Le dimanche des cerises
*
Retour au Hameau.
Le dimanche matin.
Tsé-tsé
Il n’avait pas la bonne couleur. Ce n’était pas tout, bien sûr, sa texture aussi avait changé, plus tendre. Son tout s’était fendu, abîmé ; mais bon, cela pouvait arriver. La vie faisait cela aux gens, parfois. Souvent. Mais la couleur, ça non, elle ne pouvait pas changer ainsi.
Tsé-tsé était plus qu’intrigué. Il avait entendu parler de la ville, rarement en bien ; il n’y avait jamais été lui-même. Était-elle monstre si puissant qu’elle pouvait refaçonner jusqu’à l’essence même de ceux qu’elle avait mangés ? Comment le fils pouvait-il revenir si différent de celui qu’il avait été ?
Toute la veille, Tsé-tsé avait gardé un oeil sur lui, attiré par la bizarrerie. Au début, de façon peu discrète sans doute, car le fils s’était un peu tendu, de petites stries étaient nées sur toutes ses facettes. Alors Tsé-tsé avait lâché un peu de lest, était resté dans les parages mais faisant mine d’être à autre chose, cela avait un peu marché. En tout cas le fils avait perdu en impuretés, son grain était redevenu un peu plus calme.
Le fils n’avait pas été la seule étrangeté du samedi. Ni même de ces derniers jours. Dernièrement, tout se mélangeait sous les yeux de Tsé-tsé, tout devenait instable. Les vents, les odeurs, les courants. Tsé-tsé se demandait si c’était lui qui avait un problème ou si c’était le monde.
Et c’était pour essayer de comprendre qu’il descendait les marches de son bâtiment, en ce dimanche matin des cerises, dans l’intention de se rendre chez Maam. Et aussi parce qu’il était attiré par ce fils beaucoup trop étrange, trop dérangeant ; trop à côté.
Si Tsé-tsé avait bien perçu les conversations de la veille, le fils avait expressement été demander à Prince de venir l’aider à faire des réparations dans la maison de Maam. Cette dernière avait rouspété, arguant que le week-end des cerises n’était pas le moment pour se lancer dans le bricolage, mais le fils avait trop gravement insisté pour que Prince put refuser. Maam aussi avait fini par céder, et dimanche matin avait été décidé pour réparer ce qui devait l’être. Car ensuite, le fils n’était pas sûr de pouvoir rester, or il voulait que tout soit fait avant son départ.
Les vents avaient encore tourné, se dit Tsé-tsé en posant son premier pied dans la cour. La houle, toujours plus forte, avait de nouveau tout bousculé et l’écume du monde avait encore charié des irrégularités.
Pris d’un vertige, Tsé-tsé peina à se ressaisir ; tout tanguait autour de lui. Il ferma les yeux le temps que le roulis s'apaise. Après un long moment dodelinant, il put les rouvrir. Ce n’était pas bon, ce n’était pas comme cela devait être. Au dessus de lui, vers le ciel, une myriade de petits points se mirent à clignoter. Les feuilles du grand peuplier blanc, agitées par la brise, s’était mises à rire. L’une se détacha et vint se poser doucement à la surface de la fontaine.
Quelque chose n’allait pas, se disait Tsé-tsé, ce n’était pas cela qu’il aurait dû voir. Mais alors que les secondes s’écoulèrent il ne sut plus dire pourquoi. Ce qui avait été familier un jour se faisait oublier, ce qui n’aurait pas dû être familier le devenait déjà.
Perturbé, assailli de courants contraires, il traversa la cour en regardant ses pieds pour avancer, toqua chez Maam et entra.
La cuisine était pleine des vestiges heureux du repas de la veille ; plats sales empilés, casseroles imbriquées en pyramides luisantes et branlantes, ingrédients et ustensiles encore étalés sur les tables et les établis. Les odeurs étaient encore délicieuses, parfum quelque peu flétris mais toujours délicats de soufflés, quiches et clafoutis qui éveillaient l’appétit. Le dimanche des cerises était jour de débrouille et de restes, chacun ayant le droit de venir se servir de ce qu’il trouvait là et de se faire son repas. C’était un jour traditionnellement doux et lent, propice aux grasses matinées et aux plaisirs de ne pas faire grand chose.
Tout était en désordre, chaque chose était à sa place. Dans cette bulle de chaos apprivoisé et coutumier de Maam, Tsé-tsé se sentit un peu mieux.
Il se saisit d’une part d’un gâteau qui lui donna envie, puis s’avança vers le fond de la pièce en quête des habitants.
Il n’eut pas à chercher longtemps. L’étroit escalier derrière la cuisine était plein à craquer de présences, concentrations et agitation. Tsé-tsé s’y engouffra pour monter d’un étage mais ne put s’avancer plus loin. L’atmosphère dans les dernières marches montant au grenier était tellement bouffie et débordante qu’il dut s’arrêter à leur palier.
Prince et le fils s’y tenaient à genoux, les corps brisés dans des positions peu confortables, suant et soufflant pour réparer ce que Tsé-tsé ne pouvait voir. Maam était au pied, les regardant, contrariée et ne sachant que faire d’elle-même.
Tsé-tsé aurait voulu se rendre utile pour gagner une occasion de tourner autour du fils mais il lui sembla évident que le moment n’y était pas. Il fit une tape sur l’épaule de Maam pour lui signifier sa présence et s’en retourna vers la cuisine pour y faire un peu de vaisselle.
Il avait les doigts plongés dans l’eau et les mains dans la mousse lorsqu’il sentit un mouvement d’air dans son dos. Il se retourna et vit que Maam l’avait rejoint dans la pièce et s’était assise, seule, à table. Désoeuvrée.
Tsé-tsé se rinça les mains et les essuya rapidement pour aller faire bouillir de l’eau. Pendant qu’elle chauffait, il fit une selection rapide de quelques morceaux de gâteaux qu’il posa dans une assiette qu’il venait de laver et les posa devant Maam.
Elle aussi était instable ces derniers temps. Et difficile à saisir. Elle avait brillé d’une joie éblouissante lorsque son fils était arrivé. Mais depuis, de petites fêlures étaient apparues et la suivaient partout où elle allait, s'immisçant dans ses gestes, ses pas, ses sourires. L’émail apparu la veille dans son humeur était de moins en moins éclatant et plein. De plus en plus fissuré.
Tsé-tsé déposa un tasse de thé brûlant devant Maam, l’accompagna d’une cuillère, avança de nouveau l’assiette de gâteaux pour insister et repartit faire la vaisselle en voyant que Maam se laissait aller à touiller et grignotter quelques miettes.
La pile de plats sales diminuait, venant emplir celle de plats propres, transitant de façon satisfaisante d’un bord à l’autre de l’évier, aidant Tsé-tsé à s’accrocher à la réalité. Regarder par la fenêtre le perturbait, cela lui rappelait que le vent du Hameau avait tourné, ce qu’il lui était difficile à supporter.
La mousse avait maintenant colonisé jusqu’à ses avant-bras et il se demandait, sans s’arrêter de frotter, le temps que prendrait encore les réparations de l’escalier. Il sentait dans son dos que Maam était toujours à table, et voyait à travers les carreaux devant lui que le Hameau s’était bel et bien réveillé. Les habitants vaquaient, des groupes se formaient, certains passaient en coup de vent dans la cuisine pour y prendre de quoi déjeuner avant de repartir pour s’installer sous le peuplier. Un mélange de plus en plus déplacé de signaux de normalité mêlés aux alertes de fins des temps qui toujours l’assaillaient. Cela lui donnait le vertige.
L’air changea de nouveau dans son dos. Une dépression vers l’arrière, un léger mouvement d’atmosphère, deux nouveaux parfums fatigués et satisfaits. Tsé-tsé se retourna pour voir revenir dans la pièce Prince et le fils qui affichaient le plaisir du devoir accompli sur leurs visages.
— Ça ne devrait plus bouger, dit Prince en posant ses outils sur un coin de table.
Tsé-tsé se rinça de nouveau les bras pour servir du thé à toute l’assemblée. Maam s’était levée d’un bond et avait fait apparaître sur la table des viennoiseries pour récompenser les travailleurs. Alléché, Tsé-tsé se joignit au trio, se choisissant une chaise non loin du fils et mordit à pleines dents dans un croissant. Prince hésita entre un pain aux raisins et des parts de gâteaux de la veille, il prit finalement des deux. Maam se tournait régulièrement vers son fils, lui souriant un peu trop pleinement dès que leurs regards se croisaient.
Les conversations allaient reprendre lorsque la luminosité baissa d’un coup dans la pièce, interrompant les tentatives. Toutes les attentions convergèrent vers la porte d’entrée et Tsé-tsé découvrit en se retournant que le géant s’était présenté dans l’encadrure, bloquant de sa silhouette toute intrusion de lumière. Il dut pencher la tête et recroqueviller ses épaules pour passer le pas.
Rien en lui n’était serein, ni son visage, ni ses gestes ; il ne savait trop que faire de ses immenses mains. Maam dut lui demander quelque chose car il se décida enfin à parler, commençant par s’excuser de son intrusion. Et puis tout ensuite alla très vite.
— Excuse-moi, je te dérange, dit le géant en lançant un regard au fils, à Prince et à Tsé-tsé, auxquels il fit un signe de bonjour. Il se trouve seulement que je cherche Frank ; et Saul. J’espérais qu’ils seraient ici.
— Frank et Saul ? demanda Maam surprise par la recherche de ce duo peu probable. Non, je ne les ai pas vus. Pas de la matinée. Tout va bien ?
— Et bien, non, finit par annoncer le géant hésitant à l’idée de les déranger encore un peu plus. Personne ne sait où ils sont.
— Comment cela ? demanda Maam qui peinait clairement à vraiment comprendre la situation.
— Hé bien ils ne sont pas chez eux, ni chez personne.
Après un temps d’arrêt, il ajouta :
— Ils semblent avoir quitté le Hameau.
Cette dernière phrase laissa l'assemblée estomaquée. Quitter le Hameau ?
— Mais, c’est le dimanche des Cerises ! finit par lancer Maam, un étrange sourire paniqué aux lèvres.
Tsé-tsé comprit qu’il s’agissait de la seule phrase qui avait dû se présenter à elle, dans une tentative de combler un peu du vide et de l’incompréhension qui les saisissait. Tsé-tsé se sentit de nouveau vaciller. Ce n’était plus le vent qui avait encore tourné, c’était un trou noir qui était en train de tout emporter.
— Enfin, cela m’étonnerait ricana un peu bêtement Maam, ils sont simplement quelque part où vous n’avez pas encore cherché, ajouta-t-elle, tentant de reprendre pied.
— Peut-être, dit le géant pulsant d’inconfort. Je ressors pour reprendre les recherches, annonça-t-il pour se redonner de la constance.
— Je viens, déclara Maam en retirant son tablier pour le poser d’un geste nerveux sur le dossier d’une chaise.
Ses cheveux s’étaient pris dans le cordon et se dispersaient maintenant en mèches indisciplinées mais elle n’y prêta aucune attention.
Prince se leva aussi d’un bond, les sourcils et la tranquillité froncés. Une odeur de panique contenue commençait à emplir la pièce. Le fils resta figé, le visage vide, le cœur calme. En sortant, Maam lui signifia d’un sourire trop large qu’elle serait bientôt de retour. Tsé-tsé avait trop envie d’en savoir plus sur ce qu’il se passait dehors, il décida de suivre Prince et Maam, laissant le fils seul à son croissant et à son café.
*
Je réalise que je ne connais pas bien Tsé-Tsé. Je sais que je l'ai déjà vu, mais je ne l'ai pas "repéré" comme les autres. Je ne sais plus qu'elle est sa place dans le hameau.
Ça y est, les clafoutis sont mangés ? Je me suis demandé si j'avais sauté un chapitre en lisant ça. Ou alors tout a été mangé pendant que Franck était dans l'autre monde ? Ils ne mangent donc pas de clafoutis dans l'autre monde, malgré leur cerisier ?
Ah, et nous sommes dans le Hameau d'origine mais le Franck d'origine n'y est pas ? Nous ne suivons donc pas Franck comme je m'étais prise à le penser au dernier chapitre.
ta remarque est assez juste pour Tsé-Tsé, c'est vrai qu'on ne l'a que peu vu depuis le début. C'est celui qui avait déjà eu des visions étranges en début de récit, qui s'assoit en bord de fontaine en l'interrogeant "est-ce toi qui est à l'origine de tout cela ?" ou quelque chose comme cela.
Il faudrait peut-être qu'il soit plus présent dans le début pour qu'on le repère mieux ? Je note, je note : )
Quant aux clafoutis et bien le chapitre de Saul qui plonge dans la fontaine suivit de Frank se situait "au soir des cerises", il y est dit que le samedi est déjà passé, donc que oui, beaucoup de choses ont déjà eu lieu, comme le fait de manger les clafoutis ^^"
Ce n'est peut-être pas assez clair cette temporalité ? Je vais y réfléchir pour améliorer cela : )
Merci beaucoup beaucoup de ta lecture fidèle et de tes messages qui me sont très utiles ! : )
J'aime beaucoup cette impression de la réalité qui glisse et s'échappe, du trouble qui envahit progressivement tous les personnages. Je trouve que c'est difficile à rendre à l'écrit, c'est très visuel : dans un film j'imaginerais, d'un plan à l'autre, des couleurs qui se perdent, des personnages qui se ternissent ou disparaissent, plein de trucs bizarres en arrière-plan... à l'écrit, se concentrer sur le ressenti de Tsé-Tsé est pertinent je trouve. J'ai cependant trouvé ça un poil répétitif, son impression de malaise, mais je ne saurais pas comment améliorer ça... peut-être en accentuant encore le côté gradation, progression du malaise ?
En tout cas c'est une idée géniale cette discordance dans leur réalité. En plus, on suit plutôt bien la "logique" : si le Frank et le Saul ont disparu de cette version du Hameau, celle-ci se fragilise, ça se tient.
Le fils de Maam m'intrigue énormément, j'espère qu'on aura bientôt un chapitre un peu centré sur lui. Sa présence a quelque chose d'inquiétant je trouve.
Quelques petits éléments relevés :
"pour que Prince put refuser" : pût ou puisse
"selection" sélection
"Tsé-tsé déposa un tasse de thé brûlant" une
"touiller et grignotter" grignoter
"le temps que prendrait encore les réparations de l’escalier" prendraient (les réparations)
"— Enfin, cela m’étonnerait ricana un peu bêtement Maam" oubli d'une virgule pour l'incise
J'enchaînerai très bientôt, dès que le bingo me le permettra ! Pour l'heure je valide "un chapitre lu le matin" grâce à ce chapitre :D
Merci d'être toujours là et de continuer à commenter ^^
Tu n'es pas la première à me faire remarquer que ce passage avec Tsé-tsé est sans doute un peu lourd/redondant. J'avais un peu repris mais clairement pas suffisamment donc, il faudrait peut-être une vraie refonte de ce chapitre pour le faire fonctionner, les petites retouches ne sont pas assez je vois ^^
Je note, je note : D
Je note aussi toutes les petites corrections à faire en orthographe et coquilles. Petit à petit je reprends mes chapitres en modifiant tout cela : D
Merci encore !
Pour un dimanche des cerises sans cerisier, je trouve le hameau plutôt serein ! Satané peuplier, il devrait mettre plus en branle que ça tous les habitants ! Et que je fais une grasse matinée, et que je m'empiffre des gâteaux de la veille, et de la vieille ! Ils sont tous lunaires mais au moins se rendent-ils compte de la disparition de deux des leurs! C'est déjà ça ;)
Ils vivent un rêve éveillé. Ont-ils simplement conscience d'être? Après tout, ne seraient-ils tout simplement pas, des "choses" qui n'ont pas vraiment conscience de ce qui les entoure. Je commence à croire que tous tes personnages de sont pas "reels" mais simplement des "idees" qui n'ont pas de consistance physique réel. Comme si ils étaient raconté par un conteur, mais qu eux même n'avaient pas conscience de leur propre être... je sais, c'est alambiqué tout ça ! Ahaha
"Alors Tsé-tsé avait lâché un peu de lest, été resté dans les parages mais faisant mine d’être à autre chose," > était
"Il n’eût pas à chercher longtemps." > eut
"commençant pas s’excuser de son intrusion. Et puis tout ensuite alla très vite." > par s'excuser
Au plaisir de lire la suite
L'arrivée du fils n'est pas le clou de cette charmante fête. Il revient d'un Ville peu connue du Hameau, de passage, dans son intention louable de venir en aide à Maam sans prendre le temps de mieux discuter avec elle. Et Maam à côté qui laisse faire, qui se laisse faire. Oui, il y a de quoi comprendre l'ami Tsé-tsé !
Cela le frustre tellement qu'il ne mange aucun fruit ! Ok, il s'en est gavé la veille, mais que lui arrive-t-il à ce bout-de-chou ? J'étais un peu triste pour lui.
En tout cas, tu as bien décrit un dimanche d'après-fête perdu dans les abîmes du temps. Chacun change de rythme en se laissant porter par les restes de la veille. Cette petite sensation qui survient habituellement quand on a trop abusé la nourriture, la boisson et le sommeil. Mais en plus, quelque chose ne va pas.
Tsé-tsé endosse le rôle du curieux à la place d'un petit Raphaël qui doit sûrement dormir. On parle tout de même de deux disparus du Hameau !
Affaire à suivre avec grand plaisir en tout cas !
Petites coquilles sinon :
Était-elle monstre si puissant qu’elle pouvait refaçonner jusqu’à l’essence même de ceux qu’elle avait mangé ? -> mangés*
En tout cas le fils avait perdu en impuretés, son grain était redevenue un peu plus calme. -> redevenu*
Si Tsé-tsé avait bien perçu les conversations de la veille, le fils avait expressement été demander à Prince de venir l’aider à faire des réparations dans la maison de Maam. -> le fils avait expressément demandé à Prince...
Les vents avaient encore tourné, ce dit Tsé-tsé en posant son premier pied dans la cour. -> se*
Pris d’un vertige, Tsé-tsé peina à se ressaisir ; tout tanguait autours de lui. Il ferma les yeux le temps que le roulis s'apaise. + Tsé-tsé aurait voulu se rendre utile pour gagner une occasion de tourner autours du fils mais il lui sembla évident que le moment n’y était pas. -> autour*
Après un long moment dodelinant, il pu les rouvrir. + Tsé-tsé s’y engouffra pour monter d’un étage mais ne pu s’avancer plus loin. -> put*
Quelque chose n’allait pas, se disait Tsé-tsé, ce n’était pas cela qu’il aurait du voir. + L’atmosphère dans les dernières marches montant au grenier était tellement bouffie et débordante qu’il dû s’arrêter à leur palier. + Il dû pencher la tête et recroqueviller ses épaules pour passer le pas. + Maam dû lui demander quelque chose car il se décida enfin à parler, commençant pas s’excuser de son intrusion. -> dut*
Mais alors que les secondes s’écoulèrent il ne su plus dire pourquoi. -> sut*
Prince et le fils s’y tenaient à genoux, les corps brisés dans des positions peu confortables, suants et soufflant pour réparer ce que Tsé-tsé ne pouvait voir. -> suant*
Il fit une tappe sur l’épaule de Maam pour lui signifier sa présence et s’en retourna vers la cuisine pour y faire un peu de vaisselle. -> tape*
Il avait les doigts plongées dans l’eau et les mains dans la mousse lorsqu’il sentit un mouvement d’air dans son dos. -> plongés*
ohlala, merci pour le relevé de toutes les fautes, tu découvres ainsi mon vrai niveau en français quand je n'ai pas encore été relue par une autre plume x'D
Normalement cela devrait s'améliorer dans la suite de l'histoire car j'ai inclus les relevés de fautes suite à BL dans les chapitres qui sont encore à venir ^^""
Désolée pour toutes ces coquilles et merci encore, j'ai corrigé au fur et à mesure de tes remarques ^^
Je suis contente que cette rencontre avec un nouveau personnage ce soit bien passée et que l'ambiance "lendemain de fête" soit crédible ^^
J'espère que la suite continuera de te plaire !