Vais-je pâtir de ce que mon âme désire,
Quand horreur me vient à l’ouïe d’histoires d’anciens.
Ai-je tant tort de ne rien vouloir ressentir,
De cet avenir qui risque de devenir le mien.
De chaque horizons, jeunes tout comme moi,
Imaginez-vous devoir parler de jeunesse sans émoi.
Quand chaque leçons et souvenirs qu’il vous reste,
Témoignent de chaque chances que le temps nous déleste.
Me voici à frémir devant le vieux qui courbe le dos,
Parce que de toute manière plus rien ne sert de tenir droit.
Car depuis longtemps le cœur n’a plus dit mots,
Face à celui qui de la vie en a passé les joies.