histoires favorites, mais si tu voulais y mettre la mienne, c'est très gentil de ta part ^^ !