Je suis indénaiblement liée à la mort. Cet être charmant me joue de tour, m'emmène là où ce n'est pas permis, me fait perdre le goût de ma propre vie. Elle est là, me murmurre et me montre en tenue Sainte, la dernière que mon corps putréfié portera, la seule. Elle sera là, attachée à moi, et moi je serais là dans ce tombeau pour la dernière fois, dans ma demeure éternelle. La mort me montre cela alors que j'essaie de me cacher d'elle, ce chache-cache infernal fini toujours de la même manière, elle se rit de moi comme le poète se rit de l'archer.
à Bientôt de vous lire