Amour ouvre mon cœur, dévore mon âme,
On peut souvent te maudire, de faire couler les larmes.
Pourtant jamais n’ai-je cessé, du regard de te chercher,
Suivre l’odeur de fleur, toucher du doigt ton ardeur.
La candeur est dévoilée, la stabilité troquée,
Pour le désir révélateur, de notre plus grande terreur.
Solitude laisse-moi essayer, ce que mon esprit réclame,
Que mon être est aimé, le temps d’un baiser sur mon âme.
Car pendant un instant je veux oublier, ou alors espérer,
Qu’à deux notre valeur, puisse devenir une unité.
C’est l’appel de l’Homme, dont sa nature demeure,
Affaibli d’un malheur, celui de la finitude de ses heures…
Petite correction pour que ce soit plus : "Amour ouvres mon cœur, dévores mon âme,", ce serait "ouvre" et "dévore" sans s.
Bonne continuation !
Je vais les rectifier de ce pas, bonne continuation à toi aussi, en espérant te revoir un jour dans l’espace commentaire. =D