Là où le ciel s'arrête,
Où les étoiles s'estompent
Et où la lune s'endort.
Là où les rêveurs naviguent
Par-delà des océans de brumes.
Là où les rires d'enfants se perdent
Dans un écho éternel et languissant,
Là, est l'aube du temps.
Comme un éclair miroitant,
À mes yeux éveillés,
Perdu dans les confins de son regard,
À mes sens émerveillés,
Dans ses yeux demeure,
L'aube du temps.
Au fil des textes, on ressent ton attachement pour les mots choisis avec soin mais aussi pour les "éléments" : le vent, l'eau, le temps, la lune, le soleil, etc. On sent la présence humaine mais aussi l'omniprésence de la nature, du vivant et de toutes ces choses plus "fortes" que l'homme...
Tu décris avec une délicatesse et une sensibilité saisissante.
Tes mots coulent comme l'eau... Bravo ! Tu as vraiment beaucoup de talent !
Puisse les vagues de l'inspiration t'engloutir à jamais ^^
Pluma.
— Je dirais « Par-delà les océans... »
C'est beau "Par-delà les océans...", c'est plus dépouillé, mais plus percutant.