Première Voie
Les personnages ne parlent pas notre langage, n'ont pas les mêmes unités de mesures, mais pour que le texte et les dialogues soient compréhensibles, ils sont écrit dans notre langue, avec nos unités.
Elyn était en train de nourrir les chouettes quand le Bruit avait retentit. Tous les oiseaux s’était envolés dans un bruissement d’ailes épouvanté, si bien qu’elle avait dû se protéger le visage avec ses bras. Elle était rentrée chez elle couverte de griffures. Elle s’en souvenait très bien. Elle avait à peine dix ans.
D’après les anciens, le Bruit provenait de beaucoup plus haut dans les terres du Nord, de l’autre côté de la Forêt d’Aëel.
Dès le lendemain, le gouvernement de la capitale Aubegelée avait envoyé une dizaine de cavaliers au nord pour trouver l’origine de cet assourdissant Bruit. Edgur, le frère aîné d’Elyn faisait partie de l’expédition.
Cela faisait près de sept ans qu’ils étaient partis et depuis leur départ personne n’avait eu de nouvelles d’eux.
Ce matin-là, il neigeait - comme toujours - sur Aubegelée. Le paysage était si blanc qu'on ne distinguait pas le ciel du sol. Rares étaient les jours où l'on pouvait voir l’horizon dans ce Royaume. Elyn nourrissait les chouettes de la Tour Postale, comme à son habitude. Elle pensait a son dix-septième anniversaire qu’elle avait fêté la veille. Elle était en train de caresser un des oiseaux quand elle entendit des chevaux hennir dans le lointain et les bruits des sabots qui se rapprochaient. Aussitôt, Elyn se précipita à la fenêtre. Du haut de la Tour Postale, elle pouvait voir entièrement la plaine qui s'étendait au nord de la capitale. Elle remarqua un groupe de cavaliers qui s'approchait des remparts au galop. La jeune fille eu la certitude qu’ils s’agissait de ceux que le gouvernement avait envoyé dans les terres du Nord sept ans plus tôt. Immédiatement, elle descendit de la Tour Postale pour prévenir le sonneur de la Tour Alerte.
La cloche retentit dans toute la ville et on fit ouvrir les portes. Les cavaliers entrèrent et toute la population d’Aubegelée put constater qu’ils n’étaient plus que six. Aucun des missionnaires ne prit la peine d’attacher sa monture et tous se jetèrent aussitôt dans les bras de leurs proches.
Elyn dû remonter la foule qui s’était amassée devant le portes pour arriver à leur hauteur. C’est avec soulagement qu’elle constata qu’Edgur faisait partie des revenants. Elle se jeta à son cou, mais il réagit froidement et la serra à peine dans ses bras. Elle remarqua qu'il avait trois longues balafres qui lui barraient le visage. Son regard semblait si éteint qu'elle en eu peur. Elyn s'éloigna un peu de son frère et, sans dire un mot, l'aida à nettoyer son cheval.
Une heure plus tard, ils étaient tous deux assis sur de grands fauteuils dans la petite maison familiale. Leur père, leur mère et leurs deux petites sœurs étaient également présents. Les petites sœurs s'étaient collées à leur frère qui, de son côté, ne leur montrait pas le moindre signe d'affection. Le père pleurait silencieusement pendant que la mère s'affairait tout autour d'eux pour cacher son émotion.
Edgur n'avait pas dit un mot depuis qu'il s'était installé dans son fauteuil. En entrant dans la chaumière à la suite de sa sœur il avait salué sa famille et attendu patiemment que le flux de questions qui sortait de la bouche de ses parents faiblisse et que ses sœurs descendent de ses bras. Il semblait perdu dans ses pensées, comme bloqué dans un autre monde. Il n'avait rien dit au sujet de sa mission. Elyn connaissait bien les rumeurs qui circulaient à propos des Hautes-Terres du Nord. On les disaient peuplées de créatures affreusement laides et dangereuses qui aimaient voir le sang couler ou de lutins aux esprits tordus et rusés. Et elle avait bien peur que ce soit une de ces choses qui avait fait de son frère adoré un étranger mutique.
Quand la famille eut soupé, les petites sœurs furent envoyées au lit. Les parent ne tardèrent pas non plus à aller se coucher. Elyn se retrouva donc seule avec Edgur. Elle sortit de la maison pour aller lire à la lumière de la lune et, par la même occasion, fuir le tête à tête avec son frère. Elle mit un châle sur ses épaules en plus de sa robe en laine blanche, car en soirée la température pouvait descendre jusqu'à ce qui correspondrait chez nous à -15 °C. Cette température n'était pas digne de celles atteintes lors des Grands Froids, mais tout de même Elyn préférait se couvrir un peu. Dans ce Royaume les températures dépassaient très rarement les 0 °C et les habitants étaient très résistants au froid. De tout manière, ils ne connaissaient même pas le mot « chaud » et sa signification.
La jeune femme s'assit sur un banc près de la porte d'entrée et commença à lire. Soudain, la porte grinça et elle vit apparaître la tête de son frère dans l'entrebâillement. Elle le suivit du regard pendant qu'il s'installait à côté d'elle. Elle retint un peu son souffle et tressaillit quand il prit la parole.
- Combien de temps sommes nous partis ?
- Près de sept ans.
Voyant qu'il ne disait plus rien, Elyn décida que c'était à son tour de poser une question :
- Ce sont les monstres des Hautes-Terres qui t'ont fait cela ?
- Tu veux parler des cicatrices ? demanda-t-il en les désignant du doigt, Des créatures des Hautes-Terres en sont bien la cause. Deux gros monstres hirsutes qui ont emporté l'un des nôtres.
Comme Edgur semblait enfin disposé à parler, Elyn continua.
- En fait, je voulais aussi savoir ce qui t'avais rendu si distant. Tu sembles... ailleurs.
Elle avait hésité quelques instants à le lui dire, puis avait décidé d'être franche. Lui aussi sembla hésitant. Il regarda tout autour d'eux, comme s'il avait peur d'être écouté. Enfin, il murmura :
- Nous avons trouvé la provenance du Bruit.
Il laissa cette phrase en suspens d'en l'air, contemplant son effet. Sa sœur s'approcha de lui, les yeux écarquillés et maintenant pendue à ses lèvres.
- Promets-moi de n'en parler à personne, seuls les anciens vont être – ou sont déjà – mis au courant. Et, je ne pense pas qu'ils voudront en informer le peuple.
Elyn jura de ne rien dire.
- C'est l'ouverture d'une sorte de passage, de voie, qui est à l'origine du Bruit.
- Un passage ? Vers quoi ?
- Nous pensons que cette Voie mène à un autre monde. Nous y sommes allés, trois d'autres nous n'en sont pas revenus. Je ne sais pas s'ils sont encore en vie à l'heure qu'il est.
Il prit entre ses mains le visage à la peau d'albâtre de sa sœur, passa ses doigts dans ses cheveux blancs, et reprit :
- Elyn, ce monde est si différent du notre. Tu ne pourrais même pas l'imaginer. Les températures y sont si élevées qu'elles dépassent les 30 °C, et parfois même les 40 °C ! Tu te rends compte ?
Puis, l'excitation qui était apparue dans ses yeux bleus délavés disparue. Il redevint sombre, et se leva.
- Tu comprends Elyn, on ne survivrait pas là-bas. Alors, il ne faut pas en parler. Personne ne doit savoir.
Alors qu'il disparaissait dans la nuit, il ajouta :
- Nous avons découvert un monde où il fait « chaud »...
Elyn ne comprit pas ce qu'il voulait dire par « chaud » et resta silencieuse, assise sur son banc, la froideur des mains de son frère encore imprimée sur ses joues.
Par contre, j'avoue que les mentions des degrès m'ont un peu sorti de la lecture. Pourquoi ne pas dire que les sols ne sont pas gelée et qu'il n'y a pas de neige au sol pour expliquer ?
Enfin sinon, j'ai l'impression qu'on est dans le monde du "froid", du coup, je me demande ce que donnerait le monde du "chaud". Un désert sans doute...
Pour le frère, je me demande ce qui l'a changé à ce point. Est-ce que c'est juste la découverte de l'autre monde ? Ou autre chose ?
Je peux lire le chapitre suivant ou j'attends ?
Nascana
Pour les degrès, tu fais bien de me le dire, j'y réfléchirai !
Tes impressions sont plutôt bonnes. Et pour le frère... mystère ! x)
Le mieux est d'attendre, je n'ai pas encore réécrit la suite !
Bis !
Tout ça est très mystérieux, il va falloir continuer à lire pour en savoir plus :D.
Je suis contente que tu vois la différence entre ce chapitre et les précédents ! Et ce n'est pas du tout un mixe avec mon autre histoire (même si ça aurait pu). Au contraire, j'ai eu l'idée de ces petits passages dès les débuts d'Opposés. ^^
Le "chaud" a bien un lien avec les Opposés ! Tu verras lequel !
Ça me fait vraiment plaisir que tu veuilles lire la suite.
Merci de ton commentaire et ta lecture !!
Je suis contente que tu ais autant de questions mais je ne peux y répondre sans gâcher le suspens XD Ça me fait plaisir que ce chapitre te fasses cet effet, c'est bien ce que j'espérais !
Mais tu as raison, ces personnages ne sont pas vraiment ce que l'on peut appeler des humains...
À ce stade, on ne sait pas encore si tu commences une nouvelle histoire en parallèle ou si on fait simplement un détour pour aller dans un autre lieu ou à une autre époque. Peut-être le lieu ou l'époque d'origine d'un des Opposés... ou de tous.<br />Tu plantes bien le décor. On voit qu'Elyn est la confidente d'Edgur et qu’ils ont leur complicité.<br />Je trouve surprenant que le père pleure. Normalement, avant de désespérer, on commence par poser des questions. S'il n'y a pas de communication possible, on laisse passer la nuit en se disant qu'il est fatigué, éprouvé, peut-être choqué par ce qu'il a vu. Si son état persiste, on cherche des solutions. À mon avis, ou bien le père a une réaction excessive, ou bien le mutisme d'Edgur ne dure pas assez longtemps.<br />La découverte du passage plaide pour l'existence d'un monde ou d'une dimension parallèle. Voilà un mystère qui accroche le lecteur.
quand le Bruit avait retentit [avait retenti]<br />Tous les oiseaux s’était envolés [s'étaient envolés]<br />au nord pour trouver l’origine [nord si c’est une direction, Nord si c'est une région. Si c'est une direction, "vers le nord" est plus clair]<br />qu’ils étaient partis et depuis leur départ [partis / départ. Pour éviter la répétition, tu peux mettre : "et depuis," ou "depuis lors, personne n’avait eu de nouvelles d’eux"]<br />Elle pensait a son dix-septième anniversaire [à]<br />quand elle entendit des chevaux hennir dans le lointain et les bruits des sabots qui se rapprochaient [des bruits de sabots]<br />La jeune fille eu la certitude qu’ils s’agissait de ceux que le gouvernement avait envoyé [eut / qu'il s'agissait / avait envoyés]<br />le sonneur de la Tour Alerte [je propose : "la Tour d'Alerte"]<br />Elyn dû remonter la foule [dut]<br />devant le portes [les]<br />qu'elle en eu peur [eut]<br />assis sur de grands fauteuils [assis dans]<br />En entrant dans la chaumière à la suite de sa sœur il avait salué sa famille et attendu patiemment [il faudrait mettre une virgule après "sa sœur" / puis il avait attendu (parce qu'il n'a pas attendu en entrant)]<br />On les disaient peuplées [on les disait]<br />Les parent ne tardèrent pas [parents]<br />De tout manière [de toute manière]<br />Combien de temps sommes nous partis ? [sommes-nous]<br />demanda-t-il en les désignant du doigt, Des créatures des Hautes-Terres [il faudrait mettre un point à la place de la virgule après "doigt"]<br />ce qui t'avais rendu si distant [ce qui t'avait]<br />en suspens d'en l'air [dans l'air]<br />Et, je ne pense pas [la virgule est de trop]<br />trois d'autres nous n'en sont pas revenus [trois d'entre nous]<br />ce monde est si différent du notre [du nôtre (notre monde, mais le nôtre)]<br />Puis, l'excitation qui était apparue dans ses yeux bleus délavés disparue. [La virgule est de trop après "Puis" / bleu délavé (adjectif composé de couleur : invariable) / disparut]<br />Alors qu'il disparaissait dans la nuit [On a : était apparue / disparut / disparaissait dans deux phrases qui se suivent. Je suggère : "l'excitation qui brillait" ou "qui rayonnait dans ses yeux bleu délavé se dissipa" ou "s'effaça"]<br />Il redevint sombre, et se leva [la virgule est de trop]<br />Alors, il ne faut pas en parler [la virgule est de trop]
Dans des indications comme "30 °C", il faut un espace insécable. Avant de passer à la ligne ou au paragraphe suivant, il ne faut pas mettre d'espace.
Merci beaucoup d'avoir pris le temps de relever toutes ces fautes ! C'est vraiment très gentil de ta part.
Ça me fait plaisir que ce texte accroche le lecteur, c'était mon intention.
Pour ce qui est du père, il est très émotif et il pleure de joie car il vient de retrouver son fils partit depuis des années. Il n'a même pas vraiment relevé le fait que ce dernier est devenu plus ou moins mutique. Penses-tu qu'il soit nécessaire de reformuler ce passage pour le rendre plus compréhensible ?
Merci encore !
Tu expliques bien l'état d'esprit de Charlotte, qui ne peut pas partager ses soucis avec sa famille.
Puis la rencontre avec le Froid, qui fascine Charlotte, suivie de la confrontation avec Duncan soufflent le chaud et le froid (sans vouloir faire de jeu de mots). Duncan semblait craindre que Charlotte fasse quelque chose de dangereux et finalement, c'est lui qui le fait. Le mystère subsiste et ça devient plus intense...
Ce n'est pas facile pour les opposés de devoir se débrouiller sans personne pour les initier à leur rôle, à l'utilisation de leurs pouvoirs.
<br /><br />
Après avoir quitté le cul-de-sac, la jeune fille avait rejoins un Thomas choqué et bougon.
Avait rejoint
les sourcils en accents circonflexes
accent circonflexe au singulier : les deux sourcils forment un accent circonflexe
Je ne le connaissait même pas ! avait-il ajouté.
Je ne le connaissais
Ce qui l'énervait le plus, était de savoir comment elle allait trouver les autres filles.
Il faut enlever la virgule (qui sépare le verbe de son groupe sujet).
Vu le contexte, on a plutôt l'impression qu'elle ne sait pas comment trouver les autres filles, à moins de se trouver à proximité. Il me paraîtrait donc plus logique de dire : « Ce qui l'énervait le plus, était de ne pas savoir comment elle allait trouver les autres filles.» Pourquoi ça l'énerverait de le savoir ?
Mais regarde toi !
regarde-toi
Cela nous permettrait également d'acheter le matériel d'école des garçons
Je dirais plutôt les fournitures scolaires.
Cette dernière, quand à elle,
quant à elle. Quant à qqn ou qqch, c’est en ce qui le concerne ; quand est une indication de temps.
Je l'adore, même lorsque je suis insupportable, elle fait de son mieux pour me faire plaisir ! pensa-t-elle, reconnaissante.
Je changerais la ponctuation : « Je l'adore ! Même lorsque je suis insupportable, elle fait de son mieux pour me faire plaisir, pensa-t-elle, reconnaissante. »
Vexé par le peu de succès qu'emportait son nouveau style
que remportait
et à M.Lumière-je-ne-me-prends-pas-pour-n'importe-qui.
Il manque un espace après M.
Je trouve que cette formulation est lourde. (M. Lumière le prétentieux ? Ce prétentieux de M. Lumière ?)
Quand chacun eu sa glace à la main
chacun eut
Elle couru presque jusqu'au vendeur.
Elle courut
Charlotte sourit, ce jeune homme lui faisait penser à elle qui ne supportait pas la lumière.
Tu pourrais mettre deux points après « sourit ». Elle sourit parce qu'il lui fait penser à elle.
Il portait ses cheveux, bruns foncés aux chauds reflets de roux, à peine coiffés. Ils bouclaient un peu aux racines ce qui donnait une étrange impression de désordre.
Pour alléger, je propose : « Ses cheveux brun foncé aux chauds reflets roux étaient à peine coiffés.
J'ajouterais une virgule avant « ce qui donnait (...) »
Ses yeux verts mordorés en amandes brillaient de franchise. Contrairement à ce à quoi s'attendait Charlotte, il n'avait pas de tâches de rousseur, mais un teint plutôt halé.
Ses yeux vert mordoré (adjectif composé de couleur : invariable)
en amande :amande au singulier ; (ça veut dire en forme d'amande)
taches de rousseur (une tâche est un travail à faire)
un teint hâlé (haler, c'est tirer en faisant un effort ou remorquer ; hâler, c'est brunir la peau)
« à ce à quoi » est lourd.
Je reformule les deux phrases : « Ses yeux vert mordoré en amande brillaient de franchise. Contrairement à ce qu'imaginait Charlotte, il n'avait pas de taches de rousseur, mais un teint plutôt hâlé.
Mais Charlotte ne s'en préoccupa pas, trop occupée à de nouveau le sonder intérieurement.
Préoccupa /occupée : il vaut mieux éviter la répétition.
Je propose « Mais Charlotte ne s'en soucia pas, trop occupée à le sonder de nouveau intérieurement. » (Tu pourrais même enlever « de nouveau », qui alourdit inutilement la phrase.)
Elle avait déjà pris connaissance de son caractère, son prénom, son âge, quand elle se rendit compte qu'à force de l'observer si indiscrètement, le jeune homme s'était retourné et la regardait à son tour. Avec un air moqueur sur le visage.
La syntaxe n'est pas correcte : après « à force de (...) », il faudrait continuer avec « elle ».
Je reformule : « Elle avait déjà pris connaissance de son caractère, son prénom et son âge quand elle s'aperçut* qu'à force d'être observé si indiscrètement, le jeune homme s'était retourné et la regardait à son tour avec un air moqueur. » (*Je modifie ce verbe à cause de la phrase suivante)
L'adolescente prenait enfin conscience que la découverte de ce jeune homme était une très mauvaise nouvelle pour elle
« Prendre conscience que » n'est pas très heureux. Je suggère donc « se rendre compte », c'est pourquoi j'ai proposé « s'apercevoir » dans la phrase précédente.
Je reformule : « L'adolescente se rendait enfin compte que la découverte de ce jeune homme était une très mauvaise nouvelle pour elle »
Ne croit pas m'impressionner
Ne crois
mais à la place seul un gémissement parvint à sortir de ses lèvres.
« sortir de ses lèvres » n'es pas très heureux . franchir ses lèvres ou sortir de sa bouche.
Les larmes perlèrent au coins de ses yeux.
au coin
La frayeur qu'elle avait eu lui coupa les jambes. / Elle pleurait sans s'arrêter, laissant s'échapper l'immense peur qu'elle avait eu en voyant sa peau disparaître.
qu'elle avait eue les deux fois. Il y a un COD féminin (frayeur / peur) placé avant le verbe.
Penser cela lui semblait idiot, pourtant, après l'étrange chose qui s'était produite, sa réaction était sensée.
Je mettrais un point-virgule après « idiot ».
Le teint de Duncan avait blêmis
avait blêmi
Ne me touuuuuuuuche pas ! Tu entends ? Ne me touuuche paaas ! Paaars ! hurla-t-elle totalement hystérique.
Tu précises qu'elle hurle et qu'elle est totalement hystérique ; c'est bien assez clair. Tu ferais mieux d'écrire ces mots sans multiplier les « u » et les « a ».
Un dernier sanglot. Charlotte repris contenance et ce releva.
Après un dernier sanglot, Charlotte reprit ses esprits et se releva. (Reprendre contenance me paraît bizarre.)
<br /><br />
Je vais voir la suite.
merci beaucoup pour ta lecture, tes corrections et tes commentaires, ça m'aide beaucoup !
Tant mieux si on ne s'ennuie pas. C'est une bonne nouvelle ! Pour le titre, tu n'es pas la seule à me l'avoir dit... Je le changerai quand je commencerai à poster la réécriture de mon histoire ! D'ailleurs, ne t'embêtes pas à continuer la correction, à part si tu le souhaites, parce que le texte va énormément bouger !
Merci encore !! ^^