Franchement

Par Carl

Il souriait. Franchement. Au téléphone, lorsqu’on l’appelait. À sa fenêtre, lorsqu’on lui faisait signe.
Au matin, devant un café et devant elle. Dans l’après-midi, avec un autre café et leur complicité.
Il souriait lorsqu’elle parlait, lorsqu’elle l’écoutait, lorsqu’elle était sarcastique, lorsqu’elle était cynique. Il souriait dans les cafés. Chez lui. Après son arrivée. Avant son départ.
Il souriait. Avec mille sentiments. Et mille culpabilités.

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