J'ai décidé de supprimer ce chapitre, car il n'a pas d'intérêt pour l'histoire. Mais pas de soucis, vous ne ratez rien, il faut juste passer au suivant ! :)
J'ai décidé de supprimer ce chapitre, car il n'a pas d'intérêt pour l'histoire. Mais pas de soucis, vous ne ratez rien, il faut juste passer au suivant ! :)
J'ai trouvé ce chapitre très agréable et bien écrit ! J'ai aimé la petite balade dans le parc, l'agitation qui règne dans cette maison réhabilité en rédaction et les petites insinuations d'Héloïse au sujet de Dimitri et Bérénice ! Je suis ravie du retour de Lysandre aussi <3
J'ai été surprise par la réaction de Bérénice. Elle l'a vraiment désarçonnée, je ne m'attendais à ce qu'elle réagisse ainsi. Je n'avais peut-être pas bien saisi à quel point Bérénice était affectée par tout ce qui venait de se passer. ET en même temps, je comprends sa lassitude. Disons qu'Héloïse en fait un peu les frais. Ma lecture est morcelée alors j'ai souvent peur d'avoir loupé un détail...
Je continue !
Détails
fit-elle en ayant des difficultés à garder les yeux ouverts : je trouve la formule un peu lourde
de nulle part : de nulle part
tandis que Bérénice avait des difficultés à suivre les pas toujours énergiques de Dimitri : imparfait bizarre ici avec « tandis que »
Cette dernière : elle est seule, alors elle ne peut pas être dernière…
quelle probabilité pour tomber sur elle : de tomber sur elle ?
Je ferais comme si je n’avais rien entendu : ferai ?
Lorsque vous avez pointé ces hommes avec le pistolet : visé ? menacé ?
Bérénice cessa net sa course revancharde : quelle course ?
Après avoir quitté si tôt une prison : si récemment ?
Bérénice entendit un intense capharnaüm : un capharnaüm, ça se voit plus que ça s’entend…
Je nous donne que peu de temps : je ne nous donne
la lassitude la plongeait dans un mutisme dont Héloïse n’avait aucune idée : elle doit en avoir une idée, puisque Bérénice ne dit rien…
J’ai atteint mes retranchements ce soir : jamais vu cette tournure, on utilise plutôt « pousser quelqu’un dans ses retranchements »
Bérénice grondait de douleurs : douleur
Je n'échangerai pas ma place contre la sienne. : échangerais
les cents pas : cent
Quel idiot se lancerait dans cet appât ridicule ? tournure peu claire
J'étais trop heureuse de retrouver Bérénice, ça faisait longtemps ! J'adore cette ambiance de résistance, de préparation à la révolte \o/
Par contre, je n'ai pas trop aimé la dispute entre Bérénice et Héloïse, je sais pas si c'est parce que ça m'a fait de la peine de les voir se disputer... mais j'ai trouvé que Bérénice s'énervait un peu vite, ça lui ressemble pas. C'est vrai qu'elle a vécu des trucs éprouvants et on comprend qu'elle soit à bout de patience, mais avant d'etre dans sa chambre elle a l'air okay, elle s'émerveille du parc, elle a une longue discussion agréable avec Dimitri... et là d'un coup elle en a ras le bon... bon, en écrivant ça je me rend compte que c'est carrément possible, elle est juste arrivée a saturation... mais a mon avis il faudrait montrer son agacement/nervosité plus tôt, et que Héloïse soit la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
Du côté d'Héloïse, j'ai aussi trouvé que son attitude de lui ressemblait pas ! elle est plutôt fine d'habitude, et là au lieu de tout de suite comprendre que Bérénice a besoin d'être seule, elle insiste lourdement... (notamment à ce moment là :
"— Héloïse…tu pourrais me laisser seule. J’ai besoin de me reposer.
— Parce que tu es fatiguée ?" )
Je sais pas, je trouve que cette dispute un peu étrange par rapport au caractère des persos... rien de trop choquant non plus, et c'est ptêtre que moi.
A bientôt dans le prochain chap !
Je suis contente que la révolte te plaise.
Pour Héloïse et Bérénice :
Pour Bérénice, je voulais montrer l'épuisement de Bérénice et j'ai essayé de le distiller dans le chemin du retour (un peu au parc, un peu quand elle arrive devant la maison et qu'elle s'aperçoit qu'ils ont tous travaillé ensemble, mais qu'elle, elle était seule). J'ai l'impression que rapidement tout peut voler en éclat quand une personne a l'impression qu'elle est seule, qu'elle se bat seule et que c'est sur elle que tombe toujours les pires trucs. Je me suis dit qu'après tout ce qu'elle avait vécu, si elle n'explosait pas à un moment, ce ne serait pas juste. C'est vrai que Bérénice est une battante, mais elle a aussi un sacré caractère et peut facilement exploser (on le voit notamment dans le chapitre 3). Mais du coup, peut-être qu’il faudrait que je le montre plus. A la base, je l’écrivais plus, mais à la relecture, je trouvais ça lourd….Arff je ne sais pas quoi faire.
Et puis Héloïse...C'est un peu la même chose. Elle est un personnage pour moi qui est d'une grande finesse intellectuelle, mais parfois, émotionnellement, elle peut être à côté de la plaque. Elle est femme très moderne qui est dans l’immédiateté, qui est d’une grande efficacité. Au moment où elle retrouve Bérénice, elle vit un rêve éveillé : enfin, elle assume d’être journaliste, d’être aux côtés de Lysandre pour l’aider. Elle est extrêmement excitée et ne fait pas autant attention à l’état de Bérénice qu’elle le devrait. Souvent ces disputes très ponctuelles et insignifiantes peuvent venir d’une soudaine incompréhension entre les deux partis. Enfin j’ai l’impression.
Toutes deux s’adorent mais sont explosives. En plus, chacune est plongée dans son mode (Bérénice sort d’une prison/Héloïse doit faire marcher le Cassandre).
En tout cas, c’est complètement vrai, cet échange (que tu relèves) est maladroit. Je devrais le changer et trouver quelque chose qui rende justice à Héloïse. C’est vrai que c’est difficile de l’entendre dire « parce que tu es fatiguée ». Ca fait bêbête.
Merci beaucoup pour ton commentaire Sorryf, je note tes remarques !
Des bisous
Plein de bisous