La mort rouge

La mort a ricané :

-Est-ce donc ça le pouvoir si redouté des héritières ? C’est le pouvoir le plus pathétique que je n’ai jamais vu ! Vous êtes pitoyables, dit-elle alors qu'une aura rouge apparaissait autour d’elle. Adieu ! Hurla t’elle en nous envoyant des balles rouges que nous nûment pas le temps d’esquiver. Projetée par l’impact je m’écroula au sol et me releva avec difficulté. 

- Tu te relèves, impressionnant ! Lana se releva alors et entonna une sorte d’incantation :

- Deux des trois héritières sont réunis. Éléments et lumière divine prêtez nous votre force. Rien ne se passa. Je remarqua alors que de mon glaive, émanait une faible lueur dorée. Mais de celui de Lana, en émanait une également, mais multicolore. La mort se jeta sur moi et me frappa d’un coup de cimeterre, j’aurai été égorgée sur le coup si Lana ne s’était pas Jetté devant moi et n’avait pas détourée l’attaque avec sa main. Je serra les dents en m’attendant à voir son sang gicler mais au contraire la lame de la mort rebondit sur sa paume.  Agacée, la mort se jeta sur Lana qui reçut un grand coup de poing et s’effondra assommée. A ce moment là, je ne sentais plus rien dans mon corps.

Je bougea sans le vouloir et l’épée de Flammel  se logea dans ma main. J’attaquai alors la mort sans relâche, je la harcela de frappe d’estoc et de coupes de tailles. La mort para mes attaques avec difficulté j’enchaînas avec des attaques que j’aurai été incapable d’exécuter en temps réel.  Je virevolta sans que la mort ne parvienne à me toucher, et je finis même par trouver une ouverture et à lui planter ma lame dans le cœur. Stupéfaite, la mort regarda ma lame planter au niveau de son cœur et hurla. À ce moment je retrouva mon état normal et me couvrit les oreilles de mes mains. Des volutes d’énergies rouges sortirent de sa plaie et pour finir elle s’écroula et disparût ne laissant qu'une petite tache de sang. Je tomba à terre courbaturé de partout et haletante. Lana qui venait de reprendre ses esprits me demanda avec difficulté :

-Tu l’as tué ? Comment à tu fais ?

- Je ne sais pas… c’était comme si… quelqu’un avait… pris possession de mon corps.

- Étrange, me dit-elle, tu permet que je t’examine ?

- Pourquoi ?

- Pour essayer de découvrir ce qu’il s’est passé. Encore haletante je répondis :

-Hmmmmm… d’accord.